jeudi 29 mai 2025

DÉNONCER L' ENDOCTRINEMENT " WOKE " DE NOTRE JEUNESSE , EST-CE DU RACISME ?

 

[BIENVENUE CHEZ LES WOKE] 

Hôpital public

Nouvel épisode de notre série satirique : une minute de détente révélatrice, à ne rater sous aucun prétexte !
VIGNETTE_MODELE15

Vous les avez peut-être déjà repérés sur les réseaux sociaux.

 Hilarants, les sketchs du cinéaste, réalisateur et scénariste Laurent Firode, dont Marc Baudriller faisait le portrait ici même, malmènent les wokistes et autres progressistes hors-sol.

En accord avec Laurent Firode, chaque semaine, BV vous proposera désormais en exclusivité, pendant 36 heures, un épisode totalement inédit de Bienvenue chez les woke, réalisé par sa société de production 

 Les Films à l'arrache, dont la chaîne YouTube est accessible ici.

 
Picture of Boulevard Voltaire
Par Boulevard Voltaire    https://www.bvoltaire.fr/

 


TRIBUNES LIBRES !

Dénoncer l’endoctrinement woke de notre jeunesse, est-ce du racisme ?

 
Est-ce du racisme ou de l’homophobie que de dénoncer certaines manœuvres destinées à manipuler et à s’approprier  « l’esprit » de notre jeunesse et cela dans le but bien précis de la diriger vers un multiculturalisme, un métissage, une       « théorie du genre » que l’on cherche à nous imposer par tous les moyens ?
 
Est-ce du racisme, de l’homophobie, de démontrer qu’il s’agit d’un « sournois endoctrinement » ?
 
Il y a une cinquantaine d’années on nous mettait en garde contre les « images subliminales » (ces images que notre œil ne détecte pas mais que notre cerveau enregistre et imprime inconsciemment) incorporées dans de nombreuses publicités et destinées à nous procurer, malgré nous, le désir de goûter, de consommer, les produits en question. 
 
Ce fut le cas notamment de « Coca Cola », et cela a parfaitement réussi et on en constate le résultat.
 
Aujourd’hui il n’est plus nécessaire d’employer de tels stratagèmes et de faire appel au subliminal pour manipuler et imprimer dans l’esprit de notre jeunesse, dans l’esprit d’une population, « ce que nous devons accepter, ce que nous devons devenir, ce qu’il faut que nous devenions ».
 
Les images (qui ne sont plus subliminales) s’affichent « plein écran », que ce soit sur les chaînes télé ou au cinéma, et l’objectif n’est plus dissimulé : il s’agit d’imposer « ce que le monde de demain devra être », que cela nous plaise ou non.
 
Que les actes sexuels ou les unions entre une Française ou un Français de souche (cette fin de race, paraît-il !,) un Africain, un Arabe (quel que soit son sexe !) ou une personne du même sexe, sont une pratique tout à fait naturelle !
 
Il n’y a plus un film, une série télé, un documentaire, un court-métrage, etc., où ne figure pas dans le casting un « homme de couleur », un « Arabe » un « homosexuel » qui, comme par hasard, a toujours le beau rôle.
 
Ainsi dans une série policière il est inutile de monopoliser votre attention sur l’un de ces « rôles » car ce ne sera jamais lui le coupable, le méchant, bien au contraire, ce sera toujours lui l’incompris, celui qui souffre et qui aide les « Blancs » à comprendre l’absurdité de leurs soupçons !
 
Si vous ne l’avez pas encore constaté, ce qui m’étonnerait tout de même, prêtez-y attention : adolescents ou adultes du même sexe qui s’embrassent, s’étreignent, forniquent, c’est devenu monnaie courante.
« Femmes blanches qui embrassent, étreignent et forniquent avec des « hommes de couleur » ou des « Arabes », c’est devenu indispensable.
 
Les policiers, gendarmes, médecins, cadres, pompiers, etc., de couleur ou Arabes, sont, en général, toujours les supérieurs des « Blancs ».
 
Toujours plus sympathiques et plus intelligents face à la bêtise et à la vulgarité de leurs subordonnés à la face pâle. (Je me demande d’ailleurs comment policiers et gendarmes peuvent accepter d’être présentés d’une manière souvent ridicule dans ces réalisations !).
 
Et que l’on ne se méprenne pas, je pourrais parfaitement être amoureux d’une musulmane ou d’une femme de couleur  si c’est « son » et « mon » désir, mais pas une imposition, une obligation.
 
Trop c’est trop. À vouloir tant démontrer on finit par lasser.
 
Fort heureusement il y a des policiers, gendarmes, médecins, cadres pompiers, etc., de couleur ou arabes qui font leur métier et se dévouent avec passion et intelligence.
 
Fort heureusement il y a des homosexuels des deux sexes qui vivent « leur différence » sans s’afficher ostensiblement.
 
Mais, et nous le constatons trop souvent, il y a des individus de couleur ou arabes ou homosexuels qui, comme des Français de souche, sont des « méchants », qui volent, qui agressent, violent, tuent, mais on ne l’affiche pas sur nos écrans et quelquefois même on le dissimule.
 
Peut-être d’ailleurs cela n’existe-t-il que dans notre imagination bien entendu « raciste » et « homophobe » ?
Mais alors comment expliquer que 15 % de la population française, de couleur ou d’origine maghrébine, composent 70 % de la population carcérale ?
 
