mardi 27 mai 2025

BANALISATION DE LA VIOLENCE , LES MÉDIAS CACHENT LA VÉRITÉ AUX FRANÇAIS !

 


 TRIBUNE LIBRE !

Banalisation de la violence : quand les médias cachent la vérité aux Français

  • La violence, le baromètre d’une société en déclin
Qu’est-ce qui distingue un pays en déclin d’un pays en pleine prospérité ? 
D’un pays développé d’un pays en voie de « tiers-mondisation » ?  
Le niveau de violence, tout simplement. 
 
 Aujourd’hui, la violence en France n’est plus un choc, ni un événement rare. 
Elle est devenue une banalité quotidienne, une routine. 
Ce qui était autrefois faisait la « une », aujourd’hui, n’est plus qu’un simple titre parmi d’autres. 
De l’agression gratuite à l’agression au faciès, de l’altercation pour un regard à l’attaque pour un téléphone, la violence est devenue l’élément le plus prévisible dans notre société.
 
Les hordes islamisées, sans crainte ni gêne, agressent, volent, égorgent, et enlèvent leurs victimes en pleine rue, de jour comme de nuit. 
Que risquent-elles ?  De croiser une patrouille de police ?
 Ce serait un coup de chance, mais bien peu probable. 
Que des témoins osent intervenir ?   Qu’ils appellent le 17 ?   Là encore, c’est une rareté. 
 
Et même lorsqu’un témoin se décide à sortir son téléphone pour filmer la scène et obtenir un maximum de vues sur les réseaux sociaux, c’est une preuve de la société individualiste et apathique dans laquelle nous vivons. 
Nos envahisseurs ne font pas face à des combattants, mais à un peuple qui détourne le regard, par crainte d’être là prochaine victime de ces barbares, mais aussi d’être pointé du doigt comme « facho » car il aura voulu dire stop à cet enrichissement culturel.
 

 
 
La violence débridée de notre jeunesse importée n’est pas un phénomène nouveau, mais elle s’est amplifiée avec les années.
 Pourtant, elle ne touche pas n’importe qui, et pas n’importe comment.
 

 
  •  
  • Le voile médiatique et l’excuse systématique des agresseurs
Face à ce constat, il semble que certains préfèrent cacher  »le voile qui cache l’armée de Mahomet (cacher l’arbre qui cache la forêt).
 Le subterfuge des médias « du bien » consiste à ne pas divulguer les noms des agresseurs, pour ne pas jouer le jeu de l’extrême droite, et soulever la contestation populaire. 
 
Mais derrière cette prétendue bienveillance se cache une idéologie de gauche qui a toujours défendu les agresseurs, surtout lorsqu’ils sont d’origine maghrébine ou issue de certains quartiers dits « sensibles ».
 
Cette culture de l’excuse est profondément ancrée dans certains secteurs de la presse, de la politique et même de la justice.
 Les agresseurs, souvent issus de ces communautés islamisées, sont systématiquement protégés. 
Leur culture, leurs origines, leur passé sont invoqués pour excuser leurs actes. 
Et pendant ce temps, les victimes, elles, sont souvent perçues comme responsables de leur malheur. 
Il est presque devenu normal de chercher des circonstances atténuantes pour ceux qui agressent, tandis que les victimes sont à peine écoutées.
 
Ce phénomène, alimenté par des médias, une justice et une politique bienveillants envers l’agresseur, fait partie d’un processus bien plus large : la volonté de minimiser, voire de dissimuler, la vérité au nom de la « paix sociale » et du « vivre-ensemble », et disons-le, du « grand remplacement ».
 
  • Le droit à la défense, un combat réprimé ?
Dans un état de droit, la première mission de l’État est de protéger ses citoyens. 
 
Mais qu’en est-il lorsque, face à l’agression, la victime se retrouve dans l’obligation de se défendre elle-même ?
 Lorsqu’un individu est attaqué et riposte pour sauver sa peau, pourquoi doit-il se retrouver sur le banc des accusés ? 
Pire encore, dans certains cas, il encourt une sanction plus sévère que l’agresseur lui-même.
 
Pourquoi ce retournement ? 
Pourquoi cette inversion des rôles ?
 N’est-ce pas le signe d’une société où l’on cherche à brider la capacité d’un peuple à se défendre contre son propre effondrement ?  
 
Contre son remplacement ? 
 
Un Etat qui, au lieu de protéger son citoyen, lui impose des sanctions plus sévères pour avoir osé se défendre, soulève une question encore plus préoccupante : cet aveuglement de la justice et de la politique sous couvert des médias, n’est-il pas fait délibérément pour empêcher le peuple de se défendre contre son propre remplacement ?
  •  
  • La complicité d’une gauche dévoyée
La politique de gauche, les médias de gauche, les artistes de gauche et la justice du  »mur des cons » sont en grande partie responsable de la situation actuelle. 
 
En matière de sécurité, leur rôle a toujours été de victimiser l’agresseur, en particulier lorsqu’il provient des quartiers sensibles ou d’une origine maghrébine.
 À l’inverse, ils n’ont cessé de culpabiliser la victime et, plus encore, de stigmatiser ceux qui, comme les policiers, osent lutter contre cette montée de la violence.
 
Cette politique de défense de l’indéfendable et de déresponsabilisation des criminels a transformé certains quartiers en véritables zones de non-droit. 
Dans ces zones, l’impunité sous couvert de l’islam est la règle, et la victime est souvent l’ultime responsable de son malheur, car trop blanche, trop française.
  •  
  • La France abandonnée à la violence et à l’impunité
Aujourd’hui, les hordes du nouveau peuple  »créolisé » à la sauce  »Mélenchonienne » errent dans les rues et agressent, sans raison, tous ceux qui ne leur ressemblent pas.
 
 La violence est devenue leur quotidien, leur manière de vivre. 
Ils agissent avec une audace inouïe, en toute impunité, sous l’œil complice des médias qui, dans un silence assourdissant, masquent la réalité.
 Les verrous de leur zone de non droit ont sauté, et un laissez-passer leur a été donné pour déstabiliser l’ensemble du pays.
Malheur à celui qui ose se défendre ou ne pas se soumettre à cette dynamique. 
 
Aujourd’hui, la France est en train de se voir envahir, non seulement physiquement, mais aussi culturellement. 
Et tout cela se passe sous le regard indifférent des médias, qui, si le profil de l’agresseur est maghrébin ou d’une autre origine sensible, feront tout pour minimiser les faits. 
 
Mais si l’agresseur a un profil « patriote », ou est policier, alors l’information sera amplifiée à l’extrême.
 
Les Français, eux, ne sont plus dupes.  Ils ont ouvert les yeux. 
 
Mais, hélas, il est déjà trop tard. 
Toute envie de résistance leur a été enlevée. 
 
Leur capacité à se battre pour leur pays, pour leur identité, pour leur sécurité, a été systématiquement détruite par un système aveuglé par une idéologie qui ne voit plus les réalités du terrain.
 
Le peuple sait que la France est en train de s’effondrer. 
Mais dans ce chaos, le plus tragique, c’est que la volonté de se relever a été éteinte, et il se trouve maintenant seul face à une nation en ruines. 
 
Qui osera souffler sur les braises pour raviver la flamme patriotique du combat? 
 
La survie de notre France en dépend.
 
  Qui deviendra notre Jeanne ?
 
 

Par Elias Grodin
 
 Source :  https://ripostelaique.com/banalisation-de-la-violence-


Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire