TRIBUNE LIBRE ET POINT DE VUE !
La politique est encore une fidélité, à des valeurs et à des principes.
Dans le combat que nous menons, ces valeurs et ces principes peuvent se résumer en une phrase : agir toujours, quoi qu’il arrive et quoi qu’il en coûte, dans l’intérêt de la France et des Français.
J’ai trente-sept ans d’engagement politique derrière moi.
Je mesure la chance qui fut la mienne lorsqu’on m’a demandé d’être conseiller régional.
Représenter la Provence, cette terre où j’ai trouvé l’amour en héritage, fut une immense fierté. Fierté d’être Français, fier de l’histoire et de la grandeur de la France.
Aucun parti n’a le monopole du patriotisme.
Avec l’expérience, je sais distinguer le noble de l’ordurier.
Je ne cède ni aux tartuffes de l’anti-racisme, ni aux wokistes tenants du Black Lives Matter. Je n’adhère pas non plus à la défense ou à la promotion d’un communautarisme religieux, ni à toute forme de discrimination positive.
Mon patriotisme, lui, s’épanouit dans la discrétion et la mesure, dans la fierté du port de mon uniforme, dans l’humilité de la mémoire de ceux qui ont obtenu leurs médailles de sang et de cœur, sur le théâtre d’opérations, au service de la Patrie.
C'est ma ligne de conduite, mon sens de l’honneur et du devoir.
Il ne doit se révéler au grand jour que lorsque les circonstances l’exigent.
À tous les candidats et candidates à la Présidence de la République en 2027, n’oubliez jamais que le patriotisme n’a rien à voir avec le nationalisme.
C’est une éthique, un engagement moral, une exigence absolue qui dépasse la banalité des discours électoraux et la fausse compassion.
La politique est une incarnation, et j’incarne sans contestation possible une droite patriotique, populaire et sociale.
J’incarne un combat politique au service de la nation, en dehors de toute conception raciale de la France.
Pour moi, quelle que soit notre couleur de peau ou notre religion, nous pouvons être Français, à condition que cela s’hérite et se mérite. Être Français n’est pas une couleur de peau, mais une couleur de cœur.
Être un politique responsable, c’est œuvrer pour l’intérêt général et le bien-être des Français, quels qu’ils soient, sans surenchère ni compromission.
Et pourtant, je concentre toujours contre moi toute la haine, qu’elle vienne des identitaires racialistes de la "nouvelle droite" ou des brebis galeuses de la "gauche" indigéniste et xénophobe.
La politique est aussi une légitimité. Mes engagements de jeunesse, mes années de mandat électoral et le déchaînement des médias à mon encontre en témoignent.
Le patriotisme, c’est toujours préférer son pays, même dans l’adversité, même quand on pense objectivement qu’il se trompe.
C’est, en démocratie, faire bloc derrière son représentant légal – même si l’on aurait préféré un autre – et montrer à l’ennemi que nous sommes indivisibles, prêts à affronter ensemble toutes les menaces.
La politique est encore une fidélité, à des valeurs et à des principes. Dans le combat que nous menons, ces valeurs et ces principes peuvent se résumer en une phrase : agir toujours, quoi qu’il arrive et quoi qu’il en coûte, dans l’intérêt de la France et des Français.
J’ai trente-sept ans d’engagement politique derrière moi. Je mesure la chance qui fut la mienne lorsqu’on m’a demandé d’être conseiller régional.
Représenter la Provence, cette terre où j’ai trouvé l’amour en héritage, fut une immense fierté. Fierté d’être Français, fier de l’histoire et de la grandeur de la France.
Je pardonne même à ceux qui m’ont insulté : "Durbec, sa place est à fond de cale", "le général Moboubec", ou encore "Blanche Neige".
Ce n’était pas l’expression de l’"amitié" française, mais bien du racisme biologique !
Et pourtant, ceux qui se voient dérouler le tapis rouge au Sénat ou à l’Assemblée nationale partagent-ils mes idées ? Non !
Tout cela n’est que du vent, de la communication, du marketing politique. Ceux qui s’agitent le plus et font du patriotisme un argument de campagne sont précisément ceux qui le sont le moins. C’est une imposture, une escroquerie.
Et personne ne réalise que lorsqu’on attaque ainsi un camarade, un compagnon, un allié ou simplement un partenaire politique, c’est à son propre camp que l’on nuit bien davantage.
Ces attaques, loin de convaincre, ne font que dégoûter.
Il est paradoxal d’être sur une liste noire chez ses "amis" et sur une liste rouge chez ses "adversaires".
Je n’ai jamais trahi mes idées et je n’accepte plus, au nom du compromis "nationaliste", de me retrouver aux côtés des nostalgiques, des racialistes ou des traîtres, d’hier comme d’aujourd’hui.
Je ne renie rien de mes engagements et je me félicite d’avoir ouvert les yeux à un grand nombre de nos compatriotes sur notre patriotisme instinctif.
Aujourd’hui, je n’arrête pas le combat.
Mais la politique est un art inhumain et cynique qui ne peut que heurter et désespérer les gens sincères et attachés à leurs convictions.
Notre pays met en lumière les patriotes d’estrade électorale qui se liquéfient, tandis que chez les plus anciens, on est prêt à mettre son épargne au service du réarmement de la Patrie, et que la fibre patriotique des jeunes Français frémit et se réveille, comme en témoigne le nombre croissant de candidats à l’engagement sous le drapeau.
Aucun parti n’a le monopole du patriotisme.
Avec l’expérience, je sais distinguer le noble de l’ordurier.
Je ne cède ni aux tartuffes de l’anti-racisme, ni aux wokistes tenants du Black Lives Matter.
Je n’adhère pas non plus à la défense ou à la promotion d’un communautarisme religieux, ni à toute forme de discrimination positive.
Les moments tragiques sont ceux où les patriotes se retrouvent.
C’est dans la Résistance que des hommes et des femmes de tous horizons politiques se sont unis, des Croix-de-Feu aux communistes, des francs-maçons aux prêtres.
La politique devrait être un service d’une grande noblesse.
Mais elle est devenue un combat de rue, au service d’un système arrogant et déloyal. Je ressens cette violence d’autant plus fortement que je suis méprisé et insulté en raison de ma couleur de peau.
L’amour de la patrie est brandi à tout bout de champ, accommodé à toutes les sauces. Mais il ne doit jamais prendre le parti de l’ennemi.
Ce "patriotisme" de façade ne rêve que de soumission et mène tout droit à la collaboration. Il fait exactement ce que l’ennemi attend : mentir, manipuler, semer le doute et diviser.
Mon patriotisme, lui, s’épanouit dans la discrétion et la mesure, dans la fierté du port de mon uniforme, dans l’humilité de la mémoire de ceux qui ont obtenu leurs médailles de sang et de cœur, sur le théâtre d’opérations, au service de la Patrie.
C'est ma ligne de conduite, mon sens de l’honneur et du devoir. Il ne doit se révéler au grand jour que lorsque les circonstances l’exigent.
À tous les candidats et candidates à la Présidence de la République en 2027, n’oubliez jamais que le patriotisme n’a rien à voir avec le nationalisme.
C’est une éthique, un engagement moral, une exigence absolue qui dépasse la banalité des discours électoraux et la fausse compassion.
Sans unité, nous périssons.
Français, de toutes origines, de toutes confessions, nous avons un destin commun. J’avais vu juste en 1987 avec Ronald Reagan et la révolution conservatrice. Je vois juste encore aujourd’hui.
La France doit retrouver son âme, ou elle disparaîtra.
Aujourd’hui, je méprise ce monde politique gangrené par les opportunistes, les idéologues de pacotille, les faussaires du patriotisme.
Ceux qui parlent de morale tout en fréquentant les endroits les plus sordides, ceux qui se disent résistants mais ne se battent que sur les réseaux sociaux.
Ce milieu est la poubelle humaine de notre civilisation.
La politique devrait être un honneur, un engagement au service du peuple, un combat noble.
Mais elle est devenue un théâtre où se côtoient les lâches, les imposteurs et les traîtres.
Moi, je continuerai le combat, sans trahir ni me compromettre.
Parce que la France mérite mieux.
Par Stéphane DURBEC
Président de Perspective Outre Mer
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