mardi 25 mars 2025

IMMIGRATION ET DÉLINQUANCE : LES CHIFFRES DU MINISTÈRE DE L' INTÉRIEUR ........

 

 

Délinquance et immigration : les chiffres du ministère de l’Intérieur confirment une surreprésentation des étrangers

 

Le ministère de l’Intérieur a récemment publié des données officielles établissant un lien direct entre immigration et criminalité en France. 

Ces statistiques, basées sur les affaires élucidées par la police et la gendarmerie en 2024, mettent en évidence une surreprésentation des étrangers dans plusieurs types d’infractions, notamment les cambriolages, les vols avec violence et les agressions sexuelles.

 

Un poids considérable dans la criminalité urbaine

Parmi les infractions recensées, les vols dans les véhicules apparaissent comme le domaine où la part des étrangers est la plus importante : 39% des auteurs mis en cause ne sont pas de nationalité française. 

De même, 38% des cambrioleurs interpellés en 2024 étaient des étrangers, soit plus de 12 000 individus.

La situation est encore plus préoccupante en Île-de-France, où 91% des auteurs de vols dans les transports en commun étaient étrangers en 2023.

Ce chiffre interpelle et reflète l’ampleur de l’insécurité qui gangrène le quotidien des usagers.

 

Agressions sexuelles : un tabou qui explose dans les transports

Le ministère de l’Intérieur révèle également que 13% des mis en cause pour violences sexuelles en 2024 étaient de nationalité étrangère.

 Un chiffre qui bondit à 61% lorsque ces agressions se produisent dans les transports en commun parisiens.

Cette réalité ne peut plus être ignorée : les grandes villes françaises sont devenues des foyers d’une insécurité où les étrangers sont massivement impliqués dans les actes criminels les plus graves.

En matière d’homicides, 20% des mis en cause sont étrangers. 

Une donnée qui, rapportée à la part des étrangers dans la population française (environ 8%), confirme leur surreprésentation dans les crimes les plus violents.

Le trafic de stupéfiants, véritable fléau des cités françaises, suit la même tendance : sur 51 698 trafiquants mis en cause, plus de 11 000 étaient étrangers, soit 22% du total.

 

Une politique d’expulsion à renforcer

Face à ces chiffres, la question de l’expulsion des délinquants étrangers se pose avec de plus en plus d’acuité. 

En mars 2025, un sondage révélait que près de 9 Français sur 10 sont favorables à l’expulsion systématique des criminels étrangers.

Pourtant, les obstacles diplomatiques et administratifs freinent l’application de cette mesure.

 De nombreux pays, notamment en Afrique du Nord et en Afrique subsaharienne, refusent de délivrer des laissez-passer consulaires, rendant impossible l’expulsion des criminels vers leur pays d’origine.

Longtemps nié par les élites politiques et médiatiques, le lien entre immigration et criminalité devient désormais indiscutable à la lumière des chiffres du ministère de l’Intérieur d’autant plus que ces chiffres ne prennent pas en compte la délinquance des Français de fraiche date, ayant acquis la nationalité dans les 2 ou 3 dernières décennies suite au laxisme administratif ambiant.

 Pourtant, certains continuent à relativiser ces données sous prétexte de ne pas « stigmatiser ».

Le débat ne porte plus sur l’existence du problème, mais sur la volonté politique d’y remédier. 

Car pendant que les discours rassurants se multiplient, ce sont les Français qui subissent au quotidien les conséquences d’une immigration incontrôlée et d’un laxisme judiciaire patent.

Si la classe dirigeante refuse de voir la réalité en face, la population, elle, ne s’y trompe pas. 


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