Ils ont d’abord voulu tuer Dieu. Puis la famille. Puis le père.
Ils ont ensuite tué la patrie, la mémoire, l’histoire, la virilité.
Il ne leur restait plus qu’une cible, ultime et dérisoire dans leur marche funèbre vers le néant : la vie elle-même.
Bienvenue dans la France de 2025.
Celle où collectivement, on
constitutionnalise l’avortement d’un côté, et où l’on entend légaliser
l’euthanasie de l’autre.
Une société qui sacralise le droit de ne pas naître (ou plutôt de tuer un enfant à naître) et le droit de disparaître.
Une société qui collectivement ne donne plus la vie et qui organise sa
propre mort dans un chœur béat de progressistes radieux.
L’instinct de
survie a laissé place à un instinct de mort.
Thanatos a gagné la partie.
IVG : de la détresse à l’indifférence
On nous a vendu l’avortement comme un ultime recours pour des femmes
violentées, abandonnées, traumatisées.
Et il est vrai qu’en Irlande
notamment, mais également en France, il y a eu des affaires
scandaleuses, cachées en partie par l’Eglise.
Qui aurait pu juger celles
qui, confrontées à l’horreur, au viol, ou à l’errement d’un soir (pour
lequel il faut être deux…) faisaient ce choix clandestinement, avec des
risques énormes pour elles, légalement comme sanitairement ?
Personne,
encore moins des hommes sans doute.
Mais ce droit, acquis dans la douleur, est devenu une routine.
Une facilité.
Un produit de consommation sociale. «
Mon corps, mon choix« , braillent les héritières de Simone de Beauvoir entre deux slogans creux.
Des millions de vies supprimées, sans larmes, sans sépulture, sans
mémoire.
Des embryons devenus encombrants dans une société où l’enfant
n’est plus une joie mais un « projet », où la maternité est une charge,
un obstacle à la carrière, au plaisir, à la « liberté ».
Et qui ose
rappeler que cette hécatombe frappe en premier les peuples européens ?
Que le ventre de l’Occident est devenu stérile, pendant que celui du Sud
enfante par grappes ?
On vous traitera de fasciste, bien sûr. De
misogyne. De raciste.
Mais les chiffres sont là.
La natalité blanche
s’effondre.
Le remplacement est en marche.
Euthanasie : la mort comme réponse sociale
Et maintenant, ils veulent nous vendre la mort comme solution
médicale.
Fin de vie « accompagnée », suicide « assisté », mort
« digne »…
Tous les euphémismes sont bons pour camoufler l’horreur.
Derrière les cas poignants de malades en souffrance – et qui, oui,
mériteraient compassion, soins, présence –, le pouvoir creuse une brèche
terrifiante.
Demain, ce seront les vieux isolés, devenus trop coûteux pour nos
hôpitaux surendettés.
Puis les cancéreux à qui ont dire de faire un «
geste pour la planète et la famille » en avalant une pilule et en
s’évitant à la fois des souffrances, pour soi et pour ses proches, mais
aussi pour la société.
Puis les handicapés.
Puis les dépressifs.
Puis
les « fatigués de vivre ».
Et pourquoi pas les enfants malades, comme au
Canada ?
Pourquoi pas les SDF, en geste « écologique » pour la planète ?
Pourquoi pas vous, pourquoi pas moi ?
La Bretagne, la France et l’Europe, n’ont plus de familles solides,
plus de paroisses soudées, plus de communautés enracinées.
Alors on se
débarrasse de ses anciens comme on jette un frigo cassé à la
déchetterie.
On ne prend plus soin. On « aide à partir ».
Et les
médecins – ces hommes et femmes formés pour soigner – seront sommés
d’injecter la mort.
La mort comme projet politique
IVG, euthanasie : les deux faces du même abîme.
D’un côté, on refuse
d’accueillir la vie. De l’autre, on précipite sa fin.
Le tout emballé
dans un joli paquet cadeau de droits fondamentaux, de compassion
bienveillante, de slogans inclusifs
. On vous parle de liberté, mais on
vous vend le suicide comme solution politique.
Et pendant ce temps, l’Empire se tait.
Il regarde. Il se frotte les
mains.
Moins de Blancs, moins d’enfants, moins de vieillards, moins de
résistance.
Plus de vide à combler.
Plus de place pour la grande
invasion migratoire. `
Pour les enfants de demain qui ne connaîtront ni
Nominoë, ni Jeanne d’Arc, ni Jules César, ni le latin, ni les
cathédrales.
Mais qui connaîtront les prénoms exotiques, les applis
halal, les mosquées sur TikTok, et le rappeur Jul.
À côté de ce suicide collectif organisé, le mariage homo ou la PMA
pour tous n’étaient que des amuse-gueules.
Là, on passe au plat
principal : la mort comme valeur de la République.
La civilisation blanche : s’éteindre en silence…ou faire front ?
Il ne s’agit plus de morale, ni même de religion.
Il s’agit de
survie.
Une civilisation qui n’enfante plus, qui se tue elle-même, qui
laisse mourir les siens dans des cliniques aseptisées sous prétexte de
progrès… est une civilisation en phase terminale.
Mais peut-être est-ce
là leur but ?
Peut-être que derrière les visages pâles et compassionnels
des militants de l’ultime liberté, se cache une haine indicible de soi.
Une haine du passé. Une haine de l’héritage. Une haine des racines.
Nous ne voulons pas de cette société-là.
Nous voulons une société qui
protège la vie, qui soutient les mères, qui entoure les vieillards, qui
apaise les souffrants sans les euthanasier.
Une société de force,
d’espérance, de résilience.
Refusons d’applaudir à notre propre
disparition.
Brisons le culte morbide du « progrès ».
Et rappelons-nous,
avant de les chasser et de reprendre notre place dans la longue marche
de l’Histoire, que ceux qui détruisent les vivants aujourd’hui, n’auront
bientôt plus personne à enterrer.
Par Julien Dir
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