Netanyahou élimine les chefs islamos, Macron laisse des muzz tuer nos enfants
Philippine vient d’être assassinée par un violeur musulman récidiviste qui n’avait rien à faire en France, mais qui était toujours présent, à cause des associations immigrationnistes, de la gauche et des juges politisés.
Nos enfants continuent à tomber les uns après les autres.
Regardez cette vidéo insupportable, publiée sur Twitter, qui rappelle les circonstances dans lesquelles des dizaines de Français ont été tués, massacrés, torturés, violés, toujours par des racailles musulmanes.
Ils étaient des hommes et des femmes, jeunes, d’âge mur, anciens, et comme le dit la propagande, ils étaient au mauvais endroit au mauvais moment.
Ils s’appelaient Enzo, Thomas, Fabrice, Arnaud, Jessica, Jean-Baptiste, Sandra, Dominique, Nathalie (Jardin, la fille de notre ami), Joachim, Axelle, Lola, Samuel, le Père Hamel, Laura, Mauranne, Thierry, Julien, Sophie, Nadine, Léona, Marion, Philippe, Alban, Simone, Vincent, Estelle, Adrien, Michel.
Et il manque des milliers de noms, dont le nom des victimes ont été passés aux oubliettes, cachées aux Français, banalisées, par les médias, par les politicards, par les juges, par tous ceux qui sont complices de l’effroyable boucherie dont notre peuple est victime.
Après chaque assassinat, ce qu’Eric Zemmour appelle à juste titre des francocides, nous avons droit au même scenario.
Les collabos interdisent aux Français de célébrer ces morts.
Ils traitent de racistes ceux qui osent faire le lien entre la nationalité des victimes et la religion des assassins.
Sous Macron, on a même eu un ministre de l’Intérieur, Darmanin, qui se dit homme de droite, qui a dissous toutes les associations qui protestaient contre l’invasion migratoire, et qui a interdit tout hommage public aux victimes des assassins musulmans.
Ils nous interdisent même de haïr les assassins de nos enfants, de nos amis, de notre famille, et nous enferment dans des hommages ridicules, faits de fleurs, de bougies et de discours lénifiants.
Ils insultent et essaient de salir notre ami Patrick Jardin, qui refuse de manger ce pain là, et se bat contre les coreligionnaires des assassins de sa fille Nathalie.
Pendant que des Français de tout âge tombent tous les jours, le régime continue à faire entrer en France, tous les jours, des milliers de nouveaux venus d’Afrique qui ne sont pas, heureusement, tous des assassins, mais dont le nombre représente un danger supplémentaire pour les mécréants, les homosexuels, les femmes, les juifs, les personnes vulnérables, proies idéales pour des millions de barbares, souvent africains et musulmans, que les immigrationnistes ont imposé aux Français.
Désespérés, les Français lucides – ne parlons pas des abrutis qui continuent à voter pour leurs bourreaux – assistent à la mort de leur pays, permise par les différents gouvernements qui se succèdent, et qui accélèrent le Grand Remplacement et l’islamisation de la France.
Et puis, il y a, au Moyen-Orient, un petit pays de 10 millions d’habitants, 75 % de Juifs et 21 % d’arabes, musulmans pour la plupart, que tous les pays arabes qui l’entourent rêvent, depuis 1948, de rayer de la carte, pour construire, disent-ils, une grande Palestine, du Jourdain à la mer, et donc exterminer tous les Juifs.
Israël a été deux fois agressé, en 1967 et 1973, par des coalitions arabes.
L’état hébreu, seul contre tous, a repoussé les assaillants.
Ce pays a été des centaines de fois victimes d’attentats suicide, de tirs de roquettes et autres agressions.
Il a à chaque fois trouvé les réponses adaptées, grâce à la technologie, et surtout à la volonté d’un peuple qui refuse de mourir et s’en donne les moyens, malgré un ennemi intérieur, la gauche, aussi nuisible que toutes les gauches françaises, européennes et américaines.
Il est régulièrement condamné par les Nations-Unis, où l’influence des cinquante-sept pays musulmans est de plus en plus importante, sans oublier le rôle des mondialistes, mais aussi des Juifs de gauche style BHL-Attali, qui se disent antiracistes, qui, pour détruire les Etats-Nations, livrent les pays occidentaux à l’invasion musulmane et aux terroristes islamistes.
