TRIBUNE LIBRE !
Zelensky et Macron ne veulent surtout pas d’un accord de paix
Parmi les nombreuses manœuvres dilatoires du rat et du scélérat, la plus minable est l’insistance lourdingue pour faire sortir le tsar de son pays et l’attirer dans un traquenard, afin de l’incarcérer ou de l’assassiner s’il résiste.
Comme cela était prévu à Istanbul en mai.
En vertu d’une fatwa émise par l’islamiste Karim Abdul Ahmed Khan, procureur général d’une juridiction fantoche, lui même inculpé de viols.
Le seul pays étranger où Poutine serait en sécurité est l’Amérique qui n’a pas reconnu le tribunal bidon du Nouvel Ordre Mondial.
Toute autre nation, quelles que soient ses promesses sous conditions comme la Suisse, n’inspire aucune confiance.
Car les dirigeants européens sont des crapules qui peuvent toujours se déjuger au dernier moment, ou se retrancher derrière les menaces de la mafia européo-mondialiste.
On les a vus à l’œuvre, à 7 contre 1, façon voyous des cités, quand ils se sont invités à Washington pour tenter d’impressionner Trump.
Le mieux serait de convoquer à Moscou l’histrion de la télé-réalité ukrainienne.
Il ne risquerait rien, Poutine est trop grand seigneur pour s’en prendre à un handicapé.
Et mine de rien, cela rétablirait les liens de vassalité rompus entre la Russie et ses anciennes provinces, sous l’influence maléfique de l’OTAN et de l’UE.
Les sorts de Fripounette et Zygomyr sont intimement liés
Macronescu n’a pas eu à se forcer pour convaincre son grand ami d’user d’échappatoires pour faire échouer, ou retarder le plus possible, la tentative de médiation de Trump.
Le nabot se défile derrière mille prétextes.
La fin de la guerre signifierait terminus pour le minus.
Plus de pouvoir, plus de pognon, et des inculpations pour juger son impéritie et sa corruption.
Pour le moment tout est bloqué, comme pour Macron, loi martiale pour l’un, immunité présidentielle pour l’autre.
Mais si ces verrous sautent, ils seront mal.
Parfois on se demande si l’atavisme turco-mongol du Zygomyr, et l’appétence de Fripounette pour les mahométans, n’ont pas altéré leur perception des réalités.
à croire que nos duettistes se croient capables d’intimider Poutine en surjouant les victimes, avec insultes et hurlements, pour revendiquer haut et fort des droits indus.
Mais l’esbroufe et la culpabilisation de l’ennemi sont des tactiques payantes seulement avec les faibles.
Manolito qui tremble comme le péteux qu’il est, et rampe aux pieds du despote algérien, caïd insignifiant d’un État voyou, joue les matamores avec Poutine, chef de la première puissance nucléaire mondiale.
Le menaçant de mille maux et mille morts, par personnes interposées, puisque Vladimir l’a mis en quarantaine.
De son côté, le pygmée barbichu se retranche derrière la constitution ukrainienne pour dire que, même s’il acceptait une rétrocession de territoires à la Russie, sa signature ne serait pas valable car contraire à la constitution et à la volonté du parlement de Kiev.
Alors qu’il a supprimé toutes les élections et n’est plus président depuis un an et demi !
Tandis que son parlement fantôme n’existe plus légalement depuis deux ans !
Mais renier sa signature avant même d’avoir paraphé un chiffon de papier, était une des tactiques favorites d’Adolf, adoptée par le nazi Stepan Bandera que le Zygomyr honore au point de l’avoir promu « héros de l’Ukraine ».
La dernière des embrouilles de Fripounette et Zygomyr est de faire semblant de ne pas comprendre ce que veut Poutine, vainqueur d’une coalition hétéroclite de 50 pays.
Le seul qui admet et comprend les exigences de Vladimir est Donald.
Assez réaliste pour considérer que la poursuite de la guerre, ruineuse en hommes et en matériels, ne pourrait que retarder l’inéluctable à des conditions encore pires qu’aujourd’hui.
La paix maintenant, pour éviter la déroute complète demain !
De 2014 à 2022, l’Europe avait toute latitude pour appliquer les accords de Minsk dont elle s’était portée garante.
La Russie ne demandait qu’un référendum sur l’autonomie des oblasts de l’Est, et la renonciation à l’emprise de l’OTAN sur l’Ukraine.
