samedi 31 mai 2025

CIGARETTES : L' ÉTAT PRÉFÈRE INTERDIRE À MOITIÉ , FLIQUER ,TAXER JUSQU' A L' OS , CULPABILISER EN MASSES .......

 

Tabac : Interdisons une fois pour toutes… ou foutez la paix aux fumeurs !

Il ne manquait plus que ça.

 Après les retraites siphonnées, les voitures bannies, les barbecues diabolisés, les piscines extérieures, les abris de jardin et les feux de cheminée traqués, voici que l’État français s’en prend désormais à l’ultime espace de liberté populaire : la clope en terrasse.

D’après un sondage publié cette semaine, sept Français sur dix – ces formidables moutons de sondage élevés à la nicotine morale et à l’air pur de leurs contradictions – seraient favorables à l’interdiction de fumer à l’extérieur.

 Mieux : même les fumeurs sont pour ! 

Comme ces condamnés à mort qui applaudiraient la solidité de la corde qui va les pendre.

 

Alors soyons clairs : l’État français n’en a jamais eu rien à foutre de la santé des fumeurs.

 Ce qu’il aime chez eux, c’est leur portefeuille. 

Le fumeur, c’est l’idéal républicain : il meurt jeune, ne coûte pas une thune en retraite, et paie jusqu’à son dernier souffle pour engraisser une machine étatique qui a fait de lui une pompe à fric. 

On parle d’une addiction légale, cultivée et entretenue par l’État lui-même pendant des décennies, et qui rapporte encore plus que la drogue. Sauf que là, c’est le fisc qui tient le deal.

 

Qu’on ne vienne pas nous parler d’humanisme, de santé publique ou de droits de l’enfant. 

 Le même gouvernement qui prétend vouloir protéger les petits des fumées de Marlboro tolère sans sourciller les dealers dans chaque ville, les écrans hypnotiques à cinq ans, et les injections hormonales à douze.

 Mais la Gauloise ? Sacrilège.

La vérité, c’est que l’interdiction actuelle, hypocrite et sournoise, n’a rien d’une politique de santé. 

C’est une politique de persécution lente, fiscalement rentable, socialement dégradante. 

On fait passer les fumeurs pour des nuisibles, des parasites, des égoïstes, des tueurs publics.

 Bientôt, ils devront se cacher dans leur sous sol pour tirer sur leur clope comme des résistants allumant un feu dans la nuit.

 

Mais si vous voulez vraiment une société sans tabac, alors faites-le. 

Ayez le courage politique. 

 Interdisez. Radicalement. Déclarez que toute personne née après une certaine date – disons 2010 – n’aura plus jamais le droit d’acheter du tabac en France.

 Point barre.

C’est la solution logique, cohérente, dure mais honnête.

 Pas de stigmatisation des anciens, pas de racket déguisé, pas de culpabilisation hypocrite. 

En deux générations, l’affaire est pliée. 

 Mais cela, l’État ne le fera jamais.

 Parce que ça tuerait la poule aux œufs d’or fiscale. 

Parce que ça mettrait fin à ce robinet de cash que constituent les plus pauvres, les plus précaires, ceux qui – souvent – n’ont que la cigarette pour survivre au chaos qu’on leur inflige chaque jour.

Non. L’État préfère interdire à moitié, fliquer en douce, taxer jusqu’à l’os, culpabiliser en masse.

 Il préfère dépenser des millions à traquer le fumeur de plage plutôt qu’à interdire les saloperies chimiques dans nos assiettes ou les pseudo-médicaments qui tuent à petit feu.

 

Alors oui, interdisons le tabac pour de bon, à partir d’une génération donnée, et respectons enfin la liberté des autres.

 Ou alors, foutez la paix aux fumeurs. 

 Qu’on arrête de les traiter comme des criminels publics.

 Qu’on les laisse respirer, au moins là où l’air n’est pas encore confisqué par la moraline ambiante.

L’Europe n’a pas été bâtie par des non-fumeurs à jus de carottes.

 Elle a été (aussi) forgée dans la clope, le vin rouge, le feu, la sueur.

 Si le tabac doit mourir, qu’il meure d’un coup. 

Mais qu’on cesse de le torturer au compte-goutte.

Par Julien Dir

 
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COMMENT LES FRÈRES MUSULMANS ON TISSÉ LEUR TOILE DANS LA RÉPUBLIQUE !

 

 


 REVUE DE PRESSE !

Al-ikhwān: les Frères, nos ennemis

Comment les Frères musulmans ont tissé leur toile dans la République


Al-ikhwān: les Frères, nos ennemis
Amar Lasfar, président de Musulmans de France et ancien président de l'Union des organisations islamiques de France (dissoute en 2017) le 15 avril 2017 © Francois Mori/AP/SIPA

Depuis près d’un siècle, les Frères musulmans traversent interdictions et exils sans jamais disparaître. `

En France, leur influence se manifeste à travers un réseau discret mais structuré, entre engagement religieux, stratégie associative et discours adapté à la République. 

Comment ce mouvement parvient-il à conjuguer invisibilité politique et enracinement idéologique ?


Depuis près d’un siècle, les Frères musulmans font preuve d’une longévité politique remarquable, en dépit des interdictions, de la répression, de l’exil et des dissensions internes.

 Loin de se réduire à un simple parti, ce mouvement fondé par Hassan al Banna en 1928 en Egypte, forme un écosystème idéologique, pédagogique et organisationnel capable de s’adapter à des contextes nationaux très divers tout en conservant une matrice doctrinale commune.

Comment ce courant parvient-il à exercer une influence diffuse mais structurée, y compris dans un pays laïque comme la France, marqué par une forte méfiance à l’égard des expressions religieuses dans l’espace public ? 

Comment expliquer qu’un mouvement aussi contesté soit parvenu à s’implanter, à se renouveler et à maintenir sa cohésion sans structure déclarée ? 

Autrement dit, quel est le « secret » des Frères musulmans en général, mais surtout dans leur déclinaison française ?

 

Une matrice idéologique stable et fédératrice

La « recette » des Frères musulmans est une combinaison de cinq éléments clefs : une idéologie structurante, un système de formation rigoureux, une discipline hiérarchique, une autonomie stratégique des branches locales et un récit victimaire fédérateur. 

Ces principes, qui ont fait leurs preuves dans l’histoire, ont permis à la confrérie de survivre aux coups d’État, aux purges et aux exils.

Le premier pilier de cette cohésion est l’idéologie fondatrice, simple mais mobilisatrice : al-islâm huwa al-ḥall (« l’islam est la solution »). 

Adopté dès les années 1940, ce slogan résume la vision du monde des Frères musulmans. 

L’islam n’y est pas seulement une foi, mais un système global régissant la vie personnelle, sociale et politique. 

 Cette centralité de la religion dans l’ordre du monde offre au mouvement une boussole permanente, capable de transcender les divergences contextuelles. 

 

Ainsi, lors des élections législatives de 2005 en Égypte, les candidats affiliés au mouvement ont fait campagne en se réclamant presque exclusivement de ce mot d’ordre, sans avoir à développer un programme politique détaillé.

À cette cohérence doctrinale s’ajoute une mécanique de formation interne. 

Chaque membre passe par un processus d’intégration fondé sur la cellule de base appelée « usra » (famille nucléaire en arabe), où il suit des cycles réguliers d’enseignement religieux, moral et politique.

 Cette structure de base rend difficile les tentatives d’infiltration mais également explique la difficulté dont témoignent d’anciens Frères à rompre avec un système aussi structurant, où les longs et profonds liens personnels, affectifs et spirituels sont très puissants. 

Le désengagement est d’autant plus douloureux qu’il est souvent vécu comme une trahison par les autres membres, ce qui explique en partie le faible taux de départs spontanés, et le silence de ceux qui s’éloignent.  

Ce parcours progressif, fait de lectures obligatoires (notamment Hassan al-Banna et Sayyid Qutb), de mémorisation du Coran et de débats idéologiques, façonne un cadre militant discipliné et endoctriné.

 

Troisième ressort fondamental : le fonctionnement hiérarchique.

 Les Frères fonctionnent selon un principe de verticalité renforcée par une discipline quasi militaire à la direction. 

Cette obéissance a permis au mouvement de maintenir sa structure même dans les conditions extrêmes de l’incarcération ou de l’exil.

 On peut citer le cas de Khayrat al-Chater, numéro deux de l’organisation en Égypte, qui a continué à orienter des pans entiers du mouvement alors qu’il était emprisonné sous Moubarak.

Mais cette hiérarchie centrale ne signifie pas rigidité doctrinaire. 

Une partie du « secret » des Frères réside dans leur capacité à concilier unité idéologique et autonomie locale. 

Chaque extension nationale adapte les principes de la confrérie à son environnement politique. 

Ainsi, la branche tunisienne du mouvement, Ennahdha a renoncé après 2011 à l’objectif d’un État islamique, préférant se positionner comme un parti conservateur musulman compatible avec la démocratie pluraliste. 

À l’inverse, le Hamas, issu de la branche palestinienne, s’inscrit dans une logique de lutte armée et de résistance.

 Ces deux expressions contradictoires sont rattachées à la même matrice idéologique.

 Le mouvement accepte ces écarts comme une forme de pragmatisme et non pas en tant qu’hérésies.

À lire aussi, Dominique Labarrière : Tremblez, Frères musulmans ! La République sort la grosse Bertha

 

Un récit victimaire comme ciment identitaire

Enfin, les Frères musulmans puisent une grande part de leur cohésion dans un récit victimaire commun, forgé par des décennies de répression.

 Dès l’origine Al-Banna a présenté son combat comme une revanche à prendre sur l’oppresseur.  

Il a fondé le mouvement à Ismaïlia, ville nouvelle fondée pour la gestion du canal de Suez où la domination européenne a été la matrice même de la vie sociale. 

Il en a conçu une humiliation devenue complexe de supériorité / infériorité avec son corolaire, la victimisation. 

Ce fut également le cas de Sayyid Qutb.

 Intellectuel laïc influencé par les idées occidentales, Qutb connaît une profonde mutation durant son séjour aux États-Unis (1948-1950), où il développe une haine de la modernité, perçue comme moralement décadente. 

De retour en Égypte, il rejoint les Frères et devient leur penseur le plus radical. 

Emprisonné et plus tard accusé de complot, il est exécuté en 1966 par le régime de Nasser, devenant un martyr pour les courants les plus radicaux du mouvement, en rupture avec l’approche gradualiste de ses prédécesseurs.

L’histoire du mouvement est rythmée par les arrestations, les exils et les massacres, ce qui n’a fait qu’encourager le culte du sacrifice et de la victime. 

Ainsi, le massacre de la place Rabaa al-Adawiya au Caire en 2013 constitue l’un des traumatismes les plus récents.

 Cet épisode, au cours duquel plus de 800 partisans de Mohamed Morsi ont été tués par les forces de l’ordre, est devenu une référence centrale dans la mémoire collective du mouvement dans une manière qui n’est pas sans rappeler le culte chiite du sang des martyrs.

Ainsi, la force des Frères musulmans ne réside pas tant dans leur puissance institutionnelle que dans leur capacité à créer une contre-société idéologique et affective. 

Ce système qui tient autant de l’ordre initiatique que de l’organisation politique constitue le véritable socle de leur résilience.

 C’est ce modèle qui explique pourquoi, malgré les coups durs, les Frères musulmans continuent de jouer un rôle dans la vie politique et religieuse du monde arabe et plus largement musulman, notamment en Occident.

Tariq Ramadan, Lille, 2016 © Michel Spingler/AP/SIPA Numéro de reportage : AP21855092_000006

En Europe, la présence et l’action des Frères musulmans s’inscrivent dans une dynamique distincte de celle observée en Égypte ou dans d’autres pays du Moyen-Orient.

 Cette « version à l’exportation » évolue largement grâce à trois figures clés : Saïd Ramadan, gendre d’Hassan al-Banna, sa fille Wafa al-Banna, et son petit-fils Tariq Ramadan.

 Jeune avocat et orateur charismatique, Saïd Ramadan devient l’un des plus proches collaborateurs du fondateur de la confrérie.

 Après l’assassinat d’al-Banna en 1949 et la répression de 1954, il quitte l’Égypte et entame une longue carrière de diplomate informel de l’islamisme frériste.

 En 1961, il fonde à Genève le Centre islamique, qui devient un hub intellectuel et logistique de la mouvance islamiste en Europe.

 Le centre accueille étudiants, réfugiés politiques et penseurs, tout en diffusant la littérature frériste en plusieurs langues.

 Lié à la Ligue islamique mondiale financée par l’Arabie saoudite, il promeut toutefois une vision distincte du salafisme : un islam politique structuré, discipliné et militant, pensé pour s’implanter durablement dans les sociétés occidentales.

 

À partir des années 1970, les Frères musulmans s’installent en France, en Allemagne, au Royaume-Uni, via des associations étudiantes, des mosquées et des centres culturels.

 Ces relais développent un islam adapté aux contextes légaux européens.

 C’est dans ce cadre que le discours frériste s’est reformulé en empruntant les lexiques de la citoyenneté, de la minorité et de la modernité, jusqu’à donner naissance à ce que Tariq Ramadan appelle « l’islam européen ».

À lire aussi, Charles Rojzman : Les Frères musulmans et l’art du mensonge victimaire: l’exemple du Hamas

 

Le cas français : un réseau sans nom

En France, le frérisme ne prend pas la forme d’une organisation officiellement enregistrée sous le nom de « Frères musulmans ». 

Il se manifeste plutôt à travers un réseau complexe d’associations, de fédérations, d’instituts religieux, éducatifs et professionnels, ainsi que de figures influentes, tous inspirés par l’idéologie fondatrice d’Hassan al-Banna.

 Cette nébuleuse semi-formelle repose sur plusieurs structures associatives reconnues qui, tout en affirmant leur indépendance juridique, partagent une même matrice idéologique. 

Parmi celles-ci figure l’Union des organisations islamiques de France (UOIF), devenue en 2017 « Musulmans de France » (MF).

 Fondée en 1983, elle est perçue par les autorités comme la principale vitrine institutionnelle des Frères musulmans dans l’Hexagone. 

Elle regroupe plusieurs centaines d’associations, gère des mosquées majeures et organise chaque année le Rassemblement des musulmans de France au Bourget, événement emblématique attirant des milliers de participants et des personnalités internationales affiliées à la confrérie.

 

La présidence de cette organisation est assurée par des figures élues, issues des principales mosquées et associations affiliées. 

Des personnalités telles que Fouad Alaoui, Lhaj Thami Breze, Ahmed Jaballah ou Amar Lasfar en ont assuré la direction.

 Ce dernier, longtemps président de MF, incarne une trajectoire emblématique du frérisme français.

 Né en 1960 dans le Rif marocain, arrivé en France dans les années 1980, Lasfar s’engage très tôt dans la prédication et l’encadrement de la jeunesse musulmane. 

Il fonde la mosquée de Lille-Sud, devenue un centre névralgique de l’islam organisé, puis crée en 2001 l’Institut Avicenne, destiné à former imams, aumôniers, éducateurs et intellectuels musulmans. 

Figure discrète mais centrale, Lasfar agit en coulisses, à rebours de la visibilité médiatique d’un Tariq Ramadan.

Son parcours est étroitement lié à l’UOIF, dont il prend la présidence en 2013.

 Bien qu’il nie tout lien organique avec la confrérie, affirmant que « les Frères musulmans n’existent pas en France » (Libération, 6 avril 2015), plusieurs témoignages contredisent cette déclaration. 

Farid Abdelkrim, ancien responsable des Jeunes musulmans de France (JMF), branche jeunesse de l’UOIF, raconte ainsi son enrôlement au sein de la confrérie, son allégeance prêtée dans l’appartement d’un imam frériste, et les ambitions politiques portées par le mouvement dans les années 1990 : « Notre objectif n’était pas d’islamiser la France ou de convertir les Français, mais de construire un lobby. 

Une société dans la société, avec nos entreprises, nos écoles… » (Libération, 13 février 2015).

Sous la direction de Lasfar, l’UOIF a engagé une stratégie de normalisation : changement de nom, discours plus modéré, valorisation de la citoyenneté et du dialogue.

 Mais cette évolution de façade masque une continuité doctrinale. Il s’agit toujours de promouvoir une lecture de l’islam axée sur la réforme morale de la société, la préservation de la famille musulmane et l’installation durable de structures religieuses autonomes.

 Lasfar incarne ainsi une posture duale : modération affichée dans l’espace public, rigueur idéologique dans les cercles internes.

Cette stratégie de légitimation s’est exprimée par la médiatisation d’affaires d’exclusion scolaire, le soutien juridique aux familles concernées, et la promotion d’un discours articulant piété et émancipation féminine, « mon voile mon choix ».

Parallèlement, dans le domaine du halal, les Frères musulmans ont exercé une influence notable sur la régulation religieuse du marché, notamment via des organismes de certification comme AVS (« A Votre Service », se présentant comme indépendant, mais considéré comme inspiré par les Frères musulmans), proches de leur vision rigoriste.

 Refusant toute ingérence de l’État dans la définition du licite, ils ont cherché à construire un écosystème économique autonome et normatif, combinant pratiques rituelles et discipline morale.

 Dans les deux cas, il s’agit de produire des normes religieuses visibles dans l’espace public, tout en adaptant leur défense aux principes de la République.

Le frérisme français se distingue ainsi par une stratégie d’enracinement : discrète, mais structurée, intégrée dans la société dans les formes, mais doctrinalement affirmée dans le fond. 

Il ne vise pas directement la rupture frontale, mais la construction patiente d’un espace autonome à l’intérieur même de la société française. 

À travers ses réseaux associatifs, éducatifs, cultuels ou économiques, il tend à construire des murs invisibles, contours d’une contre-société à la fois protégée et séparée. 

Ses idéologues la conçoivent comme un îlot de pureté religieuse au sein d’un océan profane, dégénéré voire hostile, un groupe « halal » cerné de « haram » dont l’ambition n’est pas tant d’affronter la République que de coexister avec elle, séparé et moralement supérieur et selon ses propres règles.

 Au moins pour le moment.

Source et Publication:     https://www.causeur.fr/al-ikhwan-les-freres-nos-ennemis 

 




 

PÉTITION :ISLAMISATION DE LA FRANCE ! POURQUOI C' EST LE MOMENT D' AGIR .... ( DAMOCLÈS )


 

[Islamisation] Pourquoi c'est le moment d'agir

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Madame, Monsieur,

Il y a quelques jours, Emmanuel Macron a réuni une partie du gouvernement dans un  « Conseil de défense et de sécurité nationale » pour examiner un rapport alarmant sur les Frères musulmans en France.

Emmanuel Macron semble découvrir – avec des années de retard – une islamisation « par le bas », qui s'enracine méthodiquement un peu partout sur notre territoire national.

Pendant que les « experts » font mine de découvrir le problème, les Damoclésiens alertent sur l’islamisation depuis des années (voir ci-dessous la pétition qui continue de monter).
 
Ce que le rapport ne dit pas clairement : cette islamisation est la conséquence directe de l'immigration massive, que les gouvernements successifs ont encouragée pendant des décennies.
 
Plus que jamais, il faut agir. Alors continuez à faire signer ces deux pétitions et transférez cet email !

Pour la France !
Samuel Lafont et l’équipe Damoclès


An image

NON À L’ISLAMISATION DE LA FRANCE !

Urgent : « burkini », promotion du ramadan et du halal, prières de rue, banlieues islamisées…

 Agissez avant qu’il ne soit trop tard : signez la pétition !

Comme la marée, l’islamisation a monté petit à petit.

Les principaux médias laissent croire qu’elle est limitée aux « banlieues », comme si le reste du territoire français était sain et sauf…

En réalité, l’islamisation touche bien la France entière.

 

Pire : l’islamisation de la France s’accélère.

Par peur d’être accusé de « discrimination », d’« islamophobie » ou de « racisme », les Français n’osent pas réagir, paralysés devant le recul de leur propre civilisation.

Les militants musulmans le savent bien et en profitent pour conquérir toujours plus loin. Ils n’ont même pas besoin de se cacher.

 

Youssef al-Qaradawi, l’un des principaux prédicateurs de l’Union des organisations islamiques européennes déclarait en 2002 :

« Avec vos lois démocratiques nous vous coloniserons. Avec nos lois coraniques nous vous dominerons ».

Marwan Muhammad du « Collectif contre l’islamophobie en France » (CCIF) déclarait lors d’une conférence à la mosquée d’Orly :

« Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne sera pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne n’a le droit dans ce pays de définir pour nous ce qu’est l’identité française. »

Tariq Ramadan déclamait le 7 février 2016, arrogant :

« La France est une culture maintenant musulmane. L’islam est une religion française. »

Et leur stratégie est payante.

L’affaire d’Etam en est un triste exemple.

Le 12 mars, une musulmane s’est présentée voilée pour déposer un CV dans le magasin de vêtements. La responsable a refusé de le recevoir, respectant ainsi la neutralité de son entreprise.

En colère contre ce refus, criant au « racisme », la musulmane s’est vengée en publiant sa version des faits sur les réseaux sociaux et a déclenché un buzz.

Et elle a eu gain de cause : en un claquement de doigts, la responsable du magasin a été mise à pied par sa hiérarchie, sans aucune preuve.

Tout est bon pour faire monter la pression, en utilisant la victimisation et en se servant de nos lois comme levier.

Et les habits islamiques sont particulièrement utilisés.

 

Souvenez-vous de ces affaires :

  • L’affaire de la crèche Baby Loup éclate en 2008. Une employée musulmane refuse d’appliquer le règlement intérieur qui demande le port d’un vêtement neutre. Malgré une mise à pied, elle pousse la provocation en revenant à plusieurs reprises avec un voile islamique intégral. 
  • Il faudra 6 ans de marathon judiciaire pour que le droit de la crèche soit reconnu et le licenciement pour faute grave, validé.
  •  
  • Le CCIF a fait pression sur les députés après l’affaire Baby Loup, pour qu’ils ne votent pas la loi sur la neutralité des crèches.
  •  Et ils ont du poids : 86 % des musulmans ont voté pour François Hollande en 2012
  •  
  • Deux femmes se présentent en « burkini » au centre aquatique de Fort-Mahon (Somme), en 2016. 
  • Elles sont refoulées pour des questions d’hygiène. 
  • L’une des musulmanes a alors le culot de saisir le « Défenseur des droits » en se plaignant de « discrimination » religieuse.
  •  
  • Des mères voilées voulant accompagner les sorties d’école exploitent un flou juridique pour imposer leur tenue et occuper le terrain.
  •  Elles utilisent le port du voile islamique comme outil de prosélytisme, à travers notamment une structure créée pour l’occasion, « Mamans Toutes Égales », dont le nom joue sur l’empathie des autres parents, sur la valeur d’égalité.
  •  
  • Le port du voile islamique est soutenu financièrement par des musulmans influents. Ainsi, l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) déclarait prendre à sa charge les frais de justice pour toutes les jeunes filles voilées qui le demandent. De son côté, l’Algérien Rachid Nekkaz faisait la même chose pour les femmes arrêtées pour port de burqa en France. Il se vante même d’avoir payé 1169 amendes en 6 ans.
  •  
  • Par le port de la djellaba et de la barbe, les hommes participent aussi à la progression de l’islam : l’imposer au regard des autres en montrant un signe extérieur d’allégeance à l’islam, c’est déjà gagner du terrain.
  •  Comme personne ne dit rien, c’est encore une victoire de fait.

Le moindre détail peut servir d’excuse pour exiger et attaquer, même irrationnellement. Car chaque petite victoire arrachée les renforce.

Les militants musulmans utilisent nos lois actuelles et le buzz pour imposer médiatiquement l’islam à la société française.

Ils jouent les victimes et crient au « racisme » ou à « l’islamophobie » pour obtenir gain de cause. Derrière cette victimisation se dessine un véritable rapport de force qui va bouleverser le mode de vie des Français.

Nous sommes dans une véritable guerre culturelle : si vous ne réagissez pas, il sera extrêmement difficile de revenir en arrière.

C’est maintenant qu’il faut choisir : abandonner la France à l’islamisation… ou défendre votre culture, votre Histoire et votre mode de vie.

 

Chaque occasion est bonne pour attaquer.

  • La chaîne de magasins Marks & Spencer vendait du papier toilette depuis 5 ans avec une feuille d’aloe vera dessinée dessus… 

    Le 22 janvier 2019, une soudaine hystérie s’empare de nombreux musulmans qui croient lire « allah » sur ce papier toilette, à la place de la simple feuille. Ils appellent au boycott… et obtiennent le retrait du papier toilette.

  • Plus récemment encore, en mars, l’hymne algérien a été diffusé à Marseille par les employés du Carrefour Grand Littoral dans toute l’enseigne. 

     Cerise sur le gâteau, cet hymne étranger est ouvertement anti-France dans ses paroles…

  • Les médias politiquement corrects en parlent moins ces derniers temps, mais des musulmans ne se gênent pas pour pratiquer la polygamie dans notre pays, en toute illégalité.

 

Souvenez-vous de l’affaire Lies Hebbadj :

Ce musulman venu d’Algérie vit à Nantes avec sa femme, ses trois concubines et dix-sept enfants répartis dans trois petites maisons mitoyennes.
Sa librairie faisait office d’école coranique clandestine où il a recruté ses concubines.

La tribu Hebbadj aurait touché 87 000 euros d’allocations indues, d’après les premiers recensements de la Caisse d’allocations familiales (CAF).

Mais ne croyez pas que c’est un cas isolé : selon Patrice Rolet, auteur du film « Polygamie en France » environ 30 000 familles sont polygames

Peu à peu, soit en se servant de la loi, soit en s’en moquant ouvertement, ces musulmans imposent leur mode de vie.

Ainsi, beaucoup de gens mangent du « halal » sans même le savoir.

Un audit du Conseil Général de l’Alimentation faisait pourtant état de 51% des animaux abattus en mode rituel. Plus de la moitié !
Et par là, ils vous font financer les imams à votre insu…

Certaines cantines scolaires choisissent de servir uniquement des repas halal, y compris aux non-musulmans, comme le lycée Lavoisier de Roubaix.
 Selon le chef d’établissement, « il était plus simple d’adopter cette préparation rituelle de la viande que les autres confessions peuvent tolérer ».

La démarche est donc très simple : si vous ne dites rien, si vous « tolérez », ils occuperont le terrain que vous leur cédez de fait. 

Car pour l’islam, religion et politique ne font qu’un.

L’islamisation cible aussi les plus jeunes via les manuels scolaires qui préfèrent gommer les guerres médiévales de la France contre les musulmans, pourtant massives, en se focalisant sur les échanges commerciaux ou scientifiques.

Barbara Lefebvre, professeur d’histoire-géographie, et auteur des Territoires perdus de la République remarque notamment, pour le FigaroVox :

« On exige clairement de relativiser la bataille de Poitiers considérée anecdotique, et de fait certains manuels ne l’évoquent plus. »

Et ce ne sont que les programmes de l’Éducation nationale. Vous pouvez imaginer ce qu’il en est dans les 500 écoles coraniques répertoriées il y a déjà 9 ans par une étude de l’EHESS.

Les entreprises et administrations sont aussi particulièrement touchées.

Dans 95% des cas, le « comportement religieux au travail est principalement celui des musulmans », selon une enquête de Lionel Honoré, directeur de l’Observatoire du fait religieux en entreprise et professeur d’université.

Et selon la même enquête, lorsque les islamistes poursuivent leur employeur, la jurisprudence montre que l’accusation est toujours basée sur le « racisme » et la « discrimination ».

La RATP qui a axé son recrutement sur la « discrimination positive » le paie cher. Une enquête du Nouvel Obs et une vidéo brisent l’omerta. Des machinistes (des femmes, pour la plupart) dénoncent :

  • l’agressivité de certains chauffeurs musulmans envers des passagers
  • la violence misogyne de chauffeurs musulmans qui refusent de serrer la main à des collègues femmes, ou de conduire un bus parce qu’une femme l’a conduit avant eux
  • les prières musulmanes dans les locaux de la RATP ou dans les bus pendant le temps de service…
  • Et la hiérarchie évite de réagir pour ne pas faire de vagues…

Cette soumission coupable est malheureusement très répandue.

Même les politiques se couchent :

Macron donne raison aux femmes voilées durant son « grand débat national » en propageant une fake news sur les entreprises qui ne pourraient pas refuser d’embaucher une voilée.
« Martine Aubry a justifié […] en conseil municipal l’attribution d’une heure hebdomadaire réservée aux musulmanes à la piscine de Lille-Sud comme étant « l’occasion pour certaines d’entre elles de s’émanciper… »

« Le rôle desmaires et collectivités locales dans la concrétisation de ces mosquées (…) est prépondérant pour expliquer leur irruption, souvent sur des terrains municipaux que les associations cultuelles n’ont pas à acheter, ou qu’elles louent pour des loyers modérés. » selon Joachim Véliocas, dans son livre Mosquées radicales : ce qu’on y dit, ce qu’on y lit.

Cette guerre a été ouverte depuis longtemps. Et en poussant à l’extrême l’esprit de conquête, les attentats djihadistes servent à repousser les limites « acceptables » des pratiques islamiques.

Il y a quelques décennies, les « prières de rue » étaient impensables.

Aucun chanteur n’aurait osé dire comme le rappeur Médine : « Crucifions les laïcards comme à Golgotha » ou « j’mets des fatwas sur la tête des cons ». Ou encore appeler son album Jihad

Les autorités n’osent même pas condamner ces insultes, ces menaces ou ces appels à la haine.

Il y en a assez de cette lâcheté !

En signant cette pétition vous demandez à Emmanuel Macron

➡ que les services publics et les administrations arrêtent d’utiliser nos impôts pour faire la promotion du ramadan ;

➡ de faire appliquer la loi contre la burqa et les prières de rue, déclarées illégales ;

➡ qu’ordre soit donné aux forces de l’ordre d’entrer en masse dans les « banlieues » pour mettre fin aux trafics et casser la base arrière de l’islamisation de notre pays.

 

Allez-vous donner raison aux militants de l’islam ?

Allez-vous rester sans rien faire face à cette islamisation ?

Pensez-vous que la France doive accepter de devenir musulmane ?

Il est urgent d’agir.

Dites NON à l’islamisation de la France.

 

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À TARBES ,COMME AILLEURS , RACISME ANTI-BLANCS ET AGRESSION .......

 


 REVUE DE PRESSE !

Racisme anti-blanc, agression… 

À Tarbes, la fête des voisins bat son plein

Le 25 mai dernier, à Tarbes, à l'occasion d'une fête entre voisins, la convivialité a laissé place à l'agressivité.
Photo pexels-paggiarofrancesco
Photo pexels-paggiarofrancesco

Sangria, rosé, chipolatas, salade de riz, chips, quiche lorraine, nappe en papier, vaisselle en carton…

 La Fête des voisins, c'est « l’occasion de chaleureuses retrouvailles et de moments de convivialité », comme le dit le site dédié à l'événement. 

Le concept est vieux de 25 ans, il a ses adeptes.

Aux quatre coins de l’hexagone, dans les cours d’immeuble, les jardins de résidence ou même dans la rue, fin mai, locataires et propriétaires se retrouvent, le temps d’une soirée, pour partager, trinquer, discuter, échanger… 

Le dimanche 25 mai dernier, à Tarbes, les habitants d’une résidence se sont pliés à l’exercice. Il a tourné court.

 

Convivialité

Alors que la soirée battait son plein, cinq individus, visiblement alcoolisés, ont tenté de s’incruster. 

Ils ont été refoulés par les voisins. 

Un affront auquel les cinq individus ont répondu par la violence. 

Trois des cinq mis en cause se sont particulièrement illustrés.

L’un d’eux a sorti un couteau et frappé un jeune homme avant de menacer une autre personne présente. 

Un deuxième, qui avait retiré son bracelet électronique quelques heures plus tôt..., a été retrouvé caché derrière une voiture en possession d’un canif.

 Enfin, le troisième larron, originaire de Mayotte, a tenu des propos à caractère raciste :

 « Sales blancs, on va venir vous coloniser et violer vos femmes. »

 

Tous trois ont été jugés en comparution immédiate ce mercredi 28 mai, soit trois jours après les faits.

 Ils ont adopté la même ligne de défense : particulièrement alcoolisés, ils ne se souvenaient de rien. 

De rien, si ce n’est d’avoir été provoqués.

 Une accusation réfutée par la principale victime lors de l’audience.

 

Agressivité

L’individu s’étant montré le plus actif a été condamné à 12 mois de prison ferme, tandis que les deux autres ont écopé de 8 mois de prison avec sursis probatoire et de 6 mois de détention à domicile sous surveillance électronique.

 Comme le rapportent nos confrères de Frontières, le tribunal a mis en avant le caractère inacceptable des propos racistes tenus et a rappelé qu’aucune fête de voisinage « ne devrait se transformer en scène d’agression et d’intimidation ».

 

En réalité, à aucun instant, ce genre de scène ne devrait se produire.

 Ni à Tarbes, ni ailleurs ; ni à l’occasion d’une fête, ni sans raison. 

Oui, mais la ville des Hautes-Pyrénées comme la France a changé. 

Un policier tarbais confie à BV : « Ceux qui sont là depuis très longtemps diront que c’était mieux avant, mais ce n’est pas plus vrai à Tarbes qu’ailleurs. » 

 Le policier semble résigné. 

En montagne, en plaine, en ville ou à la campagne, partout, la situation sécuritaire s’est dégradée et rien ni personne ne semble pouvoir y remédier, surtout pas le tandem Macron-Bayrou.

 

Résultat : cette affaire est rangée dans la catégorie des faits divers alors même qu’elle est révélatrice de deux graves problèmes de société.

 En premier lieu, elle montre que les Français ne sont plus à l'abri nulle part, pas même dans la cour de leur immeuble ; en second lieu, elle met en avant les difficultés de cohabitation entre autochtones et immigrés.

 En s’avançant un peu, nous pourrions aussi dire qu’elle prouve que le racisme anti-blanc existe, mais vous, lecteurs de BV, le savez mieux que quiconque : c'est impossible !...

 

Picture of Sarah-Louise Guille
Par Sarah-Louise Guille
Journaliste 
 
Source et Publication :  https://www.bvoltaire.fr/racisme-anti-blanc- 
 
 
ET AUSSI
 
POLITIQUE 
 

Némésis : quand Ersilia Soudais (LFI) vole au secours… des agresseurs !

Après une agression violente, la députée relaie un communiqué niant les faits, et accable les militantes victimes.
Capture d'écran
Capture d'écran

L'affaire est emblématique de la gêne croissante de l'extrême gauche vis à vis des féministes de droite qui dénoncent les méfaits de l'immigration et bousculent les vieux réflexes militants. 

Défendre les femmes, c’est ce qu’elle prétend faire.

 Mais Ersilia Soudais aurait plutôt tendance à... les accabler quand elles sont de droite et qu’elles se font agresser par ses « camarades ». 

 C'est en tous cas ce qu'a fait la députée LFI ce jeudi 29 mai. 

Deux jours plus tôt, plusieurs militantes du collectif Némésis et deux journalistes de Valeurs Actuelles étaient violemment pris à partie par des antifas, dans le 13ème arrondissement parisien.

 L’un des agresseurs a été interpellé par la Police en flagrant délit. Pas de quoi troubler la députée, qui préfère apporter son soutien public aux agresseurs lors d'un rassemblement devant le commissariat où les militants d’extrême gauche étaient placés en garde-à vue.

Face caméra, elle déclarait soutenir « deux camarades qui se sont fait arrêter par la Police », en dénonçant « un problème de collusion entre les milieux d’extrême droite et la Police ».

 La complainte habituelle.

 Appelant à « rester solidaires dans un contexte de fascisation de notre société », la députée est allée jusqu’à invoquer le « droit à la résistance ». 

 Beaucoup de mots qui vont à l’encontre des images de la rixe publiées sur les réseaux, mais pas un seul en revanche, sur les violences commises par son « camp ».

 Ni sur les femmes molestées, ni sur les journalistes blessés.

 

Féminisme militant ou militantisme conditionnel ?

Au lieu de condamner les faits, la députée préfère attaquer Némésis. 

 Elle reproche comme d'habitude au collectif de se servir de la cause féministe pour faire avancer un agenda politique : « Le collectif Némésis prétend avoir manifesté pour le droit des femmes.

 Sauf que militer pour qu’il y ait des OQTF pour tous les immigrés, ce n’est pas lutter pour le droit des femmes », explique-t-elle dans une déclaration confuse qui trahit une incompréhension totale du combat des féministes identitaires.

 Et d’asséner : « Il n’y a aucun rapport en soi entre immigration et droit des femmes. » 

Les chiffres sur les violences sexuelles commises dans les espaces publics disent pourtant autre chose.

 

Soutien unilatéral

Face à cette posture, Alice Cordier, fondatrice de Némésis, a annoncé son intention de porter plainte pour « complicité morale et entrave à la justice ».

 Dans une vidéo publiée en retour, elle interpelle directement l’élue : « Rien, Madame Soudais, ne justifie des violences sur des femmes. Votre présence à une manifestation pour soutenir un homme auteur de violences physiques est un crachat à la figure de toutes les femmes qui sont victimes de violences, qui le disent, qui portent plainte, et qui, pour autant, ne voient pas toujours justice faite. » 

Elle poursuit : « Je m’étonne que, malgré les violences que vous avez vécues, vous ne fassiez pas preuve d’un tout petit peu de solidarité à l’égard des militantes du collectif Némésis. »

 

Le plus ironique, dans cette affaire, reste que les militantes de Némésis avaient, elles, soutenu publiquement Ersilia Soudais lorsqu’elle avait porté plainte contre un ancien compagnon pour viol et harcèlement moral. 

Némésis restait fidèle au principe de soutenir toutes les femmes victimes, quel que soit leur bord politique. 

Une réciprocité dont la députée insoumise ne semble pas s’embarrasser.

 

Une version des faits bien commode

Pour justifier son soutien aux mis en cause, Ersilia Soudais a relayé un communiqué de la Marche des Solidarités dénonçant une « manipulation grotesque » et l’usage d’une « vidéo tronquée ». 

Le texte affirme qu’aucune violence n’aurait eu lieu.

Circulez, y'a rien à voir.

Les images, pourtant, se passent de commentaires : une quinzaine d’antifas, ou plus, s’en prennent physiquement à quelques militantes identitaires et à deux journalistes.

 L’un des agresseurs, visiblement bien préparé, est même surpris par la caméra alors qu'il enfile des gants de moto avant de s’en prendre à un reporter de Valeurs Actuelles.

 

Le communiqué prétend refuser toute « criminalisation » des militants mis en cause. 

La Justice, elle, tranchera : l’un des individus interpellés en flagrant délit doit être jugé sous peu en comparution immédiate. 

Quant aux Français, ils auront sans doute reconnu ce qu’ils ont vu, sans avoir besoin qu’on le leur explique.


 
Source et Publication :  https://www.bvoltaire.fr



ARRÊTEZ LES DEALERS ET FOUTEZ LA PAIX AUX FUMEURS .......

 TRIBUNES LIBRES !

