mercredi 26 mars 2025

L' HOMME QUI RUINA LA FRANCE ! UN PETIT RAPPEL DES FAITS .........

 TRIBUNES LIBRES !

Xavier Raufer : « Armes blanches : une menace incontrôlable… vraiment ? »

25 mars 2025 Des policiers municipaux recueillent des preuves sur le lieu de l’attentat de Mulhouse, perpétré à l’arme blanche, le 22 février 2025. © SEBASTIEN BOZON / AFP

Par  Xavier Raufer. 

Cette nouvelle contribution de Xavier Raufer est parue sur Atlantico hier, 25 mars. Intéressante analyse que nous ne commenterons pas sauf pour dire qu’elle émane d’un spécialiste très avisé dont nous suivons les travaux depuis des années.     

Attaque à la machette mardi 18 mars dans un lycée à Plaisir, au sabre le lendemain dans un lycée parisien, une nouvelle fois à la machette vendredi 21 mars dans un lycée à Aix-en-Provence… Sommes-nous désemparés face au fléau des attaques à l’arme blanche ? 

Atlantico : Comment lutter contre les attaques à l’arme blanche ?

 La « prévention » a échoué. 

Devons-nous adopter un arsenal répressif beaucoup plus ferme et alourdir les peines ? 

Si oui, lesquelles ?

Xavier Raufer : L’actuel code pénal contient tout ce qu’il faut pour réprimer efficacement les attaques au couteau.

 Mais, comme toutes les infractions graves effrayant ou exaspérant les Français… homicides… gros trafics de drogue, on ne l’applique pas ; à présent, les peines en pareil cas infligées par les magistrats sont insignifiantes, voire fictives. 

Rappel : l’article 222-13 (encore amendé l’an passé, donc tout frais) dispose que l’agression avec arme blanche est passible de trois ans de prison et 45 000€ d’amende.

 Diverses circonstances aggravantes (en réunion… visage dissimulé, etc.) peuvent alourdir la peine à cinq ans de prison et 75 000€ d’amende.

 Or ces peines ne sont jamais infligées aux coupables : laxisme… pas de places en prison… 

Croyance dans le bobard gauchiste de « la prison, école du crime ».

 Au fond, adhésion fervente à la culture de l’excuse.

« Je vais modifier rapidement le Code de l’éducation : au sein des établissements, tout port d’arme blanche devra donner lieu à un passage systématique en conseil de discipline et à un signalement au procureur via l’article 40.

 On ne doit rien laisser passer », a récemment déclaré la ministre de l’Éducation nationale, Elisabeth Borne.

Elle ajoutait aussi régulièrement « échanger » avec les ministres de l’Intérieur et de la Justice à ce sujet. 

 

Ces propositions vous paraissent-elles suffisantes ?

Xavier Raufer : Pur déclaratif, l’intéressée n’ayant ni l’intention ; moins encore, les moyens d’appliquer ne fut-ce que le dixième de ce qu’elle édicte. 

Les agresseurs au couteau sont d’usage issus de quartiers ou cités hors-contrôle ; directement, ou par clans ou fratries, ils sont captifs de logiques de bandes. 

Donc, sortir de « leur » cité, les met en danger dans les transports en commun et dans le système scolaire, que fréquentent aussi des lascars d’autres bandes.

 Les agressions s’opèrent d’usage sous capuche ou cagoule, dans des lieux où souvent, les caméras de vidéosurveillance sont détruites.

 En prime, un personnel scolaire adepte du « pas de vague », assez pauvre en héros impavides (Crainte de finir comme Samuel Paty…) et susceptible d’intimidation ; parfois, de corruption : souhaitons bonne chance à la ministre.

 

Si cela semble choquant de prime abord, ne serait-ce pas la seule solution pour assurer la sécurité des élèves ainsi que du personnel éducatif correctement ?

Xavier Raufer : La France étant – encore – un État de droit, appliquer le code pénal ne devrait pas susciter des états d’âme angoissés. 

La justice est la clé de voute de la société ; soit sa loi s’applique, soit c’est celle de la jungle.

 

Qu’est-ce qui explique selon vous l’extrême banalité de ces attaques ? Avons-nous passé un cap anthropologique ? 

Xavier Raufer : Enfantin : un enivrant sentiment d’impunité… Vos copains, « grands frères » ou caïds sortent du tribunal, les mains dans les poches, après des crimes bien pires (braquages… gros trafics de stupéfiants…) que de suriner un condisciple… 

Vous habitez des quartiers où la police ne vient jamais ou presque…

 Divers gauchistes – parlementaires, médiatiques ou autres – hurlent sur tous les tons que vous êtes les nouveaux « damnés de la Terre », de misérables victimes de l’exclusion et du racisme…

 

Avons-nous connaissance de chiffres et de statistiques sur le nombre d’attaques à l’arme blanche, ainsi que sur le profil des auteurs ? 

Si non, qu’est-ce qui justifie cette absence de données ? 

Une volonté de cacher la réalité ou la difficulté à recenser les cas ?

Xavier Raufer : Visant plus à noyer le poisson qu’à informer le citoyen, les données mensuelles InterStats du ministère de l’Intérieur proviennent d’un tableau interminable, série statistique entamée en 2016, comptant fin 2024 13 057 lignes sur 11 colonnes : 143 627 cellules contenant chacune une donnée (« victime ») ou un chiffre (« 16 »), pour 2016 par exemple. 

Or, par rapport à l’antérieur et antédiluvien « État 4001 », (conçu au début de la décennie 1970) ce nouveau tableau évolutif marque une inquiétante régression.

 De fait, « l’État 4001 » comptait 107 index, les six premiers consacrés à divers types d’homicides.

 Les voici :

article media

 

Notons que rien n’y figurait sur l’instrument du crime (arme à feu, poignard, arme par destination, etc.). L’État 4001, permet de dire (index 01) combien de truands se sont entretués, disons, dans les Vosges. Point final. 

Or dans la présente série statistique du ministère de l’Intérieur, initiée 44 ans plus tard, nul détail : un être asexué est tué, acte illicite commis on ne sait comment ni précisément où – le niveau de précision ayant régressé du département à la région – point final.

Si le ministre ou le président veut la réalité des chiffres, il demande aux deux directions générales (Police nationale et gendarmerie) de les remonter de la base, à un moment précis. 

Ceci fait, le chiffrage résultant est traité comme secret d’État ; mille précautions sont prises pour le cacher même aux directions et cabinets – sauf exceptions.

 Preuve que le gouvernement – celui-ci, les précédents, tout comme – vivent dans la terreur d’une telle révélation. 

Exemple, le gouvernement avoue « 600 cambriolages par jour », chiffre déjà mauvais, pieusement repris par les journalistes asservis.

 Or en fait, on peut retrouver le vrai comptage, partant de données que l’Intérieur enterre, mais figurant dans d’abscons et kilométriques tableaux Excel : 1 400 cambriolages par jour en réalité, presque un par minute. 

On a déjà publié ça dans Atlantico ; aussi le chiffrage vrai des coups et blessures volontaires hors-famille ; là aussi, des résultats exécrables et qui s’aggravent d’année en année. 

Peut-être accèderons-nous un jour à des données permettant un décompte réaliste des blessures et homicides par arme blanche ; mais pour l’instant, leur occultation est féroce.

 Attendons.   ■ 

Par  XAVIER RAUFER

 

Xavier Raufer

Docteur en géopolitique et criminologue.
Il enseigne dans les universités Panthéon-Assas (Paris II), George Mason (Washington DC) et Université de Sciences politiques et de droit (Pékin)

ET AUSSI     RAPPEL !

L’HOMME QUI RUINA LA FRANCE



 

Pour ceux qui ont oublié, petit rappel des faits…

 

Quand un homme politique meurt, la bienséance veut qu’on ne se rappelle que de ses qualités. 


En revanche, le temps du respect semble être révolu et vous trouverez dans l’interminable colonne ci-dessous tous les détails de ce que l’on peut reprocher à F. Mitterrand ! 


Et la liste est d’autant plus longue que la mise en forme bizarre est étroite ! 


L’HOMME QUI RUINA LA FRANCE.
Un petit rappel du passé et des 14 années de POUVOIR de François MITTERRAND dont on vient de fêter en grande pompe le vingtième anniversaire de sa mort. 


Il fut tout d’abord l’homme des « suicides », de De Grossouvre à l’Élysée (qui préparait un livre sur lui) et de son ancien Premier ministre Pierre Bérégovoy. (et P. Pelat) ? On l’oublie ?…)

Et il a pu tout se permettre.

Si la PRESSE parlait, « Elle », elle risquait de gros problèmes et ses journalistes avaient peur (Jean-Edern Hallier n’a-t-il pas été assassiné par une mauvaise chute à vélo sans témoin pour avoir voulu révéler l’existence de Mazarine, laquelle fût entretenue aux frais de la princesse plus de 20 ans durant) ?

C’est du passé, mais qu’on ose encore le citer en exemple !

Il ne faut surtout pas non plus oublier qu’il a « demandé » (et obtenu).

Le changement de l’itinéraire du TGV dans la Drôme afin de protéger la maison à Marsanne de son ami Henri MICHEL, le château La Borie dont un des actionnaires était Roger HANIN son beau-frère, ainsi que des truffières appartenant à Mme Danielle MITTERRAND du côté de Suze-la-Rousse.

Ce changement a fait passer le TGV au-dessus du Rhône et a coûté au contribuable la bagatelle de 5 milliards de francs liés aux nouveaux ouvrages d’art (ce montant n’était que le devis initial et ne comprend pas le surcoût, d’au moins 50%).

Ce n’est là qu’une toute petite partie de ce que l’on sait aujourd’hui et dont la presse aux mains de la gauche ne parle jamais, la partie émergée de l’iceberg oubliée dans la brume du mensonge permanent, et dont voici quelques-uns des faits et méfaits :

– Faux évadé des camps allemands, Mitterrand a été membre de la Cagoule en 1935, antisémite et anti-républicain, ce mouvement est de tendance fasciste.

– Sous-secrétaire d’État aux anciens combattants en 42, il a été décoré, sur sa demande écrite d’avril 42, de la Francisque (l’ordre de la Francisque est une décoration attribuée en tant que marque spéciale d’estime du maréchal Pétain par le gouvernement de Vichy en 1943, (il faut savoir que c’était valorisant, comme la Légion d’honneur) actuellement, et qu’il fallait la demander (contrairement à l’ordre de la Légion d’honneur), et se faire parrainer.

– Ceci explique peut-être la protection systématique dont bénéficia Bousquet, ancien Secrétaire général de la Police de Vichy.

Il en fut le récipiendaire numéro 2202 donc cela implique tout de même une certaine volonté et un certain désir…

– Il était Garde des Sceaux pendant la Bataille d’Alger, et c’est lui qui a organisé les bandes de barbouzes, ce qu’il reniera plus tard.

 

C’est lui aussi qui a présidé au fonctionnement de la guillotine à cette époque.

– Il a organisé un faux attentat rue de l’Observatoire à Paris pour focaliser sur lui les regards de la presse.

– Il a fait financer le PS par des pratiques frauduleuses (affaires Urba, Graco, et de multiples autres).

– Il a appris qu’il avait un cancer de la prostate métastasé aux vertèbres lombaires quelques semaines avant les élections présidentielles de 1981, et n’a rien dit alors que l’aspiration à la fonction de chef d’État l’y obligeait, tout comme les fausses déclarations de fortune en omettant ses possessions en forêt de Troncay (défiscalisables évidemment).

– Il a fait nationaliser les banques et les industries françaises, obligeant la France à dévaluer sa monnaie trois fois de suite en quelques mois.

– Il a fortement élevé le nombre des chômeurs en France (moins d’un million en mai 1981 à 3 millions dès 1983).

– Il a protégé un ancien collaborateur des nazis, son ami René Bousquet.

– Il a protégé Bernard Tapie et l’a élevé au rang de ministre, et a plombé chaque contribuable de 2 500 francs sur cinq ans mini.

– Il entretenait sa maîtresse et sa fille adultérine cachées dans un appartement parisien appartenant à l’État, et les week-ends passés dans les palais de la République aux frais de

celle-ci.

– Il se rendait chaque Noël sur les bords du Nil aux frais de l’État, et emmenait avec lui une soixantaine de personnes lors de ses déplacements.

– Il descendait tous les ans à l’Old Cataract (un hôtel somptueux sur le Nil) avec « sa petite famille », dont Françoise Sagan emmenée aussi en Amérique du Sud et qu’il fallut rapatrier d’extrême urgence par avion spécial, victime d’une overdose de cocaïne !

– Il a augmenté la dette de la France de plus de 250 % durant sa mandature. (Raymond barre parti en 1981 en laissant un excédent de 35 milliards de FF dans les caisses, soit 5,5 milliards d’€)

– Il a fait racheter l’entreprise de son ami Roger-Patrice PELAT (déjà largement mouillé de recel de délit d’initié dans l’affaire Péchiney-Triangle), la société « Vibrachoc », par une société d’État pour cinq fois sa valeur réelle.

– Il a obligé son médecin personnel à publier durant 14 ans de faux certificats sur son état de santé (pauvre médecin, disparu lui aussi).

– Il a couvert ses sbires gendarmes qui ont inventé une histoire de terroristes à Vincennes.

– Il a totalement délaissé un de ses fidèles très proches, François de GROSSOUVRE, qui a fini par se suicider (d’une balle… dans la nuque !) avec un 357 Magnum dans un bureau à l’Élysée.

– Il a affirmé qu’il ne savait rien sur la destruction à l’explosif d’un bateau de Greenpeace en Nouvelle-Zélande, pourtant organisé par les services secrets français et sur son ordre !

– Il a mis sur écoute sans justification plus de 150 Français, dont Carole BOUQUET et Jean EDERN-HALLIER, et il a osé affirmer à la télévision qu’il n’a jamais commis ce forfait.

 Curieusement, le capitaine de gendarmerie qui branchait « les fils » s’est, lui aussi, « suicidé ».

– Les associations décomposées tenues par « tatie Danielle », et qui lui survivent, lourdement subventionnées par l’État, ou encore le fric donné aux amis comme Guy LIGIER pour ses charrettes bleues (payées par la SEITA et le Loto) : c’est encore « Tonton ».

– Il a fait nommer un de ses fils à un poste de conseiller en Afrique, rôle qu’il n’a jamais exercé.

– Il a laissé tomber son ex-Premier ministre Pierre Bérégovoy qui allait tout déballer, mais s’est « suicidé » lors d’une promenade un dimanche après-midi, avec l’arme de service de son garde du corps ! Curieux non…

– Bérégovoy était redevable du copain de Tonton, toujours Roger Patrice Pelat qui a fait un infarctus mortel au moment où on allait lui poser les bonnes questions.

– Son secrétaire ami François De Grossouvre qui allait tout déballer et qui se serait “suicidé” non sans s’être fracturé l’épaule durant la manœuvre, (on l’a un peu aidé) et ses archives et ses biens disparus, sa veuve les attend toujours…!

– Les 35 heures, c’est encore un délire de démagogue pensé par DSK, appliqué par Martine BROCHEN, née DELORS, ex-épouse AUBRY (dont la dépendance à l’alcool ne lui a valu que trois cures de désintoxication, et n’a d’équivalent que l’addiction sexuelle de son mentor).

– Jospin qui perd les élections, très prévisiblement, entre dans le monde du silence, pour ne pas mourir suicidé aussi.

– Aujourd’hui, nous payons ses erreurs, dont l’entrée de la Grèce en Europe à laquelle il contribua beaucoup.

– C’est ça LA GAUCHE ANGÉLIQUE qui se veut donneuse de leçons, et qui a pourtant bien contribué aux résultats difficiles auxquels nous devons à présent faire face, avec notamment une dette colossale ! On s’arrête là ?

Remarquez que la relève est assurée avec la bande de Charlots qui a suivi !

Français, vous avez la mémoire bien courte ! Patientez quelques jours, le livre de son amante préférée, mère de sa fille, va bientôt sortir et devrait certainement vous faire aimer cet amant…

Et vive la gauche donneuse de leçons !

Nous aimons la liberté de publier : à vous de partager !  

Ce texte est une Tribune Libre qui n’engage que son auteur et en aucun cas Observatoire du MENSONGE 


 

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