TRIBUNE LIBRE !
Banalisation de la violence : quand les médias cachent la vérité aux Français

- La violence, le baromètre d’une société en déclin
Qu’est-ce
qui distingue un pays en déclin d’un pays en pleine prospérité ?
D’un
pays développé d’un pays en voie de « tiers-mondisation » ?
Le niveau de violence, tout simplement.
Aujourd’hui, la violence en France n’est plus un choc, ni un événement
rare.
Elle est devenue une banalité quotidienne, une routine.
Ce qui
était autrefois faisait la « une », aujourd’hui, n’est plus qu’un simple
titre parmi d’autres.
De l’agression gratuite à l’agression au faciès,
de l’altercation pour un regard à l’attaque pour un téléphone, la
violence est devenue l’élément le plus prévisible dans notre société.
Les
hordes islamisées, sans crainte ni gêne, agressent, volent, égorgent,
et enlèvent leurs victimes en pleine rue, de jour comme de nuit.
Que
risquent-elles ? De croiser une patrouille de police ?
Ce serait un coup
de chance, mais bien peu probable.
Que des témoins osent intervenir ?
Qu’ils appellent le 17 ? Là encore, c’est une rareté.
Et même lorsqu’un
témoin se décide à sortir son téléphone pour filmer la scène et obtenir
un maximum de vues sur les réseaux sociaux, c’est une preuve de la
société individualiste et apathique dans laquelle nous vivons.
Nos
envahisseurs ne font pas face à des combattants, mais à un peuple qui
détourne le regard, par crainte d’être là prochaine victime de ces
barbares, mais aussi d’être pointé du doigt comme « facho » car il aura
voulu dire stop à cet enrichissement culturel.
La violence débridée de notre jeunesse importée
n’est pas un phénomène nouveau, mais elle s’est amplifiée avec les
années.
Pourtant, elle ne touche pas n’importe qui, et pas n’importe
comment.
- Le voile médiatique et l’excuse systématique des agresseurs
Face
à ce constat, il semble que certains préfèrent cacher »le voile qui
cache l’armée de Mahomet (cacher l’arbre qui cache la forêt).
Le
subterfuge des médias « du bien » consiste à ne pas divulguer les noms
des agresseurs, pour ne pas jouer le jeu de l’extrême droite, et
soulever la contestation populaire.
Mais derrière cette prétendue
bienveillance se cache une idéologie de gauche qui a toujours défendu
les agresseurs, surtout lorsqu’ils sont d’origine maghrébine ou issue de
certains quartiers dits « sensibles ».
Cette
culture de l’excuse est profondément ancrée dans certains secteurs de
la presse, de la politique et même de la justice.
Les agresseurs,
souvent issus de ces communautés islamisées, sont systématiquement
protégés.
Leur culture, leurs origines, leur passé sont invoqués pour
excuser leurs actes.
Et pendant ce temps, les victimes, elles, sont
souvent perçues comme responsables de leur malheur.
Il est presque
devenu normal de chercher des circonstances atténuantes pour ceux qui
agressent, tandis que les victimes sont à peine écoutées.
Ce
phénomène, alimenté par des médias, une justice et une politique
bienveillants envers l’agresseur, fait partie d’un processus bien plus
large : la volonté de minimiser, voire de dissimuler, la vérité au nom
de la « paix sociale » et du « vivre-ensemble », et disons-le, du « grand remplacement ».
- Le droit à la défense, un combat réprimé ?
Dans
un état de droit, la première mission de l’État est de protéger ses
citoyens.
Mais qu’en est-il lorsque, face à l’agression, la victime se
retrouve dans l’obligation de se défendre elle-même ?
Lorsqu’un individu
est attaqué et riposte pour sauver sa peau, pourquoi doit-il se
retrouver sur le banc des accusés ?
Pire encore, dans certains cas, il
encourt une sanction plus sévère que l’agresseur lui-même.
Pourquoi
ce retournement ?
Pourquoi cette inversion des rôles ?
N’est-ce pas le
signe d’une société où l’on cherche à brider la capacité d’un peuple à
se défendre contre son propre effondrement ?
Contre son remplacement ?
Un
Etat qui, au lieu de protéger son citoyen, lui impose des sanctions
plus sévères pour avoir osé se défendre, soulève une question encore
plus préoccupante : cet aveuglement de la justice et de la politique
sous couvert des médias, n’est-il pas fait délibérément pour empêcher le
peuple de se défendre contre son propre remplacement ?
- La complicité d’une gauche dévoyée
La politique de gauche, les médias de gauche, les artistes de gauche et la justice du »mur des cons » sont en
grande partie responsable de la situation actuelle.
En matière de
sécurité, leur rôle a toujours été de victimiser l’agresseur, en
particulier lorsqu’il provient des quartiers sensibles ou d’une origine
maghrébine.
À l’inverse, ils n’ont cessé de culpabiliser la victime et,
plus encore, de stigmatiser ceux qui, comme les policiers, osent lutter
contre cette montée de la violence.
Cette
politique de défense de l’indéfendable et de déresponsabilisation des
criminels a transformé certains quartiers en véritables zones de
non-droit.
Dans ces zones, l’impunité sous couvert de l’islam est la
règle, et la victime est souvent l’ultime responsable de son malheur,
car trop blanche, trop française.
- La France abandonnée à la violence et à l’impunité
Aujourd’hui,
les hordes du nouveau peuple »créolisé » à la sauce »Mélenchonienne »
errent dans les rues et agressent, sans raison, tous ceux qui ne leur
ressemblent pas.
La violence est devenue leur quotidien, leur manière de
vivre.
Ils agissent avec une audace inouïe, en toute impunité, sous
l’œil complice des médias qui, dans un silence assourdissant, masquent
la réalité.
Les verrous de leur zone de non droit ont sauté, et un
laissez-passer leur a été donné pour déstabiliser l’ensemble du pays.
Malheur
à celui qui ose se défendre ou ne pas se soumettre à cette dynamique.
Aujourd’hui, la France est en train de se voir envahir, non seulement
physiquement, mais aussi culturellement.
Et tout cela se passe sous le
regard indifférent des médias, qui, si le profil de l’agresseur est
maghrébin ou d’une autre origine sensible, feront tout pour minimiser
les faits.
Mais si l’agresseur a un profil « patriote », ou est
policier, alors l’information sera amplifiée à l’extrême.
Les
Français, eux, ne sont plus dupes. Ils ont ouvert les yeux.
Mais,
hélas, il est déjà trop tard.
Toute envie de résistance leur a été
enlevée.
Leur capacité à se battre pour leur pays, pour leur identité,
pour leur sécurité, a été systématiquement détruite par un système
aveuglé par une idéologie qui ne voit plus les réalités du terrain.
Le
peuple sait que la France est en train de s’effondrer.
Mais dans ce
chaos, le plus tragique, c’est que la volonté de se relever a été
éteinte, et il se trouve maintenant seul face à une nation en ruines.
Qui
osera souffler sur les braises pour raviver la flamme patriotique du
combat?
La survie de notre France en dépend.
Qui deviendra notre Jeanne ?
Par Elias Grodin
Source : https://ripostelaique.com/banalisation-de-la-violence-
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