LA CHUTE VERTICALE…
Par Jean-Marie Pieri
LA CHUTE VERTICALE…
La France souffre le martyre elle craque de partout économie, éducation, ordre public, justice, politique, entreprises publiques ou privées, administration tout va de travers on s’attaque à toutes les catégories, jeunes, retraites actifs ou non tout y passe, sauf les nantis et autres parasites, pardon je voulais dire les élites qui nous gouvernent.
Au fait parlons en de ces élites autoproclamées qui sévissent en toute impunité.
Système incohérent incompatible avec les demandes du peuple, arrogant, manipulateur, violent il n’accorde aucune attention aux protestations légitimes, écrasant de son mépris toute velléité de résistance, cynique et menteur ne défend que les intérêts de la caste au pouvoir corrompue par les privilèges non justifiés.
Charité bien ordonnée commence par soi même c’est une évidence!
La noblesse de sang de l’ancien régime fondée sur le respect et la valeur morale n’existe plus elle a été remplacée par la noblesse d’argent avec toutes les dérives possibles d’une bourgeoisie dite révolutionnaire vénale et inculte a vite mis un terme au siècle des lumières pour tourner la page des idéaux de la révolution et les droits de l’homme oubliés par contre le triomphe des parvenus arrivistes de tout poil vulgaires petits marquis épris de leur nombril et au mieux de leur costume trois pièces témoigne d’un effondrement inouï de la société française l’empire des marchands du temple est un feu d’artifice trompeur un abaissement de toutes les valeurs que l’on prône mais que l’on n’applique jamais.
Félonie, mensonge, trahison, corruption, forfaiture deviennent les valeurs ultimes de l’escroquerie progressiste synonyme de retour aux ténèbres sauvons la planète chantent les ayatollahs écologistes quand il s’agit de sauver un pays en perdition.
La chute verticale de la verticalité des azimutes du cerveau nous conduit souvent vers la tyrannie sorte de dictature démente.
Le manque de respect et le mépris du peuple se paye comptant au tribunal de l’histoire.
. Avis aux amateurs et autres satrapes d’opérette qui maltraitent les peuples tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se brise.
Par Jean-Marie Pieri
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Ce texte est une Tribune Libre qui n’engage que son auteur et en aucun cas Observatoire du MENSONGE
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ET AUSSI
MALAISE DANS LA GENDARMERIE : UNE DÉMISSION SILENCIEUSE
Par MINURNE
MALAISE DANS LA GENDARMERIE : UNE DÉMISSION SILENCIEUSE
La Gendarmerie Nationale traverse une profonde crise de sen et nous relatons quelques chiffres en provenance de l’intérieur de l’institution.
Aux premiers chefs : fatigue,
pression, perte de sens : les rangs de la gendarmerie française se
vident à un rythme inquiétant.
En 2024, près de 8 000 gendarmes ont quitté l’uniforme.
Un groupe Facebook privé, GIE : Côté démission, réunit déjà plus de 23 000 membres, tous unis par le même constat : ça ne peut plus durer.
Voici ce que disent les chiffres : +25 % de départs entre 2018 et 2022, 15 000 départs recensés en 2022, 8 000 départs en 2024.
Et 23 600 gendarmes ont adhéré à un groupe privé de démissionnaires ou en cours de démission, selon « Actu Forces de l’Ordre ».
S
ur le terrain, fatigue et désillusion se font sentir, avec des témoignages fréquents de journées interminables, d’astreintes à répétition, assorties de manque de moyens, dans des locaux vétustes.
Dans cette administration là aussi, on évoque une hiérarchie déconnectée, une vie familiale sacrifiée et dans le groupe Facebook, devenu un exutoire, on retrouve des expressions comme : « Je pars pour survivre, pas pour fuir ».
Le groupe GIE : Côté démission est un espace d’entraide entre collègues.
On y parle des procédures de démission, des reconversions possibles et on apporte du soutien moral.
Evidemment, l’institution garde le silence, la presse aussi.
Malgré ces signaux d’alerte connus de tous, la direction parle d’un « taux de renouvellement maîtrisé ».
Mais sur le terrain, la lassitude est profonde, et les vocations s’effondrent.
Les gendarmes, demandent comme bien d’autres catégories professionnelles, des conditions de travail plus humaines, du respect de la part de l’administration, une reconnaissance officielle du malaise qui conduit la gendarmerie à traverser une crise silencieuse mais bien réelle dans laquelle il semble plus aisé de démissionner que d’engager un combat pour sauver sa condition.
« Le bateau coule, mais on ne nous écoute pas », pourrait être une forme de conclusion.
Bien entendu, le malaise des gendarmes ne peut pas être isolé du reste des administrations chargées du maintien de l’ordre, justice en tête.
Il faut sans doute y voir un lien avec le discours de quelques élus récemment, faisant état du sentiment d’une forme d’impunité chez les voyous, c’est bien toute la doctrine du maintien de l’ordre, des sanctions et de leur application qu’il faut revoir.
Par Pierre Duriot
Par MINURNE
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Quoi qu’il arrive, nous n’oublierons jamais le massacre du 7 octobre 2023 perpétré en Israël par les terroristes du HAMAS.
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