TRIBUNES LIBRES !
Dénoncer l’endoctrinement woke de notre jeunesse, est-ce du racisme ?

Est-ce
du racisme ou de l’homophobie que de dénoncer certaines manœuvres
destinées à manipuler et à s’approprier « l’esprit » de notre
jeunesse et cela dans le but bien précis de la diriger vers un
multiculturalisme, un métissage, une « théorie du genre » que l’on
cherche à nous imposer par tous les moyens ?
Est-ce du racisme, de l’homophobie, de démontrer qu’il s’agit d’un « sournois endoctrinement » ?
Il y a une cinquantaine d’années on nous mettait en garde contre les « images subliminales » (ces images que notre œil ne détecte pas mais que notre cerveau enregistre et imprime inconsciemment) incorporées
dans de nombreuses publicités et destinées à nous procurer, malgré
nous, le désir de goûter, de consommer, les produits en question.
Ce fut
le cas notamment de « Coca Cola », et cela a parfaitement réussi et on
en constate le résultat.
Aujourd’hui
il n’est plus nécessaire d’employer de tels stratagèmes et de faire
appel au subliminal pour manipuler et imprimer dans l’esprit de notre
jeunesse, dans l’esprit d’une population, « ce que nous devons accepter, ce que nous devons devenir, ce qu’il faut que nous devenions ».
Les images (qui ne sont plus subliminales)
s’affichent « plein écran », que ce soit sur les chaînes télé ou au
cinéma, et l’objectif n’est plus dissimulé : il s’agit d’imposer « ce que le monde de demain devra être », que cela nous plaise ou non.
Que
les actes sexuels ou les unions entre une Française ou un Français de
souche (cette fin de race, paraît-il !,) un Africain, un Arabe (quel que
soit son sexe !) ou une personne du même sexe, sont une pratique tout à
fait naturelle !
Il n’y a plus
un film, une série télé, un documentaire, un court-métrage, etc., où ne
figure pas dans le casting un « homme de couleur », un « Arabe » un «
homosexuel » qui, comme par hasard, a toujours le beau rôle.
Ainsi
dans une série policière il est inutile de monopoliser votre attention
sur l’un de ces « rôles » car ce ne sera jamais lui le coupable, le
méchant, bien au contraire, ce sera toujours lui l’incompris, celui qui
souffre et qui aide les « Blancs » à comprendre l’absurdité de leurs
soupçons !
Si vous ne l’avez pas
encore constaté, ce qui m’étonnerait tout de même, prêtez-y attention :
adolescents ou adultes du même sexe qui s’embrassent, s’étreignent,
forniquent, c’est devenu monnaie courante.
«
Femmes blanches qui embrassent, étreignent et forniquent avec des «
hommes de couleur » ou des « Arabes », c’est devenu indispensable.
Les
policiers, gendarmes, médecins, cadres, pompiers, etc., de couleur ou
Arabes, sont, en général, toujours les supérieurs des « Blancs ».
Toujours plus sympathiques et plus intelligents face à la bêtise et à la vulgarité de leurs subordonnés à la face pâle.
(Je me demande d’ailleurs comment policiers et gendarmes peuvent
accepter d’être présentés d’une manière souvent ridicule dans ces
réalisations !).
Et
que l’on ne se méprenne pas, je pourrais parfaitement être amoureux
d’une musulmane ou d’une femme de couleur si c’est « son » et « mon »
désir, mais pas une imposition, une obligation.
Trop c’est trop. À vouloir tant démontrer on finit par lasser.
Fort
heureusement il y a des policiers, gendarmes, médecins, cadres
pompiers, etc., de couleur ou arabes qui font leur métier et se dévouent
avec passion et intelligence.
Fort heureusement il y a des homosexuels des deux sexes qui vivent « leur différence » sans s’afficher ostensiblement.
Mais,
et nous le constatons trop souvent, il y a des individus de couleur ou
arabes ou homosexuels qui, comme des Français de souche, sont des «
méchants », qui volent, qui agressent, violent, tuent, mais on ne
l’affiche pas sur nos écrans et quelquefois même on le dissimule.
Peut-être d’ailleurs cela n’existe-t-il que dans notre imagination bien entendu « raciste » et « homophobe » ?
Mais
alors comment expliquer que 15 % de la population française, de couleur
ou d’origine maghrébine, composent 70 % de la population carcérale ?
Par Manuel Gomez
ET AUSSI
La France est malade du cancer idéologique d’une gauche métastasée

- Diagnostic médical d’une nation malade
La
France, jadis phare du monde libre et modèle de civilisation, souffre
aujourd’hui d’un mal insidieux.
Ce mal n’est ni économique, ni seulement
politique.
C’est un cancer idéologique, rampant, profond, qui gangrène
les fondements mêmes de notre identité.
Un mal qui n’est pas tombé du
ciel, mais qui s’est implanté, lentement, patiemment, dans l’esprit de
nos concitoyens.
