La diversité et le progressisme, pires ennemis des Européens
En Europe c’est la voix de l’hypocrisie qui domine parmi les nouveaux dirigeants de gauche en Angleterre !
Ils appellent cela le « réalisme progressiste ».
Le progressisme est une tare gauchiste.
David Lammy est le nouveau ministre des Affaires étrangères anglais et il porte en lui les germes de la guerre sous l’apparence d’un message de paix.
Son crédo est, mettre « le réalisme au service d’objectifs progressistes, comme la lutte contre le changement climatique, la défense de la démocratie, la promotion de l’État de droit international, etc. »
Nous savons ce que cela signifie face à la guerre en Ukraine, son soutien à Zelensky, l’envoi d’arme à Kiev et son refus d’aider Israël dans son combat contre le Hamas et le Hezbollah.
Cet homme vient de Guyana.
C’est un noir d’Amérique du sud, des Caraïbes, et il vient d’ancêtres issus de l’esclavage.
Il en joue bien sûr, comme beaucoup de ces nantis à la Taubira qui feignent d’ignorer que c’est justement, par l’horreur de l’esclavage de ses ancêtres, grâce aux blancs, et à titre personnel, qu’il se retrouve ministre en Angleterre.
Nous sommes en droit d’imaginer que si ces ancêtres n’avaient pas été capturés par des tribus voisines et vendus aux négriers blancs sur les côtes ouest de l’Afrique, il serait peut-être né en Afrique.
Sans doute que ces ancêtres africains auraient été asservis à sa tribu elle-même, au mieux, ou auraient servis d’esclaves aux roitelets africains de l’Ashanti, ou du Mali, voire vendus aux arabo-musulmans pour servir d’esclaves sexuelles pour les femmes, ou d’eunuques pour les hommes !
Tout cela pour dire que les blancs n’ont pas la pire place dans l’échelle de l’ignominie humaine !
Les noirs d’Afrique sont loin d’être des brebis innocentes.
La gauche adore utiliser ces représentants issus de la « diversité » comme elle dit.
Elle en fait même des élus en France, pas toujours très instruits ni très reconnaissants de cette chance, et réclame que certains d’entre eux soient des ministres.
En Angleterre, nous en avons un qui surpasse l’ensemble, David Lammy, un peu comme nous avons eu la teigne Taubira qui a su plomber la justice Française, voire Pap Ndiaye comme ministre de l’éducation nationale.
Lui, il veut rétablir les liens entre la Grande-Bretagne et l’Europe, avec les pays du sud, etc.
C’est le « réalisme progressiste » qu’il oppose au réalisme traditionnel qui consiste à tenir comptes des intérêts nationaux bien compris.
Quand vous entendez « progressiste », vous devez comprendre « socialiste » !
Un socialisme qui s’agglutine avec le wokisme.
Cela donne toutes les dérives LGBT, de la lutte gauchiste contre la « masculinité » et autres « déconstructions » des histoires des peuples et des nations.
L’Angleterre après l’invasion migratoire va connaître un palier supplémentaire de descente aux enfers.
L’Allemagne fait à la France un coup de pied en vache en affirmant, quand David Lammy a rencontré, le 6 juillet, son homologue va-t-en-guerre allemande, Annalena Baerbock, que le Royaume-Uni était « une partie indispensable de l’Europe ».
Berlin « travaille avec le nouveau gouvernement britannique afin de voir comment le Royaume-Uni pourrait se rapprocher de l’Union européenne ».
Quid du Brexit ?
Une nouvelle preuve que la démocratie dans l’Union européenne, les dirigeants s’en moquent.
Comme en France en 2005.
David Lammy a donc entamé une tournée européenne dès son entrée en fonction.
Il a rencontré son homologue polonais Radosław Sikorski.
C’est donc pour un engagement “à toute épreuve” et pour le soutien de Londres, envers l’Ukraine et la Pologne.
Ce que je pense qui sera réalisé dans les prochains jours, c’est que nous démontrerons à Poutine que nous sommes là pour le long terme et que nous avons les finances nécessaires pour soutenir l’Ukraine financièrement et militairement !
La guerre en Ukraine où les capitaux investis des financiers sont en danger, c’est bien, mais la vie d’Israël ce n’est pas bien !
Les méthodes employées par Israël et les rapports sur les pertes civiles (annoncées par le Hamas) et les destructions des infrastructures civiles en particulier nous inquiètent profondément » a dit ce ministre David Lammy.
Il informe de la suspension immédiate de certaines licences d’exportation d’armes à Israël.
Sans doute pour faire plaisir à son électorat musulman.
En France, nous connaissons, pour avoir subi cette duplicité de la perfide Albion.
Les nouveaux arrivants venus que ce soit de Guyana, du Pakistan, d’Afghanistan, des Indes qui siègent, en partie, au gouvernement, ne devraient pas nous étonner.
L’hypocrisie est patente, ils font tout pour détruire la Russie, mais ils laissent tranquillement les terroristes du Hamas et du Hezbollah sévir en Israël pour assassiner les israéliens.
Cerise sur le gâteau, ce sont des gauchistes israéliens qui manifestent contre les dirigeants d’Israël qui eux, mène un combat existentiel.
Les gauchistes sont réellement des tarés.
Par Gérard Brazon https://ripostelaique.com/
Bruno Retailleau découvre le quotidien dramatique d’un ministre de l’IntérieurTout le dossier : Ensauvagement
Nos confrères du JDD racontent le nouveau quotidien de Bruno Retailleau depuis qu’il est installé Place Beauvau. En voici les meilleurs extraits :
Bruno Retailleau a à peine posé ses bagages place Beauvau qu’il a plongé dans le tourbillon de l’actualité, rythmée par d’épouvantables drame, meurtres, règlements de comptes, viols, violences et agressions, comme la France en connaît chaque jour. « La réalité, la triste réalité », soupire-t-il.
Le nouveau « premier flic de France » (…) lit chaque matin le compte rendu des événements de la nuit, cette « chronique devenue trop banale de faits abominables », dit-il, dont « les médias ne connaissent qu’une toute petite partie ».
Lundi 23 septembre. Bruno Retailleau vient de quitter la passation de pouvoirs avec Gérald Darmanin quand il lit sur son téléphone l’alerte, via un système de veille « extrêmement puissant et précis », à propos du meurtre de Philippine. Stupéfaction. (…)
Il martèle : « Je me suis juré de dire la vérité aux Français, de façon brutale, non diplomatique, car c’est la condition : quand on fait le bon diagnostic, on peut apporter les bons remèdes.
Ces faits-là ne sont pas des ‘‘faits divers’’. Ce terme me hérisse, parce que j’y vois une volonté de banaliser.
On y accorde une dimension du hasard, de la fatalité. Un politique doit refuser cette fatalité. » (…)
Le chagrin, et maintenant la colère.
Le ministre de l’Intérieur cite pêle-mêle « des libérations qui choquent et un maquis de contraintes juridiques beaucoup trop fortes ». (…)
La gauche et la presse, toujours elles, ont déjà commencé à instruire le procès de ceux qui veulent changer les choses en les caricaturant en ennemis de la démocratie et en populistes.
Il leur répond : « L’État de droit, ça n’est pas intangible ni sacré.
C’est un ensemble de règles, une hiérarchie des normes, un contrôle juridictionnel, une séparation des pouvoirs. Mais la source de l’État de droit, c’est la démocratie, c’est le peuple souverain. » (…)
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