TRIBUNES LIBRES !
Comment un juge peut-il remettre en liberté l’assassin d’une enfant de 7 ans ?
Depuis 15 jours en France, nous subissons une débauche de meurtres qui comme d’habitude resteront impunis, ou bien trop peu punis.
Pendant ce temps-là, le ministre démissionnaire de la Justice, Ducon-Moretti, est bizarrement introuvable et brille par son silence assourdissant, à moins qu’il ne soit bien trop préoccupé à jouer au baby-foot avec les détenus.
Nous sommes dans un pays où l’on marche sur la tête.
Comment un juge peut-il remettre en liberté un mec qui par sa bêtise a tué une gamine de 7 ans ?
Ce juge doit immédiatement être démis de ses fonctions et incarcéré. Désormais, si vous êtes africain avec ou sans papiers, que vous rentriez en France légalement ou illégalement, tout vous est octroyé : aides sociales bien que vous n’ayez jamais cotisé, et on vous loge gratuitement et prioritairement.
Et à partir de ce moment-là, vous avez tous les droits.
Droit de faire du trafic de drogue, de poignarder, de décapiter, de violer, de foncer sur les flics qui tentent de vous arrêter, de faire de la roue arrière et de tuer une gamine de 7 ans, et de procéder à toute forme de violence dans la plus grande impunité, et sans que la justice ne réprime vos crimes à leur juste hauteur !
Par contre si vous avez le malheur de rouler à 180 km/h sur l’autoroute, là vous êtes considéré comme un criminel en puissance, on vous pique votre permis et on vous confisque votre voiture.
Et vous aurez droit à un sermon tentant de vous culpabiliser de la part des connards qui vous auront arrêté, étant bêtement persuadés que ce qu’on leur a inculqué comme quoi les automobilistes étaient des assassins était la stricte vérité.
Il est vrai qu’il est bien moins dangereux et surtout bien plus rentable de piquer le pognon des automobilistes que d’arrêter les racailles qui refusent d’obtempérer, qui se moquent ouvertement de la police qui, elle, craint d’ouvrir le feu sur ces salopards, de peur d’être emmerdée comme l’a été ce valeureux motard qui a descendu cette racaille de Nahel.
S’il y avait bien plus systématiquement d’autres Nahel, croyez-moi les candidats au suicide diminueraient, mais là, comme ils savent qu’ils ne risquent rien, ils en profitent.
Et puis ils trouveront toujours un baveux véreux pour les faire passer pour débiles mentaux.
Il n’y a que des connards du style Merluchon, Panot, Rousseau pour prendre la défense de ces soi-disant victimes, et il n’y a pas de hasard.
Bizarrement ils sont tous de cette gauche pourrie jusqu’à la moelle, traîtres à la France et aux Français, qui pourtant comme des veaux sur les conseils de nos merdias largement financés par le pouvoir ont récemment voté pour ce panier de cette pègre des bas-fonds de la société française !
Je pense sincèrement qu’il est grand temps de licencier tous ces magistrats gauchos pour qu’ils aillent vendre des frites ou faire des ménages, de réformer en profondeur cette pseudo-école de la magistrature pour former des gens qui non seulement connaissent le droit, mais qui réagissent avec leurs tripes et leur intelligence, et qu’on soit en droit de leur demander des comptes.
Qu’ils soient contraints lorsqu’ils rendent une décision de décliner leur identité sinon un jour, que j’espère prochain, les Français rendront leur propre justice eux-mêmes, car cela devient irrespirable tellement c’est devenu nauséabond !
Pendant ce temps-là, le connard qui nous sert de président de la République a du mal à trouver un Premier ministre.
Exit apparemment Lucie Castets qui a un programme démoniaque.
Reste le co-meurtrier Alzheimer Cazevide ou le looser de la République qui ne sait même pas gérer la région des Hauts-de-France, Xavier Bertrand.
En bref dans ce pays de 67 millions d’habitants, on est incapable de trouver des gens compétents et intelligents pour diriger la France… et on se moquait de la gueule des Belges qui sont restés sans gouvernement un an.
On n’est guère mieux, bien au contraire, car apparemment, quel que soit l’heureux élu, il ne le sera que très peu de temps puisqu’il devra faire face à une motion de censure. Remarquez, on risque de ce fait de changer de gouvernement tous les 15 jours.
Une question me taraude : combien de temps faut-il être ministre pour avoir droit à la retraite de ministre ?
Car cela risque de nous en faire un paquet à payer une fois l’âge de la retraite arrivée. Je plaisante, mais en réalité je suis triste, triste de voir ce qu’est devenu mon pays avec 50 années d’incompétence, de complicité avec les migrants au détriment des Français, d’islamisation sans qu’aucun dirigeant ne s’inquiète.
La seule chose qui les inquiète, c’est leur réélection, leur avenir personnel. La France et les Français, ils s’en foutent. Ils devraient tous passer devant une sorte de Cour martiale pour haute trahison et être embastillés…
Martine la pochtronne de Lille doit désormais être contente. Elle qui en avait marre de ne voir que des têtes blondes a gagné : non seulement à Lille il n’y a presque plus de vrais Français mais sa ville est classée comme la plus dangereuse de France devant Saint-Denis et Marseille ! Elle aussi devrait être embastillée !
Enfin je ne peux pas terminer cet article sans parler de l’église de Saint-Omer qui a été incendiée comme Notre-Dame à Paris. Curieusement les mosquées, elles, ne brûlent jamais…
Par Patrick Jardin
ET AUSSI
Vallauris : Nabil Boudi, l’avocat des parents de Kamilya, ose accuser la Mairie
Vallauris : le passage protégé où s’est produit le drame
Dans une interview qu’il a donné au Figaro, Me Nabil Boudi, l’avocat de la famille de la petite Kamilya, pointe la responsabilité de la mairie et/ou du département dans l’ « accident » qui a coûté la vie à la fillette : « aucune mesure n’a été prise (radars, feux, ralentissements, contrôles de police) pour réduire la dangerosité et le caractère accidentogène de cette rue » :
« Tous les Vallauriens et Vallauriennes s’exaspèrent depuis des décennies de la dangerosité de cette route-là.
Un des sujets, d’un point de vue de la famille et de l’avocat qui la représente, est qu’aucune mesure n’a été prise (radars, feux, ralentissements, contrôles de police) pour réduire la dangerosité et le caractère accidentogène de cette rue. Au contraire : des places de stationnement payant ont été installées sur cette avenue qui était déjà problématique. »
« Des places de stationnement se trouvent à l’endroit où la jeune fille a été fauchée. Elles sont à la limite du passage piéton et la visibilité est donc très compliquée pour les piétons qui doivent redoubler de vigilance quand ils traversent.
Il y a quelques semaines, des voisins de la famille ont été percutés sur ce même passage. Un enfant a failli y perdre la vie deux ans auparavant. Aujourd’hui, il a des broches dans les jambes. »
« Le sentiment qui anime toute la ville de Vallauris est que la sécurité des riverains a été abandonnée au détriment de profits réalisés grâce à ces stationnements.
On parle de responsabilité des élus locaux, notamment celle du maire, qui est responsable de la ville, mais aussi de la préfecture, car c’est une route départementale. L’enquête doit chercher à savoir si, à travers une forme d’abstinence, la responsabilité des élus ne peut pas être également engagée. »
« Cela ne remet pas en cause la responsabilité du motard. » conclut néanmoins l’avocat, qui précise : « sans minimiser la responsabilité du conducteur, il peut y avoir un cumul de responsabilité pénale. »
Pour amadouer la communauté à laquelle appartient le motard, il n’est donc pas exclu de faire porter une partie du chapeau à la mairie et/ou au département.
Les raisons ne manqueront pas : le passage piéton est-il annoncé ? Est-il signalé par des avertisseurs lumineux ?
Est-il précédé d’un ralentisseur ? Les bandes blanches se voient-elles suffisamment ? Cette départementale traversante est-elle à 30 ou à 50 km/h. Les rondes de police sont-elles assez fréquentes ? Etc.
On remarquera que l’avocat consacre l’essentiel de son interview à parler de la « dangerosité » de la rue, alors qu’il aurait pu également parler des fléaux que sont les rodéos urbains.
Me Boudi a manqué de faire ses cinq minutes de pédagogie…
Avec cette vidéo :
Chacun se fera sa propre opinion sur la visibilité de ce passage piéton pour un véhicule roulant raisonnablement.
On rappellera que le motard circulait à pleine vitesse en mode rodéo et sur la partie gauche de la rue (il doublait une file de voitures sans se soucier des piétons qui allaient emprunter le passage protégé)
Dans une interview à BFMTV peu après le drame (cf. vidéo supra), le maire LR de Vallauris consacre plus de la moitié de son temps de parole à expliquer qu’il ne s’agit pas d’un rodéo, pas d’amalgame, qu’il ne faut pas tout mélanger, qu’il s’agit d’un individu isolé ayant un comportement irresponsable, et même criminel.
On laissera à l’élu à ses subtilités langagières.
On sent que le sujet est sensible. Le maire marche sur des œufs et l’avocat de la famille allume un contre-feu. Craintes d’une émeute ?…
Le choix par les parents d’un avocat issu de la “communauté” vallaurienne va-t-il dans le même sens de la “prudence” ? Ce choix a-t-il été imposé aux parents ?
(À noter que Me Boudi est également l’avocat de la mère de Nahel. Mais c’est sans doute un hasard !)
Par Henri Dubost
ET AUSSI : HUMOUR ET DÉRISION
Rodéos urbains, ne jetons pas en prison de pauvres jeunes qui s’ennuient
Attention, sketch d’humour noir.
La scène se passe dans un tribunal.
Un jeune motard qui a écrasé et tué une petite fille lors d’un rodéo urbain passe devant la juge qui doit décider de son sort.
Comme le font systématiquement nos merveilleux journalistes, dans ce texte nous changerons également le prénom de la racaille a moto qui a causé l’accident pour, bien sûr, ne pas faire le jeu de l’eSStrême drouââte. Ainsi, le prénom du jeune Mohammed sera changé en… Matéo.
Et son âge, 19 ans, sera changé par l’emploi du mot « jeune ». Afin que le public puisse continuer à croire qu’il est mineur, ce qui engendrera plus de compassion et d’empathie à son égard. Merci
L’avocat : Mon client est profondément choqué, Madame le juge.
La juge (impressionnée) : Je vois ça… il est en pleurs.
L’avocat : Et quand je dis « choqué » le mot est faible, je devrais plutôt dire « traumatisé » par ce dramatique accident.
La juge : Je vois que cet accident te touche profondément, mon petit ?
Matéo : Ben oui, je suis dévasté par les conséquences…
La juge : Oui, la mort de cette petite fille de sept ans.
Matéo (en pleurs) : C’est surtout la mort de ma moto, oui !
L’avocat : L’émotion lui fait perdre la raison, Madame le juge, il est également profondément attristé par la mort de cette petite fille qu’il a écrasée.
Pardon, je voulais dire « pas lui », mais que « sa moto » a écrasé… Petite fille qui n’a sûrement pas regardé avant de traverser la route d’ailleurs, sinon elle serait toujours en vie, faut-il rappeler son immense responsabilité ?
La juge : Ici, nous voyons toutes zé tous qu’effectivement Mohammed est profondément affecté par cette perte. Et souffre énormément.
Matéo : C’est vrai, putain… je souffre énormément par cette perte… Ma moto… merde… Snif, snif.
L’avocat : Raison pour laquelle, Madame le juge, et je vous le demande avec humanité, n’ajoutons pas du malheur au malheur en incarcérant mon client, ce pauvre jeune homme, heu… ce pauvre garçon je voulais dire, qui lui aussi est « victime » dans cette affaire, ne l’oublions pas.
La juge : Oui, effectivement.
L’avocat : Une éminente chercheuse au CNRS, Isabelle Veyrat-Masson, dont personne ne peut remettre en question le jugement professionnel de haute qualité, nous parle du film West Side Story pour évoquer le comportement de ces jeunes, Madame le juge, parce que ces jeunes s’ennuient, tout simplement. Donc mon client est en réalité, ici, une « double victime ».
La juge : Si cette grande et remarquable chercheuse le dit… c’est que c’est terrible, en effet.
L’avocat : De plus, osons dire les choses, Madame le juge… incarcérer mon client équivaudrait à céder à la pression fasciste d’extrême drouââte qui s’est sordidement emparée de ce… simple fait divers… sans importance.
La juge : Cette récupération fascisante est extrêmement malaisante, je vous l’accorde bien volontiers, Maître.
L’avocat : Ce tribunal doit-il rendre une décision en restant libre et indépendant ? Ou doit-il céder aux mortifères et nauséabondes pulsions populistes, je vous le demande ?
La juge : Rassurez-vous, ce tribunal ne cédera jamais devant des revendications fascistes exigeant ignominieusement justice et équité pour tout le monde, Maître. Raisons pour lesquelles ce tribunal n’a jamais envoyé en prison aucun délinquant ni aucun criminel !!!
L’avocat : Aussi, pour permettre à mon malheureux client de se remettre de ses émotions, je crois qu’un peu de vacances au vert, à la campagne, lui feraient le plus grand bien. Lui, le pauvre, qui n’a jamais connu que la laideur grise, morne et monotone des HLM délabrés de sa cité ; cité laissée à l’abandon par des pouvoirs publics racistes et démissionnaires.
La juge : Effectivement… je vois que votre client… est tellement traumatisé par la vie… et tellement choqué après son terrible accident… qu’un « stage poney » à la campagne lui fera le plus grand bien !
L’avocat : Mon client étant sans emploi, dû, bien sûr au racisme systémique qui sévit en France, il est sans moyens financiers. Aussi serait-il peut-être judicieux que notre collectivité islamophobe assume ses responsabilités en finançant son stage.
La juge : Cela va de soi. Il était inutile de le préciser, Maître.
L’avocat : Merci, madame le juge.
La juge : Sèche tes larmes mon petit Mohammed, en attendant ton procès tu resteras libre. Et tu n’iras pas en prison.
Matéo : Merci, Madame la juge.
La juge : C’est la moindre des choses, Mohammed, on n’allait quand même pas mettre en prison un jeune qui fait « des bêtises » parce qu’il s’ennuie.
Matéo : Et ma moto, on va me la rembourser ?
La juge : Ah ça… je… écoute… on va voir ce qu’on peut faire.
Matéo : Merci, Madame la juge.
La juge : Oh il n’y a pas de quoi, Mohammed. La société te doit bien ça, après tout le mal qu’elle t’a fait.
FIN
Souvenez-vous, la chercheuse au CNRS, Isabelle Veyrat-Masson, avait déjà amoindri et édulcoré les faits de Crépol avec l’assassinat de Thomas en comparant le plus simplement du monde la situation avec Roméo et Juliette. Ici elle récidive brillamment en évoquant West Side Story !!! pour évoquer la mort horrible d’une petite fille de sept ans tuée, écrasée par un chauffard.
Je lui avance quelques arguments pour étayer ses futurs propos dans de prochaines affaires.
Lors de l’affaire du taré qui a drogué sa femme, pour qu’une fois endormie il la fasse violer par des inconnus (plus de 51 hommes au fil des années) elle n’aura qu’à dire que c’est simplement comme dans La Belle au bois dormant. Puisque dans le roman original, le prince n’embrasse pas la belle endormie, mais lui écarte les jambes et la viole !! Pour de vrai.
Et à la prochaine arrestation d’un proxénète, elle n’aura qu’à dire qu’un homme qui vit avec une prostituée n’est pas un proxénète… mais un client amoureux… Comme Richard Gere et Julia Roberts dans Pretty woman.
Quant aux trafiquants de drogue qui s’entretuent régulièrement à la kalachnikov et terrorisent notre société, elle n’aura qu’à dire que ce sont en fait de gentils garçons, un peu comme Gérard Lanvin et Jacques Villeret dans Les frères pétards.
Bref, comme tout le monde je suis rassuré de voir que mes impôts ne sont pas dilapidés en futilité pour payer des escrocs bons à rien.
Car avec elle, cette brillante chercheuse sûrement mondialement reconnue, je sais que nos impôts sont bien utilisés !!!
Continuer à financer ses recherches est colossalement utile à notre société ; qui ne s’en portera que mieux, nous en sommes convaincu.e.s.
Stéphane Fatrov
Auteur humoristique
Source et Publication : https://ripostelaique.com/rodeos-urbains
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