Après le massacre du 7 octobre, malgré les pressions internationales, Benjamin Netanyahou, un grand homme d’Etat, ancien militaire de haut rang, a décidé, avec son gouvernement, qualifié d’extrême droite par tous les collabos, de passer à la vitesse supérieure, et d’éradiquer ceux qui veulent éradiquer Israël, et poussent la rue arabe à passer à l’action, partout dans le monde.
Et quand le gouvernement demande à Tsahal de passer à l’action, les résultats, grâce à un service de renseignement exceptionnel, sont au rendez-vous.
Le procureur – musulman – de la Cour Internationale de La Haye peut demander son extradition, les gauchistes le soutenir et hurler contre cet entretien accordé à TF1, celui que les Israéliens appellent affectueusement Bibi reste stoïque, et explique les raisons pour lesquelles Israël doit faire la guerre à ceux qui veulent le détruire.
Donc, à la grande rage des soumis de l’Occident, Israël se défend, et s’en donne les moyens.
Nous ignorons si l’accident d’hélicoptère qui a frappé le président iranien est vraiment un accident, mais il est mort.
Par contre, l’Etat hébreu s’est donné les moyens d’en finir avec le Hamas, qui, depuis Gaza, financé par l’Iran, agresse régulièrement les populations civiles voisines.
Depuis le 7 octobre 2023, les tueurs du Hamas sont éliminés les uns après les autres, jusqu’au chef, Ismail Haniyeh, exécuté à Téhéran par un missile.
Puis ce fut le tour du Hezbollah.
Après les bipeurs explosifs, après des éliminations ciblées, Israël vient de réussir l’exploit d’éliminer tout l’état-major du Hezbollah, dont son chef Hassan Nasrallah.
C’est un coup terrible porté aux islamistes, et une nouvelle humiliation pour le monde arabe.
Faut-il rappeler ce que disait Nasrallah, quand il disait que le fait qu’il y a ait 7 millions de Juifs en Israël favoriserait leur élimination directe ?
Pendant que les dirigeants français font preuve d’impuissance et subissent l’invasion islamique, un petit état dix fois moins peuplé et 200 fois plus petit montre l’exemple à l’Occident, et, comme le disait le fils de Nicolas Sarkozy, “que le Hezbollah crève, Israël fait le travail de l’humanité“.
Bien sûr, l’Etat hébreu est ciblé par tous les islamo-collabos du monde, et en France par Macron et toute la gauche, par l’Union européenne, mais aussi par des franges présentées d’extrême droite, qui préfèrent les musulmans, présentés comme des victimes, aux Juifs, présentés comme des nuisibles coupables de tous les malheurs de l’humanité.
Mais en attendant, Israël venge nos enfants, nos femmes, nos anciens, nos handicapés, victimes d’assassins musulmans protégés par les gauchistes, qui ont même été jusqu’à arracher des portraits de Philippine et perturber des cérémonies d’hommage à cette jeune étudiante.
Les complices, en France, de l’invasion musulmane et des crimes des islamistes, sont les meilleurs soutiens du Hamas et du Hezbollah, et vouent à Israël une haine pathologique, au nom d’un antisionisme qui cache leur haine des Juifs, coupables de ne pas vouloir se laisser exterminer par les soldats d’Allah.
Longue vie à Israël et à Benjamin Netanyahou, qui montrent l’exemple au monde entier, et vivement qu’il y ait en France un président de la République ayant la même détermination que Bibi contre les terroristes musulmans et tous leurs complices.
Source : https://ripostelaique.com/netanyahou
ET AUSSI
En détruisant le Hamas et le Hezbollah, Israël fait le travail de l’humanité
Le monde, l’Europe, La France et tout l’Occident devraient être reconnaissants, puis enfin dire merci à ceux qui – depuis bientôt un an – combattent et paient un prix très fort en vies humaines, en jeunes soldats pour sauver le monde libre, le rendre plus sûr, et sortir sa civilisation de l’hypnose médiatique et politique auxquelles elle est soumise depuis plusieurs décennies.
Les grands de ce monde, et parmi eux l’occupant élyséen, devraient exprimer toute leur reconnaissance envers Israël pour rendre le monde plus sûr, à leur place.
Or, la France et les démocraties angéliques, déconfites et pleutres pour la plupart, n’apprécient pas le boulot fait par Israël, mais au contraire se montrent même impatientes de stopper cette guerre, avant même la victoire finale.
Une guerre civilisationnelle de libération laquelle, rappelons-le, a été imposée par le hamas dans un assaut barbare et macabre contre Israël le 7 octobre dernier.
Pourquoi paradoxalement tentent-elles (complices ?), par les moyens onusiens et diplomatiques, de faire tomber le dernier rempart de sauvegarde de leur monde ?
Ce pays aux trois religions monothéistes, se bat, toujours seul et courageusement de toutes ses forces, dans un ultime combat civilisationnel, parfois victorieux.
Or, depuis bientôt un an, le Nord du pays a affronté avec beaucoup de retenue, en position défensive, un déluge de centaine de milliers de missiles, lancés par le Hezbollah sur sa population, sans développer toute sa force militaire.
Humainement, répétons-le, cette guerre de libération aurait dû être menée par toutes les civilisations, par le monde libre, debout contre la barbarie et la terreur islamiques.
Un monde libre inconscient, hypnotisé, et incapable de comprendre qu’il deviendra fatalement la victime de la terreur de demain.
Quand le monde libre cautionne le terrorisme, il trahit son humanité et finit par s’auto-détruire.
Le 7 octobre, après 1200 morts et 250 kidnappés, Israël a payé très cher ses erreurs de coordination militaires avec les services de renseignements et le niveau décisionnel politique, pour un W.E de vacances.
La désunion, la déstabilisation politique, des mois durant, entre la population israélienne, la Cour suprême, l’opposition et l’échelon exécutif avait été orchestré par la gauche israélienne, qui n’ayant jamais accepté d’avoir perdu le pouvoir par les urnes, s’est ingéniée à manigancer, à désunir, à désorganiser ce pays, à tous les niveaux sécuritaires, le mettant en très grand danger.
Unis ils étaient quasi invincibles.
Désunis ils ont subi le cauchemar du 7 octobre, à cause du retard de la Cour suprême et de l’arrivée de l’armée, à cause du ballagan (désordre) orchestré par la gauche dans tout le pays.
Cependant, depuis le récent bombardement réussi du QG-Bunker de Nasrallah à Beyrouth, par 83 bombes dont certaines capables de perforer le béton, jusqu’à 30 m de profondeur avant d’exploser, dépassaient les deux tonnes.
On peut alors penser, et se tromper bien sûr, que l’effondrement du Hezbollah et du Hamas, qui va suivre par incidence va déstabiliser le régime des Mollahs d’Iran, de l’intérieur.
Cette déstabilisation politique des mollahs devrait apporter un réel espoir de paix dans la région.
Les libanais avec l’aide de Tsahal, vont enfin libérer leur pays, occupé depuis les années 80 par le groupe terroriste Hezbollah, bras armé par l’Iran.
Le courage qui habite le peuple israélien, et la détermination de son noble combat mené derrière son premier ministre, dans sa guerre contre le nazislamisme, est un modèle du genre humain, qu’il faut souligner, voire encourager, même si l’Iran veut faire oublier à Israël l’affront des éliminations ciblées et de BiBi-Peur.
Il faut y voir un combat menant à la libération de tous les peuples opprimés par les obscurantistes, les terroristes, les islamistes.
N’est-ce pas le Hezbollah qui a défiguré le Liban jadis désigné comme la Suisse du MO, bordé de cèdres millénaires ?
C’est l’Iran des ayatollahs qui opprime ses citoyens, les Chrétiens, les femmes, les étudiantes, les homosexuels, les couples adultérins !
Le réveil de la majorité silencieuse semble s’amorcer. Un déplacement sécuritaire et accepté par les populations s’observe, par centaines de milliers, pour se diriger en lieu sûr, à l’abri vers le Nord.
