jeudi 13 mars 2025

C' EST À RENNES (35 ) : LA DISCOTHÈQUE LA PLUS SÛRE DE LA VILLE ! LE 1988 LIVE CLUB !



 TRIBUNE LIBRE , POINT DE VUE ET CONSTAT !

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@le_jarl
 
Ça a été une semaine très chargée. 
 
De plateaux en plateaux, j’ai pu m’exprimer sur la situation chaotique que nous avons vécu le week dernier et toute la cabale de l’EG qui a suivi mais j’ai surtout pu faire la promotion de mon livre qui s’est classé numéro 1 des ventes dans toutes ses catégories, et qui s’est retrouvé hier à la 17 ème place sur tous les livres vendus sur Amazon. 
 
C’est un classement inespéré alors merci car dans ces moments d’une forte violence, ça fait un bien énorme. 
 
Je vous tiendrai informé des différentes interviews des chaines YouTube quand elles seront en ligne.
 
 La première visiblement Dimanche. 
 
 Durant cette guerre médiatique, des DJ nous ont lâchés, mais j’ai déja reçu beaucoup de messages de DJ de toute la France souhaitant venir derrière les platines du 1988 ( oui il y a aussi des courageux qui se foutent de la politique et qui veulent juste faire de la musique) alors je profite de ce message pour leurs dire que nous allons leurs proposer des dates très rapidement, si d’autres veulent se mêler à la partie (techno, hip-hop, généraliste …) et venir jouer dans notre lieu qui fait tant parler, tout est pris en charge, déplacement, hôtel etc… 
 
Alors écrivez moi en MP. 
 
Merci, merci mille fois pour les milliers de messages reçus de soutien. 
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1988 Live Club à Rennes. Après une nuit de violences, des riverains à bout lancent une pétition

"Courses rodéos, cris, musique à fond" : les habitants de la 10ᵉ rue d'Artillerie, non loin du 1988, souhaitent que les nuisances nocturnes cessent.

 
cinéville colombier
 
Des violences ont éclaté dans la nuit du samedi 8 au dimanche 9 mars 2025 à Rennes, après qu’une free party a été organisée non loin du 1988 Live Club. 
(©Clémence Pays/actu Rennes)

Ils sont prêts, ce mercredi 12 mars 2025 dans la soirée, à aller démarcher les riverains qui se situent près du 1988 Live Club.

 

Source :   https://actu.fr/bretagne/rennes_35238/1988-live-club


Rennes : Le 1988 Live Club, « la discothèque la plus sûre de Rennes » ?

 Les témoignages qui contredisent le narratif gauchiste

Depuis plusieurs jours, le 1988 Live Club de Rennes et son responsable sécurité, Yovan Delourme, alias « Le Jarl« , sont la cible d’une attaque médiatique et politique sans précédent. 

Accusé d’être trop ferme dans la gestion des incidents qui émaillent régulièrement la nuit rennaise, il subit aujourd’hui une cabale orchestrée par les milieux de l’extrême gauche, largement relayée par certains médias.

 Pourtant, pour les habitants du quartier, les commerçants et les clients du 1988 dont nous avons recueilli les témoignages, la réalité est tout autre. 

Loin d’être un lieu de violences, la discothèque est perçue comme l’un des endroits les plus sûrs de Rennes.

Des nuisances nocturnes bien connues

La situation autour du 1988 Live Club s’inscrit dans un contexte plus large : Rennes est depuis plusieurs années le théâtre d’une insécurité grandissante, particulièrement dans le centre-ville.

 Sarah, 34 ans, résidant à quelques pas de la discothèque, ne cache pas son exaspération : « Les week-ends, il y a toujours des attroupements de dealers à proximité de la discothèque, et plus généralement dans le centre. 

Mais depuis quelques mois, c’est plus calme notamment parce qu’ils semblent avoir compris qu’ils peuvent se faire afficher sur les réseaux.

 Il y a également quelques bagarres, mais franchement, ce n’est pas à cause du 1988.

 C’est la dalle du Colombier qui craint, qui est sombre, et qui est peu sécurisée »

 

Un constat partagé par Julien, commerçant dans le centre-ville de Rennes, qui voit son chiffre d’affaires chuter à cause de l’insécurité ambiante : « On en parle de tous ces commerçants qui ferment plus tôt parce qu’ils ont peur des agressions, des vols ?

 J’y vais quelques fois dans cet établissement. Ce n’est pas son équipe qui pose problème, ce sont les bandes qui squattent et sément la terreur. »

 

Le 1988 Club, un modèle de sécurité ?

Si certains reprochent aux agents de sécurité du 1988 Club leur fermeté, les habitués de l’établissement sont unanimes : c’est justement cette rigueur qui permet à la discothèque d’être un lieu sûr.

 Maxime, 27 ans, client régulier, insiste : « Franchement, c’est l’un des seuls endroits où je me sens en sécurité la nuit à Rennes. 

L’équipe de sécurité est très carrée, ils ne laissent rien passer. 

C’est pour ça que la boîte est toujours pleine : les gens savent qu’ils peuvent y passer une bonne soirée sans problème si ils y viennent avec de bonnes intentions.

 Après, ceux qui  nuisent à la discothèque en sont expulsés, c’est normal non ? »

Un avis partagé par Camille, 24 ans, qui fréquente aussi l’établissement, qui est noté 3,8 sur 5 sur Google, c’est à dire la meilleure note globale de tous les établissements de nuit à Rennes : « J’ai toujours trouvé que globalement, l’équipe du 1988, à l’accueil, en sécurité, en salle, faisait du bon travail. 

Ils ne laissent pas entrer n’importe qui, ils interviennent vite en cas de souci, et ils sont respectueux des clients. 

C’est safe pour les femmes.

Tout le monde ne peut pas en dire autant… ». 

Si le 1988 Club se retrouve aujourd’hui sous les feux de la critique, nombre d’habitants de Rennes dénoncent l’indulgence dont bénéficient les groupes d’extrême gauche, responsables de nombreuses dégradations dans le centre-ville.

François, restaurateur, en témoigne : « Des vitrines cassées, des tags partout, des manifestations qui virent à l’émeute… La mairie laisse faire. 

Mais par contre, elle trouve le moyen de s’attaquer à une boîte de nuit qui se fait attaquer ? C’est du grand n’importe quoi. »

 

Le manque de réaction des forces de l’ordre face aux exactions de l’ultragauche est aussi pointé du doigt.

Au-delà du cas de cet établissement, c’est une véritable croisade médiatique qui semble être menée contre Le Jarl, figure dérangeante pour certains. 

Son engagement sur les réseaux sociaux et son franc-parler en font une cible idéale pour ceux qui cherchent à imposer un discours unique.

 Un habitué du 1988 Live Club, conclut : « Cette affaire, c’est juste un prétexte pour s’attaquer à un homme et à une idée de l’ordre qui ne leur convient pas.

 Ils ne supportent pas qu’un établissement fasse régner un minimum de discipline et ne cède pas aux délires de certains »

 

Alors que la municipalité rennaise laisse prospérer un climat d’insécurité, l’acharnement contre Le Jarl et le 1988 Club apparaît pour beaucoup comme une diversion, visant à masquer les vrais problèmes.

Ci-dessous, le reportage réalisé par Vincent Lapierre en immersion avec le Jarl

2 VIDÉOS :  

  https://www.youtube.com/watch?v=XX8n4P64fEg&embeds_referring_euri=https%3A%2F%2Fwww.breizh-info.com%2F&source_ve_path=Mjg2NjY

https://www.youtube.com/watch?v=a-BSoyRcebw&embeds_referring_euri=https%3A%2F%2Fwww.breizh-info.com%2F&source_ve_path=OTY3MTQ


Crédit photo : DR
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« Mettre fin à la violence ne se fait pas avec des fleurs » :  Le Jarl est l’invité de Sud Radio


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