samedi 28 septembre 2024

PHILIPPINE , LE DERNIER CRIME DE L' IMMIGRATION MASSIVE ET DE L' INCURIE JUDICIAIRE ......

 

Philippine, dernier crime de l’immigration massive et de l’incurie judiciaire


           

L’odieux assassinat de Philippine, 19 ans, coche toutes les cases de l’incurie française où formalisme et bureaucratie ont remplacé le bon sens. 


Arrivé en France en 2019, immigré en situation irrégulière, ce marocain autodéclaré mineur avait déjà été condamné pour viol en 2021 à 7 ans de prison – peine qu’il n’a d’ailleurs pas effectuée en totalité… 

Il a aujourd’hui 22 ans. Placé en Centre de Rétention Administrative (CRA) à sa sortie de prison le 20 juin 2024, non expulsé pour cause d’absence de laissez-passer consulaire de son pays d’origine (le Maroc), il a été remis en liberté le 3 septembre pour des motifs administratifs douteux – en fait par décision subjective du « Juge des Libertés et de la Détention » (JLD)… 

Le laissez-passer consulaire marocain a finalement été accordé quelques jours plus tard…

 Trop tard pour sauver Philippine, sauvagement assassinée le 20 septembre au bois de Boulogne…

 Le criminel, quant à lui, a été arrêté à Genève et est en attente d’extradition.

L’incurie judiciaire et sécuritaire de notre pays coche ainsi toutes les cases de l’immigration sauvage et du juridisme, aux antipodes du bon sens et du droit légitime du peuple français  à être protégé. 

Protection qui est l’une des fonctions régaliennes de l’état. 

On confond trop souvent la séparation des pouvoirs (exécutif, législatif, judiciaire) avec l’indépendance des juges qu’on nous serine à longueur de temps et qui est de plus en plus interprétée comme l’expression de leur « irresponsabilité »…

Le débat a déjà commencé entre le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau et Didier Migaud, ministre de la Justice du nouveau gouvernement. 

Le premier réaffirmant son rôle d’assurer la sécurité intérieure, le second annonçant que les juges sont « souverains » et que la justice « fait son travail » (déjà sur la défensive, M. Migaud ?).

 

Ce drame a ému toute la classe politique française… 

Sauf les islamo-gauchistes, qui ne se manifestent que quand certains morts – pourtant douteux (Nahel, ce « pauvre petit ange » et la famille Traoré) leur permettent de brailler dans les rues « La Police Tue ». 

Seront ils aux obsèques de Philippine ? « Un féminicide »… comme Mélenchon travestit sans vergogne cet assassinat…

 

Essayons d’analyser sereinement ce triste « dossier ».

Ce crime odieux concerne une fois de plus deux des principaux points faibles et critiques de la France : immigration et insécurité. Il montre clairement que notre dispositif de défense intérieure actuel est décidément incapable de nous protéger.

En attendant de régler définitivement ce problème majeur, il faut faire preuve de bon sens, d’intelligence et de créativitépour protéger nos compatriotes.

Si nous ne parvenons pas à contenir le flux migratoire (ce qui doit évidemment rester la priorité) ; si nous ne parvenons pas à obtenir à temps les laissez-passer consulaires pour expulser criminels et délinquants immigrés irréguliers ; si nous voulons envoyer un signal clair et dissuasif aux futurs criminels potentiels, il convient de nous organiser sérieusement et rapidement. 

 

Rappelons que 7 % seulement des OQTF sont suivis d’effets (contre 100 % promis par Macron lors de sa campagne électorale !).

Les prisons sont pleines ? On manque de crédits ? On craint la contagion ?

 

 Les textes sont contraignants ? 

Avec un peu d’imagination et de courage, nous avons pourtant une solution.

 Il suffirait d’ouvrir un de ces fameux « CRA » en France, mais loin de la métropole…

Il existe, au large de la Guyane, l’archipel des Iles du Salut.

 La promesse d’un séjour à plusieurs milliers de km de la France continentale, au large de la Guyane, résoudrait peut-être le problème et serait aussi un sérieux indicateur d’alerte pour les futurs impétrants. Non ?

J’imagine déjà les critiques et injures qui vont fuser en tous sens : fascisme, déportation, etc…

 Mais que ceux qui formulent ces critiques réfléchissent un instant à la sécurité et à l’avenir de leurs enfants, et aux risques qu’ils vivent chaque jour dans leur pays, eux et leur famille…  

 

On peut tout imaginer. 

Des séjours courts ou longs, des possibilités locales de formation à différents métiers, etc… 

Il est certes probable qu’un tel projet soit moyennement apprécié des résidents locaux, mais sans doute peu différents des rejets formulés par les communes de métropole où se créent des CRA… 

L’infrastructure locale est certes obsolète aux Iles du Salut, mais elle a le mérite d’exister. 

Et qu’on ne me parle pas de « déportation » (on est bien en France !) ou de « morale » (merci à la CEDH de garder pour elle ses critiques stériles et convenues). 

Que font de la morale ces immigrés en situation irrégulière quand ils violent, blessent ou tuent ?

 

Quant au financement de la sécurité de ces prisons françaises outre-mer, soyons rassurés : une bonne partie du coût sera pris en charge par les requins ! 

C’est aussi ça, l’écologie !

Contre Mélenchon et sa clique négationniste…

N’oublions jamais le 7 octobre 2023, massacre perpétré en Israël  par les terroristes du HAMAS.VIVE LA RÉPUBLIQUE, 

VIVE L’UNION des PATRIOTES, VIVE LA FRANCE !

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 ET AUSSI

Philippine : Comment nos élus ont organisé l’impunité de masse


Ce n’est pas une nouvelle mais elle s’amplifie puisque la France a laissé se développer une véritable culture de la violence.

Par Pierre-Marie Sève



 

[Tribune]

 Philippine : Comment nos élus ont organisé l’impunité de masse

Condamné à 7 ans de prison en 2019 pour un viol, Taha Oualidat était sorti avant la fin de sa peine, libéré par un juge d’application des peines. 

Criminel reconnu et en situation irrégulière, il avait été immédiatement placé sous OQTF et envoyé en centre de rétention administrative à Metz, début juin, en attendant son expulsion. 

Seulement, le Quai d’Orsay a tardé à obtenir le laissez-passer consulaire, indispensable pour l’expulsion vers le Maroc.

Du fait de ce délai, un juge des libertés et de la détention (JLD) a libéré Taha Oualidat, quelques jours seulement avant l’obtention du précieux sésame. Assigné à résidence, le clandestin n’a, comme de nombreuses personnes placées sous main de justice, pas respecté ses obligations.

 Le suspect aura donc disparu dans la nature et n’aura eu besoin que de quelques jours pour assassiner, et probablement violer, Philippine.

 

Le laxisme a tué Philippine

Le laxisme judiciaire, par deux fois (lors de sa libération de prison puis de centre de rétention administrative), a fait des cadeaux à un criminel étranger. 

Si le bon sens avait prévalu dans ces procédures, ce criminel serait en prison ou dans l’avion.

 Et l’innocente Philippine serait en vie.

Le grand public est en droit de connaître les noms de ces magistrats, qui rendent la justice au nom du peuple français.

 Il est peut-être possible que leur erreur de jugement soit une véritable faute ; auquel cas, leur responsabilité personnelle doit être engagée.

Mais il est trop facile de s’en prendre uniquement aux juges, dont le métier est précisément d’interpréter les faits dans les limites que leur donne la loi.

 

La loi organise l’impunité

En effet, c’est bien la loi française, votée par nos responsables politiques, eux-mêmes élus par nous tous, qui encourage en premier lieu l’impunité. 

Ainsi, cette loi répugne à l’enfermement des personne pourtant souvent dangereuses et cette répugnance ruisselle dans l’ensemble du droit français.

Par exemple, pour rester sur cette affaire, le juge des libertés et de la détention est encouragé par la loi à ne prononcer de prolongation de rétention qu’« à titre exceptionnel ».

 En effet, l’article L-742-5 du Code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile prévoit précisément cette expression. 

Le texte ajoute que le juge est saisi « en cas d’urgence absolue ou de menace pour l’ordre public »

Le message envoyé par la loi au JLD est donc clair : la grande majorité des demandes de prolongation doit être refusée.

Il est intéressant de noter que l’expression « à titre exceptionnel » est récente, elle date de la première loi Asile et Immigration » de la présidence d’Emmanuel Macron en 2018. 

Personne n’a obligé les parlementaires à l’ajouter ni à la voter.

Mais cet encouragement à libérer les détenus ne s’arrête pas là : dès le prononcé des sanctions, la loi encourage les juges à ne pas prononcer de peines de prison. 

C’est toute la philosophie de l’article 132-19 du Code pénal (modifié en 2014 par Christiane Taubira) qu’« une peine d’emprisonnement sans sursis ne peut être prononcée qu’en dernier recours »

Et encore faut-il, pour cela, également que « la gravité de l’infraction et la personnalité de son auteur rendent cette peine nécessaire » et que « toute autre sanction est manifestement inadéquate »

Il est évident qu’une part importante des magistrats français souffrent d’un biais idéologique « laxiste », encouragé en cela par le Syndicat de la magistrature. 

Mais les magistrats forment d’abord un corps qui applique la loi.

 Et il ne faut pas passer sous silence l’écrasante responsabilité des responsables politiques dans l’état de notre droit. 

La France vote mal depuis des années.

 Résultat : le droit français protège de façon disproportionnée les criminels et les délinquants (41 % des condamnés à de la prison ferme ne vont même pas en prison). 

Ce scandale, ce sont les victimes innocentes qui le connaissent le mieux.

 

 

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Boulevard Voltaire

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