mercredi 21 mai 2025

LA PORTE-PAROLE DU GOUVERNEMENT ÉVOQUE LA FIN DU MACRONISME ! DES MINISTRES OUTRÉS !!!

 



 REVUE DE PRESSE
 
Politique

Primas affirme que le "macronisme trouvera une fin" bientôt, les macronistes s'insurgent

 

La porte-parole du gouvernement évoque une fin proche pour le macronisme, des ministres outrés

© Capture d'écran CNews

Sophie Primas, porte-parole du gouvernement, a acté la fin future du macronisme lors d'une interview sur CNews/Europe 1 mardi 20 mai. 

Il n'a pas fallu longtemps pour que des collègues ministres réagissent et la rappellent à son devoir de loyauté envers le chef de l'État.

Si le macronisme n'a plus le vent en poupe, que la porte-parole du gouvernement en acte la fin future a des allures d'estocade. 

Et cela n'a évidemment pas plu aux soutiens du chef de l'État. Invitée sur le plateau de CNews/Europe 1 mardi 20 mai, Sophie Primas, porte-parole du gouvernement, encartée chez Les Républicains, a déclaré : "Le macronisme, probablement, trouvera une fin dans les mois qui viennent, avec la fin du deuxième quinquennat du président Macron."

  Et d'ajouter : "La question est de savoir comment on rebâtit la suite."

Les propos de Sophie Primas ont suscité de vives réactions dans les rangs du gouvernement, plusieurs ministres lui rappelant que son rôle de porte-parole l'oblige à une certaine retenue.

 "La France aura toujours besoin de dépassement, d’audace et d’action au service des Français. Être membre d’un gouvernement, c’est être loyal au chef de l’Etat, à nos institutions, et respectueux des sensibilités qui le composent", a déclaré Benjamin Haddad, ministre délégué chargé de l'Europe, sur le réseau social X.

 Marc Ferracci, ministre de l’Industrie et de l’Énergie, a estimé sur X que la sortie de Sophie Primas était "hors de propos".

 Il a par ailleurs ajouté : "Le pays a besoin d'unité.  Le gouvernement aussi."

 

Aurore Bergé prend la défense du macronisme et d'Emmanuel Macron

Mais alors, le macronisme, est-ce vraiment bientôt terminé ?

 "Certainement pas", a déclaré Aurore Bergé, ministre de l'Égalité femmes-hommes.

 "Ni maintenant, ni dans quelques mois, ni dans 2 ans." 

 Elle en a aussi profité pour rappeler à Sophie Primas que c'était grâce à l'article 8 de la Constitution, permettant au chef de l'État de nommer son Premier ministre, qui propose à son tour une liste de ministrables pour composer son gouvernement, qu'elle était à cette place aujourd'hui.

"Ce genre de propos n'a pas lieu d'être, a fortiori lorsqu'on est nommée ministre par le président de la République", a commenté le parti Renaissance sur X, précisant que Sophie Primas avait échangé plus tôt avec Gabriel Attal, lui assurant avoir fait preuve de "maladresse" en s'exprimant ainsi. 

"Espérons qu'à l'avenir, le respect entre nos forces politiques, qui gouvernent ensemble le pays, soit la ligne de conduite qui prévale pour tous."

publié le 21 mai à 06h55, Maeliss Innocenti, 6Medias

 

 Source et Publications:   https://actu.orange.fr/politique/



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Il a fallu des décennies de silence, de lâcheté, de collaboration intellectuelle pour qu’enfin, nos dirigeants découvrent — avec des trémolos dans la voix et un ton faussement grave — que l’entrisme islamique gangrène les institutions, les écoles, les hôpitaux, les associations, les partis politiques eux-mêmes. 
 
Quelle révélation ! Quelle audace ! 
 
Ils tombent des nues comme des enfants stupéfaits de trouver de l’eau… dans la mer. 
 
Ce que certains appelaient « théorie du complot » hier devient brusquement une « urgence républicaine ». 
 
Les lanceurs d’alerte, eux, n’ont pas changé de discours : ils sont simplement passés du statut de Cassandre à celui de visionnaires. 
 
Mais à quel prix ? Méprisés, diffamés, traînés dans la boue comme des « fachos », des « identitaires », des « racistes ». 
 
Pourtant, ils disaient la vérité.
 
 Une vérité simple : sans immigration massive, il n’y a pas d’islamisation de la France.
 
 C’est une évidence que seuls les aveugles volontaires, les juges rouges et les éditorialistes subventionnés refusaient de voir.
 
 Car oui, l’islamisme ne pousse pas dans les champs de blé.
 
 Il arrive par bateaux, par avions, par regroupement familial, par l’asile détourné. 
 
Il infiltre parce qu’on a ouvert.   Il conquiert parce qu’on a capitulé.
 
 La submersion démographique précède toujours la subversion idéologique. 
 

 
Ce ne sont pas les mosquées qui précèdent les prières, ce sont les fidèles.
 
 Et maintenant que les Frères musulmans ont placé leurs pions partout, nos élites se découvrent une passion soudaine pour la laïcité. 
 
Fort bien.
 
 Mais alors allons jusqu’au bout. 
 
Si l’on dénonce l’entrisme islamique, qu’on ait le courage aussi de regarder du côté des autres réseaux d’influence. 
 
Ceux qui, sous couvert de philosophie, de morale républicaine, de « valeurs humanistes » ou de victimisation éternelle, tiennent les rênes du pouvoir profond. 
 
La République est peut-être en danger, à laquelle nous préférons d'ailleurs la Nation, mais elle ne l’est pas que d’une seule manière.
 
  Thomas Joly -
 Président du Parti de la France
 
 

 

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