samedi 31 mai 2025

À TARBES ,COMME AILLEURS , RACISME ANTI-BLANCS ET AGRESSION .......

 


 REVUE DE PRESSE !

Racisme anti-blanc, agression… 

À Tarbes, la fête des voisins bat son plein

Le 25 mai dernier, à Tarbes, à l'occasion d'une fête entre voisins, la convivialité a laissé place à l'agressivité.
Photo pexels-paggiarofrancesco
Photo pexels-paggiarofrancesco

Sangria, rosé, chipolatas, salade de riz, chips, quiche lorraine, nappe en papier, vaisselle en carton…

 La Fête des voisins, c'est « l’occasion de chaleureuses retrouvailles et de moments de convivialité », comme le dit le site dédié à l'événement. 

Le concept est vieux de 25 ans, il a ses adeptes.

Aux quatre coins de l’hexagone, dans les cours d’immeuble, les jardins de résidence ou même dans la rue, fin mai, locataires et propriétaires se retrouvent, le temps d’une soirée, pour partager, trinquer, discuter, échanger… 

Le dimanche 25 mai dernier, à Tarbes, les habitants d’une résidence se sont pliés à l’exercice. Il a tourné court.

 

Convivialité

Alors que la soirée battait son plein, cinq individus, visiblement alcoolisés, ont tenté de s’incruster. 

Ils ont été refoulés par les voisins. 

Un affront auquel les cinq individus ont répondu par la violence. 

Trois des cinq mis en cause se sont particulièrement illustrés.

L’un d’eux a sorti un couteau et frappé un jeune homme avant de menacer une autre personne présente. 

Un deuxième, qui avait retiré son bracelet électronique quelques heures plus tôt..., a été retrouvé caché derrière une voiture en possession d’un canif.

 Enfin, le troisième larron, originaire de Mayotte, a tenu des propos à caractère raciste :

 « Sales blancs, on va venir vous coloniser et violer vos femmes. »

 

Tous trois ont été jugés en comparution immédiate ce mercredi 28 mai, soit trois jours après les faits.

 Ils ont adopté la même ligne de défense : particulièrement alcoolisés, ils ne se souvenaient de rien. 

De rien, si ce n’est d’avoir été provoqués.

 Une accusation réfutée par la principale victime lors de l’audience.

 

Agressivité

L’individu s’étant montré le plus actif a été condamné à 12 mois de prison ferme, tandis que les deux autres ont écopé de 8 mois de prison avec sursis probatoire et de 6 mois de détention à domicile sous surveillance électronique.

 Comme le rapportent nos confrères de Frontières, le tribunal a mis en avant le caractère inacceptable des propos racistes tenus et a rappelé qu’aucune fête de voisinage « ne devrait se transformer en scène d’agression et d’intimidation ».

 

En réalité, à aucun instant, ce genre de scène ne devrait se produire.

 Ni à Tarbes, ni ailleurs ; ni à l’occasion d’une fête, ni sans raison. 

Oui, mais la ville des Hautes-Pyrénées comme la France a changé. 

Un policier tarbais confie à BV : « Ceux qui sont là depuis très longtemps diront que c’était mieux avant, mais ce n’est pas plus vrai à Tarbes qu’ailleurs. » 

 Le policier semble résigné. 

En montagne, en plaine, en ville ou à la campagne, partout, la situation sécuritaire s’est dégradée et rien ni personne ne semble pouvoir y remédier, surtout pas le tandem Macron-Bayrou.

 

Résultat : cette affaire est rangée dans la catégorie des faits divers alors même qu’elle est révélatrice de deux graves problèmes de société.

 En premier lieu, elle montre que les Français ne sont plus à l'abri nulle part, pas même dans la cour de leur immeuble ; en second lieu, elle met en avant les difficultés de cohabitation entre autochtones et immigrés.

 En s’avançant un peu, nous pourrions aussi dire qu’elle prouve que le racisme anti-blanc existe, mais vous, lecteurs de BV, le savez mieux que quiconque : c'est impossible !...

 

Picture of Sarah-Louise Guille
Par Sarah-Louise Guille
Journaliste 
 
Source et Publication :  https://www.bvoltaire.fr/racisme-anti-blanc- 
 
 
ET AUSSI
 
POLITIQUE 
 

Némésis : quand Ersilia Soudais (LFI) vole au secours… des agresseurs !

Après une agression violente, la députée relaie un communiqué niant les faits, et accable les militantes victimes.
Capture d'écran
Capture d'écran

L'affaire est emblématique de la gêne croissante de l'extrême gauche vis à vis des féministes de droite qui dénoncent les méfaits de l'immigration et bousculent les vieux réflexes militants. 

