mercredi 25 septembre 2024

MEUTRES D' ADOLESCENTES.....FAUT IL CONDAMNÉS LES JUGES ET LEURS RESPONSABILITÉS .........

 REVUE DE PRESSE




Meurtre de Philippine : le suspect, un migrant sous OQTF arrêté en Suisse, la colère des Français face à la défaillance des magistrats, le dérapage de Sandrine Rousseau

Le meurtrier présumé de Philippine, une jeune étudiante de 19 ans retrouvée sans vie dans le Bois de Boulogne, a été interpellé par la police suisse à Genève le mardi 24 septembre.

 Cet homme de 22 ans, de nationalité marocaine, faisait l’objet d’une Obligation de Quitter le Territoire Français (OQTF) depuis le 18 juin, après avoir été condamné pour viol. 

Ce drame relance la question de la gestion des délinquants étrangers en situation irrégulière en France et met en lumière les décisions judiciaires controversées ayant conduit à la libération anticipée de cet individu.

 

Meurtre de Philippine : Les faits

  • Philippine, une brillante étudiante de 19 ans, est introuvable. Sa famille “très soudée” et d’autres personnes se lancent dans des recherches, une battue est organisée. Son corps, enterré, est retrouvé samedi dans le bois de Boulogne, non loin de son université Paris-Dauphine.
  • Le suspect arrêté en Suisse est Taha O., un migrant clandestin marocain sous OQTF né en 2002.
  • Peu de temps après son arrivée en France en 2019, il viole une étudiante de 23 ans sur un sentier forestier à Taverny (95).
  • Pour cette affaire, il écope de 7 ans de prison mais ne pas fait la totalité de la peine.
  •  Le 18 juin dernier, l’OQTF est prononcée.
  • Il est ensuite dans un CRA en vue de son expulsion.
  • Le 3 septembre, un juge des libertés et de la détention (JLD) décide de le libérer.
  • Le lendemain, le Maroc donne son feu vert pour l’expulsion mais trop tard, l’individu a disparu. [NoteDeFDS : sur le direct de BFM, on parle du 6 septembre.]
  • Il n’a effectivement pas respecté le pointage ni son assignation à résidence, dans un logement au sein d’un hôtel.
  • Le 19 septembre, soit la veille du meurtre de Philippine, il est inscrit au fichier des personnes recherchées.

 

Une condamnation pour viol, mais une libération anticipée

Les faits remontent à septembre 2019, alors que le suspect était encore mineur. 

Condamné à sept ans de prison pour viol, il a pu bénéficier d’une libération anticipée, une décision incompréhensible pour beaucoup. 

Malgré la gravité de son acte et son inscription au Fichier des Délinquants Sexuels (FIJAIS), il avait été assigné à résidence et soumis à une obligation de pointage. 

Pourtant, la veille du meurtre de Philippine, il figurait dans le Fichier des Personnes Recherchées (FPR).

Cette situation soulève une vague d’indignation en France, notamment en raison de la responsabilité des magistrats ayant permis cette libération anticipée. 

De nombreux Français expriment leur ras-le-bol face à ce qu’ils perçoivent comme des failles graves du système judiciaire.

 Comment est-il possible, se demandent-ils, qu’un individu condamné pour un crime aussi grave ait pu être libéré avant d’avoir purgé l’intégralité de sa peine, et ce malgré un risque évident de récidive ?

 

Un suspect en fuite rapidement identifié

L’enquête sur le meurtre de Philippine a avancé rapidement après la découverte de son corps le 21 septembre dans le Bois de Boulogne. 

L’ADN du suspect a été retrouvé sur la scène de crime, ce qui a permis aux autorités de l’identifier et de diffuser un mandat d’arrêt à l’échelle des pays frontaliers.

 La police française a suivi sa trace jusqu’à la région d’Annecy, où il tentait manifestement de fuir la France pour se rendre dans un autre pays.

Finalement, c’est en Suisse, à Genève, que le suspect a été interpellé par la police locale.

 Il a été placé en détention provisoire en attendant une demande d’extradition de la part des autorités françaises. 

Cette arrestation n’efface toutefois pas l’incompréhension et la colère suscitées par les circonstances de sa libération et son évasion.

 

L’indignation grandit face aux défaillances judiciaires

Le cas du meurtrier présumé de Philippine a mis en lumière une fois de plus les dysfonctionnements de la gestion judiciaire en France, en particulier concernant la question des condamnés sous OQTF. 

Pour beaucoup, la responsabilité des magistrats est pointée du doigt. 

Ces derniers, en accordant une libération anticipée à un individu aussi dangereux, auraient gravement manqué à leur devoir de protection de la société.

Le rôle coupable de la justice, qui a permis la remise en liberté d’un violeur condamné et sous le coup d’une obligation de quitter le territoire, est un élément central de ce drame.

 L’opinion publique demande des comptes, et le débat sur l’application des OQTF et la gestion des délinquants étrangers s’enflamme.

 De nombreux citoyens dénoncent la multiplication des cas similaires où des individus, malgré des condamnations lourdes, échappent à la justice en raison de laxisme judiciaire.

 

Une France fatiguée par l’impunité

Ce meurtre s’ajoute à une liste déjà longue d’affaires où des individus dangereux, parfois sous OQTF, ont récidivé après avoir échappé à la justice ou bénéficié d’allègements de peine. 

Les Français sont de plus en plus exaspérés par ce sentiment d’impunité et par une justice qui, selon eux, ne protège plus suffisamment la population. 

Cette affaire ne fait que renforcer la défiance envers un système jugé trop clément envers les criminels, surtout lorsqu’ils sont en situation irrégulière. 

Des magistrats toujours à l’abri, jamais sanctionnés, alors qu’ils ont un rôle prépondérant dans ces affaires.

Pour Philippine et sa famille, la douleur est immense. 

L’arrestation du suspect ne ramènera pas la jeune femme, mais elle résonne comme un nouveau signal d’alarme pour la justice française, appelant à des réformes profondes et à une remise en question des politiques de libération anticipée.

On vous laisse découvrir les débats autour de ce meurtre, ci-dessous, et le dérapage de Sandrine Rousseau qui se passe de tout commentaire. 

A noter le mensonge par omission de France 2, chaine du service public

 
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ET AUSSI 




Meurtre de Philippine. 

Réveillons-nous avant qu’il ne soit trop tard : l’immigration tue, la colère gronde

 [L’Agora]

Combien faudra-t-il de victimes pour que l’on comprenne enfin ? 

Combien de jeunes femmes assassinées, de passants poignardés, de jeunes femmes violées, de familles détruites par des criminels sous le coup d’une OQTF ?

 Combien de temps va-t-on encore tolérer cette inaction criminelle des autorités, cette lâcheté honteuse des magistrats et des préfets, ce déni abject des associations qui défendent ces individus dangereux plutôt que de protéger nos citoyens ?

L’immigration incontrôlée est devenue un véritable fléau, une machine infernale qui sème la mort et la destruction dans notre pays. 

Chaque jour, des individus qui n’ont plus rien à faire en France continuent de circuler librement, de récidiver, d’agresser, et de tuer.

 Et que fait-on ? Rien.  

Les magistrats, confortablement installés dans leur tour d’ivoire, n’ont de compte à rendre à personne. 

Ils laissent ces délinquants dans nos rues, protégés par des textes et des lois qui n’ont plus aucun sens dans un contexte où l’insécurité règne.

Que fait l’État ? 

Que font ces fonctionnaires de préfecture, dont le rôle est d’appliquer la loi ?

 Ils se dédouanent, se cachent derrière des procédures interminables, des excuses bureaucratiques, tout en laissant des individus sous OQTF, condamnés pour des crimes abjects, se balader en toute impunité. 

On parle de meurtres, de viols, de vies brisées.  Et pourtant, rien ne change.

Les Français en ont marre. Nous en avons marre.

 Il est temps de dire STOP. Il est temps de prendre ces criminels par la peau des fesses, de les enfermer, et de les expulser une bonne fois pour toutes. 

Si leurs pays d’origine refusent de les reprendre ? 

Qu’ils s’y fassent ! Nous n’avons plus de leçons à recevoir de pays qui n’ont aucun respect pour notre peuple. 

Il faut montrer la force, il faut imposer notre loi, celle qui protège les nôtres avant tout.

Nos autorités n’ont pas le droit de sacrifier la sécurité des Français sur l’autel des textes de lois internationales, de traités absurdes qui ne servent qu’à protéger ceux qui nous détruisent.

 Ces lois doivent être faites pour nous, pour protéger nos enfants, nos familles, notre culture.

 Pas pour garantir le confort de ceux qui violent, pillent et assassinent.

Combien d’autres Philippine faudra-t-il avant que l’on prenne conscience de cette folie ? 

Combien de familles détruites par des criminels que l’on aurait dû expulser depuis des années ?

 Les Français n’en peuvent plus de cette lâcheté

 Et cette colère, cette rage que l’on sent monter partout dans le pays, va devenir incontrôlable si nos dirigeants ne réagissent pas.

Le temps de l’inaction est terminé. 

Le temps des excuses est terminé. 

 Les Français veulent des résultats. 

Ils veulent la sécurité. 

Ils veulent que ces criminels soient mis hors d’état de nuire, emprisonnés, puis expulsés sans retour possible. 

Et peu importe ce que pensent les bien-pensants, les associations subventionnées, ou les juges déconnectés de la réalité. 

Peut importe ce que diront les gauchistes fous, minoritaires, mais adulés par la presse mainstream. 

Les Français ne supportent plus de voir leurs enfants se faire massacrer pendant que leurs autorités se cachent derrière des textes juridiques et des conventions internationales obsolètes.

Il est temps d’agir. 

Si nous ne réagissons pas maintenant, la colère de ce peuple, qui a trop souffert, sera ingérable. 

Et ce ne sera pas les autorités, ni les magistrats, ni même les politiques qui pourront calmer cette colère. 

Quand un peuple se réveille après des décennies de silence, de souffrance et de mépris, rien ne peut l’arrêter. 

Et ce n’est généralement pas beau à voir.

On veut :

  • L’expulsion immédiate, sur leur continent (peu importe le pays) de TOUS les délinquants étrangers, et qu’importe les traités internationaux.
  • La suspension de TOUS les magistrats et fonctionnaires impliqués dans des affaires de récidive en raison de remises de peine, ou de mauvaises décisions prises par ces derniers.
  • L’arrêt immédiat des subventions publiques à toutes les associations qui oeuvrent au maintien de migrants sur le territoire français.
  • Le rétablissement de la perpétuité réelle pour les assassins, et la réouverture du débat sur la peine de mort.

Nos autorités doivent choisir leur camp. 

Protéger leur peuple ou continuer à se dédouaner, à laisser faire. 

Si elles choisissent la seconde option, qu’elles ne viennent pas se plaindre lorsque ce peuple en colère se lèvera pour reprendre en main son destin. Nous sommes à un point de non-retour. 

Il est temps de montrer que l’hexagone, ce n’est pas le dépotoir du monde. 

Que nos Philipinne, Thomas, Mauranene, Laura, Lola….peuvent vivre et grandir en paix sur la terre de leurs ancêtres. 

Il est temps d’assurer un avenir serein à nos enfants, pour nos enfants. Les nôtres avant les autres !

Par Julien Dir

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction. Média alternatif, Breizh-info.com est avant tout attaché à la liberté d’expression. 

Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.

 
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  • @MarionMarechal
     

     
    ENCORE un migrant, ENCORE un clandestin, ENCORE une OQTF non exécutée, ENCORE un criminel récidiviste, ENCORE un violeur laissé en liberté. 
     
    Si l’information est confirmée, #Philippine est ENCORE une petite Française que nos dirigeants ont livrée à un prédateur importé.
     
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