TRIBUNES LIBRES !
Que sont devenus ces enfants du Hamas, biberonnés à la haine juive ?
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La preuve en Images
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NB: J’emploie volontiers le mot Juive dans le titre, et non celui d’Israël, car pour le Hamas Israël n’existe pas.
Leurs cartes géographiques ont anticipé la Palestine de la rivière à la mer avec une certitude diabolique.
Le bourrage de crâne des enfants est à l’oeuvre depuis des décennies dans le silence absolu et complice du monde libre et occidental.
Le Hamas (qui ne mérite pas un H majuscule) est une émanation des Frères musulmans.
La volonté de ce frérisme est d’imposer un Califat islamique mondial.
La diaspora du Hamas est devenue parmi la plus dangereuse au monde.
Peu veulent le voir, mais ses sources de financements ont essaimé partout dans le monde et ses réseaux dormants menacent notre/nos civilisation(s).
Les avertissements n’auront jamais servi à rien.
Rien n’a changé depuis.
Cette tendance suicidaire car soumise s’explique par le fait que la France depuis des décennies fait la sourde oreille à tous les avertissements d’Israël sur les véritables intentions du Hamas et son objectif principal, dévoilé par Rima HaSSan : détruire Israël de la rivière à la mer.
Roby Spiegel nous dit en écho (sic) : le Hamas ne cherche ni un État, ni une victoire militaire, il veut la disparition d’Israël même s’il doit tout perdre.
Sa jouissance n’aura plus de limite lorsqu’il annoncera au monde l’anéantissement de l’État hébreu.
Actuellement les jours du Hamas sont comptés, on ne sort pas impunément vivant en voulant détruire l’autre.
Au bout du comptoir, on doit un jour passer à la caisse, même si les supporters financiers de cette aventure barbare ne s’en remettent toujours pas et tentent par tous les moyens de protéger les apprentis barbares qu’ils ont copieusement arrosés des deniers des con-tribuables, des années durant, pour échouer dans leur mission de destruction du peuple Juif.
Or, ce problème est ancien, il dure déjà depuis plusieurs décennies.
Déjà, à l’ère mitterrandienne, souvenez-vous du Quai d’Orsay et des hommes de l’ombre du ministère des Affaires étrangères : tous ont fait en sorte d’enkyster la position historique et idéologique de ce ministère viscéralement anti-israélien, dans l’illusion de la reconnaissance d’un État palestinien, sans jamais avoir eu le courage de préciser si cet État ne devrait pas se créer à la place d’Israël, de cet État de trop selon eux !
L’organisation islamique du Hamas devenait alors une tête de pont, un cheval de Troie, un proxy, financé généreusement par le monde entier depuis des lustres.
Une manière de se donner bonne conscience, voire d’œuvrer pour le bon peuple palestinien : ce nouveau peuple de prolétaires, inventé à dessein par Sartre, Beauvoir et les islamo-gauchistes en lutte contre l’envahisseur israélien, le soi-disant voleur de terres.
Toutes ces décennies, l’ONU aura même excellé dans sa mission pour placer régulièrement Israël sur le banc des accusés, en faisant un bourreau, un assassin d’enfants.
Leur stratégie est éventée.
Elle contribue à vouloir détruire les 5790 ans d’histoire du peuple Juif ainsi que toutes ses valeurs : spirituelle, morale et humaine.
De nos jours, l’opinion publique a même réussi à faire oublier les massacres d’enfants israéliens le 7 octobre, et à retourner dans une inversion accusatoire indigne et haineuse ces massacres contre Israël.
C’est la réalité d’un mensonge à la Goebbels qui prend.
Depuis le 7 octobre, en visitant les tunnels du Hamas, Israël a mis la main sur des documents pouvant attester de l’existence d’un complot international, dont la thèse et la motivation étaient fondées sur la haine de l’État hébreu et sa prochaine destruction.
Le monde libre qui ne voulait pas voir a toujours mis la main à la poche pour confier le sale boulot au Hamas, au Hezbollah, aux Houthis, à l’Iran.
Après tout, ces pays, ces idéologies islamo-nazies ne cherchaient qu’à finir le travail de destruction des Juifs inachevé par Hitler.
Ces soutiens islamo-nazis assuraient prendre le relais de Amin al-Husseini, grand Mufti de Jérusalem et propagandiste de guerre pour l’Allemagne nazie.
Tant de haine pour en finir une fois pour toutes avec les Juifs et leurs lois morales.
Des lois qui empêcheraient le monde de jouir sans entraves.
Des lois qui culpabilisent, contraignent ce monde en folie qui se veut sans règles, sans nuances, et sans raison.
Ce que ces idiots utiles ignorent, c’est que les lois de l’islam qui vont leur être imposées dès demain seront pires que les dictatures de Staline, Pol-Pot, Kim Jong II et Mao réunies.
On dit que Paris durant les Trente Glorieuses a été longtemps la capitale des lumières.
Soit, mais alors pourquoi L’Élysée et sa politique unique des Droits de l’Homme inscrite dans sa Constitution (son catéchisme) est-il incapable de prendre conscience que le combat mené par Israël contre la barbarie islamo-nazie est existentiel, civilisationnel.
Un combat défensif qui devrait-être fraternel car identique aux valeurs universelles de la République française.
Nous sommes en guerre, disait-il ! Son rêve. Mon œil.
Mais le Juif est le bouc émissaire idéal pour rassurer les idiots utiles.
Il reste le coupable idéal. Coupable d’exister. Coupable d’avoir un grand nez.
Coupable d’être encore présent dans l’histoire humaine. Coupable d’avoir créé un État de trop. Hier, il empoisonnait les puits.
Aujourd’hui, il coupe l’eau à Gaza. Hier, il égorgeait l’enfant chrétien pour le pain azyme.
Aujourd’hui, il affame délibérément l’enfant palestinien.
La haine recycle ses mythes, toujours plus obscènes, toujours plus voraces.
Et toujours, c’est l’enfant que cette haine jette en pâture à la foule.
L’enfant comme accessoire, l’enfant comme prétexte, l’enfant comme projectile symbolique contre Israël.
L’enfant victime.
Il ne s’agit pas d’informer. Il s’agit de sacrifier.
D’exhiber des corps, de les clouer au mur pixelisé de l’indignation automatique.
Le Juif ne peut qu’être bourreau. Israël ne peut qu’être monstre.
Ce scénario a toujours été écrit d’avance de l’Antiquité à nos jours.
Tragédie immobile.
Liturgie sadique. Ils hurlent que le peuple de la Shoah, de victime est devenu bourreau et nazi.
Ainsi croyaient-ils trouver l’arme d’insulte absolue, la sentence définitive, la gêne, la frustration, la culpabilité.
Ce n’est pas une critique. C’est une messe noire.
C’est l’ultime transgression : faire de l’enfant mort un Christ palestinien, et du Juif, éternellement vivant le peuple déicide.
Pas un mot sur les otages.
Pas une larme pour les enfants juifs tués atrocement le 7 octobre par ces barbares, les jeunes femmes violées, kidnappées…
Ils ne comptent pas. Ils n’ont jamais compté.
La propagande les efface pour les substituer à d’autres plus représentatifs du mondialisme, du Grand remplacement décidé sans l’avis du peuple, en catimini.
Car dans cette cosmogonie de la haine, le Juif n’est pas un homme : il est une idée inconsistante qu’il faut détruire. Il est le mal absolu à incarner. Le fardeau à exhiber.
L’ennemi métaphysique à abattre.
Alors ils partagent leur haine sur les réseaux sociaux.
Ces idiots utiles tweetent et retweetent.
Ils montent des vidéos en musique sur fond de violons, comme à Auschwitz.
Et pendant qu’ils dénoncent un prétendu génocide, ils relancent un vieux projet : l’effacement symbolique d’un peuple, de la rivière à la mer.
Que la guerre soit atroce, nul ne le nie.
Mais que le mythe supplante la réalité, voilà le véritable crime.
Car ce n’est pas la paix qu’on prépare, c’est la prochaine purge.
La prochaine Shoah, le prochain 7 octobre.
Nous revoilà comme au Moyen Âge. Mais cette fois, ce sont les foules modernes qui portent les torches, qui hurlent mort aux Juifs.
Et c’est le réel qui brûle, comme les milliers d’hectares de forêts en France, en Espagne au Portugal.
Lorsque cela se produira, l’humain, accusé de blasphème, finira au bûcher des vilipendés.
Le vrai visage de la propagande du Hamas
Que devient une société qui apprend à ses enfants à tuer des Juifs ?
Dans la vidéo qui suit, nous avons montré à 20 personnes de vraies images de la propagande du Hamas que le monde entier considère comme pain bénit.
Les réactions de ces 20 personnes attestent qu’un énorme problème de désinformation se cache derrière l’évidence de ces réalités.
Regardez cette vidéo irremplaçable.
Une propagande émotionnelle et orientée pour récolter un maximum de dons est véhiculée par l’UNICEF sur de nombreux médias, ces enfants sont pris au piège d’un conflit sans fin dans l’enclave palestinienne devenue un champ de ruines, un cimetière à ciel ouvert.
Les mots faim, souffrance, malnutrition, traumatismes, peur sont mis en avant pour condamner sans équité.
L’ignominie de l’Unicef s’indigne de voir des enfants se faire tuer en tentant de chercher à manger, de voir l’ensemble de la chaîne humanitaire paralysé à cause du blocus israélien.
Il fallait créer une situation de drame absolu pour manipuler l’émotionnel et l’humanisme.
Coalition et mobilisation de toutes les instances internationales debout pour accuser Israël d’affamer les Palestiniens sans jamais accuser le Hamas de détourner, de voler par la force l’aide humanitaire, la cacher dans ses tunnels, puis revendre au marché noir ces prises de guerre, au prix fort.
Sans jamais reprocher à l’ONU ses retards d’envois humanitaires.
Ce deux poids deux mesures nous explique un nouveau moyen de nuire à Israël dans une période internationale très difficile pour elle.
La mobilisation me semble même plus massive, plus haineuse, plus paroxysmique, plus émotionnelle que durant la guerre du Vietnam.
Que le sort des otages soit irrécupérable n’indigne personne, les Israéliens n’étant pas des êtres humains à leurs yeux mais des bourreaux d’enfants.
Et cette vidéo exceptionnelle à voir en entier explique que ce que l’on ne comprend pas, on le déteste.
https://vm.tiktok.com/ZNdX2hFSe/
Par Patrick Granville.
Source : https://ripostelaique.com
Merci de m’avoir lu jusqu’au bout. Par les temps qui courent, l’écriture remplace le divan.
« Mal nommer les choses ajoute au malheur au monde. »
Albert Camus
ET AUSSI
Israël se donne enfin les moyens d’éradiquer le Hamas
Il y a trois jours à peine, nos médias menteurs gorgés de pétrodollars annonçaient que le Hamas avait accepté des propositions de cessez-le-feu.
Tandis qu’au même moment, une bande armée de terroristes attaquait par surprise un petit détachement de Tsahal, faisant plusieurs victimes.
La nécessité de riposter contre ces fanatiques qui ne comprennent que la force fut probablement le fait déclencheur d’une offensive à laquelle Bibi pensait depuis un moment.
Cette fois, fini les atermoiements.
Israël rappelle 60.000 réservistes, opérationnels début septembre, pour extraire cette tumeur maligne et ses métastases
Certains Juifs ne cachaient pas, en privé, leur déception devant ce qu’ils appelaient la mollesse de Netanyahou après le pogrom du 7 octobre.
Ils auraient voulu que le mal soit extirpé définitivement, de suite, et trouvaient longue l’attente.
Plus de vingt-deux mois tout de même…
Puis ils sont revenus à plus de réalisme quand ils ont admis qu’avant de lancer une offensive radicale, il fallait d’abord nettoyer le terrain.
L’État hébreu devait se battre sur plusieurs fronts à la fois et les neutraliser les uns après les autres.
D’abord rendre la vie impossible aux lâches de Gaza bien planqués dans des souterrains, dissimulés derrière des écoles, des hôpitaux, des commerces, des mosquées et des immeubles d’habitation.
Bénéficiant de la complicité de 90 % de la population, fanatisée par la guerre sainte.
Ensuite, démantibuler l’armée du Hezbollah qui menaçait sans cesse le Nord d’Israël.
Éliminer ses cadres et détruire ses caches d’armes était un préalable nécessaire à toute action d’envergure.
Avant de secouer avec l’aide des Américains les Iraniens, colporteurs de haine et fournisseurs d’armes.
Ceci fait, il était temps de revenir à Gaza pour en finir avec les assassins retranchés dans les décombres.
L’écrasement du Hamas est possible, il y a une fenêtre de tir, ils vont en profiter
L’appareil politico-militaire du Hamas est affaibli, ses combattants morts ou dispersés, sa puissance économique en berne, malgré ses rapines de nourriture et de marchandises au détriment de l’aide internationale.
Le moral des Gazaouis serait au plus bas, ce qui les rend moins enclins à servir de bouclier humain à ceux qui les affament.
Le rappel de 60.000 citoyens-soldats est destiné à appuyer l’armée en campagne, pour changer de stratégie.
Israël ne se défend plus de façon ponctuelle contre des terroristes.
Il les éradique systématiquement, eux et leurs soutiens.
Et détruit tout ce qui peut leur permettre de continuer à nuire et de revenir assassiner des civils.
Pour cela, le contact au sol est inévitable.
Afin de terminer le travail que les frappes aériennes ne peuvent parachever.
Gaza est un piège de béton et d’acier, un entrelacs de tunnels, de cours et de venelles, un champ de ruines hostile où chaque maison, chaque véhicule, chaque quidam d’apparence inoffensive peut dissimuler un combattant capable d’allumer un couloir de feu ou de se transformer en bombe humaine.
Il y a urgence car le Hezbollah et les Houthis sévèrement atteints reconstituent leurs forces.
Or on ne doit jamais oublier que les islamistes, dans leur conquête du monde, qui passe par l’élimination d’Israël, considèrent que le temps et une démographie galopante jouent pour eux.
Leurs enfants-soldats formés à tuer dès l’école maternelle ne choquent même plus, tellement on y est habitués.
La mobilisation de tout un pays contre son pire ennemi, cruel, sadique et implacable n’est pas un ajustement tactique, c’est la démonstration imparable qu’une offensive totale se prépare à écraser les derniers bastions armés du Hamas.
Tsahal ne fléchira pas tant qu’il restera une cave, un souterrain, une ruine, un amas de décombres pouvant servir de poste de combat aux djihadistes.
Quelques collabos encensés par nos médias islamo-gauchistes ne représentent que la fange de la société.
Le contrôle de chaque mètre carré de terrain est une nécessité sinon la guerre asymétrique pourrait reprendre à tout moment
Si l’armée régulière est le fer de lance avec ses avions, ses hélicos, ses blindés, ses brigades et ses unités spéciales, les réservistes en sont le bouclier et la logistique.
Attentifs pour déjouer les pièges d’un ennemi sournois.
Vigilants pour venir en renfort là où c’est nécessaire.
Minutieux pour gérer les secteurs reconquis.
Car c’est à la fois la faiblesse et l’honneur de Tsahal d’éviter le plus possible les dommages collatéraux.
Quand les barbares d’en face tirent dans le tas, sans faire de détail, pas même avec leurs coreligionnaires.
L’armée israélienne dispose d’un équipement performant, d’un entraînement rigoureux, d’une logistique et de transmissions bien rodées, avec une supériorité technologique incontestable.
