REVUE DE PRESSE !
Cette jeunesse radicalisée qui rêve de faire tomber la France…

Deux adolescents, 15 et 17 ans, mis en examen pour association de malfaiteurs terroriste criminelle : derrière ces mots froids de justice, une réalité glaçante.
Ces mineurs, fascinés par Daech, visaient ni plus ni moins que des synagogues et la tour Eiffel.
Voilà donc le visage du terrorisme « endogène » : une menace née et nourrie sur notre sol, au cœur même de la jeunesse française.
Issus de familles arabo-musulmanes, ces garçons n’ont pas seulement « fantasmé » la violence : ils s’y préparaient.
Sur des messageries cryptées, ils glorifiaient l’État islamique, échangeaient des vidéos d’atrocités et rêvaient de départs pour le djihad.
Mieux — ou pire — ils prospectaient déjà sur le dark web pour se procurer des armes.
La Tour Eiffel, symbole planétaire de la France, et les synagogues, éternelles cibles de l’antisémitisme islamiste, étaient au cœur de leurs projets.
Faut-il rappeler que la radicalisation de mineurs n’a rien d’anecdotique ?
En 2022, deux mineurs interpellés.
En 2023 : quinze.
En 2024 : dix-huit.
Et déjà treize depuis janvier 2025.
Un rajeunissement effarant. Immaturité, impulsivité, fascination morbide pour la violence : le cocktail est explosif.
Si explosif que le Parquet national antiterroriste a dû créer, en mai dernier, une section spéciale pour les mineurs.
Ce constat, d’ailleurs, n’est pas seulement français.
Partout en Occident, la même gangrène avance.
Montréal, août 2025 : un adolescent de 17 ans, adepte de Daech, arrêté alors qu’il cherchait à acheter des armes à feu.
En Belgique, en Suisse, ailleurs encore, la même mécanique se répète.
Partout, des jeunes absorbés par la propagande islamiste et happés par le nihilisme du djihad.
Mais ici, en France, la question est plus grave encore.
Car ces jeunes radicalisés ne sont pas importés de Syrie, mais bien nés à Paris, dans le Val-de-Marne, dans nos propres villes.
Ils ont grandi avec les codes du numérique, avec la « culture » de la république, avec notre école — et c’est le rejet de la France qu’ils portent dans leurs veines.
Alors oui, on nous dira que « tous ne passent pas à l’acte ».
Mais combien faudra-t-il de Bataclan, de Nice, de Saint-Étienne-du-Rouvray pour comprendre que la source de ce mal est en amont, dans la formation d’une contre-société nourrie par le ressentiment, l’antisémitisme et le refus d’assimilation ?
À force de fermer les yeux, nous en sommes à constater que des adolescents de 15 ans rêvent d’abattre la tour Eiffel.
Faut-il vraiment attendre qu’ils passent à l’acte pour comprendre que le problème n’est plus marginal, mais structurel ?
ET AUSSI
Les vrais résistants défendent Israël et les pires islamo-collabos soutiennent la « Palestine »
Notre ami Guy Millière publie un remarquable article, ce jour, sur les forces en présence, dans le milieu politique et médiatique, autour du conflit israélo-palestinien.
https://www.dreuz.info/2025/08/le-hamas-genocidaire-et-ses-complices-occidentaux-318881.html
Il y rend un hommage appuyé à Donald Trump, et pointe du doigt l’ensemble de la gauche et des médias qui véhiculent les trois principaux mensonges de la propagande du Hamas.
Premier mensonge, cacher au monde que le Hamas se sert des civils comme bouclier, et espère que les soldats israéliens tueront un maximum de femmes et d’enfants, pour les accuser encore plus de génocide, alors que Tsahal multiplie les efforts pour éviter au maximum de faire des victimes civiles.
Deuxième mensonge, le coup du génocide, quand 98 % de la population de Gaza est encore en vie, et que le nombre d’accouchements est supérieur au nombre de décès.
Troisième mensonge, la grossière manipulation de la famine, alors que le Hamas confisque l’aide alimentaire et tire sur les Gazaouis qui veulent profiter de l’aide des associations israéliennes et américaines.
Mais il est utile de compléter cet article par la réalité des forces en présence, en France, et leur rapport à l’islamisation de notre pays.
Sans surprise, on constate que les pires collabos immigrationnistes et lèche-babouches, qu’ils s’appellent Macron, Mélenchon, Tondelier, Roussel ou Faure, les syndicats collabos et les associations antiracistes ou à migrants vomissent leur haine sur Israël et défendent un prétendu État palestinien qui serait islamiste, et n’aurait qu’un seul objectif, détruire l’État hébreu.
Il est légitime de les qualifier d’antisémites, puisque, par leur politique, ils encouragent les musulmans à exterminer les Juifs, au Moyen-Orient comme en France.
En France, Reconquête, parti le plus déterminé à lutter contre l’islamisation de notre pays, est la formation qui affiche le plus clairement son soutien pour Israël et pour la politique de Netanyahou, alors que le RN, correct sur cette question, notamment grâce à l’exceptionnel Julien Odoul, est plus prudent dans le propos.
Dans le monde, comme le dit Guy Millière, Donald Trump est le chef d’État occidental le plus courageux et de très loin, mais des personnalités comme Giorgia Meloni, Viktor Orban, Nigel Farage, Alice Weidel ou Geert Wilders, en pointe dans le combat pour la défense de la civilisation européenne, sont également des amis et des soutiens actifs d’Israël.
Sans oublier Javier Milei ou Nayib Bukele.
Comme notre site essaie de l’être, ils sont cohérents. Israël lutte contre les mêmes ennemis que nous.
Bien qu’étant un petit pays, il se bat pour survivre, grâce à un chef d’Etat exceptionnel, cible numéro un des collabos de France et du monde entier qui osent le traiter de criminel de guerre.
Il est donc logique de soutenir un pays qui a décidé de ne pas mourir, et qui se donne les moyens de vivre, en éradiquant les islamistes qui ont juré sa perte.
Où est le problème ?
Source : https://ripostelaique.com/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire