mardi 24 septembre 2024

MÉDIAS : L' ARCOM CONTRE HANOUNA ! UNE SANCTION TRÈS POLITIQUE ! C8 CONTRE -ATTAQUE .......

 


[MEDIAS] 

Arcom contre Hanouna : C8 contre-attaque !

hanouna

C’était le 24 juillet dernier. 

À la surprise générale, l’Arcom décidait de retirer sa fréquence TNT à la chaîne C8, signant ainsi son arrêt de mort.

 Un véritable séisme dans le paysage audiovisuel français qui fit le bonheur de la gauche politique et médiatique, le service public et Libération en tête. 

La chaîne privée avait cependant prévenu qu’elle n’en resterait pas là. 

À la rentrée, Cyril Hanouna avait lui-même annoncé dans son émission TPMP que « de nombreux recours » étaient à l’étude.

C’est ainsi que, deux mois après l’annonce choc, le groupe Canal+, la maison mère de C8, lance officiellement sa contre-attaque.

 Jeudi 19 septembre, il a annoncé saisir le Conseil d’État pour contester la décision prise par l’Arcom

Son argumentation repose sur « trois injustices profondes » dont il s’estime victime.

 

Une sanction aux lourdes conséquences

Tout d’abord, C8 dénonce les conséquences sociales graves qu’entraîne la décision de l’ex-CSA.

 « Des emplois sont en jeu, un écosystème tout entier se trouve menacé », explique la chaîne, évoquant « 300 collaboratrices et collaborateurs, qui œuvrent depuis près de 20 ans à son succès, mais aussi les nombreuses sociétés de production avec lesquelles elle collabore ».

 Sur X, Pascal Praud a lui aussi rendu hommage à ces professionnels qui risquent de se retrouver sur le carreau d’ici quelques mois.

La deuxième injustice dénoncée par C8 concerne son émission phare, Touche pas à mon poste ! 

Selon la chaîne, c’est « surtout » en raison de cette émission et de ses « manquements » supposés qu’elle se voit aujourd’hui accablée par l’Arcom.

 Or, « l'autorité a déjà sanctionné lourdement C8 pour ce motif et rien ne l'autorisait à la réprimer à nouveau », estime C8.

 Rappelons en effet que le gendarme du PAF lui avait déjà infligé 7,6 millions d'euros d'amendes, ces dernières années, à la suite de séquences jugées déplacées. 

Il semble que ces sanctions financières record n’aient pas suffi à l’Arcom, regrette le groupe Canal+…

 

C’est d’autant plus injuste, estime Canal, qu’afin d’éviter d’autres dérapages, C8 avait proposé d'instaurer un différé de diffusion de l'émission Touche pas à mon poste ! et que « d'autres engagements auraient pu être négociés ».

 Cette proposition n'a hélas pas été entendue, déplore le groupe.

 

Une sanction très politique

La filiale de Vivendi reproche en outre à l'Arcom d'avoir redéfini « à sa guise la notion "d'intérêt du public", qui constitue le critère primordial d'attribution des fréquences ».

 Canal+ rappelle que C8 a été écartée alors qu'elle se classe pourtant première chaîne de la TNT avec, chaque jour, plus de 9 millions de téléspectateurs cumulés.

 « Tout laisse à penser qu'un climat d'hostilité envers la chaîne et le type de programmes qu'elle diffuse a régné au sein du collège de l'Arcom, écrit le groupe Canal+. C8 ne peut pas s'accommoder d'un tel manque d'objectivité et d'impartialité. »

  Le gendarme de l’audiovisuel a manifestement entendu les voix à gauche qui s’inquiètent de la montée en puissance de « l’empire Bolloré » et dénoncent un manque d'indépendance des rédactions vis-à-vis de l’actionnaire breton.

Mais pourquoi donc l’intégrité éditoriale n'est-elle questionnée que dans le cas de Vincent Bolloré et jamais pour les médias détenus par d'autres milliardaires, à l’engagement politique pourtant revendiqué ?

Idem pour le procès en pluralisme. 

En donnant la parole à tous (gilets jaunes, islamistes, racailles, militants associés à « l’extrême droite »…), C8 a largement participé à une liberté d’expression qui n’existe pas sur la plupart des autres antennes. 

N’est-ce pas là que réside, précisément, « l’intérêt du public », considèrent de nombreux soutiens de la chaîne, anonymes ou non.

 

Il revient désormais au Conseil d’État d’en juger.

 Mais pour le groupe Bolloré, les raisons d’espérer sont minces : l’instance est dominée par des « juges » tout sauf neutres et dont les décisions ont pu choquer par le passé. 

Ce sont eux qui, en février dernier, avaient intimé à l’Arcom l'ordre de mieux contrôler CNews

De là à penser que l’intérêt véritable du public et du peuple français n’est pas leur sujet…

Jean Kast
Par Jean Kast
Journaliste indépendant, culture et société 
 
 

 
 
 
Et aussi   



Ne les laissez pas détruire la liberté d'information !

Chère Madame, Cher Monsieur,

 

La liberté d’information est en danger en France :


Il ne se passe pas un jour sans que les grands médias formatent l’opinion publique, et ceux qui essaient de résister sont étroitement surveillés, attaqués et sanctionnés à la moindre occasion.


Si vous et tous ceux qui sont conscients qu’il est urgent de la défendre n’agissez pas aujourd’hui même, elle disparaîtra inexorablement...


... Et, avec elle, tout espoir de changement réel dans notre pays.


C’est pourquoi nous vous demandons d’aider Boulevard Voltaire à organiser une gigantesque force de résistance.


Le lavage de cerveau qu’on vous administre à longueur de journée prend des proportions ahurissantes :


Sur BFM ou RMC, émission "C’est ça la France" destinée à promouvoir la "diversité".


Sur France Télévisions, "Sommes-nous tous racistes ?" pour lutter contre "stéréotypes" et préjugés.


Et sur Radio France, la présidente conçoit ses programmes pour en faire…  "des thérapies contre tout ce qui met à mal le vivre ensemble". Orwell n’aurait pas dit mieux.


Et ce n’est pas pour rien qu’au moment des Législatives, Clémentine Autain et Aurélien Rousseau, du Nouveau Front populaire, ont salué  l’"immense mobilisation" des journalistes en faveur du "barrage républicain", témoignant d’une éternelle "gratitude à la presse".

 

Oui, les grands médias manipulent l’opinion publique, à coups d’indignations sélectives et d’informations biaisées.


Mais en plus, les rares médias qui – comme notre site d’information Boulevard Voltairecherchent à donner une information alternative aux Français...


... sont sous haute surveillance, attaqués, censurés.


Parce que nous avions fait savoir qu’une Algérienne sous OQTF était l’auteur du crime atroce de la petite Lola, qui "aurait dû rester un terrible fait divers" selon France 5...


... la télévision publique a diffusé une émission spéciale à une heure de grande écoute, pour salir notre réputation en nous accusant, avec d’autres, d’avoir participé ainsi à "la fabrique du mensonge".


Alors que les journalistes bien-pensants déversent leur propagande sans aucun frein, à vos frais, sur les innombrables chaînes du "service public", l’Arcom a mis en garde CNews, exigeant qu’elle révise sa façon de traiter "de nombreux sujets, tels que les violences commises contre les forces de l’ordre, le fonctionnement de la justice ou les effets de l’immigration sur le fonctionnement de notre société".


Et les sanctions peuvent être très lourdes, quand on résiste au politiquement correct... jusqu’à l’interdiction d’émettre sur la TNT infligée à C8, autre télévision du groupe Bolloré.


C’est une véritable police de la pensée qui s’instaure.


Et il faut la combattre de toute urgence.


Demain, si nous ne faisons rien, on ne pourra plus critiquer aucun des dogmes de la bien-pensance qui règnent en maîtres dans les médias : le "vivre ensemble", le "pas d’amalgame", "l’inclusion", la culture de l’excuse, la lutte contre les "violences policières" ou le "patriarcat blanc", la "cancel culture", destruction méthodique de ce qui fait notre histoire, notre culture, notre force.


Et ils se répandront dans la société tout entière, par l’entremise des médias, la détruisant irrémédiablement.


Voyez plutôt : quand un déluge de propagande s’est abattu à la télévision, pour nous persuader qu’il est tout à fait normal de transformer en filles des garçons de 7 ou 8 ans, l’Arcom a été saisie... pour sévir contre l’une des rares interventions télévisées à contre-courant, celle d’une psychologue qui "trouve qu’il y a un peu une épidémie de transgenres".


Il est inacceptable qu’on puisse être mis en accusation pour vouloir protéger des enfants !


Il est inacceptable qu’un média soit attaqué pour parler de crimes perpétrés par des immigrés.


Il est inacceptable que, dans un pays comme la France qui donne des leçons de démocratie à la terre entière, la liberté d’expression et d’information soit bafouée quotidiennement !


Mais le seul espoir de sauver la liberté d’information en France, c’est de diffuser massivement les informations passées sous silence dans les grands médias.


Alors, s’il vous plaît, acceptez de faire un don à Boulevard Voltaire pour nous aider à informer et rallier un maximum de citoyens.


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