Mais ils vont devoir changer d’échelle.
Passer des opérations ponctuelles aux actions de masse.
Multiplier les lignes de front, décupler les capacités offensives, ne pas laisser une minute de répit aux ennemis.
Les traquer sans relâche et les buter jusque dans les chiottes comme préconisait ce bon Vladimir.
Une stratégie dont on espère que nos généraux sauront s’inspirer le moment venu, lorsque ça pétera pour de bon en Europe avec la cinquième colonne djihadiste qui affûte ses lames à l’ombre des minarets.
Des Européens indifférents aux attentats depuis des années, et qui ont oublié le pogrom du 7 octobre, font mine de plaindre les Israéliens obligés de se battre pour assurer leur survie.
Le rappel des réservistes, hommes et femmes, n’est pas seulement une mesure militaire.
Cette décision va bouleverser la société civile, ses structures et ses hiérarchies.
Arracher des familles à leur quotidien, fragiliser des entreprises, désorganiser des hôpitaux, perturber le système éducatif.
Faire vivre tout un pays dans une angoisse permanente quand les parents, les enfants, les amis, les collègues, les voisins peuvent être tués à tout moment.
Simple différence de degré, pas de nature, puisque la vie de chacun est menacée constamment par des terroristes.
Quant à la réprobation internationale des moralistes cauteleux, leur démission aux pires moments, quand ils n’encourageaient pas les assassins, les disqualifie définitivement.
En toute hypothèse, c’est le prix à payer pour une guerre totale où l’arrière est réduit à sa plus simple expression quand tout le monde est appelé au combat.
Mais avaient-ils le choix ?
Contre des fanatiques qui ont déjà dessiné les cartes d’un nouveau pays s’étendant du Jourdain à la Méditerranée.
Sans dire ouvertement ce qu’ils feraient des Juifs qui s’y trouvent. Mais on en a quand même une petite idée.
Les crapules mondialistes vendues au djihad font entendre les couinements de leur indignation sélective
Dans les pays voisins, la rue arabe s’embrase à l’idée que Gaza pourrait subir un nettoyage en règle.
Des gouvernements s’agitent, supputent, proposent leurs bons offices.
Des chancelleries calculent.
Des généraux ajustent leurs préparatifs.
Mais même si la Turquie, le Qatar et l’Égypte dénoncent le réarmement accéléré d’Israël, leurs militaires sont peu gourmands de se faire humilier par une armée qui les surclasse.
Les capitales occidentales s’affolent, craignant des répercussions rendant encore plus fous furieux les djihadistes que leurs pays ont invités à s’installer, et subventionnés pour qu’ils prolifèrent.
Contre ce cheval de Troie, Macrounette, Nick Starmer, Hitmerz et les autres idiots utiles du Hamas tremblent rien qu’en imaginant les représailles que des Algériens, des Turcs, des Pakistanais ou des Afghans pourraient exercer dans une Europe émolliente dirigée par des eunuques, si leurs coreligionnaires subissaient un désastre total.
Les Nations désunies multiplient leurs communiqués alambiqués, des diplomates pusillanimes évoquent la possibilité d’un embrasement généralisé, Macrounette brandit des cocottes en papier proclamant la création d’un État palestinien fantoche, des ONG aux larmes de crocodile annoncent un désastre humanitaire imminent, mais Israël montre une détermination implacable.
Justifiée par trop de drames dans le passé.
Le gouvernement de Jérusalem veut en finir avec le Hamas quel qu’en soit le prix.
Aucune reculade n’est possible.
Chaque fois depuis vingt ans qu’ils ont essayé de trouver une solution pacifique avec ces illuminés, ceux-ci l’ont interprétée comme une faiblesse, les incitant à être encore plus agressifs.
Avec toujours plus d’attentats et d’assassinats.
Parce que c’est dans leur culture.
« Allah n’aime que les forts ».
Il est temps de leur apprendre que Yahweh lui aussi préfère les vainqueurs.
Par Christian Navis
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