lundi 16 septembre 2024

IMMIGRATION , INVASION , IL FAUT EN FINIR UNE FOIS POUR TOUTE !

 

 TRIBUNE LIBRE ET POINT DE VUE !

 

Pouvoir d’achat, immigration, sécurité : les préoccupations principales des Français selon le baromètre Ipsos –

 La Tribune Dimanche


Le baromètre politique de septembre 2024, réalisé par Ipsos-La Tribune Dimanche, met en lumière les préoccupations des Français et l’évolution de la popularité des dirigeants politiques. 

Ce sondage, basé sur un échantillon de 1 000 personnes, révèle des tendances marquantes, tant en matière de priorités sociales que dans l’opinion publique à l’égard du Président Emmanuel Macron et du Premier ministre Michel Barnier.

 

Les préoccupations des Français : le pouvoir d’achat en tête

Sans surprise, le pouvoir d’achat reste la préoccupation numéro un des Français. 

Avec une augmentation constante depuis le début de l’année, 50 % des sondés déclarent que la hausse des prix, les salaires et les impôts sont leurs principales sources d’inquiétude. 

Cette problématique dépasse de loin d’autres sujets, témoignant de l’impact de l’inflation persistante sur la vie quotidienne.

Derrière ce sujet, on trouve des préoccupations relatives à l’avenir du système social (41 %), incluant la santé et les retraites, ainsi que le niveau de l’immigration (32 %) et la délinquance (31 %), qui continuent d’alimenter les débats publics et médiatiques. 

Ces derniers points varient largement en fonction des affinités politiques. 

Par exemple, les sympathisants du Rassemblement National placent l’immigration et la délinquance au sommet de leurs préoccupations, tandis que ceux de La France Insoumise (LFI) se concentrent davantage sur les inégalités sociales et la justice environnementale.

 

Popularité d’Emmanuel Macron : une lente érosion

Du côté de la popularité présidentielle, Emmanuel Macron connaît une baisse régulière, atteignant en septembre 2024 30 % d’opinions favorables, une légère remontée de 2 % par rapport aux mois précédents, mais toujours en deçà des scores de ses premières années au pouvoir. 66 % des personnes interrogées expriment une opinion défavorable sur son action.`

 Ce recul est d’autant plus visible auprès des sympathisants des partis d’opposition, notamment LFI, où l’impopularité du Président atteint des niveaux records (77 % d’opinions défavorables).

En revanche, les soutiens au sein de son propre camp restent solides : 69 % des sympathisants Renaissance, MoDem et Horizons lui conservent leur confiance. 

Les sympathisants Les Républicains (LR) et centristes se montrent plus partagés, avec une opinion qui penche légèrement vers le négatif. 

Cette situation révèle une fracture persistante entre les soutiens traditionnels de Macron et les électeurs des autres formations politiques.

 

Michel Barnier, un Premier ministre sous pression

Le Premier ministre Michel Barnier, nommé après les législatives de 2024, bénéficie d’une popularité mitigée, avec 34 % d’opinions favorables. 

 Son gouvernement, axé sur des réformes économiques et sociales, peine à rassembler une majorité d’opinions positives au-delà des cercles proches de Renaissance et du centre-droit. 

La gauche radicale et les sympathisants écologistes affichent une défiance marquée, avec des taux d’opinions défavorables culminant à 62 % chez les électeurs de LFI et à 87 % chez ceux de l’EELV.

Cependant, Barnier bénéficie d’un soutien plus marqué parmi les sympathisants Les Républicains, ce qui peut s’expliquer par ses positions fermes sur des sujets comme la fiscalité et la souveraineté nationale, en accord avec la droite traditionnelle. 

Ce socle d’appui pourrait être crucial pour son avenir politique, alors qu’il navigue dans un paysage législatif fragmenté.

 

La course à la présidentielle de 2027 : les premières tendances

En parallèle, le baromètre évalue également la perception des principales personnalités politiques qui pourraient briguer la présidence en 2027.

 Les résultats sont diversifiés, mais quelques figures se détachent déjà. 

Jordan Bardella, le leader du Rassemblement National, et Marine Le Pen continuent de susciter de forts soutiens à droite, même si leur capacité à séduire au-delà de leur base reste limitée.

Édouard Philippe, ancien Premier ministre et figure de proue de la droite modérée, recueille quant à lui des scores encourageants avec 32 % de satisfaction, notamment auprès des électeurs centristes et de droite républicaine. 

Cette position stratégique pourrait le placer en bonne posture pour incarner une alternative à la droite du Président.

Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, souvent perçu comme un outsider dans la course, peine à convaincre avec 22 % de satisfaction, et son image semble davantage polarisée en raison de sa gestion des questions sécuritaires et migratoires.

 

Un gouvernement post-Jeux Olympiques : des attentes contrastées

Enfin, l’étude explore la perception des Français sur la composition du futur gouvernement de Michel Barnier.

 Il ressort que 50 % des sondés souhaitent voir des ministres issus du bloc présidentiel (Renaissance, MoDem, Horizons), contre 44 % qui estiment qu’il serait préférable de s’en tenir à des figures extérieures, marquant ainsi une certaine lassitude à l’égard de l’équipe actuelle. 

Par ailleurs, la réintégration d’anciens ministres du gouvernement Attal n’est pas massivement plébiscitée, soulignant la volonté de renouveau exprimée par une partie de la population, qui est en train de se faire flouer totalement actuellement (rappelons que 2/3 des électeurs ont voté pour l’extrême droite et l’extrême gauche, et qu’un Premier ministre d’un parti à 5% a été nommé…)

 
[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine


Vers le métissage généralisé de l’Europe, sauf si…

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Pour lutter contre l’immigration invasive (et en finir une bonne fois pour toutes), 15 pays, donc plus de la moitié des 27 membres qui composent l’Union européenne : Danemark, Bulgarie, République Tchèque, Estonie, Grèce, Italie, Chypre, Lettonie, Lituanie, Malte, Pays-Bas, Autriche, Pologne, Roumanie, Finlande, auxquels bien entendu il faut ajouter la Hongrie et, si les électeurs français et espagnols décident enfin de se mobiliser, également la France et l’Espagne, souhaitent que l’immigration illégale, clandestine mais également les « demandes d’asile » rejetées soient « interdites d’entrée dans l’Europe ».
*Que ces millions de migrants attendent la fin de la procédure, qui leur permettrait de pénétrer dans l’Union européenne, dans des pays « partenaires » hors de l’UE.
 
*Que les migrants secourus en mer soient reconduits vers les ports de départ ou vers des « pays tiers sûrs ». 
 
 
Bien entendu ce projet est contesté par les ONG et les associations et organisations « pro-migrants ».
 
Mais, que cela plaise ou non aux « fonctionnaires » non élus de l’Union européenne, « il est devenu une priorité après les élections européennes du 9 juin 2024 ».
 
Qu’il me soit permis de rappeler ces statistiques concernant les entrées de migrants en Europe : près de 9 millions depuis 2010 (Source : Eurostat et Européan Union Agency).
2010 : 259.635
2011 : 309.045
2012 : 335.290
2013 : 431.100
2014 : 626.965
2015 : 1.322.850
2016 : 1.260.920
2017 : 712.250
2018 : 664.410
2019 : 744.810
2020 : 472.660
2021 : 634.405
2022 : 962.160
2023 : 1.140.000 (au moins)
 
 
Les chiffres de 2024 ne sont pas encore connus (officiellement) mais quand on apprend que, depuis le début de l’année, plus de 60.000 ont débarqué aux îles Canaries et arrivent jusqu’en Europe (et notamment les plus nombreux en France) en traversant l’Espagne… on ne peut qu’espérer que cette majorité de pays membres de l’UE parvienne à imposer ses décisions, ne serait-ce que pour « sauver » ces milliers de malheureux qui périssent en mer et pour éliminer toutes ces « mafias » de passeurs qui s’enrichissent sur leurs corps et, bien évidemment « pour sauver l’Europe » !
 
Si cela ne se réalise pas, nous aurons une Europe en partie « métissée » dès 2050.
 
 
Par Manuel Gomez      https://ripostelaique.com



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