lundi 10 novembre 2025

PATRICK JARDIN ET JEAN-EUDES GANNAT , LES DEUX RÉSISTANTS QUI DÉRANGENT LES COLLABOS !


 


REVUE DE PRESSE

Patrick Jardin et Jean-Eudes Gannat, deux résistants qui dérangent les collabos

 

Éric Zemmour, interrogé ce jour sur Europe 1, a d’abord cité son ami Patrick Jardin pour évoquer la prochaine commémoration des dix ans des attentats du Bataclan, et démontrer que les autorités politiques n’ont rien appris, ni rien changé à leur politique criminelle depuis ce drame qui a endeuillé des familles entières, et brisé à vie des centaines d’autres victimes.

Nous connaissons bien Patrick Jardin depuis maintenant plus de sept ans.

 Nous l’avons soutenu de toutes nos forces quand il a refusé, bien seul, la scandaleuse provocation de l’islamiste Médine, le chouchou de toute la gauche, qui n’avait rien trouvé de mieux pour narguer encore davantage la France que d’aller chanter au Bataclan pour célébrer le 3e anniversaire de l’attentat de ses coreligionnaires.

 Nous étions bien peu à le soutenir, mais nous étions là, et nous avons gagné.

 

Depuis, Patrick, dans son style si personnel, a écrit plus de 650 articles sur Riposte Laïque, et nous sommes fiers d’avoir dans nos rangs un contributeur pareil.

 Un homme, un vrai, qui ne pardonne pas aux assassins de sa fille, qui appelle un chat un chat, un islamiste un assassin, et un immigrationniste un collabo. 

Un homme qui n’est pas une pleureuse style Antoine Leiris et son « Vous n’aurez pas ma haine » tant choyé par les médias.

Bien évidemment, Patrick ne sera pas présent aux différents pince-fesses organisés par les autorités, et notamment par la Dingo, n’ayant rien à voir avec les salopards qui ont sur les mains le sang de toutes les victimes du Bataclan, et tant d’autres.

 

Bien sûr, un tel engagement militant, qui se poursuit fort logiquement dans les rangs de Reconquête, a un prix. Patrick est à présent fiché S, il est surveillé de près par les autorités françaises et régulièrement insulté par les médias collabos comme Le Monde et d’autres.

 Il y a même une enseignante gauchiste, Sophie Djigo, qui ose sans vergogne traîner devant les tribunaux cet homme, qui sera bien sûr défendu par l’avocat de Riposte Laïque, maître Pichon, et soutenu par la France entière.

https://www.lemonde.fr/long-format/article/2018/09/28/apres-le-bataclan-un-pere-sur-le-chemin-de-la-haine_5361248_5345421.html

 

Patrick pourrait être le grand-père de Jean-Eudes Gannat – que nous connaissons également, et qui a déjà répondu à plusieurs entretiens de RL – autre résistant objet de l’attention particulière du régime de Macron et des nervis de Mélenchon.

 Ce jeune homme d’une trentaine d’années, qui ne cache pas son engagement catholique, ses conceptions plus favorables à la Vendée de Charette qu’à la République de Robespierre, ses valeurs culturelles et identitaires, n’hésite pas par ailleurs à occuper la rue, et à soutenir, avec des groupes de jeunes militants, souvent habillés de noir, très combatifs, les combats qu’il juge légitimes. 

Cela fut le cas à Callac et à Saint-Brevin, et bien sûr le Comité du 9 mai, en mémoire d’un militant nationaliste, Sébastien Deyzieu, tué en 1994, lors d’une charge policière. 

Nous ne savions pas que la croix celtique et le mot d’ordre « Europe, jeunesse, révolution » étaient la marque de fabrique des fascistes, mais apparemment, il en a été décidé ainsi…

Jean-Eudes est depuis longtemps la cible des gauchistes qui multiplient les demandes d’interdiction contre n’importe laquelle de ses initiatives et essaient de l’agresser, lui et ses amis. 

Sauf qu’il y a du répondant quand on veut jouer à ce jeu-là. 

Bien sûr, il a connu la dissolution de son association, l’Alvarium, décidée par Darmanin après avoir dissous Génération Identitaire

Ainsi, lors des émeutes succédant à la mort de la racaille Nahel Merzouk, Jean-Eudes et ses amis avaient-il défendu physiquement leur local, attaqué par une alliance de gauchistes et de racailles, et repoussé victorieusement les assaillants.

 Bien sûr, certains procureurs, comme le tristement célèbre Éric Bouillard, d’Angers, n’avaient rien trouvé de mieux que de lui imposer une garde à vue (alors que sa femme accouchait) et de demander 4 mois de prison ferme contre lui.

Le même procureur Bouillard s’est encore illustré la semaine dernière, suite à un simple reportage de Jean-Eudes montrant pendant vingt secondes la réalité de Segré et d’une dizaine de migrants afghans, en instruisant un véritable procès en sorcellerie contre lui, demandant, après 48 heures de garde à vue, une comparution immédiate et 4 mois de prison ferme, une obsession chez lui. 

La mobilisation autour de ce scandale énorme a été telle qu’ils n’ont pas osé aller jusqu’au bout, même s’il doit subir un contrôle judiciaire jusqu’à son procès, en mai prochain, qu’il n’a plus le droit d’aller faire ses courses au Leclerc devant lequel sont les Afghans (quelle mascarade !) et qu’il est privé pour un mois de TikTok et de Twitter.

 

Chacun à leur façon, Patrick Jardin et Jean-Eudes Gannat sont des résistants respectables qui font honneur à la France et à tous ceux qui refusent de courber l’échine devant la mise à mort de notre pays.

Honneur à eux, et à tous ceux qui les soutiennent et qui mènent le même combat.

 

ET AUSSI

Les premières réactions à droite suite à l’arrestation de Jean-Eudes Gannat

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Communiqué du Parti de la France (07/11/2025) :

Le Parti de la France apporte tout son soutien à Jean-Eudes Gannat et dénonce la persécution politico-judiciaire dont il est victime.

Pour avoir simplement diffusé une vidéo sur TikTok où il filme une bande de rôdeurs afghans qui zonent toute la journée devant le supermarché de sa ville natale, Jean-Eudes a été convoqué dès le lendemain à la demande du parquet, placé en garde à vue et sera jugé en comparution immédiate aujourd’hui à 13 h 30.

 Avec un risque élevé d’incarcération.

On nage en plein délire totalitaire. 

Plus les Français sont hostiles à l’invasion migratoire, plus nos gouvernants et nos magistrats déploient une répression judiciaire abjecte contre les lanceurs d’alerte.

Tout ceci doit prendre fin, et vite.

 

 

Réaction de Nicolas Dupont-Aignan :

IMPENSABLE : en 2025, un Français peut être convoqué et mis en garde à vue pour avoir simplement posté une vidéo sur TikTok montrant un fait réel.
 
Si la justice était aussi rapide et efficace pour poursuivre les vrais délinquants, notre pays irait beaucoup mieux.
 
 
Victor Aubert, Academia Christiana :
La persécution judiciaire dont fait l’objet Jean-Eudes Gannat est un phénomène qui marque un changement d’échelle dans notre système politique.
 
Être incarcéré et jugé pour avoir simplement montré le réel, la simple réalité, est la marque d’une dérive objective de nos institutions.
 
Évidemment ce n’est pas nouveau en soi, mais on passe un seuil encore plus fort dans la répression idéologique.
 
 
Deux réflexions :
 
 
1) Le risque, c’est que ce type d’arrestations pour crime de pensée devienne la norme. Si personne ne s’en scandalise, si personne ne dit rien, si vous vous taisez, alors elles se multiplieront pour des motifs encore plus anodins : une plaisanterie, un jeu de mots, une requête en ligne… Se taire, c’est d’une certaine manière une forme de complicité.
 
 
2) Par ailleurs cette affaire illustre, encore une fois, que le sujet de l’immigration est un tabou absolu dans notre société. Il est non seulement interdit de la remettre en cause et d’en débattre, mais désormais il est interdit de la voir.
 
Ce malaise irrationnel dévoile la dimension quasi religieuse ou en tout cas de fétichisme idéologique qu’a pris la haine de soi.
 
Il s’agit dans le fond d’une sorte de suicide civilisationnel, de volonté de disparaître, de s’auto-anéantir.
 
Ce n’est même plus de l’idéologie politique ou une position dans un débat d’idées mais une sorte de psychose.
 
Je crois que notre société glisse lentement vers l’aliénation mentale collective où des assassinats comme celui de Charlie Kirk deviendront beaucoup plus fréquents, à côté d’autres formes de violences.
 
On est sorti depuis longtemps de l’époque de la raison, et on commence aujourd’hui à sortir de celle des sentiments pour se diriger vers celle des névroses.
 
Si vous pensez que j’exagère, posez-vous 5 minutes en essayant d’imaginer comment un juge peut justifier une telle situation.
 
 
La revue Éléments :
Jean-Eudes Gannat n’a pas braqué une banque, poignardé un passant ni incendié un commissariat.
 
 Il a tourné une vidéo de vingt-quatre secondes devant un Leclerc de campagne, dans le Maine-et-Loire, montrant un groupe d’Afghans assis devant le magasin.
 
Vingt-quatre secondes, une phrase ironique et cette légende jugée blasphématoire par la justice : « Marre de vivre avec les cousins de talibans au fin fond de nos campagnes ».
 
