On apprend, ce dimanche, par l'agence de presse turque Anadolu
et des vidéos circulant sur les réseaux sociaux, que des militants
pro-palestiniens ont perturbé une messe dans l'église de la Madeleine,
samedi 26 au soir.
Des keffiehs brandis dans l'église
Des militantes pro-palestiniennes se sont levées en silence parmi les
fidèles, brandissant des images de victimes et des keffiehs, et ont lu à
voix haute un texte appelant à la fin des attaques contre les civils
palestiniens et au respect du droit international humanitaire.
L'intervention a suscité des réactions : certaines personnes
présentes ont vivement protesté, accusant les militantes de profaner un
lieu de culte, et leur ont lancé des invectives « Cassez-vous ! »
Mgr Patrick Chauvet, curé de la Madeleine, est aussi intervenu pour
faire évacuer les militantes.
Ce dimanche, le Handala, un
bateau exploité par le mouvement pro-palestinien « Flottille pour la
liberté », est arrivé en Israël après avoir été intercepté par l’armée
alors qu’il se dirigeait vers Gaza avec de l’aide humanitaire à bord.
Les membres d’équipage, parmi lesquels deux élues de La France
insoumise (LFI), Gabrielle Cathala et Emma Fourreau, ont été appréhendés
par les autorités israéliennes.
Le ministère des Affaires étrangères israélien a déclaré que la marine avait arrêté le Handala pour l’empêcher d’entrer dans les eaux au large de la bande de Gaza.
« Le navire se dirige en toute sécurité vers les côtes israéliennes.
Tous les passagers sont sains et saufs », a-t-il déclaré, samedi.
Le navire avait quitté Syracuse, en Sicile, le 13 juillet pour tenter
de briser le blocus naval israélien de Gaza et apporter une petite
quantité d’aide humanitaire aux habitants du territoire, ravagé par plus
de 21 mois de guerre.
Avant d’être arrêtés, les membres de l’équipage
avaient déclaré, sur X, qu’ils entameraient une grève de la faim si
l’armée israélienne interceptait le bateau et arrêtait ses passagers.
Quelques heures avant l'interception, la députée Cathala en a appelé,
sur les réseaux sociaux, à Emmanuel Macron pour qu'il fasse intervenir
la Marine nationale pour sécuriser la route du Handala vers Gaza.
La semaine dernière, Jean-Noël Barrot, ministre des Affaires étrangères français, avait qualifié cette expédition maritime d'« irresponsable ».
Le précédent Rima Hassan
L’initiative intervient six semaines après le départ du Madleen, un autre navire de la flottille, parti d’Italie le 1er
juin.
Ce voilier avait alors à son bord douze militants, dont
l’écologiste Greta Thunberg et l’eurodéputée LFI Rima Hassan, qui avait
été détenue trois jours après l’interception du navire, à environ 185
kilomètres à l’ouest de la côte de Gaza.
En fait je me demande pourquoi Tsahal les intercepte et ne les
laisse pas débarquer à Gaza !
Ce serait comique de voir ces députées
accueillies par les hamas quand on sait le sort que ces islamistes
réservent à leur gente féminine !!
Pancontomatedit :
La deputee parle d’un kidnapping.
Dans l ethimologie cela
signifie enlever un enfant. Il me semble qu’elle n’est plus une enfant.
De plus pour une lfiste associée avec les ecolos elle utilise un bateau à
moteur (entendre le diesel en fond sonore) au lieu d’ un bon voilier.
De plus elle fait grève de la faim c’est pas grave. Elle s’en remettra.
Voilà un moyen de remettre une bûche dans le feu, faire parler
de soi, se victimiser, se dire agressait par les fascistes, ou pas
tsahal, sont l’une des pratiques fallacieuses de l’extrême gauche.
Quand
a faire une grève de la faim certains ou certaines au NFP y
trouveraient probablement des vertus
De façon très volontaire, la droite conformiste s’est condamnée à la défaite
À quoi servent Les Républicains ? [Tribune]
Depuis la déconfiture électorale de François Fillon dans les
conditions que l’on sait, et qui restera dans les annales de
l’instrumentalisation politique de la Justice,
Les Républicains,
héritiers de l’UMP, se réduisent comme peau de chagrin, élection après
élection.
Et pourtant, ce syndicat d’élus se survit à lui-même et
rassure encore, Dieu seul sait pourquoi, une partie de l’électorat
conformiste de droite qui, avec constance, illustre la ritournelle d’une
chanson connue : « Cocus mais contents » !
L’ombre d’elle-même
Cette famille politique qui n’est plus que l’ombre d’elle-même survit
toutefois.
D’abord parce qu’elle peut revendiquer nombre d’élus locaux,
en réalité divers droite hors des grandes villes, ce qui explique leur
domination du Sénat.
Ensuite, les médias du système les mettent en scène
car ils concurrencent la droite alternative d’Éric Ciotti et de Marine
Le Pen.
Aussi parce qu’ils se sont faits les supplétifs du « bloc
central » macronisto-socialiste, pour éviter selon eux le pire,
c’est-à-dire un gouvernement regroupant LFI, les communistes, les
socialistes et les Verts.
Mais en écartant l’autre solution proposée par
Éric Ciotti, c’est-à-dire une alliance des droites.
Enfin, parce qu’ils
ont en leur sein (il faut être honnête) des personnalités qui sortent
de la grisaille politique comme Retailleau, Wauquiez ou Bellamy, mais
qui servent le système oligarchique en place en prétendant le réformer
de l’intérieur.
LR soutient les orientations de la Commission présidée par von der Leyen
Deux « événements » politiques récents démontrent que ces gens veulent que « tout change pour que rien ne change » (Le Guépard,
Lampedusa).
D’abord, la motion de censure déposée contre Ursula von der
Leyen à propos de l’échange de courriels entre elle et le président de
Pfizer lors de la crise Covid-19, dont elle a refusé de révéler la
teneur.
M. Bellamy et ses faibles troupes (6 députés sur 188 membres du
PPE) avaient manifesté, lors des dernières élections européennes, leur
opposition à Mme von der Leyen et proclamé leur hostilité à l’idée d’une
Europe fédérale.
Tout en rejoignant un groupe dont les statuts
proclament « la volonté commune de fonder une Union européenne fédérale… » (Préambule
des statuts du PPE) et en votant pour le collège de la Commission
présidée par Mme von der Leyen à laquelle ils s’étaient opposés.
Comprenne qui pourra.
En
ce qui concerne la récente motion de censure, M. Bellamy, Mmes Imart,
Le Callenec et Morano ont voté contre, c’est-à-dire qu’ils ont soutenu
Ursula von der Leyen.
Laurent Castillo et Christophe Gomart étaient
opportunément absents.
François-Xavier Bellamy, chef de la délégation,
vice-président délégué de LR, a expliqué que la motion de censure
n’avait aucune chance d’aboutir.
Certes, mais justement, s’il n’y avait
aucun « risque », c’était l’occasion de poser un geste symbolique.
Ensuite, il a précisé que la motion de censure ne visait pas seulement
Mme von der Leyen mais l’ensemble du collège de la Commission.
Mais
c’est le principe même de toute motion de censure.
Soulignons qu’en
effet, la Commission européenne est un organisme collégial qui est
collégialement solidaire des orientations prises et des législations
proposées.
Ainsi, une directive sur l’énergie n’est pas la directive du
commissaire à l’énergie mais celle de la Commission dans son ensemble.
Donc, dire que l’on ne soutient pas Mme von der Leyen mais que l’on
soutient le collège des commissaires n’a aucun sens : ils sont
statutairement solidaires.
Tout cela n’est que jouer sur les mots ; la
vérité est que LR soutient les orientations de la Commission présidée
par Mme von der Leyen.
Un parti du système
Autre sujet, cette fois dans nos assemblées : le moratoire sur les
énergies intermittentes.
Là encore, LR s’est « défilé » en se réfugiant
dans l’abstention.
Chacun le sait, les énergies éoliennes et solaires
ont une production intermittente et le surcoût de celle-ci a été estimé à
20 % (De l’inutilité et du coût des renouvelables intermittents. 15
octobre 2022.
Association des climato-réalistes).
L’objectif européen de
42,5 % d’ici à 2030 est une absurdité totale qui menace directement nos
industries à haute intensité énergétique comme l’acier et, plus
globalement, notre autonomie stratégique.
Chacun le sait, et pourtant LR
préfère se plier aux injonctions bruxelloises servilement reprises par
le gouvernement et à la doxa politiquement correcte du système.
En
réalité, ce parti est un parti du système qui soutient le système.
Dès lors, posez-vous la question : à quoi servent Les Républicains ?
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Une idéologie de destruction, une trahison à la France, une imposture !
Par Nanouche
Le macronisme ? Une idéologie de destruction, une trahison à la France, une imposture !
L’Histoire jugera Jupéteux comme la pire gouvernance de la Ve République, depuis sa création en 1792.
Funeste empire le ‘Nouveau Monde’ qui n’est que dérives du mental de celui qui l’incarne.
Pour
preuve, il espère être de nouveau élu, en… 2032 et pour cela fait
travailler un petit comité ‘d’experts’ au sein de l’Elysée !!
Le
macronisme n’est qu’une pathologie, grave, liée à l’ego d’un seul homme
rempli de lui-même.
Il n’y avait qu’un fou pour supprimer notre corps
diplomatique et croire le remplacer !
Au centre de « son » monde :
l’orgueil ; il n’a jamais tort, mais est d’une ignorance totale dans
tous les domaines avec une absence de maîtrise flagrante, d’où, son
agressivité ses insultes ses provocations ; agitation : il court partout
comme un canard sans tête, narcissisme, bavardages et commentaires
ininterrompus sans queue ni tête …
Quels résultats ?
Chômage toujours
supérieur à la moyenne de l’UE et l’OCDE : alors, nouvelle réforme dans
les tuyaux pour faire, artificiellement, baisser les statistiques.
Renommer Pôle Emploi en ‘France Travail’ a coûté : 500 millions, notre
magicien a cru que changer le nom allait réduire le chômage de 5 % en
2027.
Personne ne trouve du travail avec cet organisme qui coûte des
milliards, pour rien.
Mais certains qui y travaillent mènent la belle
vie.
La
‘croissance’ inférieure à la moyenne UE et OCDE depuis 2018, quelle
réussite du ‘Mozart de la Finance’, INSEE 2025 : + 0,6%.
Recul du 5e au
7e PIB mondial depuis 2017.
Records au sein de l’UE, déficit public :
140Mrds représentant 5.4% du PIB, endettement sans précédent depuis la
fin de la Seconde Guerre mondiale, fin 2024 : 112% du PIB…
1400Mrds et
depuis 2017, la dépense publique augmente chaque année de 40 à 50Mrds !
Zéro économie, alors, nos incompétents crasses de Bercy ont décidé de
s’attaquer à l’optimisation fiscale. McKinsey a trouvé une belle
tournure : une « contribution de solidarité » sur les plus aisés, ah,
bah, oui c’est plus ‘porteur’.
Aucune réforme de l’action publique, « en
même temps » embauche de fonctionnaires, multiplication d’organismes
d’État et comités Théodule totalement inutiles, coût annuel : 80 à
107Mrds, pour rien.
Nous sommes le pays le plus désindustrialisé de l’UE : PIB sous la barre des 10%.
Fossoyeur1er a bradé la souveraineté de la France : Alstom, Technip,
Lafarge… Doliprane.
Depuis Alstom, les groupes américains ont racheté
plus de 1.570 entreprises tricolores.
En 10 ans, les États-Unis se sont
offerts plus de 130 milliards de dollars de nos fleurons.
Enfer fiscal
pour nos entreprises, les faillites…
La ponction de 13% supplémentaires
sur les grandes entreprises a été reconduite, mais soyez « patriotes »
patrons.
Mantra du sinistre Lombard : « ne pas augmenter la fiscalité et
les charges.
Parce que la compétitivité, c’est la meilleure façon de
développer notre économie, de continuer à créer des emplois et à
protéger l’avenir.
Pas seulement dire aux entreprises qu’on les aime,
mais bien leur donner des preuves d’amour » ah ah ah…
Quelle
compétitivité ? Quelle croissance ?
Tous les ‘Choose France’ de
Narcisse1er qui vante la pseudo-attractivité du pays, ne sont que de
pathétiques spectacles qui coûtent un pognon de dingue, pour rien.
Notre
pays n’est plus champion mondial du tourisme, quelle réussite !
Un
système éducatif en décrépitude, et un des trois les plus inégalitaires
de l’OCDE, mais qui sera sauvé par les cours d’empathie !
Nos hôpitaux
n’en finissent plus d’agoniser, mais seront sauvés par des médecins
étrangers.
Recommandation du sinistre de la Santé : les Français doivent
plus souvent faire la sieste, waouh, au moins, il y en a un qui ronfle
bien à l’Assemblée nationale, le Bayrou !
Autrefois un modèle
d’équilibre diplomatique, notre diplomatie a été emportée par
l’inculture crasse de Trissotin1er, sans réflexion sur les conséquences à
long terme.
L’influence française à l’international est morte.
Les
conséquences d’une diplomatie sans colonne vertébrale : perte de
souveraineté et de crédibilité…
Sauf en Ukraine, où les milliards
donnent l’impression à ManuMilitari d’exister sur la scène
internationale.
Vatenguerre a besoin de votre argent, plus de six
milliards avant la fin de son quinquennaze, pour défendre « l’intégrité
territoriale » de ce pays, parce que ce sont « nos valeurs ! »
Reconnaître
l’État de Palestine était préconisée dans le rapport sur les Frères
musulmans documenté par les services de renseignement et remis à Bruno
Retailleau…
Pour « apaiser les frustrations. »
Algérie, mollahs, ses
Frères… Cela ne fait plus aucun doute !! « La diplomatie, ce n’est pas
la soumission », a certifié Barjot du Quai d’Orsay en déplacement à Kiev
qui est « en même temps » dhimmi…
Après avoir reçu l’assassin
d’al-Joulani qui massacre des Druzes et des chrétiens, Soumission1er va
légitimer le HamaSS via cette reconnaissance en septembre.
Responsable
de l’antisémitisme et de ses conséquences avec LaFranceIslamonaziste qui
jubile.
Génuflexion1er a été félicité pour la troisième fois par ces
assassins : récompense à la barbarie, « champion, mon frère ! »
Vulcainéron
et le nucléaire : un massacre !
Il nous a fait perdre nos 10 ans
d’avance et notre excellence en la matière, ensuite atermoiements, « et
en même temps » Escrolo1er avec son idéologie des moulins à vent soumis
aux lobbies fait payer la facture aux gueux, on ne reviendra pas sur son
hérésie de PP3.
Il a détruit notre agriculture et fait croire qu’avec
la loi Duplomb, il s’agit de : « reconquérir notre souveraineté »,
évoque la « science » « et en même temps » : Mercosur, poulet ukrainien,
etc., tous les produits dégueulasses venus de partout sont vendus en
France.
La science dictait aussi de prendre son café assis lors du
Covid, sinon debout vous risquiez de l’attraper !
Les Khmers verts se sont engouffrés dans ses délires mensongers, de
décarbonation de notre industrie, par exemple celle de l’automobile :
les ventes de voitures neuves s’écroulent en France, de ZFE, etc., et à
présent ils veulent tuer notre agriculture en bouffant du quinoa venu
par tanker de l’autre bout du monde et n’en ont « rien à péter de la
rentabilité de nos agriculteurs.
» Il a fallu huit ans pour que
beaucoup se rendent compte que Manu1er est fou.
Ses propos ne sont que
délires et les conséquences sont dramatiquement l’inverse de ses
illusions : précarité, appauvrissement, désindustrialisation,
renchérissement sur l’énergie par dogme européen, maintien des
prélèvements obligatoires sur les entreprises les plus élevées d’Europe,
cadre normatif encore plus contraignant qu’à Bruxelles, etc., au pays
le plus taxé au monde !
Le ‘Nouveau Monde’ est un fiasco sur toute
la ligne et dans tous les domaines.
C’était d’une telle évidence.
Voter
pour un homme qui se prend pour Dieu, le reconduire dans la fonction
suprême, il fallait être aussi fou que lui !
Mais sacrifiez-vous,
Français, au nom du « patriotisme » tant vomi depuis 2017.
Le pays a
besoin de vous, vous serez rackettés jusqu’au dernier centime.
« En même
temps » en 2024, l’AFD a distribué : 14Mrds !
Dernièrement,
Soumission1er a donné 44 millions aux ‘autorités palestiniennes’ qui ne
sont rien d’autre que le Hamas.
Neuf juges d’extrême gauche ont même
décrété que le statut de réfugié sera automatiquement accordé à tous les
Gazaouis qui en feront la demande.
L’immigration : 3.4% du PIB,
mais il paraît qu’elle « ne coûte pas un euro » aux contribuables !
« En
même temps », le PremierSinistre ose demander des « efforts à tous les
Français », veut supprimer deux jours aux fériés à ceux qui triment,
certains retraités vont perdre jusqu’à 300€, des Français qui ne
payaient pas d’impôts vont y avoir droit, en revanche s’attaquer à la
fraude sociale, hors de question, mais des « efforts » même « aux
malades » : médicaments, c’est pour votre bien, parce que les Français
en consomment trop, franchise médicale, arrêts maladie, ALD, tout y
passe et l’impotent va même recycler les fauteuils roulants des
personnes décédées, voilà, où nous en sommes en France !
Sacrifiez-vous,
Français, pour cet État obèse à l’image du ventre de Bayrou qui
s’engraisse, mais a besoin de vous, pour nourrir la République des
copains, des escrocs, des corrompus en toute impunité.
Sacrifiez-vous,
pour le népotisme de Macronéron qui depuis 2017 recase tous les
parasites toxiques à la société et incompétents crasses, dernier
scandale, via son obligé de Moscovici le cumulard infâme, la Najat et le
Maistre (ARCOM) à la Cour des comptes, coût annuel : 218 millions, pour
rien
. Des fonctionnaires pourraient très bien faire le travail.
Sacrifiez-vous, Français, pour que notre couple royal continue à mener
grand train.
Pour que ManuMilitari entretienne le feu de la guerre, pour
que Narcisse1er puisse faire de belles photos avec les pingouins…
Le
plan pour le budget 2026 est une vaste mascarade…
La colère de « ceux
qui ne sont rien », des Nicolas et finalement d’une grande majorité de
Français est tangible.
Il ne s’agit même plus de détestation, mais de
haine envers l’autre fou toxique de l’Élysée et son ectoplasme de
PremierSinistre.
Ajoutons
à cela que la France est devenue le Far West.
Toutes ces lois votées
depuis 2012 ont rendu notre pays impuissant, au point que des avocats
peuvent attaquer un ministre de la justice qui a fait un transfert de
prisonnier d’une prison à une autre pour « abus de pouvoir ».
Il n’y
a qu’en France que cela existe !
Même un Charles Pasqua, aujourd’hui,
n’y pourrait rien. Plus rien n’est adapté à la société d’aujourd’hui. Il
faut tout reprendre à zéro.
Mais interdiction de critiquer le bilan
catastrophique de Fossoyeur1er.
La dernière folie de Macronéron qui n’a
pas réussi à censurer totalement la liberté d’expression est de chercher
désespérément à contrôler les écrits et voix qu’il estime dérangeants à
son narratif.
Parce qu’il s’en prend plein la tronche, que ses
mensonges éhontés lui reviennent en boomerang, et que sa propagande via
ses officines ne prend plus, alors, via les ‘autorités’ du Macronistan
celles-ci ont ouvert une enquête pénale motivée par des considérations
politiques à l’encontre de la plateforme X, en lien avec, roulements de
tambour : une supposée manipulation de son algorithme et une extraction
frauduleuse de données.
Rien que ça !
La justice française « exige »
un accès à l’algorithme de recommandation de X ainsi qu’aux données en
temps réel des publications, afin qu’elles soient analysées par de
fumeux experts, dont David Chavalarias l’extrême gauchiste du CNRS,
meneur de la campagne HelloquitteX.
Tout est dit.
Tout puissant : le
Conseil constitutionnel, le Conseil d’État, le Syndicat de la
Magistrature, la LDH et consorts sont devenus les arbitres de notre
société, un véritable contrepouvoir nocif dont le seul responsable est
le zombie de l’Élysée : idéologie d’extrême gauche qui détruit notre
pays, notre civilisation, notre culture, etc.
C’est le
‘progressisme’ de celui qui ne maîtrise rien, dont c’était le
« projéééééééé ! »
Il n’y a plus de bon sens, de pragmatisme, de
réalisme, etc.
Les fous s’en donnent à cœur joie, dans une inversion
totale.
Manu1er joue au président du monde pour faire oublier qu’il
n’est plus le président de grand-chose. Encore moins de deux ans, comme
ça ?
Le règne de Cinglé1er a fait de la France un asile psychiatrique à ciel ouvert !
Par Nanouche
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| ALERTE INFO>
Révélation explosive : Des documents saisis à Gaza révèlent des contacts secrets entre la France et le Hamas à Doha.
Cette réunion aurait rassemblé deux poids lourds du Hamas : Khaled Mechaal et Moussa Abou Marzouk.
Au cœur de ces allégations figure une réunion qui se serait tenue dans l'émirat du Qatar le 16 octobre 2020 avec l’aval explicite de l’Élysée.
Ce qu’il aurait déclaré ?
Officiel. Diplomatique. Glacial.
« Je me réjouis de cette réunion.
J’y viens après l’approbation du président Macron.
Nous ne souhaitons pas seulement discuter avec l’Autorité palestinienne, mais aussi avec vous.
Nous, les Français, sommes historiquement proches du combat palestinien. »
Réponse du Hamas : « Même si la communauté internationale soutient l’entité sioniste, soyez sûrs que nous la vaincrons.
Notre résistance dure depuis un siècle, et nous continuerons jusqu’à la victoire. »
Traduction : le Hamas parle déjà en héritier des pogroms de 1920.
Interrogé, un diplomate français dément et qualifie ces propos de « purement diffamatoires » sans toutefois nier la rencontre.
Mais les documents saisies a Gaza accablent la diplomatie française et l’Elysée.
Le plus grave ? Cette réunion aurait eu lieu trois ans avant le 7 octobre.
Et la phrase du représentant français trahit un alignement idéologique, pas une simple ouverture diplomatique.
Si confirmé, c’est un scandale d’État : Macron aurait ouvert un canal avec un groupe antisémite, islamiste, classé terroriste par l’UE , les Etats-Unis et Israel au nom de la France
La France a-t-elle pactisé avec les barbares du 7 octobre?
Une audition publique s’impose.
Une explication claire du Président est attendue.
Un désaveu total doit être formulé.
Parce que dialoguer avec le Hamas n’est pas un acte neutre.
C’est légitimer une complicité idéologique de mort et de trahison envers un allié stratégique.
Appel au blocage du 10 septembre, prudence : à peine lancé, déjà récupéré
Synthèse nationale
L’appel a été lancé aux alentours du 14 juillet par un groupe d’internautes anonymes.
Il s’adresse à ceux qui font « tourner » la « machine », aux « invisibles pressés comme des citrons », aux « vaches à lait » qui sont « à sec » et « qui en ont plein le dos ».
Il leur enjoint de faire preuve de solidarité et de se retirer, tous
ensemble, sur l’Aventin, à partir du 10 septembre.
Plus de travail, de
paiements, de consommation : un « arrêt total et illimité » !
Clairement,
cet appel est une nouvelle, sympathique (mais désespérée ?) tentative
de réveil d’un peuple qui étouffe sous la chape de plomb de l’establishment politico-médiatique, dans la lignée des Gilets jaunes de 2018 et du ras-le-bol fiscal actuel matérialisé par l’expression « C’est Nicolas qui paie ».
Mais
déjà, comme pour les Gilets jaunes, la gauche et l’extrême gauche sont à
en embuscade.
On connaît leurs capacités de réaction et de récupération
- nous l'avons constaté récemment à Morlaix (29) lors de la manif
contre les éoliennes -.
Elles sont en train de nous en donner une
nouvelle illustration.
Depuis quelque temps, en effet, sur l’appel
originel viennent se greffer des initiatives parasites issues
manifestement des mouvances Mélanchoniste, trotskiste et libertaire.
Le
vocabulaire qui y a cours indique clairement la sensibilité et les
intentions de leurs auteurs.
Alors
que la France a besoin de moins d’administration, de normes, de
prélèvements obligatoires, d’assistanat et de plus de liberté,
d’initiatives, d’activité, de travail, ces nouveaux appels dénoncent « l’austérité Bayrou », les « injustices », « la suppression de milliers de postes publics » et de « deux jours fériés », le « gel des retraites », des « coupes massives dans la santé »...
Ils parlent de « mobilisation générale », d’une « autre politique : solidaire, juste et humaine
».
Bref, ils ne réclament pas la fin de l’ankylose socialiste actuelle
mais son maintien, voire son renforcement.
Il ne s’agit pas de faire
tomber l’URSS mais de la sauver !
Aussi
ne pouvons-nous que suivre avec circonspection les développements de
cette affaire.
Attendre et voir, si tant est qu’il y ait, en fin de
compte, quelque chose à voir. "Chat échaudé craint l’eau froide" !
Dans
une tribune publiée ce 26 juillet sur le Figaro, le directeur du
département opinion et stratégies d’entreprise de l’Ifop, Jérôme
Fourquet, note que l’usage des mortiers d’artifice change notablement la
donne lors des affrontements entre racailles et forces de l’ordre :
« Sur
le plan des violences urbaines, pas une semaine ne se passe sans que
des faits graves ne se déroulent dans une cité de région parisienne ou
jusqu’à désormais dans des villes moyennes comme récemment à Nîmes,
Limoges, Charleville-Mézières ou bien Béziers. »
« Les
mortiers d’artifices, qui étaient encore très peu présents lors des
émeutes de 2005, sont aujourd’hui massivement employés par les émeutiers
et leur permettent de rééquilibrer partiellement le rapport de force
vis-à-vis des policiers et gendarmes, qui ne sont plus les seuls à
posséder des projectiles précis et d’assez longue portée (LBD et gaz
lacrymogènes). »
« Ces tirs
de mortiers d’artifice font désormais partie de la panoplie de base des
émeutiers et de la scénographie de chaque épisode d’affrontement avec
les forces de l’ordre.
Laurent Nunez, préfet de police de Paris,
indiquait ainsi récemment que plus de 11 000 de ces engins
pyrotechniques avaient été saisis par ses services lors d’opérations
dans les jours ayant précédé le 14 juillet. »
«
L’utilisation s’est massifiée durant les émeutes de l’été 2023,
consécutives à la mort du jeune Nahel.
Durant ces événements, un nombre
considérable de mortiers ont été tirés partout en France.
Certains
émeutiers avaient sans doute commandé eux-mêmes ces engins sur internet
(leur vente en magasins étant encadrée depuis quelques années), mais le
fait que les mortiers aient été tirés en si grand nombre dès le début
des émeutes tend à prouver que des stocks existaient, ce qui suppose une
organisation et une logistique.
À l’appui de cette thèse, des véhicules
venant approvisionner les groupes d’émeutiers en pleine action face aux
forces de l’ordre ont pu être observés dans plusieurs quartiers.
De la
même façon, des services d’investigation ont intercepté des camionnettes
transportant plusieurs centaines de kilos de ces matériels
pyrotechniques lors des émeutes de 2023.
Les moyens financiers
nécessaires pour se procurer de tels volumes de mortiers et pour
organiser ensuite leur stockage et leur distribution ne sont pas à la
portée des premiers venus.
Dans de nombreux quartiers, ce sont des
réseaux criminels, souvent en lien avec le trafic de drogue, qui ont
approvisionné et supervisé les jeunes émeutiers. »
«
Au lendemain des nuits les plus chaudes des émeutes de l’été 2023, de
nombreux policiers ont indiqué « qu’ils avaient ramassé » [c’est-à-dire
qu’ils avaient subi une lourde pression] du fait de l’intensité des tirs
qu’ils avaient essuyés et que le degré de violence auquel ils avaient
été exposés était sans commune mesure par rapport à ce qu’ils avaient
vécu en 2005.
Le recours massif aux mortiers a, en effet, changé la
physionomie des violences urbaines par rapport aux émeutes de 2005.
Ces
armes permettent de viser plus précisément les membres des forces de
l’ordre qu’avec des pierres et avec une bien meilleure allonge, leur
portée pouvant aller jusqu’à 150 mètres, contre seulement une trentaine
de mètres pour un jet de pierre et un peu moins pour un cocktail
Molotov.
Leur prix et leur accessibilité sur internet rendent possible
un usage massif de ces projectiles et de soumettre ainsi policiers et
gendarmes à un véritable feu roulant, les obligeant régulièrement à se
replier, quand l’intensité de ces tirs se fait trop forte.
La puissance
de ces armes (qui peuvent atteindre une vitesse de 80 à 100 km/h) peut
par ailleurs provoquer des blessures graves. »
« Ces
projectiles, à l’effet spectaculaire mais également dangereux,
permettent de rendre les guets-apens tendus dans les quartiers sensibles
contre les forces de l’ordre ou les pompiers, plus difficiles à
maîtriser pour les représentants de l’État que par le passé.
Ce faisant,
ces mortiers participent à la stratégie de contrôle du territoire, mise
en place par les bandes criminelles, qui entendent progressivement
interdire l’accès de leurs quartiers aux forces de l’ordre.
Mais ainsi
équipés, les émeutiers et les dealers qui les encadrent, s’enhardissent
et n’hésitent plus à attaquer des commissariats, fait assez rare il y a
20 ans, mais aujourd’hui assez fréquent.
273 commissariats,
commissariats annexes ou gendarmeries furent ainsi attaqués durant les
émeutes de l’été 2023.
Plus récemment, c’est le commissariat de
Compiègne, dans l’Oise, qui a subi dans la nuit 18 au 19 juillet une
attaque au cours de laquelle une trentaine d’individus ont tiré 40
mortiers vers la façade.
Cette « opération » était manifestement une
action de représailles suite à des coups de filets anti-stups menés au
cours des semaines précédentes dans le quartier du Clos-des-Roses, connu
pour ses points de deal. »
«
Les mortiers d’artifice s’inscrivent ainsi dans le processus de
structuration des réseaux criminels (via l’achat groupé, le stockage et
l’usage massif et coordonné de ces armes lors des affrontements avec les
forces de l’ordre), mais aussi dans leur aguerrissement et leur montée
en puissance pour disputer à l’État son « monopole de l’exercice de la
violence physique légitime » pour reprendre l’expression célèbre de Max
Weber.
C’est face à cette réalité que le ministre de l’Intérieur a
récemment indiqué vouloir renforcer, comme ses prédécesseurs l’avaient
déjà fait avant lui sans trop de résultats, les sanctions contre les
vendeurs et les utilisateurs de ces mortiers, devenus l’emblème des
violences urbaines dans une France métamorphosée. »
Cet
article pose implicitement – en se gardant bien de l’aborder – la
question de l’utilisation des armes à feu par les forces de l’ordre.
Face à des racailles organisées qui préparent la guerre et veulent tuer
du flic, l’État français envoie ses policiers au massacre, leur
interdisant d’exercer la violence légitime nécessaire pour que force
reste à la loi.
Retailleau doit donner l’ordre de tirer.
En 1948, un Jules Moch,
alors ministre socialiste de l’Intérieur, ne s’est pas gêné pour faire
tirer les CRS contre les mineurs grévistes.
On comptera plusieurs
dizaines de morts et des milliers de blessés parmi les mineurs.
ET AUSSI
Retailleau doit donner l’ordre à ses policiers de tirer sur la racaille
Face
à des racailles organisées qui préparent la guerre et veulent tuer du
flic, l’État français envoie ses policiers au massacre, leur
interdisant d’exercer la violence légitime nécessaire pour que force
reste à la loi. Retailleau doit donner l’ordre de tirer ; dans le temps,
un Jules Moch ne se gênait pas quand c’étaient des grévistes. https://www.bvoltaire.fr/limoges-nuit-de-guerilla-urbaine-le-maire-denonce-un-plan-structure/
Les ploucs de Bélâbre ne voulaient pas de clandos, et ont gagné par leur mobilisation. Pas grave,
il suffit de trouver un maire socialaud à côté, et le tour est joué.
Avec la complicité de la préfecture, donc du ministère de l’Intérieur,
donc de Retailleau. Et l’invasion des campagnes repart de plus belle. https://www.bvoltaire.fr/a-argenton-sur-creuse-lagenda-migratoire-va-bon-train-au-nom-de-lintegration/
Un imam nous fait le coup de la condamnation des prières de rue, expliquant que les prières spectacles provocatrices, c’est pas cela l’islam. T’as qu’à croire, y’a Sidi…
Via Benito. Même sous l’Italie de Meloni, les juges de gauche pourrissent la vie du pouvoir.
8 mois après l’acquittement de Matteo Salvini, qu’ils voulaient envoyer
en taule pour 6 ans pour avoir, comme ministre, refusé le débarquement
d’un navire de clandos, un procureur veut relancer le procès et faire
appel.
En
France, se dire mineur isolé donne tous les droits, même quand on a 21
ans, y compris celui de réclamer du halal. Ben voyons ! Comme si souvent le « mineur » se révèle être largement majeur. Allô la Cimade, RESF, Utopia 56, etc., un commentaire ?
Les joies des transports en commun en Île-de-France : baston entre un Noir et un islamique, pratiquement pas de Blancs dans le wagon, et hurlements de primates.
Julien Odoul dénonce la manipulation des gauchos, et explique que cette loi protège nos agriculteurs contre la concurrence déloyale, seule la France interdisant des choses autorisées dans les autres pays européens. https://x.com/JulienOdoul/status/1947177165046362512
POUVOIR ASSASSIN
Le
coup du racisme pour justifier une opération punitive de racailles
contre un restaurateur qui, poignardé, n’a pu compter que sur la
solidarité familiale pour s’en sortir. Effrayant.
Pologne résistante : » Samedi
en Pologne, une centaine de manifestations a ressemblé des dizaines de
milliers de nationalistes afin de dénoncer l’immigration
extra-européenne, clandestine comme légale.
À
cette occasion, Krzysztof Bosak, député et membre du parti
Konfederacja, a exigé la démission du gouvernement Tusk, la fermeture
des frontières ou encore le droit pour les soldats de tirer sur les
personnes traversant illégalement la frontière. »
« Je condamne formellement la présence de Blancs dans les trains. Qu’ils marchent et qu’un sang impur, etc., etc. » (Allah)
Par Danielle Moulins et Jean Sobieski
Source : https://ripostelaique.com
ET AUSSI
Jérôme Fourquet pointe «
Les mortiers d’artifice, l’arme signature d’une guérilla urbaine à la
française ».
Mais, sur le fond, que dire d’un régime qui expose la
France à un tel chaos ?
Des
forces de l’ordre confrontées à des tirs de mortiers d’artifice, à
Nanterre, lors des émeutes de juin 2023. ZAKARIA ABDELKAFI / AFP
« Ces mortiers, devenus l’emblème des violences urbaines dans une France métamorphosée. »
Par Jérôme Fourquet.
COMMENTAIRE – Cette tribune de Jérôme Fourquet est parue dans Le Figaro,
hier, 27 juillet.
Elle traduit en termes factuels l’expansion du
domaine du chaos dans tout le pays et, en contrepoint, l’affaiblissement
d’un Régime de plus en plus insuffisant à garantir la sécurité des
citoyens, forces de l’ordre incluses au premier chef, et à assurer la
vie normale de la communauté nationale, s’il en existe encore une, à
proprement parler.
On nous dira que les hommes sont mauvais, qu’il leur
manque compétence, courage et vertu.
Sans doute. Mais la mise en danger
du Pays et son déclin durent au moins depuis le tout début du siècle
dernier !
Non, décidément, la seule médiocrité des hommes ne suffit pas à
expliquer une chute aussi longue, aussi durable.
Comme aux alentours de
1914, de 1939, de 1958 ou 1968, comme sous la Ve République après De
Gaulle et Pompidou, c’est le Régime lui-même qui est responsable, qu’il
faut donc mettre en cause.
Les circonstances, sans doute, viendront s’en
charger. Et il faudra les y aider !
JSF
TRIBUNE –
Leur diffusion massive traduit une organisation logistique inquiétante à
même de fragiliser le monopole de l’État sur la violence légitime,
estime le directeur du département opinion et stratégies d’entreprise de
l’Ifop.
Jérôme Fourquet est l’auteur de Métamorphoses françaises, Le Seuil , 2024.
Sur le plan des violences urbaines,
pas une semaine ne se passe sans que des faits graves ne se déroulent
dans une cité de région parisienne ou jusqu’à désormais dans des villes
moyennes comme récemment à Nîmes, Limoges, Charleville-Mézières ou bien
Béziers.
Ces violences urbaines constituent un bruit de fond permanent
auquel la société a fini par s’habituer, sans forcément prendre
pleinement conscience de la gravité du problème et des franchissements
de seuils qui se sont produits au cours des dernières années.
Ainsi par
exemple, les mortiers d’artifices,
qui étaient encore très peu présents lors des émeutes de 2005, sont
aujourd’hui massivement employés par les émeutiers et leur permettent de
rééquilibrer partiellement le rapport de force vis-à-vis des policiers
et gendarmes, qui ne sont plus les seuls à posséder des projectiles
précis et d’assez longue portée (LBD et gaz lacrymogènes).
Ces tirs de mortiers d’artifice, font désormais partie de la panoplie
de base des émeutiers et de la scénographie de chaque épisode
d’affrontement avec les forces de l’ordre.
Laurent Nunez, préfet de
police de Paris, indiquait ainsi récemment[1] que plus de 11 000 de ces
engins pyrotechniques avaient été saisis par ses services lors
d’opérations dans les jours ayant précédé le 14 juillet.
2008-2022 : Invention puis banalisation d’une forme nouvelle forme de guérilla urbaine
Le recours à ces objets pyrotechniques comme armes contre les
policiers a commencé à être signalé après les émeutes de 2005, les
forces de l’ordre essuyant à l’époque pour l’essentiel des jets de
pierre ou de bouteilles ou, dans une moindre mesure, de cocktails
molotov (d’un maniement assez difficile).
En juillet 2008, un
commissaire de police sera grièvement blessé à l’œil à
Asnières-sur-Seine par un tir de mortier.
Suite à leur emploi répété à
l’été 2009 en Seine Saint-Denis (avec notamment des nuits d’émeute en
juin 2009 à Tremblay-en-France), Brice Hortefeux, alors ministre de
l’Intérieur, demandera en septembre 2009 que soient interdits à la vente
« tous les mortiers de feux d’artifice ».
La mise en place d’une
législation spécifique signalait, en creux, la propagation déjà avancée
du phénomène sur le territoire et l’aggravation de la situation
sécuritaire.
En décembre 2009, paraissait un décret imposant la
sollicitation d’un agrément préfectoral pour toute utilisation des
mortiers de catégories dites K2 et K3.
Ce décret ne permit pas
d’endiguer le phénomène, qui continua de se banaliser, avec notamment
une attaque en règle aux mortiers d’artifice du commissariat des Ulis
(Essonne) en 2015.
Un policier interviewé un an plus tard en août 2016,
suite à des nuits d’émeutes dans le quartier de la Grande-Borne à Grigny
(Essonne) confirmait le fait que le recours à ces armes devenait
systématique dans ces quartiers : « C’est devenu récurrent, nous y
sommes confrontés à chaque épisode de violence urbaine »[2].
Depuis 2017, la vente de ce matériel est réservée aux seuls
professionnels, mais cette interdiction de la vente aux particuliers est
largement contournée via des achats sur internet ou à
l’étranger.[3]
Les délinquants de cité n’ont manifestement aucun
problème d’approvisionnement et les forces de l’ordre essuient de tels
tirs de manière désormais systématique dans ces quartiers, en région
parisienne comme en province.
Sans dresser la liste exhaustive de ces
attaques, on en a signalé ces dernières années à la cité des Martinets
au Kremlin-Bicêtre en mai 2019, au quartier du Pile à Roubaix en
septembre 2020, contre le commissariat de Champigny-sur-Marne en octobre
2020, à la cité Kercado à Vannes en mai et décembre 2020, à Oyonnax en
octobre 2021, ainsi que dans le quartier de Perseigne à Alençon dans la
nuit du 27 octobre 2021.
Cette nuit de violences faisait suite à une
interpellation de plusieurs dealers.
Illustration de la banalisation et
de la récurrence du recours à ces projectiles partout en France, moins
d’un an après, en septembre 2022, le même quartier alençonnais de
Perseigne était de nouveau le théâtre d’une nuit de violences impliquant
plusieurs dizaines d’individus qui incendièrent 24 véhicules et
tirèrent sur les forces de l’ordre soixante fusées de mortiers selon le
syndicat de police Alliance 61[4].
Signe de l’omniprésence de ces engins dans les cités, ils figurent en
bonne place dans la culture rap.
Le chanteur Rohff a, par exemple,
intitulé en 2021, un de ses morceaux : Mortier qui débute ainsi :
Les œuvres cinématographiques se font également l’écho de
l’inscription de ces objets dans le paysage quotidien des banlieues.
C’est par exemple à coups de mortiers que des adolescents s’en prennent
aux policiers dans la scène finale des Misérables de Ladj Ly, sorti en 2019.
Et dans le film de Romain Gavras, Athena,
diffusé sur Netflix en 2022 et évoquant une cité en proie à des
émeutes, les mortiers d’artifice saturent littéralement l’écran tout le
long du film par leur lumière, leur fumée et leur bruit.
Dénonçant et
redoutant l’influence de ce film sur une partie de la population,
Christian Estrosi, maire de Nice et président de la Métropole Nice Côte
d’Azur, écrivit au préfet des Alpes-Maritimes en novembre 2022 pour
demander l’interdiction de la vente, de la détention et de l’utilisation
des feux d’artifice sur l’ensemble du département jusqu’à après les
fêtes de fin d’année « dont nous savons combien elles sont propices à ce
type de provocation » écrivait l’édile, alors que leur usage se
multipliait dans différents quartiers de Nice[5].
Une intensification de l’usage lors des émeutes de l’été 2023
Si les mortiers étaient donc très présents lors des affrontements
avec les forces de l’ordre dans les banlieues, leur utilisation s’est
encore massifiée durant les émeutes de l’été 2023, consécutives à la
mort du jeune Nahel.
Durant ces évènements, un nombre considérable de
mortiers ont été tirés partout en France.
Certains émeutiers avaient
sans doute commandé eux-mêmes ces engins sur internet (leur vente en
magasins étant encadrée depuis quelques années), mais le fait que les
mortiers aient été tirés en si grand nombre dès le début des émeutes
tend à prouver que des stocks existaient, ce qui suppose une
organisation et une logistique.
À l’appui de cette thèse, des véhicules
venant approvisionner les groupes d’émeutiers en pleine action face aux
forces de l’ordre ont pu être observés dans plusieurs quartiers.
De la
même façon, des services d’investigation ont intercepté des camionnettes
transportant plusieurs centaines de kilos de ces matériels
pyrotechniques[6] lors des émeutes de 2023.
Les moyens financiers
nécessaires pour se procurer de tels volumes de mortiers et pour
organiser ensuite leur stockage et leur distribution ne sont pas à la
portée des premiers venus.
Dans de nombreux quartiers, ce sont des
réseaux criminels, souvent en lien avec le trafic de drogue, qui ont
approvisionné et supervisé les jeunes émeutiers[7].
Et si certains de
ces jeunes disposaient d’un habitus de caillasseurs, car ayant déjà
participé à des épisodes de violences urbaines, ils étaient généralement
encadrés par des individus plus aguerris, qui menaient le bal comme
l’illustre par exemple cette scène racontée par un journaliste de France Bleu couvrant les émeutes dans le quartier des Champs-Plaisants à Sens :
Les jeunes étaient au moins une cinquantaine, peut-être plus, la
plupart à visage découvert.
Ils laissent les policiers avancer à pied,
en ligne avec casques et boucliers, avant de multiplier les tirs de
mortier à l’horizontale dans leur direction.
« Restez groupés, renvoyez
la lacrimo, allumez-les », on entend clairement certains, à la voix
grave, donner des directives aux casseurs[8] .
Un changement de la physionomie des émeutes
Au lendemain des nuits les plus chaudes des émeutes de l’été 2023, de
nombreux policiers ont indiqué « qu’ils avaient ramassé » [c’est-à-dire
qu’ils avaient subi une lourde pression] du fait de l’intensité des
tirs qu’ils avaient essuyés[9] et que le degré de violence auquel ils
avaient été exposés était sans commune mesure par rapport à ce qu’ils
avaient vécu en 2005.
Le recours massif aux mortiers a, en effet, changé
la physionomie des violences urbaines par rapport aux émeutes de 2005.
Ces armes permettent de viser plus précisément les membres des forces de
l’ordre qu’avec des pierres et avec une bien meilleure allonge, leur
portée pouvant aller jusqu’à 150 mètres, contre seulement une trentaine
de mètres pour un jet de pierre et un peu moins pour un cocktail
molotov.
Leur prix et leur accessibilité sur internet rendent possible
un usage massif de ces projectiles et de soumettre ainsi policiers et
gendarmes à un véritable feu roulant, les obligeant régulièrement à se
replier, quand l’intensité de ces tirs se fait trop forte.
La puissance
de ces armes (qui peuvent atteindre une vitesse de 80 à 100 km/h) peut
par ailleurs provoquer des blessures graves.
Ces projectiles, à l’effet spectaculaire mais également dangereux,
permettent de rendre les guets-apens tendus dans les quartiers sensibles
contre les forces de l’ordre ou les pompiers, plus difficiles à
maîtriser pour les représentants de l’État que par le passé.
Ce faisant,
ces mortiers participent à la stratégie de contrôle du territoire, mise
en place par les bandes criminelles, qui entendent progressivement
interdire l’accès de leurs quartiers aux forces de l’ordre.
Mais ainsi
équipés, les émeutiers et les dealers qui les encadrent, s’enhardissent
et n’hésitent plus à attaquer des commissariats, fait assez rare il y a
20 ans, mais aujourd’hui assez fréquent. 273 commissariats,
commissariats annexes ou gendarmeries furent ainsi attaqués durant les
émeutes de l’été 2023.
Plus récemment, c’est le commissariat de
Compiègne, dans l’Oise, qui a subi dans la nuit 18 au 19 juillet une
attaque au cours de laquelle une trentaine d’individus ont tiré 40
mortiers vers la façade[10].
Cette « opération » était manifestement une
action de représailles suite à des coups de filets anti-stups menés au
cours des semaines précédentes dans le quartier du Clos-des-Roses, connu
pour ses points de deal.
Les mortiers d’artifice s’inscrivent ainsi dans le processus de
structuration des réseaux criminels (via l’achat groupé, le stockage et
l’usage massif et coordonné de ces armes lors des affrontements avec les
forces de l’ordre), mais aussi dans leur aguerrissement et leur montée
en puissance pour disputer à l’État ,son « monopole de l’exercice de la
violence physique légitime » pour reprendre l’expression célèbre de Max
Weber.
C’est face à cette réalité que le ministre de l’Intérieur a
récemment indiqué vouloir renforcer, comme ses prédécesseurs l’avaient
déjà fait avant lui sans trop de résultats, les sanctions contre les
vendeurs et les utilisateurs de ces mortiers, devenus l’emblème des
violences urbaines dans une France métamorphosée. ■