La guerre d’Algérie ne s’est pas arrêtée en 1962 : elle continue actuellement sur notre sol

Le 22 octobre 2025, lors d’une audition devant la commission de la Défense de l’Assemblée nationale, le général Pierre Schill, chef d’état-major de l’armée de terre, a affirmé que l’armée française devait être « prête à un choc dans trois, quatre ans » face à la Russie, estimant que « tout peut basculer, très vite, dès ce matin ».
Il a insisté sur l’urgence de se préparer à une guerre de haute intensité, en raison de l’évolution du conflit en Ukraine et des tensions.
De son côté, le chef d’état-major des armées, le général Fabien Mandon, a dit avoir donné l’objectif aux armées de « se tenir prêtes » à un éventuel « choc dans les trois ou quatre ans » à venir avec la Russie, « pays qui peut être tenté de poursuivre la guerre sur notre continent » une fois la paix signée avec l’Ukraine.
Pas un mot de nos deux huiles étoilées sur une guerre qui ne se conjugue pas au futur puisqu’elle se déroule actuellement sur notre sol : la guerre d’Algérie, qui ne s’est pas achevée avec les accords d’Évian en 1962, mais qui a couvé pendant plusieurs décennies sur notre sol où elle menace de devenir une guerre de haute intensité.
Éric Zemmour l’a parfaitement compris qui exhorte le gouvernement français à traiter l’Algérie comme un pays ennemi.
Réagissant aux propos du ministre de l’Intérieur, qui souhaite renouer un dialogue constructif avec Alger, le patron de Reconquête assure qu’il suffit de l’écouter pour comprendre qu’il va « se coucher devant les Algériens, comme ses prédécesseurs » a-t-il lancé ce dimanche à l’antenne de BFMTV.
Au ministre d’État qui affirme que « ceux qui font croire aux Français que le bras de fer et la méthode brutale sont la seule solution se trompent », Éric Zemmour rétorque que le « bras de fer » n’a jamais été utilisé pour contrer les menées de l’État algérien.
Le gouvernement français accorde comme les années précédentes plus de 250 000 visas aux Algériens.
Quant aux visas étudiants, ils n’ont jamais été aussi nombreux.
Au lendemain de l’adoption à l’Assemblée nationale d’une résolution portée par le RN visant à dénoncer l’accord franco-algérien de 1968, le premier flic de France a regretté « les conditions dans lesquelles s’est déroulé ce vote ».
Le 19 octobre, il avait déjà fixé sa ligne indiquant que la dénonciation de cet accord n’était « pas à l’ordre du jour », tout en concédant que cet accord « n’est pas parfait ».
« L’Algérie est un pays ennemi aujourd’hui, donc il faut le traiter comme un ennemi », estime Éric Zemmour, proposant de « couper tous les visas », de « bloquer les regroupements familiaux » ou encore d’« interdire aux dignitaires algériens de venir se faire soigner en France »
Concernant l’argument avancé par Laurent Nunez selon lequel il faut renouer le dialogue avec l’Algérie pour échanger des informations sur la sécurité, le patron de Reconquête rétorque que les relations avec les services secrets algériens ne servent plus à rien.
« La coopération avec les Marocains ou les Israéliens est beaucoup plus efficace », affirme-t-il.
Dans la même veine, Sébastien Chenu, vice-président du RN, a lui aussi plaidé ce dimanche pour l’instauration d’un rapport de force.
« Pour tenter un bras de fer, il faut un bras.
Ces accords sont un bras qui nous permet d’enclencher un dialogue, de montrer à l’Algérie que nous ne comptons pas nous laisser faire, nous la France », a-t-il déclaré au micro de France Inter en référence à l’accord franco-algérien de 1968.
Les deux pays sont engagés dans une crise diplomatique et sécuritaire majeure
Expulsions croisées de diplomates : En avril 2025, l’Algérie a expulsé 12 fonctionnaires français, en réponse à l’arrestation en France d’un agent consulaire algérien impliqué dans l’enlèvement d’un opposant exilé.
La France a également expulsé des agents algériens.
Affaires Boualem Sansal et Christophe Gleizes : L’incarcération en Algérie de l’écrivain franco-algérien Boualem Sansal et du journaliste français Christophe Gleizes, condamnés pour des motifs politiques, a fortement tendu les relations.
Refus de coopération sur les OQTF : L’Algérie bloque le retour de ses ressortissants visés par des Obligations de quitter le territoire français (OQTF), ce qui a provoqué des tensions supplémentaires.