 Résultat : garde à vue, mise en examen pour « incitation à la haine raciale », interdiction partielle des réseaux sociaux, contrôle judiciaire jusqu’en mai 2026.
 
L’État a dissous l’Alvarium, la structure identitaire angevine créée par Jean-Eudes Gannat, mais poursuit ses anciens membres avec la même ardeur bureaucratique que s’il s’agissait de terroristes. 
 
À l’heure où les multirécidivistes circulent librement et où l’insécurité prospère, filmer des migrants devient un crime de lèse-République.
 
 « Décrire le réel est interdit », a résumé Gannat avant d’être conduit au poste.
 
Réaction de Éric Zemmour, président de Reconquête :
« Pour avoir dénoncé notre invasion migratoire dans une vidéo, un militant a été placé en garde à vue et sera jugé en mai prochain. 
L’inquisition judiciaire est le dernier moyen du système pour défendre une idéologie immigrationniste que les Français rejettent de plus en plus », a déploré Éric Zemmour sur X.  
« Ces attaques ne doivent pas nous intimider ni nous faire reculer. Notre combat est le plus juste de tous », a assuré le président de Reconquête.
 
 
NDLR SN : Bien sûr, il y en a quelques autres que nous n’avons pas pu répertorier ici. 
 
Cependant, il est regrettable, à l’heure qu’il est, que les réactions « à droite », face à un tel arbitraire, ne se soient pas montrées plus nombreuses et aussi virulentes, en particulier venant des partis institutionnalisés. 
 
En effet, face à l’adversité, notre famille politique doit apprendre à réagir à l’unisson.
 
 La scandaleuse mise en garde à vue de Jean-Eudes aurait dû immédiatement interpeller l’ensemble de la droite de conviction… 
 
Mais il n’est pas trop tard pour réagir, le procès de notre camarade étant prévu en mai prochain…
 
 
Lire aussi l’article publié sur ce sujet par Breizh-info, repris sur Riposte Laïque cliquez ici
 
Rappel : à propos de l’Alvarium, c’était en octobre 2019, à Rungis, lors du rendez-vous « Bleu-Blanc-Rouge » de Synthèse nationale :
 

 

 

 ET AUSSI

 

J’ai vécu l’aboutissement de la loi Pleven : l’interdiction de décrire ce que je vois

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Je profite d’un trajet dominical pour vous remercier tous du fond du cœur, et en particulier mes camarades de l’Ouest et d’ailleurs, l’équipe de Radio Courtoisie, les personnalités publiques qui ont pris position. 
 
Je veux aussi vous dire mon émotion face à la mobilisation des milliers d’anonymes qui ont fait du bruit, des dons, m’ont écrit des messages de soutien.
 
 Depuis ma cellule j’ai prié pour vous tous.
 
Nous vivons l’aboutissement du carcan judiciaire Pleven-Gayssot : après l’interdiction de penser et l’interdiction de dire ce que l’on pense, voici venue l’interdiction de décrire ce que l’on voit.
 
À ceux qui se sont inquiétés, qu’ils se rassurent : je vais très bien. 
 
J’ai passé 48 heures entre 4 murs, certes, mais de nombreux camarades, combattants, historiens, y ont passé bien plus de temps.
 
Et nos pauvres adversaires, qui ont fait profession de nous surveiller et de nous brimer, passent leur existence entière derrière des barreaux bien plus pernicieux : au mépris qu’ils m’inspirent s’ajoute une infinie pitié. 
 
Car derrière leurs barreaux à eux, sous la lumière tiède de leurs néons, il n’y a plus ni rêves, ni espoir, ni pardon, ni vie intérieure : seulement l’enchaînement froid du mensonge et de la procédure, et la petite promotion dans le cursus deshonorum.
 
 Tandis que même dans l’obscurité crasseuse d’une cellule, rien ne peut éteindre les mille soleils que j’ai dans le cœur, les feux de l’Espérance et les marques d’affection que, sans lire ni entendre, j’ai ressentis sans peine.
 
Je récolte injustement des honneurs qui devraient revenir à mon épouse, qui a subi les tracasseries ignobles du parquet, ses questionnements indignes sur notre vie de famille, alors qu’elle n’est nullement engagée politiquement, et a déjà dû accoucher seule, il y a deux ans, parce qu’à la demande du procureur j’étais – déjà – maintenu injustement en cellule.
 
Quoi qu’il en soit, je vous transmets ici toute ma reconnaissance et une promesse : celle d’essayer de me montrer à la hauteur de votre confiance et de votre affection.
 
RDV ce soir sur Ligne Droite pour évoquer tout cela.
 

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Pr Jean-Eudes Gannat

 

Source :https://ripostelaique.com/patrick-jardin-et-jean-eudes-gannat-deux-resistants-qui-derangent-les-collabos.html 

 



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