REVUE DE PRESSE !
La Nuit du Bien commun attaquée par la haine gauchiste

Le bernard-l’ermite est un crustacé dont la particularité est d’avoir un abdomen mou.
C’est la raison pour laquelle il vole les coquilles des autres crustacés, allant jusqu’à les dévorer pour ce faire.
Il en est de même des gauchistes, dont le cerveau mou les empêche d’être inventifs et c’est pour cela que, aidés de leur férocité frustrée, ils volent les initiatives d’autrui.
Ainsi, les gauchistes ne vont pas créer une histoire, ils vont plutôt en détourner une, préexistante.
Le récent fiasco des studios Disney – gangrenés depuis quelques années par des wokistes fanatiques – le prouve.
Au lieu d’imaginer une princesse woke à souhait, ils ont préféré saccager l’iconique dessin animé Blanche-Neige et les Sept Nains – adaptation d’un vieux conte allemand et sorti en 1937 –, avec une réinterprétation déplorable ayant coûté environ 270 millions de dollars pour en rapporter dans le monde à peine plus de 205.
Autrement dit un échec commercial.
Tout ce que touche la gauche s’abîme dans les limbes de l’inanité.
Mais ce qui rend la gauche encore plus féroce, c’est la réussite d’en face, surtout si cette réussite est morale et leur renvoie leur impuissance dans ce domaine.
C’est ainsi que la Nuit du Bien commun a hystérisé ces hordes stériles, venues manifester jeudi soir devant Les Folies Bergères, à Paris, où se tenait une soirée bienveillante et dédiée aux plus fragiles d’entre nous.
La Nuit du Bien commun, incriminée par la nébuleuse de gauche – de ceux qui se sont réjouis de l’incendie de Notre-Dame ou qui rêvent d’assassiner tous leurs opposants, avec la bénédiction tacite de médias qui n’y voient pas malice ! –, n’est pourtant pas une officine où l’on récite tous les soirs les versets de Mein Kampf – contrairement à certaines organisations de gauche où l’on clame d’autres versets, passons ! –, bien au contraire.
Comme son nom l’indique, et grâce à des dons privés – récoltés notamment lors de soirées comme celle des Folies Bergères –, La Nuit du Bien commun porte assistance à des associations venant en aide aux plus démunis, ceux que le pouvoir délaisse de plus en plus chaque jour, occupé à payer les frais de représentation orgiaques et les salaires des Delphine Ernotte, et autres parasites du système.
En allant sur le site de La Nuit du Bien commun, on découvre les associations suivantes :
- Léa : « L’association LÉA est un dispositif qui a pour objectif le soutien et l’appui à la parentalité des aidants, des familles dont au moins un des enfant(s), entre 0 et 25 ans, est malade, porteur de troubles ou de handicap(s). »
- Handi’chiens qui « éduque et remet gratuitement des chiens d’assistance pour personnes en situation de handicap ou de vulnérabilité depuis 1989 ».
- Les Cahutes de Louise, « créatrice de souvenirs heureux, l’association propose des séjours d‘exception gratuits pour les enfants malades et leur famille. C’est une parenthèse de répit dans un cocon posé dans un cadre exceptionnel, le temps d’un week-end, d‘une semaine où la maladie se fait oublier ».
https://www.lanuitdubiencommun.com/
C’est donc ça qui gêne les gauchistes adorateurs de Marat, Lénine, Staline et Mao ?
Pourquoi donc ?
Parce que La Nuit du Bien commun ne cache pas son attachement à certaines valeurs, catholiques en l’occurrence.
Et comme la gauche d’aujourd’hui est pétrie d’amour à l’endroit d’une autre religion, laquelle ne dissimule pas sa haine de la Croix, alors ça ne leur convient pas.
Peu importe que La Nuit du Bien commun vienne en aide aux plus abîmés par la vie, ils sont coupables d’être catholiques et d’être attachés à leur pays.
Ce qui n’est pas très étonnant de la part de gauchistes apatrides toujours tournés vers les ennemis de la France, dont les dignes ancêtres ont contribué à la livraison des Juifs aux Nazis.
Aussi, le prétexte Pierre-Édouard Stérin – la nouvelle bête noire des gauchistes qui a depuis quitté le conseil d’administration de l’événement –, repris en cœur par les médias, n’est qu’un faux prétexte.
Le nœud gordien est là : « À mort les catholiques et les chrétiens en général ! ».
Rappelons que La Nuit du Bien commun ne se soucie pas de la couleur et la confession de ceux qu’elle aide, contrairement au camp d’en face qui n’aide que ceux répondant à son lourd et ténébreux cahier des charges.
Eux c’est plutôt la nuit du mal communautariste !
Et Libération de la parole fétide de titrer avec d’hypocrites guillemets : « Reportage : “Derrière la charité, des associations réactionnaires sont financéesˮ : à Paris, une manifestation contre la “Nuit du bien communˮ de Stérin ».
« Plusieurs centaines de personnes ont affiché jeudi 4 décembre, devant la salle des Folies Bergère, leur opposition à ce gala de charité lié au milliardaire identitaire Pierre-Edouard Stérin. »
Donc, ces amoureux de la haine – surtout de soi lorsqu’on voit qui manifestait violemment contre La Nuit du Bien commun à Paris, tout plein de petits Blancs énamourés pour l’Autre – ont fait la seule chose qu’ils savent faire : détruire.
Ainsi, « plusieurs collectifs et syndicats, dont la CGT, Solidaires ou Attac, ont manifesté bruyamment devant la célèbre salle.
Des tirs de mortier ont également été lancés depuis le toit du bâtiment, nécessitant l’intervention des forces de l’ordre à l’extérieur, comme en témoignent des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux ».
Le moins que l’on puisse dire c’est que cette minorité très active – car ils sont en réalité une poignée, mais une poignée agissante – est très efficace pour traquer les dissidents, collant parfaitement à cette citation de Balzac : « Jamais la Police n’aura d’espions comparables à ceux qui se mettent au service de la Haine. »
En Effet, ces individus monstrueux servent la haine comme La Nuit du Bien commun sert… le Bien.
« Pas de charité pour les réacs ! », hurlait encore cette meute odieuse qui prend volontiers l’argent desdits « réacs » pour financer ses associations malfaisantes, dont SOS Méditerranée, celle qui déverse chez nous des masses de migrants, dont certains violent et tuent des jeunes filles blanches.
Et si : « La Haine c’est la colère des faibles » (Alphonse Daudet), alors il est temps d’en finir avec celle de la gauche qui souille à présent la troisième vertu théologale : la Charité, dont il n’est pas nécessaire d’être croyant pour admettre sa vitale importance dans notre société…
Source : https://ripostelaique.com/la-nuit-du-bien-commun-
ET AUSSI
Si vous êtes 1000 à donner 100 euros, on baise les gauchos

Hier, je vous ai fait un appel que j’ai voulu vibrant, pour vous expliquer la situation de Riposte Laïque.
Je dois vous le dire, les choses ont mal commencé, la première journée n’est pas bonne.
On va dire que nous sommes des coureurs de fond, et que nous partons lentement, mais il ne faut pas se faire distancer de trop.
Je compte donc sur vous pour qu’on soit plus optimiste.
Les choses sont simples.
Vous êtes des milliers à lire Riposte Laïque tous les jours, et à regarder mes vidéos.
Si 1000 d’entre vous donnent 100 euros, on baise les gauchos, donc, faites vous plaisir, et sauvez Riposte Laïque.
Par ailleurs, je commenterai sur cette vidéo la dernière plainte contre nous, de la LDJ, et les deux condamnations d’Éric Zemmour et Raphaël Arnault, ainsi que quelques autres décisions judiciaires du jour…
VIDÉO: https://www.youtube.com/watch?v=7JctlYyriIc
Pour nous aider :
https://ripostelaique.com/operation-decembre
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