REVUE DE PRESSE !
LU, VU ET ENTENDU !
Bravo Brigitte!
Le billet de Dominique Labarrière
Dans des propos qui n’étaient pas destinés à devenir publics, Brigitte Macron qualifie de « sales connes » des militantes féministes qui ont interrompu un spectacle d’Ary Abittan…
Samedi, des agitées du féminisme dévoyé ont cru malin de troubler le spectacle du l’acteur Ary Abittan, aux Folies Bergères.
J’emploie le mot agitées et non pas celui de militantes, car il est des cas, nombreux quand même, où le militantisme mérite respect et considération.
Ce n’est évidemment pas le cas ici.
De même, pour l’expression « féminisme dévoyé », car ce qui anime ces aboyeuses hystériques n’est pas tant la valorisation et l’épanouissement de la femme que la castration du mâle.
Elles étaient quatre, courageusement cachées sous des masques à l’effigie de l’acteur.
Elles braillaient « Abittan violeur ! »
Or, il se trouve que notre homme, qui de fait eut à répondre d’une telle accusation devant la justice, a été purement et simplement innocenté, en première instance comme en appel.
Mais pour l’Inquisition nouveau genre et ces bergères en folie, gardiennes du troupeau des brebis rousseauistes (Sandrine, pas Jean-Jacques), cela – l’innocence dûment reconnue – ne compte pas plus qu’un pet d’agneau d’un jour, la justice n’étant selon elle que le dernier refuge du patriarcat le plus borné.
Donc lavé de toute culpabilité ou non par les tribunaux, le mâle est coupable, forcément coupable, comme aurait dit Duras.
À cet égard, un message posté par une autre engagée-enragée dit clairement le niveau de bêtise qu’on atteint ces temps-ci : « Un non-lieu n’efface pas la parole d’une femme. »
En d’autres termes, l’accusation fondée ou non d’une femme vaut jugement définitif et doit être considérée comme l’étalon or de la vérité. Splendide.
A lire aussi: Rendez-nous Nicolas Bedos !
Le jour suivant, dimanche, Brigitte Macron, notre Première Dame, a tenu à assister au spectacle de Ary Abittan.
Et, avant le lever du rideau, elle a souhaité le rencontrer en coulisses pour lui manifester son soutien.
Elle n’y est pas allée par quatre chemins et n’a pas mâché ses mots.
L’acteur lui confiant son appréhension de devoir essuyer une nouvelle agression, elle eut cette formule définitive, cette claque expédiée à la figure des excitées : « S’il y a des sales connes on va les foutre dehors. »
Alors, là, bravo Madame ! Bravo Brigitte !
Que cela fait du bien d’entendre appeler chat un chat et des connes des connes !
Beaucoup de bien, vraiment.
Cela libère !
Là-dessus la pseudo actrice Judith Godrèche, qui n’a plus guère que ce registre-là pour croire exister encore, a considéré opportun d’apporter ses encouragements aux tapageuses masquées : « Moi aussi, je suis une sale conne », a-t-elle revendiqué.
Bon, on s’en doutait bien un peu.
Merci à elle tout de même de nous apporter cette confirmation très officielle.
Le Mirage #MeToo - Réflexions à partir du cas français - Réflexions à partir du cas français
Price: 14,99 €
1 used & new available from 14,99 €


Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire