mardi 17 septembre 2024

MÉLENCHON ET LE GRAND PATRONAT , MÊME COMBAT ???

 TRIBUNES LIBRES !

Dressez-vous contre les fossoyeurs de la civilisation européenne

 
Vous avez voté en masse le 9 juin 2024. À présent il vous faut virer les fossoyeurs de notre civilisation européenne
 
J’ai écrit plus de 2 000 articles, publiés sur Riposte Laïque, Dreuz.info, Résistance Républicaine, Boulevard Voltaire, etc. mais de ces 2 000 articles le plus important me paraît être celui-ci et, je l’espère sincèrement, il devrait l’être également à vos yeux, car tout votre avenir, celui de vos familles, de vos enfants, dépend de ce que l’on va faire du résultat des élections européennes : votre bulletin de vote, ce 9 juin 2024, a indiqué très nettement quel était votre choix et ce choix était « de mettre à la porte tous ces « fossoyeurs » de l’Union européenne ».  
 
Je ne suis pas contre une Union européenne ou une monnaie européenne « l’euro » mais à la condition qu’il s’agisse d’une union de pays souverains, responsables de leurs frontières, libres de recevoir qui ils veulent et quand ils le veulent, de condamner qui ils veulent et quand ils le veulent, et d’expulser qui ils veulent et quand ils le veulent. 
 
 Avec une Assemblée de parlementaires élus par chaque pays et qui, à la majorité démocratique, éliront leurs responsables ou les destitueront et ne seront pas soumis à des lois, des règlements, des condamnations qu’ils n’auront pas votés et encore bien moins à une Cour européenne des droits de l’Homme.
 
Le 9 juin 2024 vous avez eu la possibilité de « jeter aux ordures » tous ces responsables de l’Union européenne dont le seul, l’unique objectif est de détruire la civilisation européenne et de procéder au Grand remplacement et cela au grand jour, sans dissimulation aucune, en facilitant et en même encourageant l’invasion programmée du continent européen – et en particulier de la France en tout premier lieu, puisque ceux qui nous dirigent ne s’y opposent nullement (et ce n’est certainement pas la prochaine loi « pour l’immigration » et non « contre », qui sera probablement votée, qui nous sauvera de la fin programmée de notre civilisation.
 
Le 9 juin 2024, les élections européennes (à la proportionnelle, ce qui est très important) auraient dû être, à mon humble avis, bien plus décisives en France pour notre proche avenir que l’élection présidentielle de 2027 dont, hélas, il ne faut pas attendre un grand bouleversement (à moins que la “proportionnelle intégrale” ne soit appliquée ?).
 
Il est impératif de changer totalement la direction de l’Union et de la Commission européennes.
 De renvoyer dans leurs foyers les Ursula von der Leyen, Charles Michel et toute l’équipe à leur service.
 
Gardons à l’esprit la déclaration récente d’Ylva Johansson, commissaire européenne aux affaires intérieures : « La migration est normale et existera toujours. Il n’est pas question de l’arrêter. Cela n’arrivera jamais. C’est impossible. Ce serait une catastrophe si nous le faisions ». 
Elle est toujours présente.
 
Et pourquoi devrions-nous subir cette invasion qui (selon elle) existera toujours ? Helena Dalli, commissaire européenne à l’Égalité, nous l’explique : « L’Europe doit assumer la responsabilité du « colonialisme » et de « la traite négrière ». Il faut stopper le racisme « structurel » de l’Europe. Les personnes d’origine africaine dans l’UE sont confrontées à des formes structurelles de racisme et de discrimination dans tous les domaines de la vie ».
 
Elle est toujours présente également.
Nous ne sommes pas obligés d’entendre de telles absurdités de personnages qui ont été nommés à ces postes de responsabilité sans notre accord ! 
 
 « Dressez-vous contre les fossoyeurs de la civilisation européenne ».
 
 
Par Manuel Gomez
 

 
 
 
ETAUSSI

L’immigrationnisme du grand patronat, soutenu par LFI, va couler la France

En imposant sa politique immigrationniste, le grand patronat va détruire le pays.

Je regrette Georges Marchais qui déclarait en 1981 :

« Il faut stopper l’immigration officielle et clandestine. 

 Il est inadmissible de laisser entrer de nouveaux travailleurs immigrés en France alors que notre pays compte près de deux millions de chômeurs français et immigrés ».

Dommage que le PC ait retourné sa veste.

Chacun sait que ce ne sont pas les élus qui gouvernent, mais le grand patronat.

 

À ce titre, on peut dire que Mélenchon et le grand patronat mènent le même combat. 

Le premier mise sur l’électorat immigré pour rafler la mise, le second entend faire tourner la machine économique en évitant tout ralentissement.

Le taux de fécondité des femmes européennes s’étant effondré depuis vingt ans, le patronat réclame à cor et à cri une politique d’immigration massive pour faire tourner l’économie et surtout pour que le nombre de consommateurs augmente.

 Rien n’est pire qu’une baisse de population dans une société moderne, puisque l’économie et tout le système social reposent sur les actifs, dont le nombre ne saurait diminuer sans provoquer le chaos.

Le meilleur exemple est celui de l’Allemagne, qui a ouvert totalement ses frontières en 2015, non pas sous le coup de l’émotion suscitée par le corps d’un petit enfant échoué sur une plage, mais surtout pour satisfaire une demande du patronat allemand en manque de main-d’œuvre.

Mais le résultat n’est pas celui qu’espéraient “Mama Merkel” et ses homologues européens, compte tenu des énormes problèmes d’intégration, toujours pas résolus.

 

Au lieu de lancer une ambitieuse politique nataliste, l’Europe a fait le choix démentiel de l’immigration de masse, qui va tout simplement enterrer la civilisation occidentale.

Le problème n’est pas qu’on accueille des millions d’immigrés, le problème est que notre immigration de déshérités, majoritairement non qualifiés, ne peuvent s’intégrer dans une économie moderne et performante. 

Sans parler du choc des cultures et de l’islam politique qui disloquent peu à peu la nation.

https://ripostelaique.com/ocde-la-france-plombee-par-son-immigration-de-tres-basse-qualite.html

 

À l’heure de l’intelligence artificielle, a-t-on besoin d’une immigration de masse, dont beaucoup d’analphabètes ? Évidemment non. 

D’ailleurs l’immigration du travail ne représente que 10 % du flot immigrationniste continu.

https://www.ifrap.org/la-revue/immigration-le-travail-doit-etre-la-regle#qwejoqhf

 

Éric Coquerel, député LFI président de la Commission des finances, est parfaitement en phase avec les grands patrons :

« Le problème numéro un dans ce pays n’est pas la question de l’immigration. Quand on parle avec le patronat éclairé, la France n’a pas suffisamment d’immigrés »

Le patron du Medef déclare :

« Nous avons des régimes sociaux, comme les retraites, l’assurance chômage ou la santé, qui sont assis sur les revenus du travail, et donc sur l’emploi ».

Et d’ajouter :

« D’ici à 2050, sauf à réinventer notre modèle économique et social, nous aurions besoin de 3 900 000 salariés étrangers, hors de l’Union européenne puisque tous les pays de l’UE sont confrontés au même problème démographique ».

https://www.breizh-info.com/2024/09/17/237823/immigration-economique-lfi-patronat/

 

On comprend très bien les impératifs économiques du Medef. 

Mais ce que le patronat met sous le tapis, c’est la qualité de notre immigration et le fossé culturel béant qui interdit une assimilation totale, comme à l’époque de l’immigration européenne de l’après-guerre.

Le raisonnement à court terme du patronat interpelle. 

Quel avenir pour l’économie française si la nation se libanise et se disloque ? 

Un pays peut-il survivre s’il devient une mosaïque de  groupes ethniques et culturels qui ne partagent pas la même vision de leur futur ?

Avec plus de 6 millions de chômeurs, la France n’a pas besoin de 500 000 immigrés par an, dont un tiers de clandestins.

 

Elle a besoin de mettre ses chômeurs au travail et elle a surtout besoin de lancer une politique nataliste efficace. 

Car si le basculement démographique se produit en 2050, avec des natifs minoritaires dans leur propre pays, tous les rêves de développement économique du patronat s’envoleront.

Il n’y aura pas de prospérité possible si le chaos racial s’installe. 

Sans réussite de l’intégration, pas d’économie performante à espérer. 

Une évidence, totalement évacuée par le grand patronat, qui raisonne à court terme et veut toujours plus de consommateurs.

 C’est Georges Marchais, un communiste, qui avait raison.

 

Par Jacques Guillemain    


Source et Publications :   https://ripostelaique.com/

 

 ET AUSSI


Juste un Rappel .........

1981 : quand le Parti communiste voulait stopper l’immigration

Abandonnant son opposition à l’immigration, le Parti communiste français s’est laissé gagner, à partir de la fin des années 1980, par le discours assimilant anti-immigration et racisme. 

À sa lecture économique du phénomène, rigoureusement anticapitaliste, s’est progressivement substituée une lecture humanitaire et culturelle, d’essence libérale.

 Cette évolution révèle la dynamique commune qui anime antiracisme et promotion de l’immigration.

Qu’ils se bornent à lui imputer hargneusement la responsabilité de tous les maux dont souffre la France, ou qu’ils s’obstinent à la célébrer naïvement comme « une chance pour notre pays », les partis politiques contemporains s’avèrent rigoureusement incapables de produire une analyse critique prenant en compte tous les aspects et toutes les implications de l’immigration. 

Même le PCF, qui seul refusait de s’adonner à ce jeu de dupes jusque dans les années 1980, a progressivement et profondément revu ses positions. Si l’on ajoute à ce climat peu propice au débat d’idées l’inévitable accusation de xénophobie qui menace tout esprit un tant soit peu critique sur la question, ce dernier n’a plus qu’à se soumettre à l’injonction qui lui est faite de se ranger, sans discussion ni délai, sous l’un des deux étendards qui s’élèvent au-dessus de lui : le blanc immaculé des irénistes aveuglés de tolérance, ou bien la croix gammée du camp de la haine. 

Pourtant, en l’analysant avec davantage d’attention, il apparaît que c’est le discours pro-immigration lui-même, si réfractaire à la nuance et obstiné à débusquer la xénophobie de ses opposants, qui repose sur une logique fondamentalement discriminatoire et d’inspiration libérale.

 

L’antiracisme, bras armé idéologique de l’immigration

immig 

En effet, l’argumentaire des ardents défenseurs de l’immigration ne les prémunit pas contre les amalgames qu’ils se font tout un art de dénoncer d’ordinaire. Très en vogue depuis la France « black-blanc-beur » des années 1990, les « modèles d’intégration », mis en avant comme véritables preuves incarnées des vertus de l’immigration, apportent la plus flagrante révélation de cette hypocrisie. 

Pour ne prendre qu’un exemple, le plus emblématique sans doute, citons Jamel Debbouze, invité il y a quelques années à se produire à la Fête de l’Humanité : « L’immigration doit être encouragée. Je fais partie de ces fils d’immigrés qui se sont intégrés, qui ont réussi. » 

 Discours étrange si l’on songe que tout individu qui, comme Jamel Debbouze, est né sur le territoire français est un Français à part entière, que ses origines ne comptent pas aux yeux de la République dont il est l’enfant légitime, et qu’il n’y a pas lieu de parler de « fils d’immigrés ».

 Sauf, bien évidemment, si l’individu en question « a réussi », comme Jamel Debbouze, auquel cas son origine, sa trajectoire familiale et son intégration deviennent tout aussi importantes que sa nationalité française, et apportent immédiatement la preuve que « l’immigration doit être encouragée ».

Si elle est totalement acceptée dans le discours pro-immigration pour appuyer ses exemples de réussite, l’évocation des origines d’un individu se voit immédiatement qualifiée d’ignoble propos raciste sitôt qu’elle concerne, par exemple, un trafiquant de drogue n’ayant pas eu la chance de connaître la réussite à la Jamel et de déménager loin de sa banlieue pour s’établir, comme le comique, sur l’île Saint-Louis.

 La géométrie variable des discours sur l’immigration pose donc bel et bien problème. 

Un Français est un Français tout court : on ne peut faire valoir son identité de « fils d’immigré » lorsque le vent souffle dans le bon sens, au nom de l’immigration vertueuse, tout en dénonçant le sous-entendu raciste que dissimulerait ce même terme de « fils d’immigré » appliqué à un délinquant, au nom de l’égalité de tous les Français. 

L’antiracisme agit ainsi comme instrument idéologique, utilisant la discrimination tantôt pour promouvoir l’immigration, tantôt pour disqualifier ses opposants. 

 C’est sa montée en puissance qui, sous l’ère Mitterrand, impose bientôt une lecture restreinte et biaisée du débat, et Georges Marchais s’offusque alors de voir les militants communistes qualifiés de « pétainistes ».

 La machine infernale est mise en route : puisque l’anti-immigration s’avère être, affirme-t-on, un racisme qui ne dit pas son nom, et que le PCF ne saurait être, bien entendu, un parti aux idées xénophobes, alors il est appelé à se convertir, comme le Parti socialiste, au tout-immigration.

 

La schizophrénie libérale du PCF

Il y a trente ans, l’anti-racisme instrumentalisé n’avait pas encore connu ses heures de gloire et n’imposait pas son régime de Terreur idéologique.

 Peu de précautions de langage, donc, dans la bouche de Georges Marchais, alors Secrétaire général du PCF et député du Val-de-Marne, lorsqu’il abordait une question qu’il pouvait considérer sereinement sous son aspect purement économique. « Certains prétendent que l’immigration massive de travailleurs est une nécessité, voire un bienfait du monde contemporain. Non, c’est une conséquence du régime capitaliste, de l’impérialisme », écrivait-il dans une lettre, restée célèbre, qu’il adressait au recteur de la mosquée de Paris. 

Sans doute convaincu que les engagements passés du PCF dans la Résistance ou dans la lutte anti-coloniale suffisaient à le disculper de toute velléité xénophobe, il précisait sobrement que « l’idéal communiste est effectivement opposé, comme vous voulez bien le reconnaître, à toute discrimination raciale ou religieuse »

À l’affirmation « l’immigration est une chance pour la France ! », le PCF d’alors répondait par la question : « est-elle une chance pour le Tiers-Monde ? », comprenant que l’émigration, pendant intrinsèque de l’immigration, constituait une violence du capitalisme mondial, seul à ne connaître aucune frontière.

 Encore animé par l’influence bénéfique qu’exerçait sur lui l’analyse critique des mutations du libéralisme que formulait Michel Clouscard, le parti des travailleurs refusait de ne voir ce phénomène de migrations économiques que sous l’aspect d’un « droit à liberté de circulation des personnes », tel que le consacrerait le traité de Maastricht dix ans plus tard. Son appel à stopper l’immigration constituait un appel à lutter contre la disponibilité sans limite des travailleurs, déplacés çà et là en fonction des besoins économiques, comme autant de pions sur l’échiquier de la production.

Lorsqu’il est abordé de nos jours, le sujet de l’immigration ne convoque presque jamais la géopolitique. Georges Marchais refusait de séparer l’un de l’autre : « Nous avons

Michel Clouscard
Michel Clouscard

milité pour la constitution du Maroc et de la Tunisie en États indépendants ; nous nous sommes opposés à la guerre menée contre le peuple algérien par les capitalistes français et leurs politiciens. » 

L’immigration n’était alors pas une fin en soi, mais une conséquence malheureuse de l’exploitation du Tiers-Monde : tout en continuant de dénoncer la seconde, sans toutefois parvenir à maintenir son poids diplomatique en la matière pour des raisons liées avant tout à la disparition de l’URSS, le PCF se rallia petit à petit à la vision angéliste de la première, déjà largement promue par le Parti socialiste. L’immigration devint alors une fatalité exclusivement envisagée comme une question humanitaire, sous la figure de l’immigré clandestin exploité, touchant aux droits de l’homme et au droit d’asile, et s’ancra ainsi de manière durable dans le programme du PCF. 

L’empathie et la solidarité avec les immigrés aux conditions de vie parfois révoltantes ne semblaient pourtant pas, aux yeux de Georges Marchais, devoir se substituer au combat contre l’immigration et ses causes. Aussi citait-il, dans sa lettre, l’émir Abdelkader : « Le feu de l’hospitalité luit pour le voyageur qui distingue la flamme. »

S’il dénonce à raison l’empreinte du libéralisme derrière les directives européennes autorisant les travailleurs détachés du Portugal et de Roumanie à venir travailler sur les chantiers français, à un coût bien plus avantageux pour leurs employeurs, le PCF refuse de voir le même libéralisme à l’œuvre derrière l’idéal immigrationniste, assimilant anti-immigration et racisme, et sapant ainsi toute contre-offensive.

 Ce refus de critiquer la dimension culturelle du libéralisme, moteur de son projet économique, constitue l’aboutissement de la mue idéologique du PCF entamée dès les premières heures du Programme commun. Cette schizophrénie libérale finira pourtant par le mettre un jour face à la contradiction sur laquelle elle repose.

 Pensera-t-il toujours l’immigration en termes de chance et d’avantage, et fera-t-il toujours de l’accueil des migrants une nécessité dictée par la tolérance et l’humanisme, le jour où, comme elles le font déjà de certains Espagnols contraints d’aller chercher du travail en Tunisie, les injonctions économiques exigeront des travailleurs français qu’ils s’exilent dans la super-région européenne de la Ruhr, là où la force des choses et la loi du marché auront concentré les dernières industries du vieux continent ?

Source : https://philitt.fr/2015/03/02/1981

 

 





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