dimanche 25 mai 2025

MA REVUE DE PRESSE ! L' ÉDITO DE CYRANO ET VIVRE CHEZ LFI : UN TÉMOIGNAGE ...........

REVUE DE PRESSE

Pourquoi même Philippe de Villiers refuse-t-il de parler de remigration ?

  

Depuis que tous les vendredis soir, dans l’émission de CNews « Face à Philippe de Villiers », le fondateur du Puy du Fou fait un véritable malheur, bien secondé qu’il est par le jeune Eliot Deval, avec lequel il affiche une complicité évidente, et Geoffroy Lejeune, plus discret, mais toujours aussi lucide.

On l’avait vu épanoui lors de la campagne présidentielle d’Eric Zemmour, puis, ensuite, il est retourné en Vendée, évitant les querelles d’appareils qui ne sont plus de son âge, et cherchant à préserver un côté rassembleur qui lui fait honneur.

 Son franc-parler, son immense culture politique et historique, sa mémoire et son témoignage sur 50 ans de vie politique à laquelle il a participé à tous les niveaux ont fait de cette émission un des plus grands succès de la chaîne de Vincent Bolloré, approchant le million de téléspectateurs tous les vendredis.

Cela marche tellement bien qu’Europe 1 profite également du talent de Philippe de Villiers et l’invite tous les samedis.

 Ce vendredi, on attendait donc particulièrement sa prestation, notamment sur le fameux rapport concernant l’entrisme des Frères musulmans.

Venant d’un homme qui a été brocardé toute sa vie pour sa foi chrétienne, son refus de l’Union européenne et de la perte de souveraineté française, avec l’abolition des frontières et l’espace de Schengen, mais surtout pour avoir dénoncé, dans le livre « Les mosquées de Roissy », dès 2006, l’islamisation de la France, on ne doutait pas qu’il ferait le bon diagnostic.

 Philippe de Villiers explique en effet la culpabilité écrasante de toute la classe politique française depuis 50 années, son refus d’admettre l’incompatibilité entre l’islam et notre civilisation, notre mode de vie. 

Ce passage où il explique ce qu’est la France est sublime, et montre mieux que de longs discours ce qu’il faut dire aux musulmans.

Mais curieusement, quand le présentateur lui demande les solutions qu’il envisage, certes il évoque la fin de l’immigration, mais il se laisse entraîner dans un discours de type de celui du général de Richoufftz, qui explique qu’il faut faire aimer la France aux musulmans, leur expliquer ce qu’est la grandeur de la Nation française, tout en affirmant étonnamment qu’il n’y aurait que 7,5 millions de musulmans en France en 2025, alors que Jean-Pierre Chevènement en annonçait déjà 4,5 millions en 1998, il y a une génération !

Le fondateur du Puy du Fou se refuse à envisager la remigration, tout en étant conscient que si les choses continuent ainsi, dans trente ans, l’effet du nombre aura fait son œuvre. 

Pourtant, nous sommes dans une période où les Algériens abandonnent les Noirs africains migrants dans le désert nigérien, où les Hindous expulsent massivement les Pakistanais, où les Pakistanais chassent les Afghans, et cela par centaines de milliers, parfois par millions.

 Historiquement, chacun se souvient de l’épisode des Sudètes, où 15 millions de familles allemandes vivant dans des pays situés à l’Est ont été déplacées, après 1945. 

Tout le monde sait comment le Pakistan a été créé, par un déplacement massif de population. Et personne en France n’a oublié le million de Pieds-noirs expulsés sans ménagement, en 1962.

Curieusement, Philippe de Villiers ne paraît pas croire en cette solution, à moins qu’il l’ait gardée sous le coude pour une prochaine émission, car sinon, nous avouons ne pas voir comment on peut encore sauver la France si on n’expulse pas les millions de musulmans radicaux qui se comportent comme des futurs envahisseurs, soutenus par la Cinquième colonne des Insoumis, ce qu’expliquait remarquablement le prometteur Erik Tegnér, directeur de Frontières.

 VIDÉO:  https://www.youtube.com/watch?v=U5gBTXbHReI&embeds_referring_euri=https%3A%2F%2Fripostelaique.com%2F&source_ve_path=Mjg2NjY

 

Et pourtant, en 2014, quand on lui posait la question, Eric Zemmour ne fermait la porte, loin de là, et depuis 11 ans, il est arrivé au moins 4 millions de plus, grâce à Hollande et surtout à Macron.

 

ET AUSSI  TÉMOIGNAGE 

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J’ai quitté LFI quand j’ai vu l’entrisme des islamistes et l’antisémitisme des Insoumis


 

Chronique d’une gauchisation suicidaire

Il paraît qu’on peut tout dire à gauche. Sauf la vérité.

La vérité, c’est que dans les rangs de La France Insoumise, dénoncer l’islamisme vous transforme en paria. 

Que si vous osez dire que l’antisionisme cache souvent un antisémitisme crasse, on vous accuse d’être vendue à Israël.

On ne quitte pas un parti comme on claque une porte. On s’en arrache, parfois avec honte, souvent avec colère. 

Moi, c’est l’usure du silence qui m’a poussée à parler.

 Car dans les rangs de La France Insoumise, dénoncer l’islamisme n’est pas une prise de conscience : c’est un crime.

Dans un précédent témoignage, j’avais déjà levé le voile sur les dérives sexuelles et l’antisémitisme enrobé d’antisionisme. Mais un nouveau seuil a été franchi. 

Entre le rapport glaçant sur les Frères musulmans et les prises de position complaisantes de certains élus LFI, cela valait bien une suite.

Je vous épargnerai les lamentations. Comme je le dis souvent : seuls les imbéciles ne révisent jamais leurs erreurs. J’ai été militante insoumise. J’ai cru à la promesse d’un avenir plus juste. Et puis, j’ai ouvert les yeux.

 

Mon quartier, c’était la République en état de siège

À l’époque, je suis étudiante. Fauchée, je vis dans un quartier miné par la violence. Chaque soir, après mon job au McDonald’s, je rentre seule, en retenant mon souffle.

Des hommes d’origine étrangère me suivent depuis la bouche de métro. 

Si je ne réponds pas, les insultes fusent. Si je parle, ce sont les menaces. En arabe, puis en français. Mon tort ? Être une femme. Être dehors.

Un soir, un maghrébin a voulu me forcer à l’embrasser. C’est une patrouille de police qui m’a sauvée. 

La même police que mes camarades LFI traitaient de milice fasciste.

 Quand les CRS étaient stationnés en bas, je respirais. Sinon, je sortais en robe longue, pour ne pas « provoquer ». Dans mon propre pays.

Je me souviens d’un débat interne avec mes camarades insoumis sur le harcèlement de rue. J’ai osé parler du sexisme que je subissais au quotidien. Et là, silence gêné. Puis cette phrase, d’une militante : « On ne peut pas stigmatiser certaines populations déjà discriminées. »

Et pourtant, quand il s’agissait d’épingler le « mâle blanc hétéro », là, il n’y avait pas de souci. Là, on sortait les pancartes. Mais quand le patriarcat a un accent maghrébin, une barbe et un qamis, tout le monde regarde ses pieds.

 Quand je racontais ces agressions aux insoumis, leurs visages se tordaient. Pas de colère pour moi, non. Mais de gêne. « Oui c’est chaud, mais… faut comprendre, c’est une colère post-coloniale ». 

Ah, le fameux « mais ». Ce « mais » qui justifie tout : les regards gluants, les mains qui traînent, les insultes, les menaces.

Comme si je devais, moi, me soumettre au mode de vie d’hommes pour qui une femme est un objet, un corps à conquérir ou à punir.

 Et si je refusais de me taire, on me taxait aussitôt d’islamophobe. 

On me disait même que certaines cultures « courtisent différemment ».

C’est à ce moment-là que j’ai compris que leur féminisme était à géométrie variable. Militant de vitrine, pas de terrain.

 

L’antisémitisme, camouflé sous keffieh

Très vite, j’ai compris que la lutte contre le racisme n’était qu’un paravent. On ne défendait pas les Juifs. Non. Les Juifs, c’était « les puissants », « les sionistes », « l’apartheid israélien ». 

J’ai entendu un élu local dire lors d’une réunion : « Les Juifs ont pris la Palestine comme les colons ont pris l’Algérie ». Tout le monde a hoché la tête.

J’ai entendu des élus parler de « l’occupation sioniste » comme on parlait jadis du « complot juif ». J’ai vu des jeunes traiter une camarade juive de « colon » parce que sa cousine vivait à Tel Aviv. J’ai entendu : « De toute façon, Rothschild tient Macron ». 

 Mais personne ne disait un mot pour les morts de l’Hyper Cacher. Aucun hommage. Aucune colère.

 

« L’islam est la vraie justice sociale »

Il y avait ce militant, barbe bien taillée, quadragénaire, très bien vu dans le mouvement. Grande gueule le jour, prédicateur frériste la nuit. Il racontait qu’il dormait dans des mosquées wahhabites en Arabie Saoudite « pour se purifier ». 

Il envoyait des vidéos de propagande : « rejoins la oumma », « l’Occident est corrompu », « l’islam est la vraie justice sociale », aux plus jeunes du parti.

Un autre racontait qu’il avait arrêté de serrer la main aux femmes : « C’est un péché ». Et pourtant, ils distribuaient des tracts sur les marchés le samedi matin. Laïque en surface, salafiste sous la peau. Et personne ne bronchait. 

Ce n’était pas un cas isolé. Ils étaient plusieurs. Stratégiques. Ils savaient très bien ce qu’ils faisaient.

 

Plusieurs types comme eux investissent méthodiquement le mouvement. La laïcité ? Rangée au placard, jugée « islamophobe ». 

On lui préfère celle du Royaume-Uni, où les Frères musulmans prospèrent à coup de financements bancaires.

À mesure que ces prédicateurs en baskets s’installent, les militants laïques et féministes s’effacent. Une femme en niqab et gants peut venir en réunion sans susciter le moindre débat.

 Et moi, avec mes alertes répétées, mon foulard noué autour du cou à la française, je deviens « la réac de droite ».

J’ai fini par partir. Mais pas sans bruit. Et j’ai été traitée de facho. De traîtresse. De vendue. 

Tout ça parce que j’avais osé dire qu’être une femme libre dans un quartier islamisé, c’était devenu une épreuve, et que je craignais que cela se propage à l’échelle du territoire national dans son intégralité.

Et si cette liberté fait de moi une ennemie, alors je suis fière d’en être une.

Par Emilie Volkova

 

 Source et Publications :   https://ripostelaique.com/

 

 







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