Occupez-vous des rodéos et des dealers et arrêtez d’emmerder les fumeurs !

Dans un édito récent, je faisais remarquer qu’entre le moment où une loi est votée et ce qu’il se passe vingt ans après, il y a toujours de grosses différences, et des évolutions qui ne vont pas toujours dans le bon sens. 

J’avais évoqué la loi Veil et ce qu’elle est devenue, les suites judiciaires de l’abrogation de la peine de mort, le ¨PACS devenu le mariage homosexuel et la mise en place de la GPA-PMA, et j’alertais sur la loi fin de vie, telle que présentée, et comment elle allait inévitablement évoluer vers une dérive de type « Soleil Vert ».

À peine avais-je fini ces réflexions que nous apprenions que trente-quatre ans après le vote de la première loi Evin, en 1991, de nouvelles interdictions allaient frapper les fumeurs.

 La question n’est pas de relancer l’éternel débat entre les fumeurs et les non-fumeurs, il est de démontrer qu’une nouvelle atteinte aux libertés publiques va voir le jour, avec l’interdiction, même en plein air, de fumeur sur les plages, dans les parcs et dans les écoles.

https://www.francebleu.fr/infos/sante-sciences/il-sera-interdit-de-fumer-a-proximite-des-plages-parcs-ecoles-a-partir-du-1er-juillet-annonce-catherine-vautrin-8866756

 

Il était certes nécessaire de protéger les non-fumeurs, dans des lieux publics ou au travail, de l’insupportable tabagie des fumeurs.

 Il est fort bien qu’on puisse aller au restaurant sans respirer l’odeur d’une cigarette ou d’un cigare au moment de savourer un bon plat. 

Mais par ailleurs, pourquoi ne pas autoriser des restaurants pour les fumeurs, qui peuvent choisir en toute liberté d’aller s’y restaurer ?

 Et pourquoi ces slogans ridicules « Fumer tue » sur les paquets de cigarettes ?

 Et quand s’arrêteront ces insupportables augmentations des prix du paquet de cigarettes, qui, bien sûr, profitent aux marchands de cigarettes à la sauvette, souvent venus d’Afrique.

On se souvient que l’étape suivante avait été l’interdiction de fumer dans les cafés, et l’obligation de la faire en terrasse, dehors. 

Cela s’était d’ailleurs fait du jour au lendemain, sans le moindre heurt avec des Français respectueux des lois et des autres.

 Ils ont même réussi à interdire aux automobilistes de fumer dans leur voiture, s’il y a un enfant mineur.

 Et puis ils ont supprimé les cigarettes sur des affiches de films, comme celle d’Humphrey Bogart, gros fumeur. 

Chacun sait qu’aujourd’hui, dans le train ou le métro, les seuls délinquants de la cigarette sont les racailles, qui n’attendent qu’une chose : qu’un voyageur « souchien » leur fasse une remarque pour l’agresser à cinq contre un.

Un équilibre semblait avoir été trouvé. 

Certes, certains diront que les fumeurs se détruisent la santé, et que cela coûte cher à la Sécu.

 Éternel débat sur la liberté et la solidarité, de la part de pisse-froid prêts à détruire tous les moyens de plaisir, fussent-ils discutables, d’une société qui bascule vers le puritanisme anglo-saxon.

 Et voilà une nouvelle étape de franchie, pour persécuter encore davantage les fumeurs, et opérer de nouveaux prétextes pour verbaliser les Français, car on voit mal des policiers incapables de rentrer dans les cités, incapables de gérer les points de deal, aller verbaliser les « wesh-wesh » dans les zones islamisées.

L’argument trouvé est celui de la défense de la santé de nos enfants.

 En quoi nos jeunes seraient-ils mis en danger par un fumeur qui passe sur le trottoir, devant une école, qui arpente les chemins d’un jardin public ou qui fume sur une plage ?

 À quand les terrasses de café, où il peut aussi y avoir des enfants ? 

Et à quand l’étape supplémentaire, qui va consister à contrôler chez les particuliers, grâce à des détecteurs de fumée, le fait que des parents puissent fumer chez eux s’ils ont un enfant mineur ?

Le pire est que les mêmes qui prétendent protéger la santé de nos enfants sont ceux qui leur font côtoyer, trop souvent, des prédateurs venus pour la plupart de l’immigration africaine, et donc qui leur font prendre le risque de se retrouver minoritaires dans leur pays, ayant le choix entre la guerre, la conversion ou la dhimmitude. 

Ce sont également les mêmes qui poussent à la guerre avec Poutine, jouant dangereusement avec la sécurité des Français, dont celle nos enfants.

Alors, qu’ils règlent déjà les problèmes des rodéos, des points de deal, des coups de couteau, et qu’ils arrêtent d’emmerder les Français !

 

ET AUSSI

Foutez la paix aux fumeurs et arrêtez les dealers


VIDÉO :  https://www.youtube.com/watch?time_continue=3&v=H7lzMmMgHkM&embeds_referring_euri=https%3A%2F%2Fpierrecassen.ripostelaique.com%2F2025%2F05%2F31%2Ffoutez-la-paix-aux-fumeurs-et-arretez-les-dealers%2F&source_ve_path=Mjg2NjY

 

C’est la dernière de ce gouvernement ! Incapables d’arrêter les dealers et de mettre fin aux rodéos, ils s’en prennent aux fumeurs, et prennent contre eux de nouvelles mesures répressives ! Explications…

 

Source :   https://pierrecassen.ripostelaique.com/2025/05/31

 TWITTER

A gauche, fumer sur la plage : 135 € d'amendes.
 
En dessous, tenir un point de deal : 0, c'est dans une zone de non droit. 
 
Voilà la priorité macroniste pendant que les FDO manquent cruellement de moyens humains et financiers.
 
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