mardi 9 décembre 2025

VOICI LES PAYS QUI REFUSENT LES IMMIGRÈS MAHOMÉTANS ! " LA VALISE OU LE CERCUEIL "....

 

Ces pays qui interdisent l’islam ou lui imposent des limites drastiques


Les Français ont été tellement abrutis de propagande médiatique qu’une bonne partie d’entre eux tiennent pour une évolution inéluctable l’islamisation de leur pays. 

Bien peu savent que des nations souveraines refusent l’islam sur leur territoire. 

Qu’importe si c’est par laïcité ou par crainte du terrorisme, la religion de Mahomet est soit prohibée, soit contrôlée et limitée dans des espaces restreints.

 

Les institutions internationales friandes d’ingérences ne menacent pas les pays islamophobes parce qu’il leur faudrait prendre aussi en considération la liste bien plus longue des États où les chrétiens sont persécutés.

La première « excuse » à l’inertie de l’ONU et de ses satellites face aux abus des pays mahométans contre les autres religions serait l’absence d’interlocuteur parce que le monde islamique n’aurait pas de chef suprême. 

C’est à la fois absurde et mensonger.

 

Absurde parce que l’ONU n’a jamais demandé au pape une autorisation pour intervenir en Amérique latine… 

Pas plus qu’elle n’a sollicité la permission du grand rabbin pour encourager les terroristes en Israël.

Mensonger parce que, comme chez les catholiques, les protestants, les orthodoxes et leurs diverses sectes, il y a abondance de chefs et de hiérarchies chez les mahométans. 

Du bas au haut de l’échelle, pour les sunnites, imam, mufti, ouléma, recteur de la mosquée d’Al-Azhar au Caire qui est leur « pape ». 

Avec des franc-tireurs comme les cheikhs, les bachaghas, les marabouts, et j’en oublie.

Chez les chi’ites, du caporal au général, on a mollah, hodjatoleslam, ayatollah, grand ayatollah et imam guide suprême. 

Un autre « pape »… Les deux papes ont des tas de rivaux, émirs, califes et mahdis se disant descendants de Mahomet.

On vous fait grâce des variétés folkloriques comme le Maroc sunnite où le roi se prétend « commandeur des croyants » et les ismaéliens chii’ites dont le chef l’agha khan est lui aussi « grand commandeur ». 

Tous seraient des descendants du prophète. 

On sait que ce lascar était un fieffé queutard mais ça lui fait quand même une lignée astronomique ! 

 

Parmi les nations allergiques aux musulmans, en Asie :

Le Bhoutan, petit pays bouddhiste situé au nord de l’Inde et frontalier de la Chine, interdit le prosélytisme islamique et la construction de mosquées. 

 Les bonzes se souviennent des massacres perpétrés par les mahométans au cours des siècles passés et n’ont pas envie de les revoir.

 

En Chine, dans le Xinjiang, au nord-ouest, où plus de la moitié de la population ouïgoure est musulmane, en réponse à des attentats barbares, de nombreuses mosquées ont été détruites. 

Les hommes ne peuvent plus porter de longues barbes ni de qamis, ni les femmes de voiles, ou tout autre vêture sécessionniste

Enfreindre ces dispositions vous désigne comme candidat au camp de travail. 

Les enfants n’ont pas le droit d’apprendre la religion même à la maison et envisager de se rendre à la Mecque est une très mauvaise idée.

 

La Corée du Nord est certes un des régimes les plus oppressifs du monde, dirigé par un psychopathe criminel, mais ce pays a au moins le mérite de ne pas se laisser impressionner par les divagations et les menaces des rares prêcheurs qui n’échappent pas longtemps au contrôle permanent qui les conduit en prison avant exécution sommaire.

 

L’Inde qui a subi l’oppression islamique pendant plus d’un millénaire et n’a toujours pas digéré la cession d’une partie de son territoire au Pakistan traite les mahométans en ennemis de l’intérieur. 

 Pas de nouvelles mosquées, destruction de celles impliquées dans le djihad, et depuis 1995, la loi waqf renforcée en 2025 exige la transparence et donne un droit de regard dans leurs activités foncières, économiques et financières.

 

Au Japon où les mahométans ne sont que 0,2 % tout est fait pour refuser les migrants, valoriser la culture nippone et écarter les convertis. 

 Comme l’islam interdit la crémation des morts qui est la norme au Japon, l’absence de cimetières est une dissuasion en douceur.

 

Le Laos limite la pratique de l’islam au maximum en empêchant la construction de mosquées, et en surveillant les activités politiques, sociales et économiques des mahométans autant que leurs lieux de culte. 

 Toute forme de prosélytisme est interdite et sévèrement sanctionnée.

 

Au Myanmar, les exactions commises par la minorité Rohingya, victimisée bien sûr, ont conduit les autorités à adopter des mesures de rétorsion pour les renvoyer d’où ils viennent. 

Comme ça ne suffit pas puisqu’ils reviennent, on détruit leur mosquées et on emprisonne ou on fusille les plus agités.

 

Au Vietnam, les Cham, descendants des pirates Malais, représentant 1 % de la population, sont tolérés sous haute surveillance avec de rares mosquées financées par l’Arabie Saoudite. 

Leur nombre serait en diminution constante car les émigrés musulmans sont refoulés, tandis que les mahométans sur place sont encouragés à l’apostasie au profit de l’athéisme ou du bouddhisme.

 

En Europe :

Andorre un micro-État entre la France et l’Espagne applique de sévères restrictions aux activités islamiques afin de protéger les chrétiens qui n’ont pas oublié les raids des Maures au Moyen Âge.

 

L’Autriche  les slogans, les tracts, les émissions et la littérature des Frères musulmans sont frappés d’interdiction depuis que la secte a été inscrite, le 8 juillet 2021, sur la liste des organisations criminelles. 

La détention ou propagation de matériel prosélyte est passible de 4 000 euros d’amende et un mois de prison. 

Et expulsion pour les étrangers.

 

À Saint-Marin, un des plus petits pays du monde enclavé dans l’Italie, la communauté musulmane est inexistante et des mesures préventives visent à préserver l’homogénéité chrétienne de la population, en interdisant l’immigration et le prosélytisme islamique.

 

Aux Caraïbes :

À Cuba où l’islam était proscrit jusqu’en 1991, la police interdit aux croyants de prier en public. 

 Seule une petite mosquée très surveillée a été autorisée à La Havane. 

L’imam a été perquisitionné en 2017 pour activités contre-révolutionnaires, tabassé et envoyé pour quelque temps en prison. 

Depuis, on l’entend moins. 

Les rares mahométans immigrés sont expulsés des lieux de travail et des écoles, et subissent des tracasseries bureaucratiques multiples pour les inciter à déguerpir.

 

En Afrique :

L’Angola a purement et simplement interdit la religion musulmane qu’il considère comme « une secte barbare et incompatible avec la société angolaise ». 

Sans doute n’ont-ils pas oublié les razzias d’antan pour capturer des esclaves destinés à la traite africaine. 

 Le gouvernement angolais a également décidé de détruire toutes les mosquées. Les plus importantes ont été démolies en premier.

 

Océanie :

Pas de mosquée à Tahiti est le cri spontané d’un peuple tolérant, ouvert à toutes les influences, où le catholicisme, le protestantisme, le bouddhisme et le paganisme vivent en bonne intelligence, et parfois fusionnent dans des syncrétismes originaux, mais « quand on a vu à la télé de quoi les mahométans sont capables, on n’en veut pas ! ».  

Il est à noter que l’imam remis dans l’avion après qu’on a fait fermer sa mosquée était classé terroriste aux USA mais libre de ses mouvements en France !

 

En Amérique :

En 2017, l’administration Trump avait déjà adopté un décret interdisant aux ressortissants d’Iran, Irak, Libye, Somalie, Soudan, Syrie et Yémen, ainsi qu’aux titulaires de la double nationalité d’entrer aux États-Unis. 

Avec renvoi de ceux qui y étaient déjà. 

Une mesure que Robinette Biden poussé par Barak Hussein Obama s’était empressé d’annuler.

Cette année, le POTUS a mis en place de nouvelles mesures de contrôle pour contenir le plus possible de coraniques hors des USA. « Nous ne voulons pas d’eux » a dit Donald. 

Premiers visés, les soi-disant réfugiés d’Irak et de Syrie. 

Par la suite, la proclamation 10949 a exclu tout visa pour les ressortissants de pays tels que l’Afghanistan, l’Iran, la Libye, la Somalie, le Soudan, le Yémen.

Par Christian Navis

Source :  https://climatorealis

 


 

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire