mardi 4 novembre 2025

LA GENDARMERIE SE PRÉPARE À UN POSSIBLE EMBRASEMENT INTÉRIEUR ........

 REVUE DE PRESSE !


Avant de battre la Russie, Macron veut gagner la guerre contre les Français

Le 16 octobre 2025, le général-gendarme Hubert Bonneau a assuré aux députés qu’il est fin prêt à assurer la défense opérationnelle du territoire (DOT) en cas de guerre contre la Russie. 

Et même un peu avant que les hostilités commencent.

Le propos peut sembler banal. 

Mais le fait qu’un général d’armée s’engage en faveur des lubies d’un président dont 90 % des Français ne veulent plus est aussi inquiétant pour la démocratie que l’affichage des préférences politiques de certains hauts fonctionnaires et magistrats, tenus les uns et les autres à un devoir de neutralité.

 

Du képi à la politique politicienne

« Si nous avons un engagement majeur à l’Est, je pense que cela ne se passera pas sans agitation sur le territoire national », a prévenu Bonneau. 

A-t-il réalisé qu’il violerait la Constitution dans le cas probable où Macronescu prolongerait illégalement son mandat comme Zelensky ?

Les pandores sont prêts à traquer les rouspéteurs et les mal-pensants, qualifiés d’agents de l’ennemi. 

 

Comme si Macronescu bénéficiait de l’infaillibilité pontificale et de l’onction divine pour lancer des opérations offensives à l’étranger sans un vote du Parlement.

Annoncer aux députés qu’on a ciblé des saboteurs potentiels, sans préciser lesquels ni où, en mélangeant les terroristes islamo-gauchistes avec les patriotes, n’est pas un propos d’expert du maintien de l’ordre. 

Mais une proclamation de politicard.

 Dire qu’on est prêt à neutraliser les dissidents, c’est s’attribuer des pouvoirs de coercition qui sont le monopole de l’exécutif sous le contrôle du Parlement.

 

Bonneau est un paladin, roi de l’esquive

Cet homme commandait le GIGN au moment des « incidents du Bataclan ». 

Terminologie officielle englobant les 130 personnes assassinées et les 413 blessés hospitalisés le 13 novembre 2015, victimes des fous d’Allah. 

Qu’il ne faut pas stigmatiser.

 

Bonneau aurait refusé que ses troupes participent à l’assaut, considérant que c’était à la flicaille bas de gamme d’aller se faire trouer la panse. 

Ce faisant, il a fait preuve d’un esprit de corps exemplaire, sauvant la vie de nombre de ses subordonnés. 

L’État lui a donné raison. 

Et la raison du plus fort est toujours la meilleure.

Mais le gendarme-général saura être inflexible contre les opposants à la guerre contre la Russie. 

Tous les argousins seront unis comme un seul homme contre l’ennemi intérieur, le Gaulois patriote qui voudrait qu’on combatte les djihadistes plutôt que d’agresser des Slaves avec lesquels nous partageons une longue histoire commune.

 

En tout cas un conseil, si vous êtes en âge d’être mobilisé, engagez-vous vite dans la gendarmerie !

Inutile de courir des risques contre les Cosaques de Vladimir qui pourraient vous hacher menu. Gendarme, vous n’irez pas au front, vous poursuivrez dans nos riantes campagnes les réfractaires, les opposants et les dissidents, avec l’aide désintéressée des corbeaux, des pipelettes et des collabos.

La guerre civile se prépare. 

Après avoir obtenu de Macronescu une centaine de blindés légers Centaure à 800.000 euros pièce HT pour combattre les Français de souche et de cœur, mais pas touche aux allogènes, la gendarmesque réclame 22.000 fusils d’assaut supplémentaires pour un budget de 110 millions d’euros. 

Ce genre de demande laisse supposer une intention de s’en servir.

S’y ajouteront des monoculaires de vision nocturne qui permettent de flinguer dans le noir les opposants qualifiés d’agents de l’ennemi et de saboteurs, ainsi que des « armes tactiques utiles à la gendarmerie mobile » sans dire lesquelles.

 Drones ? Cyberespionnage par satellite ?

 Systèmes numériques d’intrusion et de pistage ? Infiltration des réseaux sociaux ? 

Une rallonge de 800 millions d’euros tout de même…

Mais les islamo-mafieux qui tiennent les enclaves étrangères hostiles, plus connues sous l’appellation de zones de non-droit, n’ont rien à craindre. 

Toutes ces armes sont destinées à mater et écraser les opposants leucodermes, honnêtes citoyens travailleurs et bons chrétiens.

 Elle est pas belle la vie sous la dictature des Macronescu ?

 

Les Français seront mis devant le fait accompli d’une guerre dont ils ne veulent pas et le dictateur élyséen encourage ses prétoriens à éradiquer toute contestation.

Ne pas recourir à une consultation populaire pour une décision aussi grave que faire la guerre à un pays traditionnellement ami, et de surcroît cent fois plus fort que nous, finira par disloquer l’unité nationale déjà mise fort mal en point par les décisions incohérentes, les traîtrises et les forfaitures du paltoquet. 

Mais qu’importe s’il peut rester Président à vie.

Il est intolérable qu’un guignol qui ne sait même pas démonter-remonter un pistolet à eau annonce qu’il est prêt à aligner plusieurs milliers d’hommes en Ukraine comme s’il s’agissait de gérer les ressources d’un war game vidéo.

 L’immaturité à ce niveau dépasse les sommets de l’inconscience. 

Surtout venant d’un individu qui ne dispose plus d’aucune majorité politique et est rejeté par neuf Français sur dix.

Si le peuple défavorable à cet engagement est tenu pour traître par la garde prétorienne du conducator, cela pourrait être le début de la guerre civile. 

La vraie. Pas des Français contre des allogènes, qui en profiteront plus tard pour se goinfrer dans les décombres. 

Mais d’une partie de l’armée, où il doit bien rester des patriotes, contre les forces dévouées aux Macronescu. 

Des citoyens en armes pouvant alors faire la différence en choisissant leur camp.

 

La gendarmerie est une armée de robots

Semblables aux androïdes de star wars. Sans états d’âme.

 Avec une servilité qui les place du côté des usurpateurs et des dictateurs contre le peuple. 

Le gendarme rural surveillant débonnaire des querelles villageoises appartient à un folklore révolu.

Rénovée sous la Terreur en 1792, l’ancienne maréchaussée royale est devenu une armée d’appoint présente sur l’ensemble du territoire, chargée du sale boulot que les autorités civiles refusaient de faire. 

Comme traquer les déserteurs plutôt que les bandits de grand chemin. Dans les années 40, servir de supplétifs aux nazis. 

Et maintenant harceler les mal-pensants au lieu de neutraliser les djihadistes surineurs.

Pendant la guerre de 14-18, la gendarmesque participa à la police militaire qui fusillait des râleurs pour l’exemple. 

 Plus de 1000 exécutions sommaires.

Sous la précédente occupation, la quasi-totalité des pandores a accepté de flinguer des Résistants, rafler des Juifs et garder des captifs avant leur transfert vers les camps de la mort.

À la Libération, on ne leur a pas appliqué la jurisprudence de Nuremberg : « L’obéissance aveugle à des ordres manifestement illégaux n’exonère pas les exécutants de leur responsabilité pénale personnelle ».

Cela se comprend. Les gaullistes avaient besoin de reîtres dociles pour dissuader les communistes de s’emparer du pouvoir, protéger tous les Papon qui pouvaient resservir, et blanchir les agents doubles. 

Ces affairistes à la fois résistants et collabos, selon les circonstances et leur intérêt du moment, qui ont ensuite brillé en politique. 

Les pandores bêtes et disciplinés faisaient l’affaire. 

Sans poser de questions. 

On n’allait tout de même pas leur reprocher quelques excès contre des Juifs et des Résistants qui auraient mieux fait de collaborer comme tout le monde.

Depuis, la gendarmerie n’a cessé de harceler le peuple pour des broutilles. 

Comme une plaque d’immatriculation de travers, un pot d’échappement bruyant ou un phare qui vient de lâcher. 

Mais jamais on ne les voit en première ligne contre les bandes ethniques qui saccagent les centres commerciaux, brûlent les bagnoles et pillent les boutiques, après avoir terrorisé les banlieues. 

Par Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/



 

La Gendarmerie se prépare à la tempête intérieure

DR

La mise en garde est passée presque inaperçue, noyée dans les auditions parlementaires d’automne. 

Et pourtant, elle en dit long sur l’état d’esprit des plus hauts responsables militaires français : le pays, disent-ils, doit se préparer, non seulement à un potentiel conflit majeur à l’Est, mais aussi à un possible embrasement intérieur.

Mais ce qui nous intéresse ici, derrière la perspective militaire, est une autre inquiétude qui s’installe : celle d’un désordre interne.


C’est le directeur général de la Gendarmerie nationale, le général Hubert Bonneau, qui l’a dit sans détour devant les sénateurs : « Si nous avons un engagement majeur à l’Est, cela ne se passera pas sans agitation sur le territoire national. » 

 Sabotages, opérations de déstabilisation, manifestations d’hostilité à une guerre jugée « impérialiste » par une partie de l’opinion : les scénarios sont sur la table.

Le constat est sans appel.

 La Gendarmerie s’attend à devoir intervenir en première ligne sur le sol français, non pas pour combattre un ennemi extérieur, mais pour contenir les fractures intérieures. 

 « Nous inscrivons notre action dans un continuum sécurité–défense », a précisé le général Bonneau. 

Comprendre : le front extérieur et le front intérieur pourraient bien ne faire qu’un.

Déjà, le renseignement militaire alerte sur une « convergence des luttes » entre mouvances d’extrême gauche, collectifs antimilitaristes et causes pro-palestiniennes.

 Ces groupes multiplient les actions symboliques contre l’industrie de la défense : tracts, graffitis, campagnes de dénigrement. 

Loin des simples coups d’éclat militants, les autorités y voient la main de puissances étrangères, prêtes à instrumentaliser les tensions françaises pour fragiliser le pays.

 

Dans cette perspective, la Gendarmerie se dote de moyens accrus : 22.000 fusils d’assaut à remplacer, des équipements de vision nocturne pour débusquer les saboteurs, et un plan de modernisation évalué à 800 millions d’euros.

Derrière la technicité des chiffres, une idée domine : la France s’attend à des années agitées.

 Et la Gendarmerie, en rappelant qu’elle est aussi une force armée, se prépare à jouer un rôle central dans la défense du territoire.

 

ET AUSSI

 

CNews, le triomphe d’une France qui ne veut plus se taire

Cnews

C’est un symbole plus qu’un simple chiffre : en octobre, CNews a franchi la barre historique des 4 % d’audience, devenant, pour le dixième mois consécutif, la première chaîne d’information de France.

 

 Une performance que ses adversaires idéologiques feignent de minimiser, mais qui dit beaucoup sur le pays réel – celui qui n’a plus confiance ni dans le service public ni dans les médias traditionnels.

Car derrière ce succès, il n’y a ni miracle ni manipulation : il y a une parole libérée, des débats assumés, et une ligne éditoriale qui refuse la langue de bois. 

Pendant que les rédactions subventionnées s’enferment dans le conformisme et les indignations convenues, CNews met sur la table les sujets que les autres fuient – immigration, insécurité, identité, autorité.


 

Face à elle, les géants d’hier s’essoufflent. BFMTV recule à 3,2 %, LCI plafonne à 2,3 %, et franceinfo tombe à 1,1 %

Des chiffres qui en disent long : l’information en continu, aseptisée et sous perfusion d’éléments de langage gouvernementaux, ne passionne plus personne.

 

Le public, lui, ne s’y trompe pas.

 Même si BFMTV touche davantage de téléspectateurs au total, les Français passent plus de temps sur CNews. 

Autrement dit, ils y trouvent ce qu’ils cherchent : du fond, du ton, et cette impression rare d’entendre des voix qui leur ressemblent.

 

Fidèle à son style, la gauche médiatique a immédiatement sorti son refrain habituel. 

La présidente de France Télévisions, Delphine Ernotte, a même jugé utile, en septembre, de qualifier CNews de « chaîne d’extrême droite ». 

Une étiquette commode, censée éviter le débat et disqualifier l’adversaire. 

Pourtant, dans le même temps, les médias publics continuent de se présenter comme neutres, alors qu’ils offrent chaque jour des tribunes à des militants politiques déguisés en experts.

Mais à mesure que les attaques sur CNews se multiplient, ses audiences grimpent : 3,6 % en juin, 3,9 % en septembre, 4 % aujourd’hui

Une progression constante, presque mécanique, portée par des figures fortes et une fidélité croissante du public.

Le paradoxe est là : plus on accuse CNews, plus les Français la regardent. 

Peut-être parce qu’ils y reconnaissent enfin une voix discordante dans un paysage médiatique saturé de conformisme.

 

Et si, au fond, ce record d’audience n’était pas tant celui de CNews… que celui de la liberté d’expression retrouvée ?

 

Source :    https://lalettrepatriote.com/cnews-





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