vendredi 21 mars 2025

RACISME ANTI-BLANC ........QUAND LA VÉRITÉ DÉRANGE , ON L' APPELLE EXTRÊME-DROITE ........

 REVUE DE PRESSE !

Racisme anti-Blanc : le grand déni de notre temps !

Si certains s'évertuent à nier son existence, le racisme anti-blanc est une réalité reconnue par les tribunaux français.
Capture écran France TV
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Le racisme anti-Blanc est-il le grand déni de notre temps ?

 La question se pose, au vu de la quantité d’énergie déployée pour contester un fait social pourtant largement établi.

 Cette semaine, encore, ce tabou s’est rappelé à nous à l’occasion de la publication d’un livre sur les événements qui ont eu lieu à Crépol, dans la nuit du 18 au 19 novembre 2023. 

Ses auteurs ont été reçus, à plusieurs reprises, sur les antennes du service public où ils ont eu toute latitude pour nier, contre toute évidence, la dimension raciale du meurtre de Thomas. 

Ce dernier a été tué par une bande ethnique venue « planter des Blancs », mais tout cela n’aurait, au fond, aucune signification. 

« Ce n’est pas parce qu’ils disent des insultes anti-Blanc au moment de la rixe qu’ils veulent tuer du Blanc ! », a ainsi maintenu le journaliste Jean-Michel Décugis, sur France 5, le 18 mars 2025.

 Une magnifique cascade rhétorique que nous ne vous conseillons pas de reproduire chez vous.

https://twitter.com/ojim_france/status/1902315510659706930

 

Association de lutte contre le racisme créée en 1984, l’AGRIF voit clair, dans le jeu de Jean-Michel Décugis et de ses comparses. 

« Ce sont des journalistes nettement partisans qui ont écrit un livre dans le but de dégonfler le caractère raciste de l’attaque de Crépol et de dégonfler de manière générale la réalité du racisme anti-français et anti-chrétien qui ne cesse de monter en France et contre lequel nous nous battons depuis 40 ans », confie, à BV, Yann Baly, le délégué général de l’organisme.

Un racisme maintes fois reconnu par la Justice

Ces dernières années, la négation du racisme anti-Blanc a été facilitée par un glissement sémantique impulsé par les « sciences » sociales. 

Cette discipline trustée par l’extrême gauche universitaire a eu à cœur de changer la définition du mot « racisme » : celui-ci ne doit plus désigner des comportements de haine ou de hiérarchisation entre races, mais uniquement les effets d’un système de domination s’abattant sur les minorités.

 Ce système étant, en Occident, « dominé » théoriquement par les Blancs, il en découle une impossibilité, pour les non-Blancs, d’être auteurs de racisme et, pour les Blancs, d’en être les victimes. 

C’est au nom de cette manipulation conceptuelle que des journalistes en viennent aujourd’hui à nier le réel. 

« Il y a eu des insultes racistes anti-Blanc, mais le racisme anti-Blanc est un concept d'extrême droite, en jurisprudence, ça n'existe pas », s’est ainsi insurgé, sur France 5, Marc Leplongeon.

Sauf que, là encore, le journaliste dit faux. « Ces journalistes sont à côté de la plaque. Bien entendu, que le racisme anti-Blanc a été reconnu et condamné, rectifie Yann Baly.  

Depuis 1994, nous sommes habilités à agir devant les tribunaux pour tous les faits de racisme anti-chrétien, anti-français et même anti-Blanc. C’est dans nos statuts. Il y a de la jurisprudence, on a fait condamner des gens. »

En effet, en 1992, déjà, l’AGRIF fit condamner un Algérien et un Turc qui avaient traité des policiers de « bâtards de Français ».

 En 1996, un Haïtien fut également sanctionné par le tribunal correctionnel d’Évry pour avoir taxé de « sale Blanc » un contrôleur des transports franciliens. 

De nombreux autres procès suivirent, avec à chaque fois des peines aggravées par des propos virulents envers les « Blancs ». 

En 2014, encore, le caractère raciste fut retenu par la Justice dans une affaire où la victime avait été agressée aux cris de « sale Blanc » et « sale Français »

 Et pas plus tard que cette semaine, Avocats sans frontières a annoncé poursuivre l’humoriste Melha Bedia, qui avait traité un groupe de « bande de gwer » dans l’émission Liars Club, sur Amazon Prime.

https://twitter.com/ASLA_asso/status/1902390109963431987

 

Il se trouve que c’est ce même terme, « gwer », que l’on entend dans une des vidéos tournées le soir du meurtre de Thomas, à Crépol. 

De quoi rendre encore plus incontestable la dimension raciale et raciste du crime ? « Selon les magistrats sur lesquels on tombe, on ne sait pas trop, hélas, déplore le délégué général de l’AGRIF, au micro de BV. Certains jugements ne sont plus rendus en droit, mais en fonction d’une idéologie. Mais là, il y a quand même un ensemble de faits, une médiatisation, des élus qui montent au créneau... 

Donc, on a bon espoir que même un juge partisan ne puisse pas mettre sous le tapis la réalité. »

Affaire à suivre dans les prochains mois.


Picture of Jean Kast
 Par Jean Kast
Journaliste indépendant, culture et société 
 
 
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Le profil très inquiétant du violeur présumé de Claire

Trois OQTF, onze mentions sur son casier judiciaire, profil violent... Et pourtant, il se promenait libre en France.
© Capture écran Eclats de femme
© Capture écran Eclats de femme

« L’instruction est enfin terminée… Mon agresseur va être jugé devant la cour criminelle. » 

Ce 20 mars, Claire Geronimi est mitigée. 

D’un côté, la jeune femme se dit « soulagée de voir que son dossier avance ». 

Seize mois après le terrible viol qu’elle a subi, dans le hall de son immeuble, elle vient d’apprendre que son agresseur présumé, un clandestin sous OQTF, allait être renvoyé devant une cour criminelle pour viols commis sous la menace d’une arme et viols en concours avec un ou plusieurs autres viols commis sur d’autres victimes.

 De l’autre, explique-t-elle, « c’est frustrant de voir qu’il faut autant de temps pour boucler une instruction alors que le suspect avait avoué les faits ». 

Si aucune date de procès n’a, pour l’heure, été fixée - au grand dam de Claire -, l’enquête a déjà permis d’éclairer le profil très inquiétant du suspect.

11 mentions sur son casier judiciaire

Les éléments révélés par Le Figaro dressent le portrait d’un homme dont la violence était malheureusement connue de tous. 

Né à Bangui (Centrafrique), Jordy G. arrive en France en 2009. D’abord logé chez un oncle, il est rapidement confié à l’aide sociale à l’enfance (ASE) et placé dans une famille d’accueil après une violente dispute. 

Déjà, ses proches le décrivent comme agressif. 

À 13 ans, il est accusé d'avoir agressé sexuellement et violé une jeune fille du même âge.

 Entre octobre 2011 et octobre 2012, il se serait introduit plusieurs fois dans la chambre de l’adolescente et lui aurait imposé des attouchements et des pénétrations.

 Entendue dans le cadre de l’instruction du viol de Claire, la jeune fille a récemment déposé plainte contre son agresseur. Fin 2012, Jordy G. est ensuite envoyé dans un foyer.

 Là, il aurait agressé sexuellement une autre adolescente. La victime décide de porter plainte, mais l’affaire est classée sans suite pour « infraction insuffisamment caractérisée ».

Son oncle, une mère de famille d’accueil, des experts psychologiques… tous confirment la dangerosité du ressortissant centrafricain. « Un expert souligne même que son cas relève du pénal et non de l’éducatif », rappelle Claire, indignée.

 Et par onze fois, Jordy G. comparaît devant les juges pour des affaires de violences, menaces, ports d’armes et stupéfiants.

 Pour autant, l’homme, visé par trois OQTF, se promène libre en France dans les rues de Paris, en novembre 2023.

 

Et le 11 novembre 2023, Jordy G., alors sans domicile fixe et sans profession, suit Claire dans le hall de son immeuble, dans un quartier cossu de la capitale, et la viole en la menaçant d'une lame artisanale. 

 Un peu plus tôt dans la journée, l’individu avait déjà violé une autre jeune femme. 

Interpellé quelques heures plus tard, il finit par reconnaître le viol de Claire et explique avoir été « en manque » sur le plan sexuel.

 Placé en détention provisoire, il continue de faire parler de lui. En décembre 2023, le Centrafricain est ainsi condamné à trois ans de prison, dont un avec sursis, pour violence et agression sexuelle sur une surveillante pénitentiaire.

 Au cours de l’année 2024, il se fait remarquer pour des faits de violences, menaces, crachat contre des gardiens, début d’incendie dans sa cellule, exhibition sexuelle, propos à connotation sexuelle…

« Un traumatisme de plus »

« Apprendre tous ces éléments, forcément, ça remue…, confie Claire, contactée par BV. Il y a plein de signes qui montrent sa dangerosité, il a été condamné par le passé. 

La Justice n’a pas du tout surveillé ce profil violent. » « Pour une victime, c’est forcément très compliqué d’accueillir tous ces éléments », poursuit la jeune femme, qui dénonce « une Justice totalement laxiste ». 

D’autant plus qu’avec son association « Éclats de femmes », qui vient en aide aux victimes, Claire est toujours confrontée à des agresseurs aux « profils similaires ». Que fait la Justice ?

La jeune femme dénonce, également, l’inaction de l’État sur les OQTF et les dysfonctionnements dans l’instruction. 

« Ces seize mois ont été extrêmement éprouvants. J’ai parfois eu l’impression d’être sur le banc des accusés. Je comprends qu’il y ait des procédures à respecter, mais il faudrait sûrement un peu plus d’humanité dans le traitement de ces dossiers », souligne la nouvelle vice-présidence du parti d’Éric Ciotti (UDR), qui regrette les expertises intrusives et le manque de tact des autorités. 

« Ça peut être un traumatisme de plus pour les victimes », ajoute celle qui, depuis son agression, est passée par le burn out, la perte d'un emploi et les difficultés avec l'administration pour faire reconnaître son statut de victime.

Aujourd’hui, Claire redoute et attend le procès de son agresseur. « J’espère qu’il écopera de la peine maximale », conclut-elle. 

 
 Source :https://www.bvoltaire.fr/racisme-anti-blanc
 

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@Ad_Vitam44_
 
Si je comprends bien, parce que nous sommes Français blancs, nous devons subir en silence les FRANCOCIDES et L’IMMIGRATION MASSIVE, la violence, ainsi que la vengeance liée à l'époque coloniale et à l'esclavage.
 Nous ne devons rien dire aux descendants racisés m**** , sous peine d'être taxés de fascistes et de racistes. 
Vous n'étiez pas là, et moi non plus, à cette époque-là. 
Alors, pourquoi devrions-nous subir votre comportement et celui de vos enfants ? 
 
Chers Gouvernants, Pourquoi laissez-vous faire cela ? 
C'est un éternel recommencement, en vérité. 
 
Par la suite, vous allez crier à la victimisation quand nous déciderons de nous défendre. 
 
Et pourquoi avoir attendu aujourd’hui le nombre peut-être ?
 
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ET AUSSI



 

Quand la vérité dérange, on l’appelle extrême droite. 

Avant toute chose, la France doit se libérer des enfumeurs, tonne notre chroniqueur Ivan Rioufol, qui dénonce depuis des années le conditionnement idéologique faisant l’éloge de l’immigration massive et d’une mondialisation prétendument « heureuse ».


Lutter contre l’immigration invasive, qui met en péril l’identité française, la sécurité publique et la démocratie libérale, oblige à lutter prioritairement contre la censure des idéologues : ils interdisent de s’exprimer comme je viens de le faire, sauf à être catalogué d’« extrême droite ». 

Pour eux, l’immigration n’est pas un sujet puisqu’elle est constitutive de la France.

A lire aussi: Sophia Chikirou, le « martyr » du Hamas et la chute de la maison Mélenchon

 

C’est ce dogme qu’avait exprimé Gérald Darmanin, alors ministre de l’Intérieur, en déclarant le 19 septembre 2023 : « La question de l’immigration n’est pas une question d’opinion publique. Il n’y a pas à être pour ou contre. Etre contre, c’est comme être contre le soleil »

Or ce dressage intellectuel, qui invite à applaudir au nouveau peuplement extra-européen, a ses influenceurs. 

Ils tiennent le haut du pavé, comme le rappelle la démographe Michèle Tribalat dans un texte mis en ligne mardi par Causeur.

 Initialement, cet article aurait dû faire partie d’un livre collectif, codirigé par Pierre Vermeren, Face à l’obscurantisme woke, qui devait être publié aux PUF (Presses universitaires de France).

 Sous la pression de Patrick Boucheron, du Collège de France, l’ouvrage a été déprogrammé in extrémis. 

Mais la contribution de Tribalat avait été elle-même exclue préalablement du projet, dans la crainte de déplaire à François Héran, également du Collège de France, dont elle dénonce les pratiques d’enfumage. 

Le crime de la démographe ?  S’attacher au réel et dénoncer les faussaires, en suivant l’analyse de Jean-François Revel : « L’idéologue désire non point connaître la vérité, mais protéger son système de croyance et abolir, spirituellement faute de mieux, tous ceux qui ne croient pas comme lui.

 L’idéologie repose sur une communion dans le mensonge impliquant l’ostracisme automatique de quiconque refuse de la partager. »

A lire aussi, Jean-Eric Schoettl: Dans le mur de l’État de droit

 

La première des menaces existentielles pour la France est portée par ces dénégationnistes professionnels, souvent dénoncés ici. 

Ils veulent faire plier le réel sous des concepts contredits par les faits. 

C’est ainsi, par exemple, que le racisme anti-blanc est nié par principe, les minorités ethniques devant être sacralisées. 

Cette technique de subversion totalitaire, décrite par Roger Muchielli dans les années soixante-dix[1], repose sur la désinformation et la propagande.  

À l’époque, Muchielli invitait « les républiques, si elles ne veulent pas mourir, à entreprendre la contre-subversion » consistant à déceler les mécanismes visant à obtenir « l’apathie populaire ». 

 Or cette résistance n’a pas été conduite à son terme. 

La France subit, plus que jamais, le terrorisme intellectuel des gardiens de la mondialisation heureuse et des sociétés ouvertes. 

Par le jeu des cooptations, cette caste monopolise les hautes sphères du monde intellectuel et médiatique, du Collège de France jusqu’au Monde en passant par Science-Po.

 La France Insoumise, qui appelle à manifester samedi à Paris « contre l’extrême droite, ses idées et ses relais », en ciblant nommément des personnalités y compris dans leur judéité (Cyril Hanouna), est le produit de cette tyrannie qui se perpétue.

A lire aussi, Arnaud Vrillon: Affiche “antisémite” de LFI: selon Mélenchon, c’est la faute à l’extrême droite!

 

Et Emmanuel Macron lui-même ne cesse de rejeter, pareillement, ses opposants dans le camp des « populistes », des « complotistes » ou de l’ « extrême droite ».

 La dernière lubie du gouvernement, dans le prolongement de l’infantilisation des citoyens par la peur, consistera à distribuer à tous un « manuel de survie » en cas de menaces contre la France. 

Mais ces apprentis-sorciers sont la vraie menace.

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[1] La subversion, Editions CLC (1976)


 
Source et Publication :   https://www.causeur.fr/rioufol-




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