TRIBUNE LIBRE ET CONSTAT !
Femmes blanches agressées par des diversitaires : la faute à la colonisation et l’esclavage !
En ce moment, le procès des viols de Mazan fait la une des médias.
Pourquoi ? Parce que le principal accusé est blanc.
J’en veux pour preuve la différence de traitement de ces viols – certes abjects – et ceux perpétrés en Grande-Bretagne, précisément à Telford, pendant trois décennies.
Parce que ces viols collectifs étaient « l’œuvre » de « bons musulmans » et qu’ils touchaient principalement des jeunes filles blanches.
Dans ce cas, pas de féministes pour défendre bruyamment ces pauvres gamines, pas de Caroline de Haas, dont le nom sonne comme un fondement pas propre !
Plus proche de nous encore, le corps mutilé et enterré de la jeune Philippine au bois de Boulogne, dont on ne connaît pas encore l’assassin, le mode opératoire laissant toutefois penser à quelque chose d’assez exotique, comme le soupçonne à juste titre Pierre Cassen dans la vidéo qui suit :
Malgré la propagande virulente des néo-féministes, la réalité est là qui frappe à la porte : les individus issus d’une certaine immigration sont des violeurs en puissance – pas tous bien entendu ! –, et les jeunes femmes, hors caméra, n’hésitent pas à le dire.
Sauf que certaines ont l’outrecuidance de le crier haut et fort, comme les féministes authentiques du collectif Némésis et quelques autres courageuses femmes qui n’ont pas pris cette citation d’Alfred de Musset pour argent comptant : « Tout le réel pour moi n’est qu’une fiction. »
Car nombre de femmes subissent quotidiennement les agressions, verbales et physiques, de la part de très entreprenants allogènes.
Ceux qui en doutent n’ont qu’à aller jeter un coup d’œil à Paris, aux Halles, à La Défense et même sur les Champs-Élysées, où convergent nombre de spécimens diversitaires.
Vous verrez alors comment ces prix Nobel en devenir regardent les femmes, surtout blanches mais pas exclusivement : comme des proies.
Et les femmes le ressentent, qui refusent souvent d’y traîner seules, comme un peu partout ailleurs où sévissent les « chances pour la France ».
Et les immondes néo-féministes de l’ignorer et pointer l’homme blanc comme danger unique !
Autre exemple, une jeune femme s’est confiée à Valeurs actuelles sur une agression allogène dont elle a été victime.
En août 2023, elle se rendait à Paris et dans le RER elle a alors été abordée de la manière la plus violente par un maghrébin, lequel lui a dit : « Je vais te sauter sale blanche ! »
Elle s’en est heureusement mieux sortie que beaucoup d’autres qui sont violées, voire tuées par ces prédateurs dont on ne doit pas dire le nom, surtout dans les médias !
Étant entendu que, dans l’esprit de ces frustrés sociaux et sexuels, c’est-à-dire issus d’une culture figée qui chosifie les femmes, une donzelle blanche et seule est forcément une… « salope » !
Le « meilleur » reste à venir car la jeune femme aurait oublié le vivre-ensemble obligatoire en décrivant son potentiel violeur : « Quand j’ai décrit le physique de mon agresseur, on m’a rétorqué que je n’avais pas à dire ça. »
Côté homophobie, ce n’est pas mal non plus et, nonobstant la doxa en vigueur qui voudrait que l’homophobie soit un problème d’extrême droite, ce sont encore les diversitaires, particulièrement musulmans, qui agressent les homosexuels.
Sans doute parce que, inconsciemment, ils craignent d’en être, sait-on jamais : « Paul, qui habite dans un petit village du sud du Tarn, a passé une partie l’après-midi de samedi à Mazamet pour aller voir Emma, une de ses amies.
Et vers 16 h 30, alors que les deux jeunes traversent un jardin public pour se diriger vers la gare où Paul doit prendre un train pour rentrer chez lui, ils sont accostés par jeune fille, vague connaissance d’Emma qui leur demande s’ils sont en couple. Paul répond que non puisqu’il “aime les garçons”.
Une réponse qui va provoquer une réaction de haine de la jeune fille qui va aussitôt rameuter “des cousins”. Une dizaine d’individus, des filles et des garçons âgés de 13 à 20 ans, débarquent et s’en prennent sans autre forme de procès à Paul qui va être passé à tabac. »
Et les « cousins » en question n’étaient pas des touristes islandais !
Ce qui a mis très mal à l’aise la nouvelle présidente de SOS Homophobie, Julia Torlet – une autre obsédée gauchiste de l’extrême droite –, interrogée sur BFMTV, qui a parlé de « sanction sociale » à l’encontre de ce jeune homme. Moi j’aurais plutôt parlé de lynchage avec intention de donner la mort !
Alors, ces néo-féministes racistes anti-Blancs – et Blanches par voie de conséquence idéologique – peuvent continuer à cracher leur venin mensonger, avancer des concepts délirants comme le « viol par le regard », je reste pour ma part convaincu qu’une immense majorité des femmes françaises préfèrent se trouver en compagnie de Blancs plutôt que d’allogènes surexcités par le moindre carré de peau apparent !
En attendant, je conseille à toutes les femmes, et au mépris de la censure antiraciste, de se défendre de toutes les manières qu’elles jugeront nécessaires.
Comme le préconise une internaute en commentaire de l’article de Valeurs actuelles :
« helen2
Publié le 20.09.2024 à 14h00
Que les femmes se défendent bon sang, moi, perso je ne tolère rien venant de ces gens, je vois leur regard sur ma fille par exemple, on dirait qu’ils voient un morceau de viande fraiche et là, j’y vais oh mec tu mates pas ma fille de cette façon et si cela ne lui plais pas, un petit coup de bombe d’autodéfense si le mec devient agressif. »
Autrement dit, mesdames : aidez-vous et le Ciel vous aidera, car l’État français vous a abandonnées depuis belle lurette, sans parler des néo-féministes qui, dans leur imaginaire détraqué, pensent que si votre agresseur est d’appellation « chance pour la France » contrôlée, alors vous méritez votre sort à cause de l’esclavage et la colonisation !
Par Charles Demassieux
Source et Publication : https://ripostelaique.com/si-les-femmes-blanches
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