mardi 18 mars 2025

IMMIGRATION ET DIVERSITÉ : GAÎTÉ LYRIQUE , LES ASSOCIATION AU GRAND COEUR NE BOUGENT PAS !

 REVUE DE PRESSE !

Le Conseil d’État encourage la submersion migratoire sans limite de la France

Le Conseil d’État encourage la submersion migratoire sans limite de la France

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 17 mars 2025 | Politique, Société

Le Conseil d’État vient de prendre une décision d’une importance considérable qui va encore amplifier l’immigration en France.

 Analyse par Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia.


Une décision qui ouvre totalement les vannes de l’immigration

Le Conseil d’État vient de casser une décision de la CNDA (Cour nationale du droit d’asile), ouvrant ainsi le droit d’asile à tout Égyptien (ils sont 100 millions) se contentant de déclarer, sans preuve, qu’en raison de son homosexualité, il craint d’être persécuté en Égypte. 

Il s’agit d’une nouvelle démonstration pratique de l’existence d’un gouvernement des juges qui impose aux Français ses désirs politiques. 

Les implications de cette décisions sont apocalyptiques.

Considérer qu’une simple déclaration d’homosexualité entraîne l’appartenance à un «  groupe social » ouvrant des droits à l’immigration en France est pour le moins problématique.


La CNDA et le Conseil d’État reconnaissent des « groupes sociaux » étrangers susceptibles de bénéficier, sur simple déclaration, de la protection subsidiaire au titre du droit d’asile :

  • Femmes afghanes (25 millions)
  • Musulmanes sri-lankaises (2 millions)
  • Homosexuels togolais (combien sont-ils ? 600 000 ?)
  • Homosexuels égyptiens (5 millions ?)

 

Cette discrète décision du Conseil d’État ouvre en fait la possibilité à plus de 2 milliards de personnes (provenant d’Afrique et de pays arabo-musulmans) de solliciter l’asile en France simplement en déclarant appartenir au « groupe social homosexuel » susceptible d’être mal perçu.

 

La gauche toute-puissante au Conseil d’État

Cette décision du Conseil d’État a été prise par des juges dont l’identité est connue.

 La transparence démocratique rend nécessaire de faire connaître le parcours des trois principaux auteurs de cette décision.

Nicolas Boulouis, président de la 2ᵉ chambre, s’était déjà fait remarquer en mai 2021, lorsque le Conseil d’État a rejeté le recours-suspension déposé par Génération Identitaire, les empêchant de reprendre leurs activités avant la décision finale de leur dissolution. 

Lors de cette délibération, Nicolas Boulouis était l’assistant de Christophe Chantepy, proche du Parti socialiste et conseiller technique, notamment auprès d’Édith Cresson et de Pierre Bérégovoy à Matignon pendant le mandat de François Mitterrand. 

Par la suite, il a dirigé le cabinet de Ségolène Royal à l’enseignement scolaire (1997-2000), puis celui de Michel Sapin à la fonction publique (2000-2002).

 En 2007, Christophe Chantepy a fait campagne pour la candidate socialiste Ségolène Royal, avant de soutenir François Hollande lors de la primaire de 2011 et de diriger le cabinet de Jean-Marc Ayrault jusqu’en 2014. 

Énarque de la promotion « Fernand Braudel » (1987), ses principales nominations ont été obtenues sous des gouvernements socialistes ou macronistes, notamment son élection en décembre 2017 au collège de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP), sa nomination comme président adjoint de la section administration au Conseil d’État (2016-février 2019) et comme président de la 2ᵉ chambre de la section du contentieux au Conseil d’État en février 2019. 

Précisons que Nicolas Boulouis a été nommé au Conseil d’État par la voie du tour extérieur en 2000, alors qu’il travaillait comme administrateur civil dans les services du Premier ministre Lionel Jospin.

 

Amélie Fort-Besnard, rapporteure, était rapporteure publique lors de l’audience de l’« Affaire du Siècle » au tribunal administratif de Paris, le 14 janvier 2021. 

À cette occasion, elle a déclaré que l’inaction climatique de la France constituait une faute engageant la responsabilité de l’État, donnant raison aux quatre ONG plaignantes : la Fondation Nicolas Hulot pour la Nature et l’Homme, Greenpeace France, Notre Affaire à Tous et Oxfam France. Le 21 décembre 2021, elle a également donné raison aux ONG CIMADE, GISTI (Groupe d’information et de soutien des immigré.e.s), Ligue des droits de l’homme (LDH), FASTI (Fédération des associations de solidarité avec tou-te-s les immigré-e-s) et COMEDE (Comité pour la santé des exilés), en annulant pour excès de pouvoir l’arrêté du 7 janvier 2021 ainsi que l’article 1ᵉʳ de l’arrêté du 7 avril 2021, pris en application de l’article L. 744-2 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile.

 

Dorothée Pradines, rapporteure publique, a été conseillère auprès du délégué interministériel à la prévention et à la lutte contre la pauvreté des enfants et des jeunes de septembre 2018 à août 2020.

 Ce poste était alors occupé par Olivier Noblecourt (du 15 novembre 2017 au 7 janvier 2020), ancien directeur de cabinet de Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation nationale sous la présidence de François Hollande, et ancien assistant parlementaire de Michel Destot, député PS de Grenoble. 

 Dorothée Pradines n’est pas formellement l’auteure de la décision qu’elle a simplement éclairée par son avis.

 

Pendant que François Bayrou parle de « sentiment de submersion migratoire », les juges militants s’activent à l’accélérer !

 




 



Par Jean-Yves Le Gallou
17/03/2025

 

 ET PENDANT CE TEMPS LÀ....... 


Gaîté Lyrique, migrants et liberté de la presse : tout un symbole

Mensonges, désordres, gabegie et agressions de journalistes : curieux, les associations au grand cœur ne bougent pas.
@ STEPHANE DE SAKUTIN / AFP
@ STEPHANE DE SAKUTIN / AFP

Pour lutter contre un fascisme imaginaire, on peut compter sur eux. 

Pour défendre la liberté d’informer à l'autre bout du monde, aussi : ils multiplieront les tables rondes, les rapports, les manifestations, les affiches, les déclarations la main sur le cœur et autres mises en avant. 

Eux ?

 Les députés et militants LFI, Verts, communistes, voire socialistes ou macronistes.

 Les associations de défense des journalistes, les avocats de la liberté d’expression, les anti-Trump, les antifas et autres tenants du camp du bien.

La Gaîté lyrique sert de révélateur à cette vaste farce. 

Dans ce théâtre parisien dûment subventionné se pressent, depuis trois mois, plus de 400 migrants venus des quatre coins d’Afrique. 

Ils doivent être expulsés ce 18 mars au matin, annonce la préfecture de police, ce 17 mars, au soir, alors que nous publions.

 Des malheureux poussés par la persécution dans leur pays d’origine ? 

Le fait est qu’ils sont clandestins pour la plupart. 

Aidés par de nombreuses associations de gauche et d’ultra-gauche.

 Majeurs pour la plupart d'entre eux, selon les services sociaux.

 Et que l’on peine à avoir des détails, et pour cause. De ce petit groupe mêlant migrants et militants d’ultra-gauche, les journalistes ont la plus grande peine à approcher…

 Le 12 décembre dernier, deux journalistes de BV, qui faisaient leur travail pacifiquement, avaient été molestés vigoureusement à l’intérieur du théâtre et avaient dû battre en retraite.

3,2 millions d'euros de subventions

Le début d’une longue série.

 Depuis, le journaliste indépendant Vincent Lapierre a vu ce qu’il en coûtait d’informer, dans ces conditions. 

Même motif, même comportement irréprochable, même punition. 

La rédaction du média de gauche StreetPress a été contrainte de déménager. 

Depuis, un journaliste de la principale chaîne d’information en continu en France, CNews, a été agressé, bousculé et empêché de filmer.

Lorsque le chaos s'installe, les innocents trinquent. 

Le voisinage est excédé. Une restauratrice ne peut plus travailler. Les quelque 70 salariés du théâtre ne travaillent plus, eux non plus. 

Les spectateurs sont priés de participer au financement de l’établissement mais ne peuvent plus profiter de sa programmation. 

Ce qui agace Aurélien Véron, élu au Conseil de Paris : « 10.000 m2 squattés depuis le 10 décembre par 300 migrants majeurs avec le soutien de la direction qui dilapide ses 3,2 millions d'euros de subventions. Les Parisiens paieront les pots cassés [...] »

 On fera à nouveau appel aux contribuables pour payer les frais de remise en état de l’établissement rénové à grands frais en 2007.

 

Paris vit au rythme imposé par des associations d’extrême gauche devenues maîtresses dans l’art de culpabiliser la Terre entière : les « fachos », d’abord.

 Qui approche, résiste, émet un doute, informe est immédiatement qualifié de « facho » par les associations impliquées dans le sac de la Gaîté Lyrique et par les migrants apparemment sérieusement « briefés ».

 L'État, ensuite, donc la France, priée sur un ton comminatoire par ces généreuses consciences de nourrir, loger, blanchir et rémunérer ces violeurs de frontières, sous peine de procès et d'amendes, en vertu de lois dont les mêmes militants ont obtenu l'adoption.

 La lâcheté apparaît partout dans cette affaire, comme les rochers bretons à marée basse.

Pas de mentions sur le site de RSF

Donc, les journalistes sont priés d'aller voir ailleurs, comme dans tout régime autoritaire qui se respecte. 

La liberté de la presse se voile. 

Mais curieusement, on n’entend pas nos associations subventionnées, si promptes à accuser et poursuivre les gendarmes chargés de faire régner l’ordre.

 Lorsque l’on cherche Gaîté Lyrique sur le site de la célèbre association Reporters sans frontières, on obtient aussitôt cette réponse : « 0 résultat ». 

Apparemment, les tribulations des journalistes qui ont eu l’audace d’informer sur ce squat scandaleux n’ont pas ému RSF. Pourtant, sous la mention « 0 résultat », on lit cette invitation touchante : « La liberté de l’information est un droit fondamental ; pourtant, près de la moitié de la population mondiale n’a pas accès à une information libre. 

Nous avons besoin de vous, adhérez à notre organisation ! » 

L'affaire a échappé à RSF, qui aurait dû lire BV.

Le site de la Ligue des droits de l’homme appelle en une, « dans le cadre de la Journée internationale contre le racisme », au « rassemblement, le samedi 22 mars 2025 à 14h, place de la République à Paris », où l'on côtoiera le ban et l'arrière-ban de LFI, mais on ne trouve pas non plus la moindre mention de la Gaîté Lyrique ni des journalistes molestés sur place.

On a attendu trois mois, trois mois pour agir !

 Un laisser-faire honteux, une gauche inqualifiable, des valeurs d'accueil perverses, le mépris de l'information, la haine des flics et de ce qui ne pense pas comme vous...

 La Gaîté Lyrique, c’est une certaine France résumée dans un bâtiment en ruine, un projet d'avenir, un symbole.


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Par Marc Baudriller
Directeur adjoint de la rédaction de BV, éditorialiste 
https://www.bvoltaire.fr/ 
 
 
 
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 Bercoff
 
voilà où on en est maintenant, demain, ils peuvent faire cela au Théâtre Montparnasse, après demain au Théâtre des Halles, pourquoi ça s'arrêterait, l'organisation est très simple, des journalistes, des assos qu'on connait, j'adore ONG, Organisation Non Gouvernementale alors qu'on sait qu'elles sont subventionnées à 70 %, j'aimerais qu'on revienne sur cette histoire d'ONG.
 Demain, je peux refaire ça n'importe où, je mets 150 personnes et on recommence.
 Le pb est toujours le même que ce soit l'Algérie ou ailleurs, est ce qu'il y a une autorité? 
Est ce qu'il y a un pilote dans l'avion?

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