REVUE DE PRESSE !
Unité européenne 1 ▬ Allemagne : tollé après les déclarations de Friedrich Merz sur une éventuelle participation de l’armée pour défendre l’Ukraine (Le Monde)

« La France va se retrouver seule en Ukraine… » Richard de Seze
Le Monde a fait écho à cet événement d’Outre-Rhin dans son édition du 21 août, JSF en donne un court extrait déjà significatif des dissensions interétatiques européennes et aussi entre dirigeants et leur population.
Unité à l’épreuve !

Même si l’envoi de troupes demeure hypothétique, sa simple évocation a suffi à polariser un pays imprégné de culture pacifiste.
Pour les sociaux-démocrates, partenaires de la coalition du chancelier conservateur, aucune implication de la Bundeswehr n’est envisageable sans la participation des Américains.
Par Elsa Conesa (Berlin, correspondante)

« Merz veut t’envoyer en Ukraine ? Nous non ! », promet le message, posté mardi 19 août, par le parti d’extrême droite allemand Alternative für Deutschland (AfD) sur le réseau social X.
Le texte est accompagné d’un montage photo du chancelier, Friedrich Merz, se frottant les mains devant cinq jeunes Allemands à la mine sombre.
« Merz ne veut pas exclure l’envoi de soldats allemands en Ukraine.
Cela ne serait pas du maintien de la paix, mais une escalade durable vis-à-vis de la Russie.
Nous le disons clairement : nous ne t’enverrons pas en Ukraine ! », poursuit l’AfD.
Alors que la question des garanties de sécurité fournies par les alliés de l’Ukraine en cas d’accord de paix avec Moscou était abordée, mercredi, par les chefs d’état-major des armées de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN), la simple hypothèse − pour l’heure théorique − de l’envoi de troupes allemandes en Ukraine a déclenché une vive polémique à Berlin, malgré la torpeur estivale.
Interrogé sur la contribution de l’Allemagne à l’issue du sommet à Washington, lundi, Friedrich Merz a en effet évoqué implicitement la participation de l’armée allemande à la sécurité de l’Ukraine en cas d’accord de paix, se disant prêt à en « discuter avec [sa] coalition à Berlin, y compris de la possibilité de prendre des décisions nécessitant un mandat, c’est-à-dire des décisions que le Bundestag devrait prendre.(…) oo ■

ET AUSSI
« L’homme d’Etat qui cède à la fièvre de la guerre »… Sur ce sujet, Aristide Ankou, judicieusement, nous propose une lecture


« Il nous faut apprendre notre leçon. Jamais, jamais, jamais on ne
doit croire qu’une guerre sera simple et facile, ou que quiconque
s’embarque dans cette étrange aventure peut mesurer à l’avance les vents
et les tempêtes qu’il rencontrera en chemin.
L’homme d’Etat qui
cède à la fièvre de la guerre doit savoir qu’une fois le signal donné,
il cesse d’être le maitre de la politique à suivre pour devenir
l’esclave d’évènements imprévisibles et incontrôlables.
Les War Office
désuets, les commandants en chef faibles, incompétents ou arrogants, les
alliés indignes de confiance, les neutres hostiles, un Destin
malveillant, de mauvaises surprises, d’affreuses erreurs de calcul, tout
cela fait désormais partie du Bureau du conseil, dès le lendemain de la
déclaration de guerre.
Il faut toujours se rappeler, aussi sûr
que l’on soit de remporter facilement la victoire, qu’il n’y aurait pas
de guerre si l’adversaire ne pensait pas qu’il a aussi une chance. » o ■
WSC
* Précédemment paru sur la riche page Facebook d’Aristide Ankou (26.8. 2025).
Par Aristide Ankou
Source et Publications : https://www.jesuisfrancais.blog/2025/08/27

Que Macron aille se battre
Par Gérard-André Elles
Que Macron aille se battre
Que Macron « aille lui-même » se battre, suggère Matteo Salvini pour ce qui concerne l’Ukraine.
Il y a deux sortes de chefs :
Celui qui se met devant ses troupes et commande ‘’ Suivez-moi ! ’’
Celui qui reste derrière ses troupes en hurlant ‘’ En avant ! ‘’
Cela pourrait immanquablement faire penser à un gamin qui, dans la cour d’école incite ses petits camarades à : ‘’On va jouer à la guerre et c’est moi le chef’’.
M. Macron, aime bien se la jouer grand chef guerrier, bombant le torse revêtu de la tenue qui sied.
Mais, Monsieur n’aime pas qu’on le mette face à sa vacuité, et ne fait que se ridiculiser davantage encore en convoquant l’ambassadrice italienne.
Macron représente un danger pour l’Europe… en cela Matteo Salvini a raison.
Mais pire, il peut l’être pour le monde entier !
Macron, Lors de son premier mandat, a voulu démontrer toute son autorité, clamant : ‘’le Chef c’est moi’’.
Forçant le Chef d’État-Major des Armées à la démission, car il ne voulait pas d’une amputation du budget des Armées… pourtant, c’était qui le prophète à l’époque ?
Dès lors, nous savons que la compétence, le courage, l’efficacité ne sont pas des critères nécessaires pour être élu président de la République !
N’avoir que la ‘’gueule’’ ne suffit pas, il n’y a qu’un De Gaulle par siècle.
On peut ne pas souffrir Macron et l’accabler de tous les maux dont souffre notre pays.
Mais lorsque l’évidence est posée sur la table comme le fait Salvini, on est obligé de reconnaitre les évidences.
Il est effarant de constater de nos jours que les questionnements ne sont plus les mêmes. Si d’aventures la situation de la France s’aggrave…
Qui est avec qui ? Qui sera l’allié ou l’aide ?
La théorie du domino est enclenchée et la majorité de nos concitoyens ne l’ont pas encore compris… ou ne veulent pas voir la réalité tout simplement.
Nous avons passé un cap et nombreux sont ceux qui ne veulent le voir.
Avec les 500 000 jeunes hommes musclés qui arrivent dans notre beau pays chaque année, il y a de quoi créer une grande armée avec ‘’ le chef ’’ à la tête, comme Napoléon au pont d’Arcole !
Comme on peut avoir la réflexion inverse, sauf que cette grande armée n’aura plus à franchir de frontières, pour conquérir le pays qu’elle convoite.
Que Macron, Nicolas Tenzer, généraux et colonels propagandistes de tous poils et en retraite aillent combattre en Ukraine puisque leur seul but est de déclencher un conflit de grande ampleur à travers l’Europe.
Et notre président va-t-en-guerre… lors des émeutes de 2023 ?
Et en décembre 2018 face aux Gilets jaunes ? Face à l’Algérie ?
Où était-il ? Que ne faisait-il le brave en temps voulu ?
Un couard, voilà ce qu’il est, retranché dans le bunker de l’Élysée.
Saint Louis était à la tête de son armée, Macron… comme à son habitude, derrière les lignes.

Par Gérard-André Elles
Attention ce texte est un pamphlet n’engageant que son auteur. Observatoire du MENSONGE défend la liberté d’expression !
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