Par Manuel Gomez

 

 

 

ET AUSSI


La France est malade du cancer idéologique d’une gauche métastasée

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  • Diagnostic médical d’une nation malade
La France, jadis phare du monde libre et modèle de civilisation, souffre aujourd’hui d’un mal insidieux. 
 
Ce mal n’est ni économique, ni seulement politique. 
 
C’est un cancer idéologique, rampant, profond, qui gangrène les fondements mêmes de notre identité.
 
 Un mal qui n’est pas tombé du ciel, mais qui s’est implanté, lentement, patiemment, dans l’esprit de nos concitoyens. 
 
Une idéologie de la négation : négation de la patrie, de l’autorité, des racines, de l’ordre, de la hiérarchie. 
 
Une idéologie mortifère : la gauche culturelle.
 
 
Ce cancer idéologique ne s’est pas contenté de contaminer la surface, il s’est infiltré dans les tissus les plus vitaux de notre société. 
Éducation, culture, médias, justice, administration : aucun organe n’a été épargné.
 
La République, comme un patient à l’agonie, observe impuissante la montée de ses fièvres, entre désintégration identitaire et abandon de souveraineté.
  •  
  • Métastase idéologique — quand la gauche s’infiltre par la culture
Tout commence avec la Révolution culturelle des années 60-70. 
 
À la faveur des utopies de Mai 68, les bastions intellectuels de la nation tombent les uns après les autres. 
 
L’université devient laboratoire idéologique, les écoles des foyers de déconstruction. 
 
On n’apprend plus à aimer la France, on apprend à la déconstruire. 
 
L’histoire est réécrite sous l’angle de la culpabilité. 
 
La culture classique cède le pas aux « études de genre », aux « post-colonialismes », aux « théories critiques » venues d’outre-Atlantique.
 
L’idéologie gauchiste devient virale. 
 
Elle colonise les écrans, les plateaux de télévision, les manuels scolaires.
 On ne parle plus de mérite, mais d’égalitarisme ; plus de nation, mais de société multiculturelle ; plus de devoirs, mais de droits infinis. 
Telle une métastase, cette idéologie s’est diffusée sans résistance, dévitalisant toute notion de frontière, d’autorité, de sacré.
La culture populaire elle-même devient véhicule de propagande : rap haineux, films culpabilisateurs, théâtre militant… 
Jusqu’à l’Éducation nationale, sanctuaire jadis républicain, qui devient bras armé d’un endoctrinement subtil mais implacable.
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  • Prise de conscience des élites face au stade terminal
Le réveil est brutal. 
 
Devant la montée de l’insécurité, l’explosion des communautarismes, la défiance vis-à-vis de la police et des institutions, certains politiques comprennent tardivement que le mal est profond. 
 
Mais beaucoup continuent de nier.
 Ceux qui osent alerter sont aussitôt traités de « réactionnaires », « populistes », voire « fascistes ». 
 
Les élites intellectuelles, trop compromises, trop lâches ou trop idéologiquement corrompues, préfèrent détourner le regard.
 
Les médias traditionnels jouent les pompiers pyromanes : ils dénoncent les conséquences sans jamais nommer les causes. 
Le « vivre-ensemble » devient un mantra creux face aux ghettos explosifs. 
La « tolérance » est invoquée face à la haine anti-française.
 
 Et l’État se montre plus prompt à réprimer un cortège de patriotes qu’un quartier en flammes.
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  • Remèdes pour une renaissance nationale
Face à ce déclin orchestré, des remèdes existent. 
Il faut d’abord une reconquête culturelle : réhabiliter l’histoire de France, restaurer l’autorité dans les écoles, remettre à l’honneur nos grands textes, nos héros, nos racines chrétiennes et gréco-latines, remplir nos églises. 
 Il faut revaloriser la langue française, refonder l’éducation nationale, épurer les programmes des idéologies culpabilisatrices.
 
Ensuite, une restauration politique : renforcer l’État, redonner sens aux frontières, rétablir la hiérarchie des valeurs.
 Le citoyen français doit être de nouveau chez lui, prioritaire chez lui, respecté chez lui.
 
Enfin, une révolution civique : retrouver la fierté d’être Français.
 
 Non pas une fierté agressive ou xénophobe, mais une fierté enracinée, héritée, qui se transmet et se défend
Cela passe par une justice ferme, un soutien inconditionnel aux forces de l’ordre, une politique migratoire souveraine et sélective.
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  • Le deux poids deux mesures de la République
Aujourd’hui, ce sont les idées patriotiques, identitaires, enracinées, qui sont stigmatisées. 
 
Ce sont les jeunes qui aiment leur drapeau qui sont surveillés.
 
 Pendant ce temps, les groupes d’ultragauche, les milices antifas, les Black Blocs, bénéficient d’une bienveillance médiatique et judiciaire choquante.
 Les émeutes ethniques sont relativisées, les violences contre la police excusées, les destructions de biens publics justifiées par la « colère sociale ».
 
Est-ce cela, la République ? Un régime où la haine de la France devient légitime, et l’amour de la France suspect ?
 
 
Le débat est ouvert : peut-on encore, en 2025, aimer la France sans être criminalisé ? 
 
Peut-on défendre l’ordre sans être marginalisé ? 
 
Peut-on croire en la nation sans être diabolisé ? 
 
Ou devons-nous accepter que notre pays, cancérisé par une idéologie destructrice, soit condamné à mourir en silence, pour être mieux  »Euro-compatible »?
 
 Par Elias Grodin
 
Source :  https://ripostelaique.com/ 
 
 

 

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