jeudi 5 septembre 2024

C' EST EN BRETAGNE ! CES ASSOCIATIONS PRO-CLANDESTINS QUI NOUS POURRISSENT LA VIE ......






Sécurité en Ille-et-Vilaine : La lutte contre la délinquance, priorité du préfet ?


À l’occasion de la rentrée 2024, Philippe Gustin, préfet d’Ille-et-Vilaine, a présenté ses grandes priorités pour le département.

 Si l’accès au logement, le dynamisme économique ou la lutte contre les algues vertes figurent dans ses objectifs, la sécurité reste un enjeu majeur. 

Trafic de drogue, cambriolages et délinquance routière sont autant de défis auxquels le préfet veut s’attaquer avec fermeté

Autant dire qu’il y a du boulot vu l’explosion de la délinquance dans le département, et pas uniquement à Rennes.

Tout d’abord, il faut noter que les agressions à coup de couteau ou/et à caractère sexuel sont en hausse. 

Des règlements de compte avec armes blanches ou à feu explosent pour des raisons d’ailleurs qui sont parfois bénignes.

 Une tendance particulièrement inquiétante.

 

Rennes : une lutte continue contre le trafic de drogue

A Rennes, les opérations menées, entre avril et mai 2024 sous l’appellation « Place nette », ont permis de réaliser 141 interpellations et de saisir une importante quantité de drogue, notamment 19 kilos de cannabis et 1,6 kilo d’héroïne.

 Sans doute un grain de sable dans la quantité du trafic local – il faudrait néanmoins voir ce qu’on donné les suites judiciaires car c’est souvent là que ça blesse.

 

Hausse des cambriolages : une réponse nécessaire

Outre le trafic de drogue, une autre problématique majeure concerne la montée des cambriolages dans le département. 

Depuis janvier 2024, les zones sous la surveillance de la gendarmerie ont vu une augmentation de 30 % du nombre de cambriolages. 

Le phénomène touche également Rennes, avec environ vingt cambriolages recensés chaque mois.

La majorité des auteurs de ces délits sont des individus jeunes, souvent d’origine étrangère, notamment géorgienne.

 Là encore, si la Justice n’expulse pas, et ne sanctionne pas, difficile de ne faire autre chose que des annonces.

 

Faux mineurs chez les migrants et pression des associations

En parlant d’étrangers, le Préfet a récemment été interpellé par des élus de gauche de la ville de Rennes au sujet de l’hébergement d’urgence, désormais prête nom pour l’hébergement de migrants car de moins en moins d’autochtones y ont accès.

 Il a néanmoins mis les choses au clair : 120 personnes, dont 20 enfants, sont à la rue aujourd’hui, en majorité des Géorgiens plusieurs fois déboutés du droit d’asile, et qui doivent retourner dans leur pays. 

 Il a par ailleurs pointé du doigt les faux mineurs parmi les migrants, et notamment une trentaine de jeunes venant d’Afrique de l’Est et d’Afghanistan qui ont été soumis à des tests prouvant qu’ils n’étaient pas mineurs.

Selon Philippe Gustin, la situation des sans-abri, notamment des migrants, est en partie exacerbée par les politiques locales de la ville de Rennes, qui attireraient des personnes venant d’autres régions de France. 

Mais aussi par le tissu associatif et les politiques locales qui favoriseraient l’arrivée de migrants d’autres villes.

Pour le préfet, ce phénomène est amplifié par la manière dont Rennes gère cette situation, en coopérant étroitement avec des associations qui encourageraient cette migration interne vers la ville.

 Il dénonce donc une gestion locale qui, selon lui, alimente les tensions autour de l’hébergement d’urgence.

La question des squats revient également sur la table, notamment à propos d’un squat évacué récemment dans des locaux appartenant à la région Bretagne.

 Philippe Gustin n’a pas hésité à dénoncer les associations qui soutiennent les migrants dans ces situations. 

Il a pointé du doigt 58 Géorgiens, encore une fois déboutés de leur demande d’asile à plusieurs reprises, qui étaient soutenus par des associations.

Le préfet a également fait remarquer que la moitié des personnes hébergées en Ille-et-Vilaine, soit environ 800 individus, ne devraient plus relever du dispositif d’hébergement d’urgence. 

Ce constat souligne la nécessité, selon lui, de mieux gérer les flux de personnes au sein des structures d’accueil, pour éviter que celles qui n’ont plus droit à ces dispositifs ne bloquent l’accès à d’autres en situation critique.

 

Le point sur la sécurité routière

Au 31 août 2024, 30 personnes avaient perdu la vie sur les routes d’Ille-et-Vilaine, contre 24 à la même période l’année précédente. 

Parmi les victimes, on dénombre surtout des motards, piétons et cyclistes, des usagers vulnérables face à des comportements à risques.

 L’accident terrible survenu entre Rennes et Nantes cette semaine, et impliquant des pompiers victimes d’un surracident, en est encore un exemple.

La durée des suspensions de permis devrait être prolongée de deux mois notamment pour les infractions liées à l’alcool, aux stupéfiants ou aux excès de vitesse et de dix mois en cas de récidive.

 Cette mesure s’aligne sur celles en vigueur dans les autres départements bretons.

 

[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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  • Mais, au fond, pourquoi être contre l’immigration de masse?


    Ci-dessous l’excellente analyse d’un Twittos qui publie sous le pseudonyme de Norbert, et que nous reproduisons ci-dessous, au sujet de l’immigration de masse.


    Il est évident que l’immigration contemporaine, composée majoritairement de ressortissants du Tiers-monde, constitue une dégradation de la majorité des aspects de la vie sociale : économie, sécurité, éducation, civisme, hygiène, etc.  

    Mais on pourrait presque dire que ce sont des effets en surface. Nous ne connaitrions pas ces problèmes avec des Japonais ou des Finlandais et, pourtant, il faudrait être tout autant opposé à en faire venir 400k/an. Alors pourquoi? Voici les trois raisons fondamentales, à mon avis, pour lesquelles l’immigration de masse, quelle qu’elle soit, est une catastrophe sociale et civique 

     

    L’immigration de masse mène à un multiculturalisme déshumanisant.

    Le volume et le rythme des arrivées rendent impossible toute intégration ou assimilation. Les immigrés sont si nombreux qu’ils recréent leur sociétés d’origine dans le pays d’accueil et y perpétuent leur culture. C’est le multiculturalisme. 

     Or le multiculturalisme, par définition, suppose l’inexistence d’une culture commune.

     Dans les Etats-Nations européens, cette culture commune existait et, pour faire place au multiculturalisme, il a fallu qu’elle s’évapore.

     Le champ social et l’espace public ne constituent plus un ensemble de signes, de lieux ou de modalités culturelles partagées par tous, mais, ou bien sont neutralisés, ou bien appartiennent à une communauté spécifique, à l’exclusion des autres. En conséquence, l’individu évolue dans un environnement dé-culturé : ou neutre, ou dont il est étranger. Il n’évolue plus au sein du même particularisme que son prochain. 

    La société est désintégrée. L’expérience sociale est appauvrie à l’extrême par cette neutralisation permanente, comme un sol lessivé jusqu’à la roche par l’érosion. Plutôt que d’exprimer une culture, avec ses particularismes, ses spécificités, ses idiosyncrasies, elle n’exprime plus qu’une neutralité désincarnée.

     C’est une annihilation de l’expérience humaine, qui est d’évoluer dans un milieu doté d’une épaisseur culturelle.  

    Le multiculturalisme, conséquence de l’immigration de masse, est donc déshumanisant.

     

    L’immigration de masse sape la cohésion du peuple autochtone.

    Elle la sape pour deux raisons très simples : elle divise le peuple entre pro et anti-immigration

    Plus qu’un sujet de discorde, c’est une opposition frontale, parce que c’est un sujet qui touche à l’essence même du peuple autochtone. elle fait diverger le projet fondamental de société, en proposant une alternative (le multiculturalisme) à la situation existante (l’Etat-Nation). 

    On a pu voir récemment que cette divergence a mené à des oppositions très vives au sein de la société anglaise. L’immigration de masse n’est donc pas un sujet à mettre au même rang que les autres.  

    Ce n’est pas la politique sportive ou la gestion des canaux et écluses.

     C’est un sujet qui touche à ce qui constitue fondamentalement un peuple. Un sujet ontologique, qui trace donc des lignes de fractures essentielles au sein du peuple.

    L’immigration de masse mène à la perte de souveraineté du peuple autochtone.

    L’augmentation du nombre des étrangers, qu’on leur ait accordé ou non la nationalité, mène inéluctablement à la perte de souveraineté du peuple autochtone sur son propre pays. En premier lieu, parce que leur présence introduit dans la politique et la société locales des enjeux qui ne concernent pas le peuple autochtone et ne présentent pas d’intérêt direct pour lui.

     C’est, par exemple, le cas à propos de la situation à Gaza, qui est devenu la problématique principale d’un parti français (LFI), alors même qu’elle n’a pas de conséquence cruciale pour les Français de souche. Ces derniers voient donc leur société et leur politique nationale influencées par des sujets qui ne les concernent pas en tant que peuple. C’est une première dépossession de leur souveraineté. 

    En second lieu, la dynamique d’accroissement démographique des étrangers crée des enclaves étrangères au sein du pays d’accueil. Il est évident qu’on ne peut plus vivre comme Français, en tant que Français, dans un grand nombre de quartiers ou même de communes françaises. 

    Il existe donc une dépossession territoriale. Enfin, et s’il ne devait rester qu’un argument contre l’immigration de masse, ce serait celui-là, c’est une perte de souveraineté politique à terme

     Si les étrangers et leurs alliés autochtones viennent à prendre le pouvoir en raison de la combinaison de leur accroissement démographique et des règles démocratiques, le peuple autochtone historique sera dépossédé de son pouvoir sur ses propres terres. Au-delà du problème éthique évident, la question de son intégrité et de sa survie sera posée, puisque, ne disposant plus du pouvoir, il ne disposera plus des moyens d’assurer sa pérennité et sa sécurité. L’immigration de masse aboutit donc à la mise en danger du peuple autochtone.

    En conclusion de ce fil très dense, mais, je le pense, essentiel, il est fondamental de se rendre compte que l’opposition à l’immigration de masse n’est pas une dérive inhumaine ou une pulsion fasciste.

     C’est au contraire une preuve d’humanisme et de conscience des conditions dans lesquelles la vie, la culture et la démocratie peuvent s’épanouir librement et produire une société meilleure, moins conflictuelle, plus soudée et permettant donc à l’individu de s’épanouir plus librement.

    Pour suivre cet excellent Norbert sur X, c’est ici
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    RENNES : En plein centre, proche de la place des lices, cette nuit vers 1H30, un homme a été poignardé à mort.
     Il avait 38 ans. 
    Notre ville est devenue une zone de guerre. 
    Plus une semaine ne se passe sans des attaques aux couteaux et des tirs d’armes lourdes. 
     
     SOYEZ VIGILANT.
     
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