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Les collabos de la République découvrent leur œuvre
Thomas Joly - Président du Parti de la France
Il a fallu des décennies de silence, de lâcheté, de collaboration intellectuelle pour qu’enfin, nos dirigeants découvrent — avec des trémolos dans la voix et un ton faussement grave — que l’entrisme islamique gangrène les institutions, les écoles, les hôpitaux, les associations, les partis politiques eux-mêmes.
Quelle révélation ! Quelle audace !
Ils tombent des nues comme des enfants stupéfaits de
trouver de l’eau… dans la mer.
Ce
que certains appelaient « théorie du complot » hier devient brusquement
une « urgence républicaine ».
Les lanceurs d’alerte, eux, n’ont pas changé de discours : ils sont simplement passés du statut de Cassandre à celui de visionnaires.
Mais à quel prix ? Méprisés, diffamés, traînés dans la boue comme des « fachos », des « identitaires », des « racistes ».
Pourtant, ils disaient la vérité.
Une vérité simple : sans immigration massive, il n’y a pas d’islamisation de la France.
C’est une
évidence que seuls les aveugles volontaires, les juges rouges et les
éditorialistes subventionnés refusaient de voir.
Car
oui, l’islamisme ne pousse pas dans les champs de blé. Il arrive par
bateaux, par avions, par regroupement familial, par l’asile détourné. Il
infiltre parce qu’on a ouvert.
Il conquiert parce qu’on a capitulé.
La submersion démographique précède toujours la subversion idéologique.
Ce
ne sont pas les mosquées qui précèdent les prières, ce sont les fidèles.
Et
maintenant que les Frères musulmans ont placé leurs pions partout, nos
élites se découvrent une passion soudaine pour la laïcité. Fort bien.
Mais alors allons jusqu’au bout.
Si l’on dénonce l’entrisme islamique, qu’on ait le courage aussi de regarder du côté des autres réseaux d’influence.
Ceux qui, sous couvert de philosophie, de morale républicaine, de « valeurs humanistes » ou de victimisation éternelle, tiennent les rênes du pouvoir profond.
La République est peut-être en danger, à laquelle nous préférons d'ailleurs la Nation, mais elle ne l’est pas que d’une seule manière.
Espagne : le gouvernement offre les papiers, les peuples européens paient la facture

L’Espagne envisage de régulariser 500.000 clandestins.
L’Europe continue de creuser sa fosse commune.
Pendant que nos paysans se pendent et que nos compatriotes voient leur pouvoir d’achat de plus en plus réduit, le gouvernement espagnol vient d’avoir une idée lumineuse : offrir les papiers à un demi-million de clandestins.
Ils appellent ça une « régularisation massive ».
Nous appelons ça un suicide collectif déguisé en geste humanitaire.
Soyons francs : à ce stade, ce n’est plus de la naïveté, c’est une politique assumée de remplacement démographique.
Une stratégie parfaitement huilée, relayée par les ONG, applaudie par les journalistes et soutenue par la technostructure bruxelloise qui rêve d’un continent sans peuples, sans racines, sans frontières.
Et pendant que l’Espagne s’apprête à injecter 500.000 clandestins dans ses veines, devinez ce que fait la France ?
Rien.
Elle regarde. Elle obéit. Elle prépare la même chose.
Comme toujours.
Un pays normal expulse les clandestins.
Un pays colonisé les régularise.
Un pays mort les subventionne.
Le Parti de la France le dit calmement, mais fermement :
les migrants illégaux doivent repartir, pas s’installer.
Et s’il faut choisir entre les intérêts de nos enfants et le confort juridique d’un clandestin arrivé sur une barque en plastique, nous choisissons nos enfants.
À tous les communicants qui pensent qu’on va se taire, à tous les députés-fantômes qui roupillent à Bruxelles : on vous voit.
Vous rendrez des comptes.
Par Pierre-Nicolas Nups –
Secrétaire général du Parti de la France
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11:09 Publié dans Thomas Joly
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