Défendre les femmes, c’est ce qu’elle prétend faire.

 Mais Ersilia Soudais aurait plutôt tendance à... les accabler quand elles sont de droite et qu’elles se font agresser par ses « camarades ». 

 C'est en tous cas ce qu'a fait la députée LFI ce jeudi 29 mai. 

Deux jours plus tôt, plusieurs militantes du collectif Némésis et deux journalistes de Valeurs Actuelles étaient violemment pris à partie par des antifas, dans le 13ème arrondissement parisien.

 L’un des agresseurs a été interpellé par la Police en flagrant délit. Pas de quoi troubler la députée, qui préfère apporter son soutien public aux agresseurs lors d'un rassemblement devant le commissariat où les militants d’extrême gauche étaient placés en garde-à vue.

Face caméra, elle déclarait soutenir « deux camarades qui se sont fait arrêter par la Police », en dénonçant « un problème de collusion entre les milieux d’extrême droite et la Police ».

 La complainte habituelle.

 Appelant à « rester solidaires dans un contexte de fascisation de notre société », la députée est allée jusqu’à invoquer le « droit à la résistance ». 

 Beaucoup de mots qui vont à l’encontre des images de la rixe publiées sur les réseaux, mais pas un seul en revanche, sur les violences commises par son « camp ».

 Ni sur les femmes molestées, ni sur les journalistes blessés.

 

Féminisme militant ou militantisme conditionnel ?

Au lieu de condamner les faits, la députée préfère attaquer Némésis. 

 Elle reproche comme d'habitude au collectif de se servir de la cause féministe pour faire avancer un agenda politique : « Le collectif Némésis prétend avoir manifesté pour le droit des femmes.

 Sauf que militer pour qu’il y ait des OQTF pour tous les immigrés, ce n’est pas lutter pour le droit des femmes », explique-t-elle dans une déclaration confuse qui trahit une incompréhension totale du combat des féministes identitaires.

 Et d’asséner : « Il n’y a aucun rapport en soi entre immigration et droit des femmes. » 

Les chiffres sur les violences sexuelles commises dans les espaces publics disent pourtant autre chose.

 

Soutien unilatéral

Face à cette posture, Alice Cordier, fondatrice de Némésis, a annoncé son intention de porter plainte pour « complicité morale et entrave à la justice ».

 Dans une vidéo publiée en retour, elle interpelle directement l’élue : « Rien, Madame Soudais, ne justifie des violences sur des femmes. Votre présence à une manifestation pour soutenir un homme auteur de violences physiques est un crachat à la figure de toutes les femmes qui sont victimes de violences, qui le disent, qui portent plainte, et qui, pour autant, ne voient pas toujours justice faite. » 

Elle poursuit : « Je m’étonne que, malgré les violences que vous avez vécues, vous ne fassiez pas preuve d’un tout petit peu de solidarité à l’égard des militantes du collectif Némésis. »

 

Le plus ironique, dans cette affaire, reste que les militantes de Némésis avaient, elles, soutenu publiquement Ersilia Soudais lorsqu’elle avait porté plainte contre un ancien compagnon pour viol et harcèlement moral. 

Némésis restait fidèle au principe de soutenir toutes les femmes victimes, quel que soit leur bord politique. 

Une réciprocité dont la députée insoumise ne semble pas s’embarrasser.

 

Une version des faits bien commode

Pour justifier son soutien aux mis en cause, Ersilia Soudais a relayé un communiqué de la Marche des Solidarités dénonçant une « manipulation grotesque » et l’usage d’une « vidéo tronquée ». 

Le texte affirme qu’aucune violence n’aurait eu lieu.

Circulez, y'a rien à voir.

Les images, pourtant, se passent de commentaires : une quinzaine d’antifas, ou plus, s’en prennent physiquement à quelques militantes identitaires et à deux journalistes.

 L’un des agresseurs, visiblement bien préparé, est même surpris par la caméra alors qu'il enfile des gants de moto avant de s’en prendre à un reporter de Valeurs Actuelles.

 

Le communiqué prétend refuser toute « criminalisation » des militants mis en cause. 

La Justice, elle, tranchera : l’un des individus interpellés en flagrant délit doit être jugé sous peu en comparution immédiate. 

Quant aux Français, ils auront sans doute reconnu ce qu’ils ont vu, sans avoir besoin qu’on le leur explique.


 
Source et Publication :  https://www.bvoltaire.fr



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