mercredi 12 mars 2025

RENNES (35) EST DEVENUE UNE VILLE OÙ LES AGRESSIONS SE MULTIPLIENTS AVEC L' IMPUNITÉ DES GAUCHISTES !

 

LU,VU ET ENTENDU !

Fac de Rennes vandalisée, agressions : l’insupportable impunité des gauchistes

Il n’y a plus un jour sans que les islamo-gauchistes, la « gauche » et les bien-pensants ne montrent leur dangerosité, leur violence, leur sectarisme et leur débilité.

Rien que ces derniers jours, ce fut démontré à plusieurs reprises de manière éclatante.

D’abord vendredi 7 mars au soir à Paris. 

Manifestation, soit-disant en préparation de la « Journée de la femme ». 

Au passage on me permettra de rire de cette imbécillité… 

La journée de la femme. Les femmes ne représentent que la moitié de l’humanité mais elles bénéficient d’une « journée » comme s’il s’agissait d’une espèce à protéger car en voie de disparition. 

Pitoyable.

Mais on constate aussi d’année en année que le combat pour les droits des femmes, qui était une cause respectable à ses débuts, est devenu du grand n’importe quoi.

 Il n’y a plus de combat pour l’égalité homme-femme, pour l’égalité salariale à compétence égale, contre les discriminations, etc.

Aujourd’hui le combat des femmes est un combat contre les hommes, contre leur société patriarcale et pour la destruction de cette société.

C’est là qu’on revient à la manifestation de vendredi soir. Il paraît que c’était pour les droits des femmes.

 En réalité c’était une manifestation organisée par des organisations pro-palestiniennes dont l’une est même le faux-nez du FPLP, une organisation officiellement classée terroriste. 

 Le préfet de police l’a donc interdite… les juges l’ont bien sûr autorisée. 

Consternant.

Le lendemain, samedi 8, nouvelle démonstration dramatique de ce qu’est devenu le combat « féministe ».

 Une manifestation durant laquelle il n’y avait quasiment aucun mot d’ordre pour l’égalité homme-femme ou pour condamner des discriminations que subiraient les femmes.

Non, les mots d’ordre étaient surtout centrés sur la Palestine et sur Gaza, avec moult drapeaux palestiniens. 

Qu’est-ce que la Palestine et Gaza viennent faire dans une prétendue manifestation pour les droits des femmes ?

C’est simple : le « combat des femmes » a été récupéré et détourné par l’extrême gauche avec le soutien d’une « gauche » qui se couche devant eux. 

Et en plus il y avait des islamistes. 

Là on me permettra de me rouler par terre de rire.

Les islamistes défenseurs des droits des femmes ? 

C’est un peu comme si nous disait qu’à l’époque, Hitler avait été président d’une association de défense des Juifs.

 

Comment peut-on être taré comme ces militants de « gauche » pour défiler avec des gens qui, lorsqu’ils dirigent un pays (Iran, Afghanistan, Arabie saoudite, Pakistan, Algérie, etc.), nous montrent comment ils traitent les femmes, allant jusqu’à les tuer si elles ne veulent pas se soumettre à l’autorité des hommes ni aux préceptes de l’islam ?

 

Ajoutons que ces décérébrés gauchistes et islamistes ont également agressé physiquement les manifestantes de Némésis qui souhaitaient manifester mais en n’oubliant pas de dénoncer les violeurs migrants et sous OQTF qui sévissent quotidiennement dans notre pays, et en exigeant leur expulsion de France.

 

Donc, là, face à ces agressions et viols que la gauche et les bien-pensants ne veulent pas voir, il n’y a pour eux qu’une réponse : la violence.    Et ce fut le cas.

Némésis a donc été expulsée manu militari de la manifestation et fut obligée de manifester dans un cortège à part et sous la protection de la police.

Et certains osent dire que c’est « l’extrême droite » qui est violente et agresse en France ?

Il serait temps que les responsables de ces exactions aillent là où ils méritent d’être : en prison. 

D’autant que sur le parcours de leur manifestation on pouvait voir sur les murs des tags : « Une rafale pour Cordier » (la responsable de Némésis).

 Il s’agit d’un appel au meurtre du même tonneau que ce que Raphaël Arnault (antifa de Lyon élu député LFI) avait déclaré : « Si Alice Cordier vient à Lyon, ce sera une balle dans la tête ». 

Si nous vivions dans un pays normal, leurs auteurs, à commencer par Raphaël Arnault, devraient être jetés en prison.

 Mais nous sommes dans la France de Macron et dans ce beau pays Raphaël Arnault n’est pas en prison, mais en plus il se permet de dénoncer les prétendues violences de l’extrême droite. Inversion complète des rôles. 

 On croit rêver !

Quant à Rima Hassan, elle n’oublia pas d’apporter sa petite pierre à l’édifice en publiant sur son compte la photo d’un tag : « Dissoudre Némésis à l’acide ». 

Ça aussi, c’est condamnable.

 Au passage on rappellera aussi à la dame sympathique comme une tarentule que c’est surtout dans les pays qu’elle glorifie qu’on défigure les femmes à l’acide.

Un second fait mérite d’être rapporté tant il est grave et représentatif de la dégradation et même de la décomposition que connaît notre pays : la situation à Rennes.

Il y a à peine une décennie, Rennes était une ville de province tout à fait sympathique.

Depuis 1977, le PS dirige la ville. 

La maire actuelle est Nathalie Appéré. 

Cette socialiste laissera son nom dans l’histoire de sa ville comme celle qui, en une dizaine d’années (elle est maire depuis 2014), aura largement contribué à la désintégration de cette cité. 

La police municipale n’est pas armée, mais on se bat à coups de Kalachnikov dans les rues et le trafic de drogue est partout. 

Tout comme les « mineurs isolés » sont incroyablement nombreux.

 Le résultat est une insécurité délirante et une délinquance qui ne l’est pas moins.

Mais les malheurs de la ville ne s’arrêtent pas là.

 L’université de Rennes est également en phase de destruction accélérée par l’action d’organisations antifas, de syndicats et de LFI.

La faculté de Rennes 2 est tout particulièrement touchée. 

Depuis des semaines, une mobilisation étudiante s’est développée, au départ pour protester contre des coupes budgétaires. 

Sauf qu’on a très vite vu arriver les mêmes tarés violents et cette mobilisation fut le prétexte à un déchaînement de vandalisme qui va coûter plus de 300.000 € de travaux que le citoyen va payer puisque tout cela n’existe que grâce aux impôts des Français.

 Là encore, on a vu fleurir sous forme de tags des « Free Palestine » ou « Free Georges Abdallah » (un terroriste palestinien actuellement en prison). 

Quel rapport avec les problèmes budgétaires ?

À nouveau, c’est l’extrême gauche dont LFI qui en est responsable. 

Notamment le « syndicat » Union Pirate, fondée à Brest par la députée Marie Mesmeur (La France Insoumise), mais aussi le groupe « Défense Active » et le syndicat « Solidaires » – syndicat gauchiste toujours dans les bons coups – qui ont fait dégénérer le mouvement qu’un nombre considérable d’étudiants non moins dégénérés ont accepté de suivre.

La police est intervenue et 5 personnes ont été mises en garde à vue et seront jugées le 24 avril 2025.

Et bien sûr, en plus de la vandalisation des bâtiments, ces débiles ont également ajouté l’inévitable violence qu’ils utilisent en permanence pour imposer leurs opinions.

Deux personnes en ont fait les frais.

 L’une est l’ancien responsable du RN jeune et l’autre est le collaborateur parlementaire d’un député européen RN.

Ils ont été reconnus par des antifas qui se sont jetés sur eux en meute, les ont agressés, frappés à terre et volés.

On notera au passage, comme le rapporte le journal Breizh-Infos :

« Ce passage à tabac s’est déroulé sous les yeux de membres de la faculté de droit, dont Barbara Sevestre, responsable administrative et financière de l’établissement. 

D’après plusieurs témoignages, cette dernière aurait refusé d’ouvrir les portes aux étudiants agressés qui tentaient de trouver refuge dans le bâtiment, les laissant ainsi à la merci de leurs assaillants ».

Bravo à cette dame pour son attitude qui devrait lui valoir de sévères sanctions, notamment pour non-assistance à personne en danger. 

Peut-être aussi a-t-elle eu cette attitude par solidarité avec les antifas en refusant d’ouvrir la porte afin que ces deux personnes échappent à leurs agresseurs ?

On notera aussi que la député LFI (celle qui a fondé l’Union Pirate) est allée voir en garde à vue les interpellés afin de leur apporter son soutien.

Comme je le disais, tous ces gens devraient être arrêtés, jugés, condamnés sévèrement et jetés en prison. 

Mais ce n’est pas le cas et notre pays est en train de s’effondrer.

Vous voulez une dernière preuve de l’état de décomposition de la France ?

Vous vous souvenez sans doute du récent meurtre de Mulhouse où un homme a trouvé la mort, poignardé par un Algérien sous OQTF.

 Il y a eu un rassemblement pour lui rendre hommage. 

À cette occasion, deux jeunes (25 et 26 ans) de l’Action Française ont crié : « Stop au francocide », et « expulsez les OQTF, bande de lâches ! ».

 

Ils ont été immédiatement arrêtés par la police. 

Selon le journal Le Dauphiné du 25 février : « Une enquête est en cours, a indiqué le procureur de Mulhouse, Nicolas Heitz, qui a estimé que « les faits sont graves ». 

Là, c’est indiscutable, les faits sont très graves.  

Car demander l’arrêt des meurtres contre les Français et que les OQTF soient expulsés, c’est absolument insupportable et les auteurs doivent être poursuivis et condamnés.

Est-ce bien étonnant d’entendre cela de la bouche de Nicolas Heitz ?

Vous avez sans doute oublié qu’il était le procureur de Saint-Brieuc durant la bataille de Callac et qu’il s’était illustré en refusant de poursuivre les antifas qui avaient par deux fois attaqué notre manifestation et violemment agressé les gendarmes.

 On ne se refait pas.

Insupportable deux poids et deux mesures. 

Ceux qui devraient être en prison ne sont pas poursuivis et n’y iront pas.

Tandis que ceux qui défendent notre pays et ne disent que des paroles de bon sens sont traînés dans la boue, agressés, arrêtés, poursuivis et condamnés afin qu’il se taisent.

Qu’ils le sachent tous, nous ne nous tairons pas.

 Reste que notre pays est bien malade.

 

Par Bernard GERMAIN

 

Source :  https://ripostelaique.com/faculte-de-rennes- 


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Le Jarl de Rennes, victime d’une cabale politique et médiatique inouïe orchestrée par l’extrême gauche et relayée par la presse mainstream


Une fois de plus, Rennes est le théâtre d’une offensive politico-médiatique d’une rare violence, orchestrée par l’extrême gauche locale et ses relais complaisants dans des dizaines de médias (une recherche « Le Jarl Rennes » sur Google suffit à comprendre). 

Cette fois, la cible est Yovan Delourme, alias « Le Jarl« , figure bien connue des réseaux sociaux et responsable de la sécurité du 1988 Club. 

Que lui reproche-t-on exactement ?

 D’avoir assuré la sécurité d’un établissement qui reçoit 150 000 clients par an, face à une bande d’activistes qui se croient tout permis ?

 

Une réaction face à l’impuissance de la police

Le scénario est pourtant simple : une free-party sauvage et illégale s’est tenue dans un ancien cinéma du centre-ville de Rennes.

 Musique à fond, alcool, drogue, dégradations : le cocktail habituel d’une émeute nocturne organisée par les milieux « festifs » antifascistes sans compter le risque d’incendie énorme (les gauchistes auraient alors hurlé à l’indifférence étatique ou des autorités en cas d’incendie grave sur le site). 

Malgré les signalements, la police nationale s’est d’abord montrée incapable d’anticiper cette soirée en amont (à quoi servent les renseignements ?). 

Puis montrée incapable d’intervenir efficacement pour disperser la foule, prévenir les infractions et protéger le quartier. 

Trop occupée à sécurisée un match de football (PSG-Rennes).

Mais il semblerait que le maintien réel de l’ordre ne soit pas dans les priorités de la Préfecture. 

Le Jarl et son équipe de sécurité ont donc pris leurs responsabilités en protégeant les clients du club contre les violences et débordements. 

Mais voilà : il est aujourd’hui plus dangereux de faire respecter l’ordre que de semer le chaos.

 Les mêmes qui jettente des bouteilles, cassent en manifestation, agressent des militants parce que de droite, appellent à la censure, au lynchage, à l’interdiction, pleurent aujourd’hui pour quelques jets de lacrymogènes, notamment visant des jeunes femmes qui provoquaient (où est passée l’égalité entre sexes ?)

La stratégie de l’extrême gauche est bien rodée. 

Ces militants ont d’abord provoqué la confrontation, envahissant la zone autour du 1988 Club et agressant verbalement puis physiquement les agents de sécurité. 

 Quand la riposte est venue, les caméras ont tourné, captant seulement ce qui servait leur récit victimaire.  

Il suffit de voir l’attitude quotidienne des députés LFI à l’Assemblée pour comprendre cette logique : insulter, menacer, provoquer, puis se poser en victimes indignées dès que la réaction se fait sentir.

 

Pourquoi la police ne fait-elle rien ?

L’élément le plus troublant de cette affaire est l’incompétence flagrante des forces de l’ordre face aux violences d’extrême gauche. 

Pourquoi sont-elles capables de déployer des moyens considérables pour empêcher un affrontement entre hooligans – souvent codifiés et limités à des individus consentants – mais délaissent-elles totalement la gestion des groupuscules gauchistes, qui sévissent chaque semaine dans les rues de Rennes ?

 La question mérite d’être posée.

Les médias locaux ont pris fait et cause pour les organisateurs de cette rave illégale, ne se posant à aucun moment la question de leur responsabilité.  

Pire, certains artistes de la scène électronique rennaise, bien connus pour leur engagement politique – ce que ne s’empresse pas de rappeler la presse locale – ont appelé au boycott du 1988 Club.

 Un « mouvement » relayé en boucle, comme si l’on parlait d’une véritable mobilisation populaire.

 Mais la réalité est toute autre : la fréquentation du 1988 Club, malgré les attaques que l’établissement avait déjà subi dans le passé, reste au plus haut, preuve que les Rennais ne sont pas dupes de cette mascarade.

 Et les prochaines semaines pourraient bel et bien confirmer cette tendance.

Il serait peut-être temps de dénoncer le rôle des activistes gauchistes qui, sous couvert de « culture » et de « tolérance », imposent leur loi par la violence. 

Partout en France, ces méthodes se répètent : menaces, agressions, destruction de lieux associés à la droite ou à l’identité française.

 Mais dès que quelqu’un leur tient tête, ils pleurnichent sur les réseaux sociaux, réclamant des sanctions et des fermetures administratives.

 Le Jarl – quels que soient par ailleurs les ennuis administratifs ou professionnels qu’il puisse avoir à côté pour des affaires remontant à des années et en tenant compte de la bureaucratie soviétique française –  n’est que la dernière victime de cette stratégie bien huilée. 

S’il a pu se défendre sur quelques médias, les soutiens politiques de premier plan se font toujours attendre alors que TOUTE l’extrême gauche y compris parlementaire fait du cinéma depuis deux jours.

Il est impératif de soutenir ceux qui, sur le terrain, assurent la sécurité et font respecter l’ordre face à la passivité étatique.

 Le Jarl de Rennes est aujourd’hui la cible d’une cabale indigne, qui vise à faire plier tous ceux qui refusent de se soumettre aux diktats de l’extrême gauche.

 Cette affaire est bien plus qu’un simple conflit autour d’une boîte de nuit : elle illustre le délitement de l’autorité de l’État et l’impunité croissante des milices gauchistes mais aussi le fait que si l’Etat abandonne les citoyens, les citoyens finiront par s’occuper eux mêmes de ceux qui tentent de leur nuire.

 

Faut-il en effet attendre que la Police ou la Gendarmerie interviennent, parfois des heures après le début de violences (voir ici), et se laisser massacrer sans réagir, ou encore laisser son établissement se faire détruire, ou rester passif devant une agression caractérisée ?

 Ou bien faut-il réagir, comme la loi l’autorise d’ailleurs face à n’importe quel acte de délinquance ?

Aux termes de l’article 73 du code de procédure pénale : Dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d’une peine d’emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l’auteur et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche .

Ce qui différencie les soutiens du Jarl de ceux qui le condamnent et veulent aujourd’hui l’abattre, c’est sans doute d’un côté la volonté d’être des hommes et des femmes libres, de l’autre celui de vouloir instaurer une société totalitaire. 

Loin d’être des libertaires (Liberté de quoi ? D’occuper un lieu qui ne nous appartient pas, de le saccager, de se droguer, de mettre en danger autrui ?), ceux qui veulent sa chute doivent être appelés simplement par les qualificatifs qu’ils portent mieux : celui de kapos et des commissaires politiques.

YV

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« Mettre fin à la violence ne se fait pas avec des fleurs » : Le Jarl est l’invité de Sud Radio

« Mettre fin à la violence ne se fait pas avec des fleurs » : Le Jarl était l’invité de Sud Radio ce 11 mars, pour présenter son livre « ça va mal finir », et pour revenir aussi sur les évènements du week-end à Rennes, totalement instrumentalisés par l’extrême gauche, qui a lancé une véritable cabale (bien appuyée médiatiquement) contre l’auteur du livre.

 

VIDÉO:     https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=_hM_2Kh_abY&embeds_referring_euri=https%3A%2F%2Fwww.breizh-info.com%2F&source_ve_path=Mjg2NjY

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