vendredi 21 mars 2025

IMMIGRATION , INVASION, ISLAMISATION : LE VOILE ISLAMIQUE DES MUSULMANES , UNE CONQUÊTE ......





 

 TRIBUNE LIBRE ET POINT DE VUE !

Et si on foutait la paix aux musulmanes avec le voile islamique ? 

[L’Agora]

 La République française s’enlise dans un débat absurde, une querelle de pacotille qui agite le landernau politico-médiatique dès que les vents soufflent sur les chiffons islamiques. 

Interdiction du voile dans l’espace public, encore et toujours le même disque rayé brandit de chaque côté de la scène politique. 

Une mesure qui se veut forte, mais qui n’est qu’un cache-misère, une hypocrisie crasse d’une classe politique incapable d’affronter les vrais enjeux. 

Ils veulent interdire le voile dans la rue, humilier des croyants dans leur foi, mais ils ne font rien pour stopper l’immigration de masse, rien pour préserver ce qui peut encore l’être de l’identité européenne. 

Un grand théâtre de faux durs et de vraies lâchetés.

L’illusion de la République assimilatrice

Le vrai problème, ce n’est pas le voile. 

 Ce n’est pas que des millions de musulmans pratiquent leur religion, s’habillent comme bon leur semble et suivent les prescriptions du Coran. 

 Le vrai problème, c’est qu’ils le fassent massivement sur un territoire qui n’a jamais été une terre d’islam.

 Qu’ils le fassent en France, sur une terre dirigé par des élites qui ont laissé venir par millions ceux qu’elle n’assimilera jamais, et qui aujourd’hui s’étonne que ces nouveaux arrivants appliquent leurs propres normes, leurs propres coutumes, leurs propres valeurs. 

Mais comment pourraient-ils faire autrement ? 

Pourquoi adopteraient-ils les rites d’un pays qui ne croit plus en lui-même ?

On nous rabâche sans cesse les valeurs de la République, comme une prière laïque de bureaucrate fatigué. 

Mais cette République n’a plus rien à offrir, sinon des injonctions contradictoires. 

Elle prétend vouloir « intégrer », mais elle ne fait qu’empiler les populations comme dans un Tetris ethnique, pensant que les pièces s’imbriqueront miraculeusement. Erreur fatale. 

On ne fond pas des civilisations dans un chaudron jacobin. 

On ne mélange pas des peuples comme des cartes que l’on redistribue sur un tapis de jeu.

 

Un problème de masse, pas de tissu

L’État se focalise sur des détails vestimentaires pour ne pas avoir à affronter l’ampleur du problème démographique. 

S’il y avait en France quelques milliers de femmes musulmanes voilées, tout le monde s’en moquerait.

 Le problème, c’est la masse. 

Le problème, c’est qu’aujourd’hui, des millions de musulmans vivent en France et que, faute d’avoir freiné l’immigration à temps, l’État se retrouve à hurler à l’indignation sur des voiles comme un épouvantail agitant les bras en plein champ.

Interdire le voile ne sert à rien. 

Ce ne sont pas des mètres de tissu qui posent problème – hormis prendre plaisir à humilier et vexer des gens – mais le fait qu’une population considérable en soit venue à considérer la France comme une terre islamique de facto. 

C’est le grand remplacement qui se déroule sous nos yeux, et que nos élites refusent d’admettre.

 Mais ça, ils n’en parlent pas. 

Trop effrayés à l’idée d’admettre qu’ils ont laissé le phénomène se produire, trop lâches pour prendre la seule décision qui compte : fermer les frontières et expulser massivement ceux qui ne veulent pas se conformer aux us et coutumes de la civilisation européenne.

Assumez vos choix ou taisez-vous

La vérité, c’est que nous sommes dans une situation schizophrène. 

L’État français laisse les flux migratoires exploser et fait semblant de croire qu’un décret vestimentaire suffira à endiguer une mutation civilisationnelle. 

C’est un aveu d’impuissance. 

Une pathétique tentative de conserver une illusion de contrôle, alors que tout le monde sait que le processus est engagé et qu’il sera irréversible si aucune action forte n’est menée.

Que veulent nos politiques ? 

Interdire le voile dans la rue mais laisser l’immigration poursuivre son cours ? 

 Ne pas dire un mot sur le communautarisme galopant mais faire la police du tissu ? 

Allons jusqu’au bout de l’absurde : faudra-t-il aussi interdire le halal, la prière, le Coran ? 

Ce n’est pas seulement absurde, c’est suicidaire.

Soit on choisit le courage, et on décide d’imposer un véritable coup d’arrêt migratoire, avec une politique de remigration massive et assumée. 

Soit on accepte ce que l’on a semé : une France et une Europe où les musulmans pratiquent leur foi à leur manière, sans rien demander à personne. 

Mais il faut arrêter de pleurnicher sur des voiles.

On ne sauvera pas l’identité européenne en traquant le hijab ou le foulard islamique au coin de la rue. 

On ne reconstruira pas une civilisation en pourchassant des signes religieux, tout en laissant les mosquées se multiplier et les quartiers entiers se communautariser. 

La République n’intègre plus rien.   Elle subit, elle s’efface.

 

Le vrai problème, c’est nous

Au fond, ce n’est pas aux musulmans qu’il faut en vouloir. 

Ils pratiquent leur religion, suivent leurs traditions, appliquent leurs valeurs. 

 Ils ne font que remplir le vide que nous avons laissé. 

La vraie question est ailleurs. Pourquoi nous, Européens, avons-nous abandonné notre propre héritage spirituel et culturel ? 

Pourquoi notre société s’effondre-t-elle sur elle-même, incapable de proposer un modèle civilisationnel puissant et fédérateur ?

Le problème, ce n’est pas le voile.

 Le problème, c’est qu’en face, il n’y a plus rien. 

Plus de spiritualité, plus de fierté, plus d’élan collectif. Les musulmans, eux, croient encore en quelque chose.

 Nous, nous ne croyons plus en rien.

Alors avant de vouloir dicter aux autres comment ils doivent s’habiller, avant d’interdire des tissus et de traquer des foulards, il serait peut-être temps de se regarder dans un miroir. 

Parce que l’ennemi, ce n’est pas le voile islamique.

 L’ennemi, c’est le vide abyssal de notre propre décadence.

Par Julien Dir


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  • COMME PAR HASARD !
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    Le profil très inquiétant du violeur présumé de Claire

    Trois OQTF, onze mentions sur son casier judiciaire, profil violent... Et pourtant, il se promenait libre en France.
    © Capture écran Eclats de femme
    © Capture écran Eclats de femme

    « L’instruction est enfin terminée… Mon agresseur va être jugé devant la cour criminelle. » 

    Ce 20 mars, Claire Geronimi est mitigée.

     D’un côté, la jeune femme se dit « soulagée de voir que son dossier avance ». 

    Seize mois après le terrible viol qu’elle a subi, dans le hall de son immeuble, elle vient d’apprendre que son agresseur présumé, un clandestin sous OQTF, allait être renvoyé devant une cour criminelle pour viols commis sous la menace d’une arme et viols en concours avec un ou plusieurs autres viols commis sur d’autres victimes.

     De l’autre, explique-t-elle, « c’est frustrant de voir qu’il faut autant de temps pour boucler une instruction alors que le suspect avait avoué les faits ». 

    Si aucune date de procès n’a, pour l’heure, été fixée - au grand dam de Claire -, l’enquête a déjà permis d’éclairer le profil très inquiétant du suspect.

     

    11 mentions sur son casier judiciaire

    Les éléments révélés par Le Figaro dressent le portrait d’un homme dont la violence était malheureusement connue de tous. 

    Né à Bangui (Centrafrique), Jordy G. arrive en France en 2009.

     D’abord logé chez un oncle, il est rapidement confié à l’aide sociale à l’enfance (ASE) et placé dans une famille d’accueil après une violente dispute.

     Déjà, ses proches le décrivent comme agressif. 

    À 13 ans, il est accusé d'avoir agressé sexuellement et violé une jeune fille du même âge. 

    Entre octobre 2011 et octobre 2012, il se serait introduit plusieurs fois dans la chambre de l’adolescente et lui aurait imposé des attouchements et des pénétrations.

     Entendue dans le cadre de l’instruction du viol de Claire, la jeune fille a récemment déposé plainte contre son agresseur.

     Fin 2012, Jordy G. est ensuite envoyé dans un foyer. 

    Là, il aurait agressé sexuellement une autre adolescente. 

    La victime décide de porter plainte, mais l’affaire est classée sans suite pour « infraction insuffisamment caractérisée ».

    Son oncle, une mère de famille d’accueil, des experts psychologiques… tous confirment la dangerosité du ressortissant centrafricain. 

    « Un expert souligne même que son cas relève du pénal et non de l’éducatif », rappelle Claire, indignée.

     Et par onze fois, Jordy G. comparaît devant les juges pour des affaires de violences, menaces, ports d’armes et stupéfiants. 

    Pour autant, l’homme, visé par trois OQTF, se promène libre en France dans les rues de Paris, en novembre 2023.

     

    Et le 11 novembre 2023, Jordy G., alors sans domicile fixe et sans profession, suit Claire dans le hall de son immeuble, dans un quartier cossu de la capitale, et la viole en la menaçant d'une lame artisanale. 

     Un peu plus tôt dans la journée, l’individu avait déjà violé une autre jeune femme. 

    Interpellé quelques heures plus tard, il finit par reconnaître le viol de Claire et explique avoir été « en manque » sur le plan sexuel.

     Placé en détention provisoire, il continue de faire parler de lui. 

    En décembre 2023, le Centrafricain est ainsi condamné à trois ans de prison, dont un avec sursis, pour violence et agression sexuelle sur une surveillante pénitentiaire. 

    Au cours de l’année 2024, il se fait remarquer pour des faits de violences, menaces, crachat contre des gardiens, début d’incendie dans sa cellule, exhibition sexuelle, propos à connotation sexuelle…

    « Un traumatisme de plus »

    « Apprendre tous ces éléments, forcément, ça remue…, confie Claire, contactée par BV. Il y a plein de signes qui montrent sa dangerosité, il a été condamné par le passé.

     La Justice n’a pas du tout surveillé ce profil violent. » 

    « Pour une victime, c’est forcément très compliqué d’accueillir tous ces éléments », poursuit la jeune femme, qui dénonce « une Justice totalement laxiste ».

     D’autant plus qu’avec son association « Éclats de femmes », qui vient en aide aux victimes,

     Claire est toujours confrontée à des agresseurs aux « profils similaires ». 

    Que fait la Justice ?

    La jeune femme dénonce, également, l’inaction de l’État sur les OQTF et les dysfonctionnements dans l’instruction. «

     Ces seize mois ont été extrêmement éprouvants. J’ai parfois eu l’impression d’être sur le banc des accusés. Je comprends qu’il y ait des procédures à respecter, mais il faudrait sûrement un peu plus d’humanité dans le traitement de ces dossiers », souligne la nouvelle vice-présidence du parti d’Éric Ciotti (UDR), qui regrette les expertises intrusives et le manque de tact des autorités. 

    « Ça peut être un traumatisme de plus pour les victimes », ajoute celle qui, depuis son agression, est passée par le burn out, la perte d'un emploi et les difficultés avec l'administration pour faire reconnaître son statut de victime.

    Aujourd’hui, Claire redoute et attend le procès de son agresseur.

     « J’espère qu’il écopera de la peine maximale », conclut-elle.


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    Par Clémence de Longraye 
     
    Journaliste à BV    https://www.bvoltaire.fr



     

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