Après
les retraites siphonnées, les voitures bannies, les barbecues
diabolisés, les piscines extérieures, les abris de jardin et les feux de
cheminée traqués, voici que l’État français s’en prend désormais à
l’ultime espace de liberté populaire : la clope en terrasse.
D’après un sondage publié cette semaine, sept Français sur dix –
ces formidables moutons de sondage élevés à la nicotine morale et à
l’air pur de leurs contradictions – seraient favorables à l’interdiction
de fumer à l’extérieur.
Mieux : même les fumeurs sont pour !
Comme ces condamnés à mort qui applaudiraient la solidité de la corde qui va les pendre.
Alors soyons clairs : l’État français n’en a jamais eu rien à foutre de la santé des fumeurs.
Ce qu’il aime chez eux, c’est leur portefeuille.
Le fumeur, c’est l’idéal républicain : il meurt jeune, ne coûte pas une thune en retraite,
et paie jusqu’à son dernier souffle pour engraisser une machine
étatique qui a fait de lui une pompe à fric.
On parle d’une addiction
légale, cultivée et entretenue par l’État lui-même pendant des
décennies, et qui rapporte encore plus que la drogue. Sauf que là, c’est
le fisc qui tient le deal.
Qu’on ne vienne pas nous parler d’humanisme, de santé publique ou de droits de l’enfant.
Le même gouvernement qui prétend vouloir protéger les petits des fumées
de Marlboro tolère sans sourciller les dealers dans chaque ville, les
écrans hypnotiques à cinq ans, et les injections hormonales à douze.
Mais la Gauloise ? Sacrilège.
La vérité, c’est que l’interdiction actuelle, hypocrite et sournoise, n’a rien d’une politique de santé.
C’est une politique de persécution lente, fiscalement rentable,
socialement dégradante.
On fait passer les fumeurs pour des nuisibles,
des parasites, des égoïstes, des tueurs publics.
Bientôt, ils devront se
cacher dans leur sous sol pour tirer sur leur clope comme des
résistants allumant un feu dans la nuit.
Mais si vous voulez vraiment une
société sans tabac, alors faites-le.
Ayez le courage politique.
Interdisez. Radicalement. Déclarez que toute personne née après une
certaine date – disons 2010 – n’aura plus jamais le droit d’acheter du
tabac en France.
Point barre.
C’est la solution logique, cohérente,
dure mais honnête.
Pas de stigmatisation des anciens, pas de racket
déguisé, pas de culpabilisation hypocrite.
En deux générations, l’affaire est pliée.
Mais
cela, l’État ne le fera jamais.
Parce que ça tuerait la poule aux œufs
d’or fiscale.
Parce que ça mettrait fin à ce robinet de cash que
constituent les plus pauvres, les plus précaires, ceux qui – souvent –
n’ont que la cigarette pour survivre au chaos qu’on leur inflige chaque
jour.
Non. L’État préfère interdire à moitié, fliquer en douce, taxer jusqu’à l’os, culpabiliser en masse.
Il préfère dépenser des millions à traquer le fumeur de plage plutôt
qu’à interdire les saloperies chimiques dans nos assiettes ou les
pseudo-médicaments qui tuent à petit feu.
Alors oui, interdisons le tabac pour de bon, à partir d’une génération donnée, et respectons enfin la liberté des autres.
Ou alors, foutez la paix aux fumeurs.
Qu’on arrête de les traiter comme des criminels publics.
Qu’on les
laisse respirer, au moins là où l’air n’est pas encore confisqué par la
moraline ambiante.
L’Europe n’a pas été bâtie par des
non-fumeurs à jus de carottes.
Elle a été (aussi) forgée dans la clope,
le vin rouge, le feu, la sueur.
Si le tabac doit mourir, qu’il meure
d’un coup.
Mais qu’on cesse de le torturer au compte-goutte.
Par Julien Dir
[cc] Breizh-info.com, 2025, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine
Depuis près
d’un siècle, les Frères musulmans traversent interdictions et exils sans
jamais disparaître. `
En France, leur influence se manifeste à travers un
réseau discret mais structuré, entre engagement religieux, stratégie
associative et discours adapté à la République.
Comment ce mouvement
parvient-il à conjuguer invisibilité politique et enracinement
idéologique ?
Depuis près d’un siècle, les Frères musulmans font preuve d’une
longévité politique remarquable, en dépit des interdictions, de la
répression, de l’exil et des dissensions internes.
Loin de se réduire à
un simple parti, ce mouvement fondé par Hassan al Banna en 1928 en
Egypte, forme un écosystème idéologique, pédagogique et organisationnel
capable de s’adapter à des contextes nationaux très divers tout en
conservant une matrice doctrinale commune.
Comment ce courant parvient-il à exercer une influence diffuse mais
structurée, y compris dans un pays laïque comme la France, marqué par
une forte méfiance à l’égard des expressions religieuses dans l’espace
public ?
Comment expliquer qu’un mouvement aussi contesté soit parvenu à
s’implanter, à se renouveler et à maintenir sa cohésion sans structure
déclarée ?
Autrement dit, quel est le « secret » des Frères musulmans en
général, mais surtout dans leur déclinaison française ?
Une matrice idéologique stable et fédératrice
La « recette » des Frères musulmans est une combinaison de cinq
éléments clefs : une idéologie structurante, un système de formation
rigoureux, une discipline hiérarchique, une autonomie stratégique des
branches locales et un récit victimaire fédérateur.
Ces principes, qui
ont fait leurs preuves dans l’histoire, ont permis à la confrérie de
survivre aux coups d’État, aux purges et aux exils.
Le premier pilier de cette cohésion est l’idéologie fondatrice,
simple mais mobilisatrice : al-islâm huwa al-ḥall (« l’islam est la
solution »).
Adopté dès les années 1940, ce slogan résume la vision du
monde des Frères musulmans.
L’islam n’y est pas seulement une foi, mais
un système global régissant la vie personnelle, sociale et politique.
Cette centralité de la religion dans l’ordre du monde offre au mouvement
une boussole permanente, capable de transcender les divergences
contextuelles.
Ainsi, lors des élections législatives de 2005 en Égypte,
les candidats affiliés au mouvement ont fait campagne en se réclamant
presque exclusivement de ce mot d’ordre, sans avoir à développer un
programme politique détaillé.
À cette cohérence doctrinale s’ajoute une mécanique de formation
interne.
Chaque membre passe par un processus d’intégration fondé sur la
cellule de base appelée « usra » (famille nucléaire en arabe), où il
suit des cycles réguliers d’enseignement religieux, moral et politique.
Cette structure de base rend difficile les tentatives d’infiltration
mais également explique la difficulté dont témoignent d’anciens Frères à
rompre avec un système aussi structurant, où les longs et profonds
liens personnels, affectifs et spirituels sont très puissants.
Le
désengagement est d’autant plus douloureux qu’il est souvent vécu comme
une trahison par les autres membres, ce qui explique en partie le faible
taux de départs spontanés, et le silence de ceux qui s’éloignent.
Ce parcours progressif, fait de lectures obligatoires (notamment
Hassan al-Banna et Sayyid Qutb), de mémorisation du Coran et de débats
idéologiques, façonne un cadre militant discipliné et endoctriné.
Troisième ressort fondamental : le fonctionnement hiérarchique.
Les
Frères fonctionnent selon un principe de verticalité renforcée par une
discipline quasi militaire à la direction.
Cette obéissance a permis au
mouvement de maintenir sa structure même dans les conditions extrêmes de
l’incarcération ou de l’exil.
On peut citer le cas de Khayrat
al-Chater, numéro deux de l’organisation en Égypte, qui a continué à
orienter des pans entiers du mouvement alors qu’il était emprisonné sous
Moubarak.
Mais cette hiérarchie centrale ne signifie pas rigidité doctrinaire.
Une partie du « secret » des Frères réside dans leur capacité à
concilier unité idéologique et autonomie locale.
Chaque extension
nationale adapte les principes de la confrérie à son environnement
politique.
Ainsi, la branche tunisienne du mouvement, Ennahdha a renoncé
après 2011 à l’objectif d’un État islamique, préférant se positionner
comme un parti conservateur musulman compatible avec la démocratie
pluraliste.
À l’inverse, le Hamas, issu de la branche palestinienne,
s’inscrit dans une logique de lutte armée et de résistance.
Ces deux
expressions contradictoires sont rattachées à la même matrice
idéologique.
Le mouvement accepte ces écarts comme une forme de
pragmatisme et non pas en tant qu’hérésies.
Enfin, les Frères musulmans puisent une grande part de leur cohésion
dans un récit victimaire commun, forgé par des décennies de répression.
Dès l’origine Al-Banna a présenté son combat comme une revanche à
prendre sur l’oppresseur.
Il a fondé le mouvement à Ismaïlia, ville nouvelle fondée pour la
gestion du canal de Suez où la domination européenne a été la matrice
même de la vie sociale.
Il en a conçu une humiliation devenue complexe
de supériorité / infériorité avec son corolaire, la victimisation.
Ce
fut également le cas de Sayyid Qutb.
Intellectuel laïc influencé par les
idées occidentales, Qutb connaît une profonde mutation durant son
séjour aux États-Unis (1948-1950), où il développe une haine de la
modernité, perçue comme moralement décadente.
De retour en Égypte, il
rejoint les Frères et devient leur penseur le plus radical.
Emprisonné
et plus tard accusé de complot, il est exécuté en 1966 par le régime de
Nasser, devenant un martyr pour les courants les plus radicaux du
mouvement, en rupture avec l’approche gradualiste de ses prédécesseurs.
L’histoire du mouvement est rythmée par les arrestations, les exils
et les massacres, ce qui n’a fait qu’encourager le culte du sacrifice et
de la victime.
Ainsi, le massacre de la place Rabaa al-Adawiya au Caire
en 2013 constitue l’un des traumatismes les plus récents.
Cet épisode,
au cours duquel plus de 800 partisans de Mohamed Morsi ont été tués par
les forces de l’ordre, est devenu une référence centrale dans la mémoire
collective du mouvement dans une manière qui n’est pas sans rappeler le
culte chiite du sang des martyrs.
Ainsi, la force des Frères musulmans ne réside pas tant dans leur
puissance institutionnelle que dans leur capacité à créer une
contre-société idéologique et affective.
Ce système qui tient autant de
l’ordre initiatique que de l’organisation politique constitue le
véritable socle de leur résilience.
C’est ce modèle qui explique
pourquoi, malgré les coups durs, les Frères musulmans continuent de
jouer un rôle dans la vie politique et religieuse du monde arabe et plus
largement musulman, notamment en Occident.
En Europe, la présence et l’action des Frères musulmans s’inscrivent
dans une dynamique distincte de celle observée en Égypte ou dans
d’autres pays du Moyen-Orient.
Cette « version à l’exportation » évolue
largement grâce à trois figures clés : Saïd Ramadan, gendre d’Hassan
al-Banna, sa fille Wafa al-Banna, et son petit-fils Tariq Ramadan.
Jeune
avocat et orateur charismatique, Saïd Ramadan devient l’un des plus
proches collaborateurs du fondateur de la confrérie.
Après l’assassinat
d’al-Banna en 1949 et la répression de 1954, il quitte l’Égypte et
entame une longue carrière de diplomate informel de l’islamisme
frériste.
En 1961, il fonde à Genève le Centre islamique, qui devient un
hub intellectuel et logistique de la mouvance islamiste en Europe.
Le
centre accueille étudiants, réfugiés politiques et penseurs, tout en
diffusant la littérature frériste en plusieurs langues.
Lié à la Ligue
islamique mondiale financée par l’Arabie saoudite, il promeut toutefois
une vision distincte du salafisme : un islam politique structuré,
discipliné et militant, pensé pour s’implanter durablement dans les
sociétés occidentales.
À partir des années 1970, les Frères musulmans s’installent en
France, en Allemagne, au Royaume-Uni, via des associations étudiantes,
des mosquées et des centres culturels.
Ces relais développent un islam
adapté aux contextes légaux européens.
C’est dans ce cadre que le
discours frériste s’est reformulé en empruntant les lexiques de la
citoyenneté, de la minorité et de la modernité, jusqu’à donner naissance
à ce que Tariq Ramadan appelle « l’islam européen ».
En France, le frérisme ne prend pas la forme d’une organisation
officiellement enregistrée sous le nom de « Frères musulmans ».
Il se
manifeste plutôt à travers un réseau complexe d’associations, de
fédérations, d’instituts religieux, éducatifs et professionnels, ainsi
que de figures influentes, tous inspirés par l’idéologie fondatrice
d’Hassan al-Banna.
Cette nébuleuse semi-formelle repose sur plusieurs
structures associatives reconnues qui, tout en affirmant leur
indépendance juridique, partagent une même matrice idéologique.
Parmi
celles-ci figure l’Union des organisations islamiques de France (UOIF),
devenue en 2017 « Musulmans de France » (MF).
Fondée en 1983, elle est
perçue par les autorités comme la principale vitrine institutionnelle
des Frères musulmans dans l’Hexagone.
Elle regroupe plusieurs centaines
d’associations, gère des mosquées majeures et organise chaque année le
Rassemblement des musulmans de France au Bourget, événement emblématique
attirant des milliers de participants et des personnalités
internationales affiliées à la confrérie.
La présidence de cette organisation est assurée par des figures
élues, issues des principales mosquées et associations affiliées.
Des
personnalités telles que Fouad Alaoui, Lhaj Thami Breze, Ahmed Jaballah
ou Amar Lasfar en ont assuré la direction.
Ce dernier, longtemps
président de MF, incarne une trajectoire emblématique du frérisme
français.
Né en 1960 dans le Rif marocain, arrivé en France dans les
années 1980, Lasfar s’engage très tôt dans la prédication et
l’encadrement de la jeunesse musulmane.
Il fonde la mosquée de
Lille-Sud, devenue un centre névralgique de l’islam organisé, puis crée
en 2001 l’Institut Avicenne, destiné à former imams, aumôniers,
éducateurs et intellectuels musulmans.
Figure discrète mais centrale,
Lasfar agit en coulisses, à rebours de la visibilité médiatique d’un
Tariq Ramadan.
Son parcours est étroitement lié à l’UOIF, dont il prend la
présidence en 2013.
Bien qu’il nie tout lien organique avec la
confrérie, affirmant que « les Frères musulmans n’existent pas en France
» (Libération, 6 avril 2015), plusieurs témoignages
contredisent cette déclaration.
Farid Abdelkrim, ancien responsable des
Jeunes musulmans de France (JMF), branche jeunesse de l’UOIF, raconte
ainsi son enrôlement au sein de la confrérie, son allégeance prêtée dans
l’appartement d’un imam frériste, et les ambitions politiques portées
par le mouvement dans les années 1990 : « Notre objectif n’était pas
d’islamiser la France ou de convertir les Français, mais de construire
un lobby.
Une société dans la société, avec nos entreprises, nos écoles…
» (Libération, 13 février 2015).
Sous la direction de Lasfar, l’UOIF a engagé une stratégie de
normalisation : changement de nom, discours plus modéré, valorisation de
la citoyenneté et du dialogue.
Mais cette évolution de façade masque
une continuité doctrinale. Il s’agit toujours de promouvoir une lecture
de l’islam axée sur la réforme morale de la société, la préservation de
la famille musulmane et l’installation durable de structures religieuses
autonomes.
Lasfar incarne ainsi une posture duale : modération affichée
dans l’espace public, rigueur idéologique dans les cercles internes.
Cette stratégie de légitimation s’est exprimée par la médiatisation
d’affaires d’exclusion scolaire, le soutien juridique aux familles
concernées, et la promotion d’un discours articulant piété et
émancipation féminine, « mon voile mon choix ».
Parallèlement, dans le domaine du halal, les Frères musulmans ont
exercé une influence notable sur la régulation religieuse du marché,
notamment via des organismes de certification comme AVS (« A Votre
Service », se présentant comme indépendant, mais
considéré comme inspiré par les Frères musulmans), proches de leur
vision rigoriste.
Refusant toute ingérence de l’État dans la définition
du licite, ils ont cherché à construire un écosystème économique
autonome et normatif, combinant pratiques rituelles et discipline
morale.
Dans les deux cas, il s’agit de produire des normes religieuses
visibles dans l’espace public, tout en adaptant leur défense aux
principes de la République.
Le frérisme français se distingue ainsi par une stratégie
d’enracinement : discrète, mais structurée, intégrée dans la société
dans les formes, mais doctrinalement affirmée dans le fond.
Il ne vise
pas directement la rupture frontale, mais la construction patiente d’un
espace autonome à l’intérieur même de la société française.
À travers
ses réseaux associatifs, éducatifs, cultuels ou économiques, il tend à
construire des murs invisibles, contours d’une contre-société à la fois
protégée et séparée.
Ses idéologues la conçoivent comme un îlot de
pureté religieuse au sein d’un océan profane, dégénéré voire hostile, un
groupe « halal » cerné de « haram » dont l’ambition n’est pas tant
d’affronter la République que de coexister avec elle, séparé et
moralement supérieur et selon ses propres règles.
Au moins pour le
moment.
Source et Publication: https://www.causeur.fr/al-ikhwan-les-freres-nos-ennemis
Il
y a quelques jours, Emmanuel Macron a réuni une partie du gouvernement
dans un « Conseil de défense et de sécurité nationale » pour examiner
un rapport alarmant sur les Frères musulmans en France.
Emmanuel
Macron semble découvrir – avec des années de retard – une islamisation «
par le bas », qui s'enracine méthodiquement un peu partout sur notre
territoire national.
Pendant que les « experts » font mine de découvrir le problème, les Damoclésiens alertent sur l’islamisation depuis des années (voir ci-dessous la pétition qui continue de monter).
Ce que le rapport ne dit pas clairement : cette islamisation est la conséquence directe de l'immigration massive, que les gouvernements successifs ont encouragée pendant des décennies.
Plus que jamais, il faut agir. Alors continuez à faire signer ces deux pétitions et transférez cet email !
Pour la France ! Samuel Lafont et l’équipe Damoclès
NON À L’ISLAMISATION DE LA FRANCE !
Urgent
: « burkini », promotion du ramadan et du halal, prières de rue,
banlieues islamisées…
Comme la marée, l’islamisation a monté petit à petit.
Les
principaux médias laissent croire qu’elle est limitée aux « banlieues
», comme si le reste du territoire français était sain et sauf…
En réalité, l’islamisation touche bien la France entière.
Pire : l’islamisation de la France s’accélère.
Par
peur d’être accusé de « discrimination », d’« islamophobie » ou de «
racisme », les Français n’osent pas réagir, paralysés devant le recul de
leur propre civilisation.
Les
militants musulmans le savent bien et en profitent pour conquérir
toujours plus loin. Ils n’ont même pas besoin de se cacher.
Youssef al-Qaradawi, l’un des principaux prédicateurs de l’Union des organisations islamiques européennes déclarait en 2002 :
« Avec vos lois démocratiques nous vous coloniserons. Avec nos lois coraniques nous vous dominerons ».
Marwan Muhammad du « Collectif contre l’islamophobie en France » (CCIF) déclarait lors d’une conférence à la mosquée d’Orly :
«
Qui a le droit de dire que la France dans trente ou quarante ans ne
sera pas un pays musulman ? Qui a le droit ? Personne n’a le droit dans
ce pays de définir pour nous ce qu’est l’identité française. »
Tariq Ramadan déclamait le 7 février 2016, arrogant :
« La France est une culture maintenant musulmane. L’islam est une religion française. »
Et leur stratégie est payante.
L’affaire d’Etam en est un triste exemple.
Le
12 mars, une musulmane s’est présentée voilée pour déposer un CV dans
le magasin de vêtements. La responsable a refusé de le recevoir,
respectant ainsi la neutralité de son entreprise.
En colère contre ce refus, criant au « racisme », la musulmane s’est vengée en publiant sa version des faits sur les réseaux sociaux et a déclenché un buzz.
Et
elle a eu gain de cause : en un claquement de doigts, la responsable du
magasin a été mise à pied par sa hiérarchie, sans aucune preuve.
Tout est bon pour faire monter la pression, en utilisant la victimisation et en se servant de nos lois comme levier.
Et les habits islamiques sont particulièrement utilisés.
Souvenez-vous de ces affaires :
L’affaire de la crèche Baby Loup
éclate en 2008. Une employée musulmane refuse d’appliquer le règlement
intérieur qui demande le port d’un vêtement neutre. Malgré une mise à
pied, elle pousse la provocation en revenant à plusieurs reprises avec
un voile islamique intégral.
Il faudra 6 ans de marathon judiciaire pour
que le droit de la crèche soit reconnu et le licenciement pour faute
grave, validé.
Le CCIF a fait pression sur les députés après l’affaire Baby Loup, pour qu’ils ne votent pas la loi sur la neutralité des crèches.
Et ils ont du poids : 86 % des musulmans ont voté pour François Hollande en 2012…
Deux femmes se présentent en « burkini » au
centre aquatique de Fort-Mahon (Somme), en 2016.
Elles sont refoulées
pour des questions d’hygiène.
L’une des musulmanes a alors le culot de
saisir le « Défenseur des droits » en se plaignant de « discrimination »
religieuse.
Des mères voilées voulant accompagner les sorties d’école
exploitent un flou juridique pour imposer leur tenue et occuper le
terrain.
Elles utilisent le port du voile islamique comme outil de
prosélytisme, à travers notamment une structure créée pour l’occasion, «
Mamans Toutes Égales », dont le nom joue sur l’empathie des autres
parents, sur la valeur d’égalité.
Le port du voile islamique est soutenu financièrement par des musulmans influents.
Ainsi, l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) déclarait
prendre à sa charge les frais de justice pour toutes les jeunes filles
voilées qui le demandent. De son côté, l’Algérien Rachid Nekkaz faisait
la même chose pour les femmes arrêtées pour port de burqa en France. Il
se vante même d’avoir payé 1169 amendes en 6 ans.
Par le port de la djellaba et de la barbe, les
hommes participent aussi à la progression de l’islam : l’imposer au
regard des autres en montrant un signe extérieur d’allégeance à l’islam,
c’est déjà gagner du terrain.
Comme personne ne dit rien, c’est encore
une victoire de fait.
Le moindre détail peut servir d’excuse pour exiger et attaquer, même irrationnellement. Car chaque petite victoire arrachée les renforce.
Les militants musulmans utilisent nos lois actuelles et le buzz pour imposer médiatiquement l’islam à la société française.
Ils jouent les victimes et crient au « racisme » ou à « l’islamophobie » pour obtenir gain de cause. Derrière cette victimisation se dessine un véritable rapport de force qui va bouleverser le mode de vie des Français.
Nous sommes dans une véritable guerre culturelle : si vous ne réagissez pas, il sera extrêmement difficile de revenir en arrière.
C’est
maintenant qu’il faut choisir : abandonner la France à l’islamisation…
ou défendre votre culture, votre Histoire et votre mode de vie.
Chaque occasion est bonne pour attaquer.
La chaîne de magasins Marks & Spencer vendait
du papier toilette depuis 5 ans avec une feuille d’aloe vera dessinée
dessus…
Le 22 janvier 2019, une soudaine hystérie s’empare de nombreux
musulmans qui croient lire « allah »sur ce papier toilette, à la place de la simple feuille. Ils appellent au boycott… et obtiennent le retrait du papier toilette.
Plus récemment encore, en mars, l’hymne algérien a été diffusé à Marseille
par les employés du Carrefour Grand Littoral dans toute l’enseigne.
Cerise sur le gâteau, cet hymne étranger est ouvertement anti-France
dans ses paroles…
Les médias politiquement corrects en parlent moins ces derniers temps, mais des musulmans ne se gênent pas pour pratiquer la polygamie dans notre pays, en toute illégalité.
Souvenez-vous de l’affaire Lies Hebbadj :
Ce musulman venu d’Algérie vit à Nantes avec sa femme, ses trois concubines et dix-sept enfants répartis dans trois petites maisons mitoyennes. Sa librairie faisait office d’école coranique clandestine où il a recruté ses concubines.
La tribu Hebbadj aurait touché 87 000 euros d’allocations indues,d’après les premiers recensements de la Caisse d’allocations familiales (CAF).
Mais ne croyez pas que c’est un cas isolé : selon Patrice Rolet, auteur du film « Polygamie en France » environ 30 000 familles sont polygames…
Peu à peu, soit en se servant de la loi, soit en s’en moquant ouvertement, ces musulmans imposent leur mode de vie.
Ainsi, beaucoup de gens mangent du « halal » sans même le savoir.
Un audit du Conseil Général de l’Alimentation faisait pourtant état de 51% des animaux abattus en mode rituel. Plus de la moitié ! Et par là, ils vous font financer les imams à votre insu…
Certaines cantines scolaires choisissent de servir uniquement des repas halal, y compris aux non-musulmans,
comme le lycée Lavoisier de Roubaix.
Selon le chef d’établissement, «
il était plus simple d’adopter cette préparation rituelle de la viande
que les autres confessions peuvent tolérer ».
La
démarche est donc très simple : si vous ne dites rien, si vous « tolérez
», ils occuperont le terrain que vous leur cédez de fait.
Car pour l’islam, religion et politique ne font qu’un.
L’islamisation cible aussi les plus jeunes via les manuels scolaires qui
préfèrent gommer les guerres médiévales de la France contre les
musulmans, pourtant massives, en se focalisant sur les échanges
commerciaux ou scientifiques.
Barbara Lefebvre, professeur d’histoire-géographie, et auteur des Territoires perdus de la République remarque notamment, pour le FigaroVox :
« On exige clairement de relativiser la bataille de Poitiers considérée anecdotique, et de fait certains manuels ne l’évoquent plus. »
Et ce ne sont que les programmes de l’Éducation nationale. Vous pouvez imaginer ce qu’il en est dans les 500 écoles coraniques répertoriées il y a déjà 9 ans par une étude de l’EHESS.
Les entreprises et administrations sont aussi particulièrement touchées.
Dans 95% des cas, le « comportement religieux au travail est principalement celui des musulmans », selon une enquête de Lionel Honoré, directeur de l’Observatoire du fait religieux en entreprise et professeur d’université.
Et
selon la même enquête, lorsque les islamistes poursuivent leur
employeur, la jurisprudence montre que l’accusation est toujours basée
sur le « racisme » et la « discrimination ».
La RATP qui a axé son recrutement sur la « discrimination positive
» le paie cher. Une enquête du Nouvel Obs et une vidéo brisent
l’omerta. Des machinistes (des femmes, pour la plupart) dénoncent :
l’agressivité de certains chauffeurs musulmans envers des passagers
la violence misogyne de chauffeurs musulmans qui refusent de serrer la main à des collègues femmes, ou de conduire un bus parce qu’une femme l’a conduit avant eux
les prières musulmanes dans les locaux de la RATP ou dans les bus pendant le temps de service…
Et la hiérarchie évite de réagir pour ne pas faire de vagues…
Cette soumission coupable est malheureusement très répandue.
Même les politiques se couchent :
Macron
donne raison aux femmes voilées durant son « grand débat national » en
propageant une fake news sur les entreprises qui ne pourraient pas
refuser d’embaucher une voilée. « Martine Aubry a justifié […] en
conseil municipal l’attribution d’une heure hebdomadaire réservée aux
musulmanes à la piscine de Lille-Sud comme étant « l’occasion pour
certaines d’entre elles de s’émanciper… »
« Le rôle desmaires et collectivités locales dans la concrétisation de ces mosquées
(…) est prépondérant pour expliquer leur irruption, souvent sur des
terrains municipaux que les associations cultuelles n’ont pas à acheter,
ou qu’elles louent pour des loyers modérés. » selon Joachim Véliocas,
dans son livre Mosquées radicales : ce qu’on y dit, ce qu’on y lit.
Cette guerre a été ouverte depuis longtemps. Et en poussant à l’extrême l’esprit de conquête, les attentats djihadistes servent à repousser les limites « acceptables » des pratiques islamiques.
Il y a quelques décennies, les « prières de rue » étaient impensables.
Aucun chanteur n’aurait osé dire comme le rappeur Médine : « Crucifions les laïcards comme à Golgotha » ou « j’mets des fatwas sur la tête des cons ». Ou encore appeler son album Jihad…
Les autorités n’osent même pas condamner ces insultes, ces menaces ou ces appels à la haine.
que les services publics et les administrations arrêtent d’utiliser nos impôts pour faire la promotion du ramadan ;
de faire appliquer la loi contre la burqa et les prières de rue, déclarées illégales ;
qu’ordre soit donné aux forces de l’ordre d’entrer en masse dans les «
banlieues » pour mettre fin aux trafics et casser la base arrière de
l’islamisation de notre pays.
Allez-vous donner raison aux militants de l’islam ?
Allez-vous rester sans rien faire face à cette islamisation ?
Pensez-vous que la France doive accepter de devenir musulmane ?
Sangria, rosé, chipolatas, salade de
riz, chips, quiche lorraine, nappe en papier, vaisselle en carton…
La
Fête des voisins, c'est « l’occasion de chaleureuses retrouvailles et de moments de convivialité », comme le dit le site dédié à l'événement.
Le concept est vieux de 25 ans, il a ses adeptes.
Aux quatre coins de l’hexagone, dans les cours d’immeuble, les
jardins de résidence ou même dans la rue, fin mai, locataires et
propriétaires se retrouvent, le temps d’une soirée, pour partager,
trinquer, discuter, échanger…
Le dimanche 25 mai dernier, à Tarbes, les
habitants d’une résidence se sont pliés à l’exercice. Il a tourné court.
Convivialité
Alors que la soirée battait son plein, cinq individus,
visiblement alcoolisés, ont tenté de s’incruster.
Ils ont été refoulés
par les voisins.
Un affront auquel les cinq individus ont répondu par la
violence.
Trois des cinq mis en cause se sont particulièrement
illustrés.
L’un d’eux a sorti un couteau et frappé un jeune homme avant de
menacer une autre personne présente.
Un deuxième, qui avait retiré son
bracelet électronique quelques heures plus tôt..., a été retrouvé caché
derrière une voiture en possession d’un canif.
Enfin, le troisième
larron, originaire de Mayotte, a tenu des propos à caractère raciste :
« Sales blancs, on va venir vous coloniser et violer vos femmes. »
Tous trois ont été jugés en comparution immédiate ce mercredi 28 mai,
soit trois jours après les faits.
Ils ont adopté la même ligne de
défense : particulièrement alcoolisés, ils ne se souvenaient de rien.
De
rien, si ce n’est d’avoir été provoqués.
Une accusation réfutée par la
principale victime lors de l’audience.
Agressivité
L’individu s’étant montré le plus actif a été condamné à 12 mois de
prison ferme, tandis que les deux autres ont écopé de 8 mois de prison
avec sursis probatoire et de 6 mois de détention à domicile sous
surveillance électronique.
Comme le rapportent nos confrères de Frontières, le tribunal a mis en avant le caractère inacceptable des propos racistes tenus et a rappelé qu’aucune fête de voisinage « ne devrait se transformer en scène d’agression et d’intimidation ».
En réalité, à aucun instant, ce genre de scène ne devrait se
produire.
Ni à Tarbes, ni ailleurs ; ni à l’occasion d’une fête, ni sans
raison.
Oui, mais la ville des Hautes-Pyrénées comme la France a
changé.
Un policier tarbais confie à BV : « Ceux qui sont là depuis très longtemps diront que c’était mieux avant, mais ce n’est pas plus vrai à Tarbes qu’ailleurs. »
Le policier semble résigné.
En montagne, en plaine, en ville ou à la
campagne, partout, la situation sécuritaire s’est dégradée et rien ni
personne ne semble pouvoir y remédier, surtout pas le tandem
Macron-Bayrou.
Résultat : cette affaire est rangée dans la catégorie des faits
divers alors même qu’elle est révélatrice de deux graves problèmes de
société.
En premier lieu, elle montre que les Français ne sont plus à
l'abri nulle part, pas même dans la cour de leur immeuble ; en second
lieu, elle met en avant les difficultés de cohabitation entre
autochtones et immigrés.
En s’avançant un peu, nous pourrions aussi dire
qu’elle prouve que le racisme anti-blanc existe, mais vous, lecteurs de BV, le savez mieux que quiconque : c'est impossible !...
L'affaire est emblématique de la gêne
croissante de l'extrême gauche vis à vis des féministes de droite qui
dénoncent les méfaits de l'immigration et bousculent les vieux réflexes
militants.
Défendre les femmes, c’est ce qu’elle prétend faire.
Mais
Ersilia Soudais aurait plutôt tendance à... les accabler quand elles
sont de droite et qu’elles se font agresser par ses « camarades ».
C'est en tous cas ce qu'a fait la députée LFI ce jeudi 29 mai.
Deux
jours plus tôt, plusieurs militantes du collectif Némésis et deux
journalistes de Valeurs Actuelles étaient violemment pris à partie par des antifas,
dans le 13ème arrondissement parisien.
L’un des agresseurs a été
interpellé par la Police en flagrant délit. Pas de quoi troubler la
députée, qui préfère apporter son soutien public aux agresseurs lors
d'un rassemblement devant le commissariat où les militants d’extrême gauche étaient placés en garde-à vue.
Face caméra, elle déclarait soutenir « deux camarades qui se sont fait arrêter par la Police », en dénonçant « un problème de collusion entre les milieux d’extrême droite et la Police ».
La complainte habituelle.
Appelant à « rester solidaires dans un contexte de fascisation de notre société », la députée est allée jusqu’à invoquer le « droit à la résistance ».
Beaucoup de mots qui vont à l’encontre des images de la rixe publiées
sur les réseaux, mais pas un seul en revanche, sur les violences
commises par son « camp ».
Ni sur les femmes molestées, ni sur les journalistes blessés.
Féminisme militant ou militantisme conditionnel ?
Au lieu de condamner les faits, la députée préfère attaquer Némésis.
Elle reproche comme d'habitude au collectif de se servir de la cause
féministe pour faire avancer un agenda politique : « Le collectif
Némésis prétend avoir manifesté pour le droit des femmes.
Sauf que
militer pour qu’il y ait des OQTF pour tous les immigrés, ce n’est pas
lutter pour le droit des femmes », explique-t-elle dans une
déclaration confuse qui trahit une incompréhension totale du combat des
féministes identitaires.
Et d’asséner : « Il n’y a aucun rapport en soi entre immigration et droit des femmes. »
Les chiffres sur les violences sexuelles commises dans les espaces publics disent pourtant autre chose.
Soutien unilatéral
Face à cette posture, Alice Cordier, fondatrice de Némésis, a annoncé son intention de porter plainte pour « complicité morale et entrave à la justice ».
Dans une vidéo publiée en retour, elle interpelle directement l’élue : « Rien,
Madame Soudais, ne justifie des violences sur des femmes. Votre
présence à une manifestation pour soutenir un homme auteur de violences
physiques est un crachat à la figure de toutes les femmes qui sont
victimes de violences, qui le disent, qui portent plainte, et qui, pour
autant, ne voient pas toujours justice faite. »
Elle poursuit : « Je m’étonne que, malgré les violences que vous avez vécues, vous ne fassiez pas preuve d’un tout petit peu de solidarité à l’égard des militantes du collectif Némésis. »
Le plus ironique, dans cette affaire, reste que les militantes de Némésis avaient, elles, soutenu publiquement
Ersilia Soudais lorsqu’elle avait porté plainte contre un ancien
compagnon pour viol et harcèlement moral.
Némésis restait fidèle au
principe de soutenir toutes les femmes victimes, quel que soit leur bord
politique.
Une réciprocité dont la députée insoumise ne semble pas
s’embarrasser.
Une version des faits bien commode
Pour justifier son soutien aux mis en cause, Ersilia Soudais a relayé
un communiqué de la Marche des Solidarités dénonçant une « manipulation grotesque » et l’usage d’une « vidéo tronquée
».
Le texte affirme qu’aucune violence n’aurait eu lieu.
Circulez, y'a
rien à voir.
Les images, pourtant, se passent de commentaires : une
quinzaine d’antifas, ou plus, s’en prennent physiquement à quelques
militantes identitaires et à deux journalistes.
L’un des agresseurs,
visiblement bien préparé, est même surpris par la caméra alors qu'il
enfile des gants de moto avant de s’en prendre à un reporter de Valeurs Actuelles.
Dans
un édito récent, je faisais remarquer qu’entre le moment où une loi est
votée et ce qu’il se passe vingt ans après, il y a toujours de grosses
différences, et des évolutions qui ne vont pas toujours dans le bon
sens.
J’avais évoqué la loi Veil et ce qu’elle est devenue, les suites
judiciaires de l’abrogation de la peine de mort, le ¨PACS devenu le
mariage homosexuel et la mise en place de la GPA-PMA, et j’alertais sur
la loi fin de vie, telle que présentée, et comment elle allait
inévitablement évoluer vers une dérive de type « Soleil Vert ».
À
peine avais-je fini ces réflexions que nous apprenions que
trente-quatre ans après le vote de la première loi Evin, en 1991, de
nouvelles interdictions allaient frapper les fumeurs.
La question n’est
pas de relancer l’éternel débat entre les fumeurs et les non-fumeurs, il
est de démontrer qu’une nouvelle atteinte aux libertés publiques va
voir le jour, avec l’interdiction, même en plein air, de fumeur sur les
plages, dans les parcs et dans les écoles.
Il
était certes nécessaire de protéger les non-fumeurs, dans des lieux
publics ou au travail, de l’insupportable tabagie des fumeurs.
Il est
fort bien qu’on puisse aller au restaurant sans respirer l’odeur d’une
cigarette ou d’un cigare au moment de savourer un bon plat.
Mais par
ailleurs, pourquoi ne pas autoriser des restaurants pour les fumeurs,
qui peuvent choisir en toute liberté d’aller s’y restaurer ?
Et pourquoi
ces slogans ridicules « Fumer tue » sur les paquets de cigarettes ?
Et
quand s’arrêteront ces insupportables augmentations des prix du paquet
de cigarettes, qui, bien sûr, profitent aux marchands de cigarettes à la
sauvette, souvent venus d’Afrique.
On
se souvient que l’étape suivante avait été l’interdiction de fumer dans
les cafés, et l’obligation de la faire en terrasse, dehors.
Cela
s’était d’ailleurs fait du jour au lendemain, sans le moindre heurt avec
des Français respectueux des lois et des autres.
Ils ont même réussi à
interdire aux automobilistes de fumer dans leur voiture, s’il y a un
enfant mineur.
Et puis ils ont supprimé les cigarettes sur des affiches
de films, comme celle d’Humphrey Bogart, gros fumeur.
Chacun sait
qu’aujourd’hui, dans le train ou le métro, les seuls délinquants de la
cigarette sont les racailles, qui n’attendent qu’une chose : qu’un
voyageur « souchien » leur fasse une remarque pour l’agresser à cinq
contre un.
Un équilibre semblait
avoir été trouvé.
Certes, certains diront que les fumeurs se détruisent
la santé, et que cela coûte cher à la Sécu.
Éternel débat sur la liberté
et la solidarité, de la part de pisse-froid prêts à détruire tous les
moyens de plaisir, fussent-ils discutables, d’une société qui bascule
vers le puritanisme anglo-saxon.
Et voilà une nouvelle étape de
franchie, pour persécuter encore davantage les fumeurs, et opérer de
nouveaux prétextes pour verbaliser les Français, car on voit mal des
policiers incapables de rentrer dans les cités, incapables de gérer les
points de deal, aller verbaliser les « wesh-wesh » dans les zones
islamisées.
L’argument trouvé est
celui de la défense de la santé de nos enfants.
En quoi nos jeunes
seraient-ils mis en danger par un fumeur qui passe sur le trottoir,
devant une école, qui arpente les chemins d’un jardin public ou qui fume
sur une plage ?
À quand les terrasses de café, où il peut aussi y avoir
des enfants ?
Et à quand l’étape supplémentaire, qui va consister à
contrôler chez les particuliers, grâce à des détecteurs de fumée, le
fait que des parents puissent fumer chez eux s’ils ont un enfant mineur ?
Le
pire est que les mêmes qui prétendent protéger la santé de nos enfants
sont ceux qui leur font côtoyer, trop souvent, des prédateurs venus pour
la plupart de l’immigration africaine, et donc qui leur font prendre le
risque de se retrouver minoritaires dans leur pays, ayant le choix
entre la guerre, la conversion ou la dhimmitude.
Ce sont également les
mêmes qui poussent à la guerre avec Poutine, jouant dangereusement avec
la sécurité des Français, dont celle nos enfants.
Alors,
qu’ils règlent déjà les problèmes des rodéos, des points de deal, des
coups de couteau, et qu’ils arrêtent d’emmerder les Français !
C’est
la dernière de ce gouvernement ! Incapables d’arrêter les dealers et de
mettre fin aux rodéos, ils s’en prennent aux fumeurs, et prennent
contre eux de nouvelles mesures répressives ! Explications…
En dessous, tenir un point de deal : 0, c'est dans une zone de non droit.
Voilà la priorité macroniste pendant que les FDO manquent cruellement de moyens humains et financiers.
·
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Cet été sur la plage, pas question de s’en griller une, par Jacques Frantz
« Arrêtez d'emmerder les Français ! » Georges Pompidou
(1966)
Malgré la fin – au moins provisoire – des restrictions COVID, le
pouvoir n’a pas abandonné l’idée d’emmerder les Français.
Le
gouvernement interdit désormais la consommation de tabac sur les plages,
en terrasse, dans les parcs et auprès des écoles. Les contrevenants se
verront alléger de 135 euros. Les méthodes …