Au lieu de ça, les Ukronazis ont finassé tout en continuant à bombarder le Donbass et on a vu la suite…
À présent, le président russe réclame que l’Ukraine lui cède les oblasts de Donetsk et Lougansk gagnés au prix du sang, et où la population s’est prononcée à 90% pour le rattachement à la Fédération de Russie.
Un retour à la case départ, après les atermoiements tragiques manigancés par les bellicistes de l’OTAN et de l’UE.
Où les Boches attendaient l’occasion de prendre leur revanche sur 1945.
Pour le reste, Vladimir accepterait de geler la ligne de front en Novorossia méridionale sous réserve que la Crimée cédée naguère par Kroutchev et récupérée en 2014, avec l’assentiment de la population, ne soit plus revendiquée par le petit clown agité qui n’a manifestement toujours rien compris au poids de l’histoire sur la géopolitique.
S’il ne peut se départir officiellement de son rôle d’arbitre, le président Trump trouve ces conditions raisonnables, compte tenu de la situation militaire et il a invité le Zygomyr à faire preuve d’un peu de souplesse.
Provoquant les interventions intempestives d’un Macronescu verbeux et aigri, qui se mêle de tout et dégoise des conseils intempestifs à ceux qui ne lui ont rien demandé.
Son problème pour exister, aggravé par l’abus de sucre en poudre, est de se cramponner de façon pathétique aux oripeaux du pouvoir à l’international, puisqu’il n’a plus de majorité en France.
Retarder le processus de paix jusqu’au début de 2027 est une stratégie machiavélique.
Si la France passait de la cobelligérance sournoise à la guerre ouverte contre la Russie, il tiendrait le bon prétexte pour suspendre les élections.
Sans risquer un putsch avec la bande d’écouillés qui prolifère à l’État major.
En attendant, le truand Zelensky pourrait se montrer plus compréhensif en échange d’un gros paquet de pognon supplémentaire.
Ses arguties sur l’intangibilité des frontières, et ses postures psychorigides « on ne cède rien à la Russie » s’effaceraient en contrepartie d’un nouveau cadeau de l’Eurocrature de 100 milliards de dollars, 4 fois ce qu’il a déjà reçu !
Un cadeau que Fripounette, les Rosbifs et les Boches seraient prêts à lui accorder, sans demander l’avis de leurs peuples.
Bien que leurs économies battent de l’aile, surtout celle de la France.
L’Amérique aurait tout à gagner à cette nouvelle extorsion du mendigot agressif façon punk à chiens, puisque le pygmée ukronazi aurait promis d’acheter des armes américaines avec le pognon des Europigeons.
Ainsi que de financer avec le fruit du prochain racket des usines d’armement, et tout particulièrement des unités de fabrication de drones acquises clés en main aux USA, au nom des mythiques garanties de sécurité accommodées à toutes les sauces.
B
ien entendu, comme depuis le début de la guerre, les corrompus de Kiev restent dans le vague sur l’usage des fonds et refusent aux généreux donateurs un droit de regard sur le suivi du matériel fourni.
Ainsi le document afférent aux 100 milliards supplémentaires exigés en échange d’une signature sur des accords de paix encore mal définis, ne précise pas quelles armes le nabot souhaite acquérir, ni le type, ni la quantité, en plus des missiles Patriot en stock.
On verra après. Mais passez d’abord à la caisse !
Évidemment, Trump se frotte les mains, sans poser des questions dérangeantes : « Du moment que l’ Union européenne paie pour ça, cela fera de bonnes affaires pour nous, et on ne va pas se mêler de leurs comptes.»
Peut-on lui donner tort puisque cette opération favorisera l’industrie américaine sans coûter un cent aux contribuables yankees.
Les accords de paix, avec une renonciation provisoire de l’Ukraine aux territoires déjà récupérés, serait une belle entourloupe de plus.
Puisque, déjà en pleine guerre, la moitié des fonds ont été extorqués et un tiers des armes revendues au marché noir…
Si les combats s’arrêtent et que le flux des cadeaux s’amplifie, les détournements et la coule pourront être au moins multipliés par deux.
Moins les rétrocommissions.
Car les dirigeants eurocraturiens qui sont eux mêmes des gros mafieux, ne laisseront pas passer la manne sans retenir leur pourcentage.
Par Christian Navis
Source et Publication : https://climatorealist.blogspot.com/
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