Une idéologie de la négation : négation de la patrie,
de l’autorité, des racines, de l’ordre, de la hiérarchie.
Une idéologie
mortifère : la gauche culturelle.
Ce
cancer idéologique ne s’est pas contenté de contaminer la surface, il
s’est infiltré dans les tissus les plus vitaux de notre société.
Éducation, culture, médias, justice, administration : aucun organe n’a
été épargné.
La République, comme un patient à l’agonie, observe
impuissante la montée de ses fièvres, entre désintégration identitaire
et abandon de souveraineté.
- Métastase idéologique — quand la gauche s’infiltre par la culture
Tout
commence avec la Révolution culturelle des années 60-70.
À la faveur
des utopies de Mai 68, les bastions intellectuels de la nation tombent
les uns après les autres.
L’université devient laboratoire idéologique,
les écoles des foyers de déconstruction.
On n’apprend plus à aimer la
France, on apprend à la déconstruire.
L’histoire est réécrite sous
l’angle de la culpabilité.
La culture classique cède le pas aux « études
de genre », aux « post-colonialismes », aux « théories critiques »
venues d’outre-Atlantique.
L’idéologie
gauchiste devient virale.
Elle colonise les écrans, les plateaux de
télévision, les manuels scolaires.
On ne parle plus de mérite, mais
d’égalitarisme ; plus de nation, mais de société multiculturelle ; plus
de devoirs, mais de droits infinis.
Telle une métastase, cette idéologie
s’est diffusée sans résistance, dévitalisant toute notion de frontière,
d’autorité, de sacré.
La
culture populaire elle-même devient véhicule de propagande : rap
haineux, films culpabilisateurs, théâtre militant…
Jusqu’à l’Éducation
nationale, sanctuaire jadis républicain, qui devient bras armé d’un
endoctrinement subtil mais implacable.
- Prise de conscience des élites face au stade terminal
Le
réveil est brutal.
Devant la montée de l’insécurité, l’explosion des
communautarismes, la défiance vis-à-vis de la police et des
institutions, certains politiques comprennent tardivement que le mal est
profond.
Mais beaucoup continuent de nier.
Ceux qui osent alerter sont
aussitôt traités de « réactionnaires », « populistes », voire
« fascistes ».
Les élites intellectuelles, trop compromises, trop lâches
ou trop idéologiquement corrompues, préfèrent détourner le regard.
Les
médias traditionnels jouent les pompiers pyromanes : ils dénoncent les
conséquences sans jamais nommer les causes.
Le « vivre-ensemble »
devient un mantra creux face aux ghettos explosifs.
La « tolérance » est
invoquée face à la haine anti-française.
Et l’État se montre plus
prompt à réprimer un cortège de patriotes qu’un quartier en flammes.
- Remèdes pour une renaissance nationale
Face
à ce déclin orchestré, des remèdes existent.
Il faut d’abord une
reconquête culturelle : réhabiliter l’histoire de France, restaurer
l’autorité dans les écoles, remettre à l’honneur nos grands textes, nos
héros, nos racines chrétiennes et gréco-latines, remplir nos églises.
Il faut revaloriser la langue française, refonder l’éducation
nationale, épurer les programmes des idéologies culpabilisatrices.
Ensuite,
une restauration politique : renforcer l’État, redonner sens aux
frontières, rétablir la hiérarchie des valeurs.
Le citoyen français doit
être de nouveau chez lui, prioritaire chez lui, respecté chez lui.
Enfin, une révolution civique : retrouver la fierté d’être Français.
Non pas une fierté agressive ou xénophobe, mais une fierté enracinée, héritée, qui se transmet et se défend.
Cela passe par une justice ferme, un soutien inconditionnel aux forces
de l’ordre, une politique migratoire souveraine et sélective.
- Le deux poids deux mesures de la République
Aujourd’hui,
ce sont les idées patriotiques, identitaires, enracinées, qui sont
stigmatisées.
Ce sont les jeunes qui aiment leur drapeau qui sont
surveillés.
Pendant ce temps, les groupes d’ultragauche, les milices
antifas, les Black Blocs, bénéficient d’une bienveillance médiatique et
judiciaire choquante.
Les émeutes ethniques sont relativisées, les
violences contre la police excusées, les destructions de biens publics
justifiées par la « colère sociale ».
Est-ce cela, la République ? Un régime où la haine de la France devient légitime, et l’amour de la France suspect ?
Le débat est ouvert :
peut-on encore, en 2025, aimer la France sans être criminalisé ?
Peut-on défendre l’ordre sans être marginalisé ?
Peut-on croire en la
nation sans être diabolisé ?
Ou devons-nous accepter que notre pays,
cancérisé par une idéologie destructrice, soit condamné à mourir en
silence, pour être mieux »Euro-compatible »?
Par Elias Grodin
Source : https://ripostelaique.com/
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