Attaque terroriste à Mulhouse : En février 2025, une attaque au couteau à Mulhouse, commise par un individu lié à des réseaux algériens, a exacerbé les suspicions et les accusations.
Guerre des services secrets : Des accusations d’espionnage et d’ingérence réciproques ont été portées, notamment après l’affaire d’un employé d’Air Algérie soupçonné d’agir pour les services algériens.
Menaces de sanctions économiques : La France a évoqué des mesures de rétorsion, comme la suspension des activités des compagnies aériennes et maritimes algériennes, ou le renforcement des contrôles aux frontières.
La présence sur le sol de France de plusieurs millions d’Algériens sur trois ou quatre générations explique à l’évidence l’extrême frilosité des autorités françaises.
Les réseaux dormants, aux mains d’Alger, peuvent provoquer autant de Toussaint Rouge que possible, mais cette fois au cœur de nos villes.
Par Henri Dubost
ET AUSSI
Musulmans !
Allah s’insulte et se ridiculise dans votre Coran !

L’écrivain irakien libéral, Jalâl al-Asadi, contribue régulièrement sur différents sites internet arabophones à sensibiliser les lecteurs aux problèmes sociétaux affectant l’existence même des peuples arabo-islamiques.
Dans son étude publiée en arabe le 12.11.2019 sur le site Islamicbag.com, l’auteur s’adresse aux musulmans et leur montre que leur dieu Allah, tel qu’il se présente dans le Coran, ne peut être qu’un faux dieu puisqu’il s’y insulte et se ridiculise.
Il cite de nombreux exemples pour confirmer et illustrer sa constatation.
Dans cette synthèse, nous nous limitons à en signaler quelques-uns seulement.
1. Votre Allah manifeste son impuissance et sa faiblesse
Cet Allah s’appuie sur les Bédouins du désert.
Il les appelle, dans son Coran, à le défendre, lui, sa religion et sa loi, au péril de leur vie, de leurs enfants et de leurs biens.
Il les incite à tuer et à se faire tuer pour sa cause, en leur promettant un paradis féérique après la mort.
« Certes, Allah a acheté des croyants, leurs personnes et leurs biens en échange du Paradis.
Ils combattent dans le sentier d’Allah : ils tuent, et ils se font tuer. » (Coran 9, 11)
Cet Allah a donc légiféré la violence et le meurtre comme moyen de propagation de la religion, au lieu de la propager par la bonté, la bienveillance et la persuasion.
N’est-il pas absurde de savoir que cet Allah, dit Tout-Puissant, a besoin de ses créatures, qui sont faibles et impuissantes, pour le défendre, lui et sa religion ?!
Est-ce vraiment un véritable ou un faux dieu ?
Pourquoi se ridiculise-t-il ainsi ?
L’article du grand spécialiste en sciences islamiques, Hamdane Ammar, illustre bien ce phénomène.
Le voici sur le lien suivant :
https://ripostelaique.com/allah-exige-des-musulmans-de-tuer-et-de-se-faire-tuer-pour-acceder-a-son-paradis.html
2. Votre Allah et ses plus beaux noms
Cet Allah s’est donné des noms que vous musulmans, vous appelez « les plus beaux ».
Vous les mémorisez et vous les récitez régulièrement sans ou au moyen d’un chapelet.
Cet Allah, présumé tout-puissant, dit : « C’est à Allah qu’appartiennent les plus beaux noms.
Servez-vous en pour l’invoquer, et laissez ceux qui en altèrent le sens. Ils recevront la rétribution de ce qu’ils faisaient. » (Coran 7, 180)
« Et ils complotent, et Allah complote aussi, et il est le meilleur des comploteurs. » (Coran 8, 30)
« Les hypocrites cherchent à tromper Allah, alors que c’est lui qui les trompera le premier. » (Coran 4, 23)
Ces attributs qu’il s’accorde conviennent-ils à son statut de créateur de toute l’humanité ?
Alors, comment peut-Il se décrire, par exemple, comme rusé, trompeur et le meilleur des stratagèmes, c’est-à-dire le meilleur des comploteurs ?
Comment peut-il descendre au niveau des humains, et de quels humains ?
Il se dit « le rusé », « le trompeur ». Il complote comme eux. Il les surpasse en ruse par degrés.
La ruse n’est-elle pas une caractéristique ou une tendance humaine malveillante ?
Comment peut-il se décrire avec cette caractéristique ?
Votre Allah se compare ici à un groupe de Bédouins égarés et affiche sa supériorité sur eux en ruse !
Allah est rusé et on ne peut pas se fier à sa ruse !
Dans la liste de ses plus beaux noms que vous récitez, Il se dit également « le vengeur, le soumis, le nuisible, l’abominable, le contraignant, l’arrogant, le suprême ».
Tous ces attributs et d’autres ne sont-ils pas des attributs humains sadiques ?
Il existe d’autres noms par lesquels votre Allah se loue lui-même ou par lesquels vous le louez, tels que « le majestueux, le beau, le généreux, l’ingénieux, etc. »
Votre Allah a-t-Il besoin de tels attributs narcissiques, hypocrites et inutiles ?
Un dieu est censé être au-dessus de ces attributs, bons comme mauvais.
Or, lorsqu’il se qualifie de rusé et d’autres attributs il se ridiculise et s’insulte lui-même.
3. Votre Allah est calomniateur
Lorsque ce dieu parle d’Abou Lahab dans le Coran, il se présente comme un calomniateur.
Avec la complicité de Mahomet, votre Allah le maudit :
« Que périssent les deux mains d’Abou-Lahab et que lui-même périsse. Sa fortune ne lui sert à rien, ni ce qu’il a acquis. Il sera brûlé dans un Feu plein de flammes, de même sa femme, la porteuse de bois, à son cou, une corde de fibres. » (Coran 111, 1-4)
Cet Abou Lahab était un notable qui craignait que la réforme de Mahomet ne brise la stabilité sociale et économique de La Mecque.
Selon des traditions divergentes, il aurait jeté des pierres sur Mahomet ou l’aurait maudit.
Votre Allah ne se lasse pas de lui. Il le maudit pour défendre et protéger son présumé apôtre Mahomet.
Et la femme d’Abou Lahab, qu’a-t-elle fait pour être maudite elle aussi ?
Ce comportement est-il digne d’un dieu dit puissant et sage ?
Pourquoi interviendrait-il dans une affaire banale qui se produit souvent entre les gens ?
Pourquoi s’abaisserait-Il au niveau d’Abou Lahab et de sa femme ?
Est-ce digne d’un dieu, créateur de l’univers et de toute l’humanité ?
Mahomet aurait dû gérer l’affaire sans impliquer Allah, d’autant plus qu’Abou Lahab n’était rien d’autre que son propre oncle.
4. Votre Allah prie sur votre Mahomet et le salue
Combien de fois par jour, chaque fois que vous mentionnez le nom de Mahomet, ajoutez-vous : « Allah prie sur lui (Mahomet) et le salue, ainsi que sur sa famille et ses compagnons » ?
Cette tâche fait-elle partie du statut de votre Allah ?
Est-elle digne de lui comme créateur pour prier sur les humains, quels que soient leur statut et leur sainteté ?
Quelle grave atteinte porte votre Allah à son propre statut lorsqu’il dit dans le Coran :
« Allah et Ses anges prient sur le Prophète.
Ô vous qui avez cru, priez sur lui et adressez-lui vos saluts. » (Coran 33, 56)
Voilà comment les rôles sont inversés dans votre Coran. Votre Allah s’abaisse et se place au-dessous de son prétendu apôtre Mahomet.
Et vous acceptez cela sans réagir ni dénoncer cette stupidité malsaine et éhontée !
De deux choses l’une : soit votre dieu Allah craint effectivement Mahomet et se trouve dans la contrainte de prier sur lui et de lui adresser le salut, et dans ce cas il cessera d’ê
tre un vrai dieu, soit l’exagération dans la sanctification est une des nécessités de votre religion. Dans les deux cas, c’est une situation honteuse !
6. Votre Allah exerce la fonction de « marieur notarial » au service de votre prophète
6.1. Mahomet épouse sa septième femme, Zaynab fille de Jahch, qui était également sa cousine.
En effet, Mahomet adopte un certain Zayd qui était esclave chez sa première femme Khadija. En atteignant l’âge du mariage, Mahomet lui choisit sa cousine Zaynab comme épouse.
Malgré l’opposition de sa famille, il confirme son choix par une révélation attribuée à son Allah. « Quiconque désobéit à Allah et à son apôtre est dans un égarement manifeste. » (Coran 33, 36)
Alors Mahomet marie Zaynab à Zayd, afin de faire respecter l’ordre d’Allah et le sien.
Cependant, Mahomet ne tarde pas à convoiter lui-même Zaynab. Il appelle à son secours « le marieur Allah ».
Aussitôt celui-ci s’empresse de satisfaire ses désirs et lui révèle le verset suivant :
« Lorsque Zayd obtint d’elle (Zaynab) ce qu’il désirait, nous (Allah) te la donnâmes pour femme afin qu’il n’y ait pas de blâme pour les croyants concernant les épouses de leurs fils adoptifs lorsqu’ils n’en ont plus besoin.
Et l’ordre d’Allah doit être exécuté. » (Coran 33, 37)
Zaynab, devenue la septième femme dans le harem de Mahomet, se vantait auprès de ses autres co-épouses et disait : « Vos familles vous ont mariées, mais moi c’est Allah lui-même qui m’a marié du haut des sept cieux. »
Donc, votre Allah exerce ici le rôle d’un agent matrimonial hors norme ou d’un « marieur notarial » tant pour Mahomet que pour son fils. Êtes-vous fiers de cette mascarade ?
6.2. Votre Allah purifie Aïcha, la troisième épouse de Mahomet, de l’incident de la calomnie.
Sur le chemin de retour d’une razzia lancée par Mahomet en l’an 6 de l’hégire, Aïcha qui accompagnait Mahomet se perd.
Tout le monde s’inquiète.
Elle prétend s’être isolée pour faire ses besoins.
Entre temps, son collier d’agates est tombé sans qu’elle s’en rende compte.
Elle s’en aperçoit en rejoignant la caravane.
Au moment où elle retourne sur ses pas pour le rechercher, la caravane reprend la route sans remarquer son absence.
Alors elle s’enveloppe de son jilbab et s’endort sur place.
Le lendemain, un certain Safouan passe près d’elle et l’amène derrière lui sur son chameau pour rattraper le cortège.
Aussitôt les rumeurs malveillantes à son égard se multiplient au sein des proches de Mahomet.
Face à l’indifférence accentuée de ce dernier vis-à-vis d’elle, elle déprime et se réfugie chez sa mère.
Après quelques semaines, et pour dissiper les rumeurs, Mahomet récite devant les croyants une révélation d’Allah relative à cette affaire :
« Ceux qui accusent les femmes vertueuses… seront maudits dans ce monde et dans l’autre ; ils éprouveront un châtiment terrible. » (Coran 24, 11-24)
Voilà comment Allah exonère Aïcha d’une affaire personnelle qui n’avait rien à voir avec la religion et condamne les médisants et les diffamateurs.
6.3. Allah accorde à Mahomet le droit absolu de super-polygame.
Allah lui accorde le droit exclusif d’épouser toute femme qui s’offre à lui :
« Ô prophète !
Nous déclarons licites pour toi les épouses dont tu as payé la dot, celles que ta main droite possède parmi ce qu’Allah t’a donné dans la guerre (les captives ou esclaves), les filles de tes oncles et de tes tantes – celles qui ont émigré (de la Mecque à Médine) en ta compagnie – ainsi que toute femme croyante si elle fait don de sa personne à toi, pourvu que tu veuilles faire l’acte sexuel avec elle : c’est là un privilège pour toi, à l’exclusion des autres croyants. » (Coran 33, 50)
Cet appel est-il approprié de votre Allah qui descend à ce niveau ?
Il appelle les croyantes à satisfaire le désir sexuel de son prophète et rien d’autre ? Quel serait l’intérêt pour les musulmans d’un tel appel ? Est-ce nécessaire ?
Vous n’avez même pas le droit de contester ni de critiquer ce que dit le Coran ni l’ordre d’Allah ni le comportement de votre prophète.
Ainsi vous avalez niaisement tout ce qu’on vous raconte.
Conclusion
1. Ces faits et tant d’autres prouvent que le Coran est, dans sa majeure partie, un journal quotidien qui traite des affaires de Mahomet et de sa vie personnelle.
Il n’a rien à faire avec une présumée révélation divine qu’il a inventée à partir de rien.
2. Allah apparaît dans le Coran comme une marionnette que Mahomet utilise et manipule. Il parle en son nom.
Et les musulmans sont comme des enfants naïfs qui regardent un spectacle de marionnettes et s’imaginent que cette marionnette est une personne réelle.
3. Ces quelques exemples frappants suffisent pour éclairer les musulmans et ceux qui sont islamophiles, islamo-gauchistes ou attirés par l’islam sur la nature de cet Allah, le dieu des musulmans, et sur son rôle au service de Mahomet.
Il est temps que cette grande tromperie éclate et que les masques tombent.
Il n’y a de plus grand aveugle que celui qui ne veut pas voir.
Par Maurice Saliba
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