Les zones de bombardement du Sud Liban, occupées par le Hezbollah, s’expliquent car elles abritent des dépôts de munitions et des appartements piégés, contenant chacun un ou plusieurs missiles longue portée, et installés perfidement pour être tirés sur les civils et les villes du Nord d’Israël.
https://t.me/MKINFOSWORLD/33077
Depuis presque un an, les habitants du Nord ont quittés leurs maisons, vivent entassés dans des hôtels, et essuient, dans des abris bondés, des milliers de tirs de roquettes, drones ou missiles.
Il fallait que cette situation de grande retenue, qui a assez durée, cesse.
Il fallait aussi, selon la promesse du gouvernement, que les populations puissent retourner dans leurs maisons.
Après l’attaque réussie du QG, le peuple libanais applaudit Tsahal en coulisses.
Il s’agit essentiellement de libanais, chrétiens ou druzes, trop longtemps soumis aux humiliations et à la dictature du régime des mollahs.
Ces peuples étaient à bout de nerfs. Impuissants à répliquer, à se défendre, à reconquérir leur pays.
Cette guerre de libération des libanais contre le Hezbollah, et celle des gazaouis contre le Hamas, rebat les cartes du MO.
N’est-ce pas la preuve irréfutable qu’Israël se bat, bien sûr trop seul, toujours seul, pour le bien de l’Humanité, sous l’œil amusé voire agacé du monde libre.
Mais enfin, si Israël n’a plus d’ennemis, elle va nous rafler tous les prix Nobel !
C’est insensé, il faut détruire ce pays Juif pensent-ils !
Parmi les réactions observées, il apparaît alors que ni les USA dont l’ONU, ni l’Europe et ni la France, n’ont envie de voir un jour Israël en position forte, victorieuse après avoir été capable d’éradiquer le terrorisme islamique de cette planète.
ALLISTER HEATH du Daily Telegraph, conforte l’idée que la France vue du monde, est couchée, minée par l’islamisme.
Ainsi soumise à la terreur, elle n’aime pas, du tout, voir Israël debout.
Cette analyse illustre bien la peur qui paralyse la France et ses élites gouvernementales, depuis des décennies, face à un islamisme conquérant, instrumentalisé par le chaos diabolique généré par l’infecte théocratie iranienne.
Boualem Sansal, dans le Figaro, appuie là où ça fait mal, et pense que « La France est un pays à la ramasse qui vit sur des gloires passées ».
Puis d’ajouter (sic) :
« Dans 50 ans, l’islamisation aura à ce point gagné du terrain qu’elle pèsera sur les fondamentaux français. Il faudra repenser la république, le droit, etc. »,
Boualem Sansal, illustre ce que pourrait être le grand remplacement orchestré par la conjonction d’une immigration musulmane massive et d’un effacement progressif et honteux du pays conquis.
Or, si l’amnésie d’État persiste et reste la règle, alors ce destin deviendra inexorable, inéluctable, fatal !
Cette situation a entaché, en lettres de sang, les mains des technocrates de l’Union européenne.
Elle est devenue une institution fragile, dirigée par des élites émasculées, pleutres, soumises car fascinées par l’adversaire islamique, juste bonnes à négocier n’importe quel accord insensé, sans aucune volonté de se lever, de se faire respecter, et de combattre, à l’exception de l’unique Sarah KNAFO, députée européenne, en tous point exemplaire, de Reconquête.
Décernons lui le prix d’excellence et le prix spécial des admirateurs.
Après l’attentat de 1983 contre le Drakkar à Beyrouth, dans lequel 58 parachutistes ont été tués par le Hezbollah, la distance que prend le chef de l’État avec Israël, est incompréhensible, surtout après que Tsahal, au Liban, ait éliminé Ibrahim Aquil, responsable de ce cet attentat.
Mais quelle est l’éthique d’un Laurent Fabius, président du Conseil constitutionnel lorsqu’il déclare (sic) ?
« Que la réplique israélienne lui est insupportable ».
Passons sur le fait qu’il ait oublié ses origines juives.
Or, la guerre totale promise par les cellules islamistes dormantes qui s’annonce contre le monde libre, après la mort confirmée d’HaSSan Nasrallah leader du Hezbollah, lui sera-t-elle plus supportable ?
Le monde devra affronter la colère vengeresse de l’Iran chiite, lorsque sa mue nucléaire sera achevée.
Nul ne sera épargné.
Grace à Tsahal, les 58 parachutistes enfin vengées, peuvent dormir en paix !
C’est dans ce contexte tendancieux qu’Emanuel Macron a rencontré hier à l’ONU, Mahmoud ABBAS. Après lui avoir exprimé ses condoléances, il a déploré le bilan humain des populations civiles à Gaza et en Cisjordanie.
Il a rappelé à ce dirigeant des ruines et du sable de Gaza, immuable et sénile, que la France a pleinement soutenu la résolution onusienne pour condamner les occupations illégales israéliennes et adopter de nouvelles sanctions.
Ben voyons, au point où nous en sommes !
N’est-ce pas un argumentaire qui doit bien avoir au moins quarante ans de retard avec l’actualité ? …
Notre pauvre chef de l’État, débordé, ne semble pas avoir pris conscience que les lignes rouges ont bougé depuis le 7 octobre en Israël, 1200 morts tués par surprise et 250 otages.
Les observateurs déplorent que son agenda n’ait pas été mis à jour, à temps, par les experts du Quai d’Orsay.
Les technocrates de ce Quai sont restés des idéologues figés tels que nous les avons connus dans les années 80 où l’antisionisme avait le vent en poupe à gauche toute, et gagnait du terrain chaque jour à la lumière idéologique du mitterrandisme.
Son entretien avec M. Abbas met en exergue une solution irréaliste et obsolète sur : « une solution à deux états » qui ne peut plus être viable après les exactions du Hamas, le 7 octobre.
La gravité de cette attaque exclut tout retour à la case départ
Il faudra assumer M. Abbas.
Bon samaritain, mais hors-sol, il s’interroge sur les raisons pour lesquelles Israël fait encore obstacle au transfert des revenus de l’Autorité Palestinienne et promet à son interlocuteur d’interroger le premier ministre d’Israël sur ce problème.
Après le Hamas en décrépitude, dont le chef demeure introuvable, après l’éradication de toute la hiérarchie du Hezbollah, l’AP peut-elle encore exister ? …
La diplomatie n’est-ce pas l’Art de faire semblant de bouger les lignes sans les bouger en fait ?
Connaissant les positions géopolitiques du Quai d’Orsay envers Israël , connaissant la politique pro-arabe de la France depuis le Général De Gaulle, nul ne demande à la France d’être l’amie d’Israël.
On choisit ses amis et c’est bien normal. Pourtant une communauté de destin lie Israël à la France.
Ces deux vieilles nations sont confrontées au même ennemi fanatisé, dérangé en proie à des bouffées délirantes et assassines.
L’imam Elias Imzalène, a bien appelé à mener l’Intifada à Paris.
Nos dirigeants se déshonoreraient à vouloir rendre les armes devant cet islam, dont Sansal rappelle qu’il est :
« Un système politique profondément totalitaire, prosélyte et conquérant ».
Certes, mais ce qui ne doit jamais être perdu de vue par le pays promoteur des Droits de l’Homme et du Citoyen, c’est que derrière ces droits, il y a une véritable promesse de défense de l’Humanité.
Le droit de répliquer au pogrom du 7 octobre, est aussi un droit de l’homme. Ce qui fût fait !
Or, dans l’histoire, non seulement La France de Vichy et sa police, a livré 75.000 juifs au régime nazi, pour les conduire vers les camps d’extermination et les condamner à la solution finale.
Quatre-vingt ans plus tard, dans la France de Macron, celle des français de papiers, venue d’ailleurs, militent dans nos rues, en faveur des terroristes du hamas et du hezbollah, drapeaux palestiniens en mains.
Les médias se sont gargarisés de ces actes depuis le 7 octobre, trouvant parfois indécent le drapeau palestinien brandi dans l’hémicycle par un député LFI, sanctionné par ailleurs.
Les ennemis d’Israël, souhaitent toujours voir finir le travail d’extermination des Juifs, inachevé par Hitler.
Lorsqu’ils disent vouloir une Palestine libre de la rivière à la mer, ils ne font que répéter à l’envie cette volonté hérité du nazisme, de Mein Kampf, de l’idéologie d’un Rima HaSSan.
Lâches et veules, ils financent à coup de milliards des terroristes, proxis de l’Iran, pour obtenir l’élimination des mêmes Juifs et d’Israël comme en 41-45.
Cet antisémitisme rhabillé en antisionisme, enturbanné de haine anti-israélienne, aura été trop longtemps toléré, pour cause de mépris politique et d’impuissance judiciaire.
N’y voyez-vous pas un acharnement obstiné pour détruire ce peuple du livre, voire le mener à l’abattoir, lui l’érudit qui a inventé le repos du Shabbat, et bien d’autres choses ?
Un peuple qui a retrouvé, légalement, sa terre biblique depuis seulement le 14 mai 1948 !…
Néanmoins, il pourrait s’agir, et on pourrait le penser, d’un complot international, préparé dans le secret des instances ennemies afin d’anéantir Israël.
Le thriller d’André Soussan « MESSI ADA » Ed. Ramsay nous fait découvrit l’existence d’un plan machiavélique destiné à rayer Israël de la Carte, de la rivière à la mer, comme le clame Rima HaSSan.
Pour l’instant, aucune preuve n’a vu le jour.
On reste au choix, dans l’hypothèse des supputations ou délires complotistes.
Cependant, si un jour ces preuves se découvrent, alors une terrible colère grondera sur les instigateurs de ce complot, sur les responsables où qu’ils soient, partout dans le monde, et ils paieront un lourd tribu pour leur implication dans le complot qu’ils ont ourdi visant l’anéantissement du peuple Juif, par le nazislamisme.
Pour les nostalgiques de l’Histoire réhabilitée, il faut y voir un peuple libre, qui avec son armée défend son pays, et n’est plus, amaigri, sans force, sans défense, en pyjamas rayé, dans un camp nazi entouré de barbelés
Macron à l’ONU grand faiseur de paix.
Pendant ce temps, E. Macron, soucieux de travailler à la recherche d’une solution politique, et grand stratège de la guerre contre le terrorisme, s’est aussi ingénié à exiger un cesser le feu, pensant que cette exigence serait la seule voie possible pour libérer les otages.
C’est méconnaître le fonctionnement psychotique et barbare des terroristes dans leur volonté absolue d’éradiquer Israël.
La preuve étant, d’avoir préparé cette éradication depuis au moins 4 décennies.
Pourquoi, comment ?
Avec les subventions du pétrole et avec tous les milliards déversés et gaspillés pour rien !
Tout ce pognon de dingue dirait Macron, dépensé par le monde libre, est désormais parti en fumée, en ruines, pour en arriver à ce minable résultat, embué de haine antijuive, antisioniste.
Le monde libre doit cesser de chercher à financer, via des proxis islamiques, l’éradication d’Israël.
Si ce monde est réellement vil et perfide, il ne devra jamais oublier qu’Israël est aussi la 4e puissance nucléaire dans le monde.
Prenant en exemple la Russie de Poutine, elle ne laissera jamais ni l’OTAN, ni le terrorisme barbare, ni ses ennemis héréditaires, convier son peuple à une seconde Shoah islamo-nazie.
Qu’on se le dise haut et fort.
Regardez, n’est-ce pas depuis cinquante ans que les gouvernements successifs reculent, et avec eux, l’Union européenne cédant aux exigences des 57 États membres de l’organisation de la Coopération islamique (OCI) ?
Ces derniers depuis le premier choc pétrolier (1973), n’ont de cesse de jouer les maîtres chanteurs du monde, en l’exerçant sur l’approvisionnement en pétrole, et sur la sécurité des citoyens.
En échange de quoi, ils réclament toujours plus d’immigration, de protection, de considération, et d’avantages cultuels au profit de leurs populations immigrées, déversées en flots ininterrompus.
L’historienne Bat Ye’or a abondamment documenté ces abandons dans son livre EURABIA.
Ce renoncement de la France à imposer ses valeurs a rendu marginale l’assimilation maghrébine et africaine pour faire du séparatisme, la règle absolue en vigueur.
Si le gouvernement français a renoncé à créer un ministère de la laïcité, c’est bien par peur d’être accusé d’islamophobie par la gauche soumise.
Les pleutres, les vendus !
Par Patrick Granville
Source et Publications : https://ripostelaique.com/
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