lundi 26 mai 2025

HANOÏ : UNE MANDALE POUR LE MORVEUX ! HUMOUR ET DÉRISION !

 




 TRIBUNES LIBRES !

La Brigitte cogne le Macron : les Français disent merci  !

Ce jour du 26 mai 2025 restera dans les annales de l’Histoire de France.

Notre Brigitte nationale a osé faire, devant caméras, ce que des millions de Français rêvent de faire : gifler le Macron.

C’était à l’aéroport de Hanoï. 

Les autorités et le peuple vietnamiens s’apprêtent à recevoir le président d’une grande puissance européenne et mondiale, à savoir la France, un pays intimement lié à l’histoire du Vietnam.

On s’attend à une grande cérémonie. 

On est impatient de voir le puissant président de cette grande puissance, l’héritier des présidents qui ont occupé, guerroyé et négocié avec le Vietnam.

L’avion présidentiel s’est immobilisé. On avance la passerelle.

 Les membres d’accueil vietnamiens et français sont alignés en bas de la passerelle. 

 La porte de l’avion s’ouvre. Les caméras sont braquées sur l’entrée. 

On ne veut rien rater de l’arrivée du puissant président français.

Le puissant président français, qui tient en haleine l’Europe, fait sniffer les torchons britannique et allemand et fait trembler la Russie de Poutine, apparaît à l’entrée.

 Et aussitôt, on voit surgir des bras en rouge et des mains qui lui assènent un coup au visage.

On n’a, malheureusement, que les images, mais on imagine que l’ « assaillant » devait dire quelque chose du genre « Tiens ça, crapule ».

Les Français en bas de la passerelle s’exclament comme un seul homme : Merde !

Les Vietnamiens font de même, mais d’un ton à peine perceptible : Cut.

Le « couple présidentiel » français arrive à sortir de l’avion. 

Le Macron propose son bras à Madame qui l’envoie se faire torcher avec.

On ne sait pas comment s’est passée la cérémonie d’accueil, mais le puissant président Macron a expliqué plus tard, dans une intervention devant la presse, que c’était une simple « chamaillerie » entre couple.

Une violente chamaillerie à la sortie de l’avion…

On avait laissé auparavant croire que c’était une intervention russe. 

Comme en Roumanie.

On espère que les jeunes tourtereaux, qui avaient certainement sniffé, passeront une agréable nuit et que notre puissant président s’en sortira sans bleus.

On a toujours dénigré la Brigitte. 

On lui a attribué plein d’identités sans fondement.

 Mais là, à Hanoï, elle a démontré qu’elle pouvait agir comme un homme.

On te demande pardon, Brigitte.

L’Histoire retiendra que le misérable Macron a reçu à Hanoï, 71 ans après la débâcle de Dien Bien Phu, la claque qu’il a toujours méritée.

Une claque de plus que l’Histoire retiendra.

Par  Messin’Issa

 

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Mandale à Hanoï pour le Morveux


Le décor : Un aéroplane se pose à Hanoï, dans notre ex-Indochine (que je me refuse à appeler « Vietnam »). 

Le marquis Emmanuel de Morveux d’Enarque et sa duègne apparaissent à la porte de l’appareil.

 Là, pour une raison qu’on ignore, la marquise – alias « Jean-Brichel » – colle une gifle bien sentie à son galopin d’époux. 

Sur le tarmac, les spectateurs éclatent de rire… 

Le soir, dans sa salle-de-bains, seul devant son miroir, le marquis fulmine.

Ô rage ! Ô désespoir ! Ô la vieille chipie !
Dois-je encore supporter ce tableau défraîchi ?
Cette vieille radasse a osé m’humilier,
Me baffer en public devant tous ces « Niakoués ».
Ils étaient là, nombreux, ces « faces de citron » (1) ;
Ils se sont bien marrés et m’ont pris pour un con.
Pourtant j’ai bien compris que c’est à l’étranger
Qu’il me reste un semblant de popularité.

J’avais déjà prévu de faire repentance,
Critiquer nos armées, encore salir la France.
Leur dire qu’à Diên-Biên-Phu, nous prîmes une raclée,
Et que cette défaite, nous l’avions méritée (2).
Je sais parler aux gens, c’est pour ça qu’on m’admire.
Je le fais sans arrêt et ce, pour ne rien dire.
Et ça me vaut partout l’estime des médias.
Me voilà ridicule, je ne m’en remets pas !

Ô le doux souvenir d’Hollande et sa mousmée !
Celle-là qu’en scooter il aimait cocufier,
Et qu’il a répudiée, avec morgue et dédain,
Comme on congédie une vieille catin.
Je suis gré à ma vieille de m’avoir déniaisé,
Et appris, au théâtre, les belles envolées,
Mais est-ce une raison pour se croire tout permis :
Mais pour qui se prend-elle, cette vieille harpie ?

Je lui fais grand honneur d’encore la trousser.
Ce soir, je vous le dis, elle pourra se brosser.
Tout le monde, à Amiens, au Touquet, à Paris,
Sait que « Mémé Trogneux » me sert d’alibi :
Nous voulons tous les deux sauver les apparences,
Bien que des médisants l’accusent d’être un « trans ».
Et je dois supporter les boniments fielleux
De « Gaulois réfractaires », ce ramassis de gueux ?

Si encore la Trogneux n’était pas si vilaine :
J’enrage de voir Trump et sa belle Slovène.
Moi, le quadragénaire, coqueluche des rombières,
Je traîne une radasse, coiffée comme un cocker.
Et bien trop court vêtu pour son âge avancé :
Espèce de momie de l’époque «Yéyé».
J’ai l’air un peu idiot affublé de ma duègne,
Car ma dulcinée fait déjà « fin de règne » !

Le haut rang que j’occupe et que beaucoup m’envient,
Devrait me préserver de bien des avanies.
Je pourrais être heureux, épanoui, adulé.
Ai-je donc mérité de me faire gifler ?
Je partage ma couche avec un vieux tableau
Qui a beaucoup de mal à grimper aux rideaux.
Et moi, petit génie, épris de romantisme,
Je me tape la vieille avec ses rhumatismes…

Je ne suis pas Don Diègue, qui donc me vengera ?
La vieille, assurément, m’a porté un coup bas !
Je suis jeune après tout, et même freluquet.
Or J’aime les jeunets, pas… les fleurs fanées.
J’ai été humilié par la vieille blondasse
Que le poids des années a rendu bien fadasse.
Je suis bien décidé à lui faire regretter,
D’avoir publiquement osé me souffleter.

Or donc, je n’en puis plus, ça a assez duré,
Cette vieille guenon a osé me gifler.
Il est hors de question de coucher dans son lit.
Certes on va jaser, mais après tout tant pis !
Moi, je suis président et j’ai donc tous les droits,
Et y compris celui de faire n’importe quoi.
Cette vieille toupie, profitant de son âge,
M’a très certainement plombé dans les sondages.

Ne voulant pas partager la couche de « Jean-Brichel », le marquis prend une couverture et s’en va coucher dans la baignoire. Mais il est vrai que – primo – il n’est pas très porté sur les femmes et – secundo – en Picardie un adage populaire dit « Avoir ça dans mon lit, je préférerais coucher dans la baignoire ! ».

Par Cédric de Valfrancisque

1)- On notera que le marquis tient des propos odieusement racistes quand il est humilié.
2)- Car le marquis sait que nous avons aussi commis des « crimes contre l’humanité » en Indochine.

 

Source et Publications : https://ripostelaique.com/la-brigitte-cogne-le-macron-

 

 

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