TRIBUNE LIBRE
Macron humilié par Trump : un sketch qui fait rire le monde entier !
Lors du « Sommet pour la Paix » à Gaza, où l’imposteur Macron, qui n’a jamais si bien mérité ce qualificatif, semble s’être carrément imposé, persuadé sans doute que sa non-invitation officielle n’était due qu’à une erreur administrative… deux anecdotes hilarantes, pour les présents, comme pour les réseaux sociaux qui ne manqueront pas de s’en emparer, ont ciblé notre simili président, le ridiculisant aux yeux du monde entier.
Sa présence en Egypte était indispensable (du moins sa tête enflammée en était persuadée), pour soutenir Donald Trump (défense de rire) dans la mise en œuvre de son accord proposé pour mettre fin à la guerre à Gaza… présence dont manifestement personne n’avait rien à cirer… étant vraisemblablement le seul à n’avoir toujours pas compris qu’à cause de lui, la France n’avait désormais plus aucune importance (ou si peu !) dans les échanges internationaux…
« La France aura un rôle particulier à jouer aux côtés de l’autorité palestinienne », a affirmé Emmanuel Macron à son arrivée.
Mais bien sûr Coco… j’en parlerai à mon cheval !
Sa majesté, totalement disponible… puisque dans son esprit pervers, chez nous c’est la grande paix intérieure, du genre « tout va très bien Madame la Marquise… », ce n’est pas comme s’il y avait le feu à la maison France… y a donc rencontré Donald Trump.
Déjà là, on peut se gausser de leur poignée de main qui a failli tourner au vinaigre…
En effet, pendant plus de 30 secondes, on voit le chef de l’État et son homologue américain se serrer la main avec fermeté, échanger des sourires forcés et regards appuyés. Alors qu’Emmanuel Macron tente de se défaire, Donald Trump continue de lui tenir la main durant de nombreuses secondes. Des images qui ont vivement fait réagir les réseaux sociaux.
« Ce n’est pas une poignée demain ! C’est un bras de fer que gagne Trump pour ridiculiser Macron », « C’est un bras de fer », « J’appelle ça un bras de fer, et ce n’est pas Macron qui a gagné », peut-on par exemple lire sur X.
Mais ce n’est pas tout… comme souvent, un bonheur n’arrive jamais seul ; en l’occurrence, un autre incident volontaire de la part du président américain devait égayer l’assistance quand celui-ci a pris la parole.
Devant un parterre de dirigeants, parmi lesquels le Premier ministre britannique Keir Starmer et la chef du gouvernement italien Giorgia Meloni, le président américain a tout d’abord lancé un « merci beaucoup à la France ».
Puis, repérant son homologue français dans l’assemblée, Donald Trump a poursuivi, ironiquement : « Emmanuel ? J’imaginais qu’il était quelque part derrière moi. Où est-il ?
Je n’arrive pas à y croire, tu te fais discret aujourd’hui ».
Le tout, sous les rires des dirigeants présents derrière lui. Avant d’ajouter : « Aujourd’hui, il est mon ami. C’est super ! Bon travail, merci beaucoup Emmanuel. »
En live, ça donne ça :
https://www.youtube.com/shorts/BcDLqTF5UAI
Chacun son tour… même s’il n’est pas certain qu’il ait bien compris le message !
Quel bonheur !
Celui qui se complaît depuis 2017 à humilier la France et les Français, notamment lorsqu’il est en balade à l’étranger… s’imaginant idolâtré pour ses nombreux cadeaux (avec l’argent des contribuables français !), vient de subir à son tour une véritable humiliation (même déguisée en plaisanterie), en se prenant en pleine tronche la vanne du président Trump, le véritable artisan de cette ébauche de paix (si l’on en juge par la réaction venimeuse et à peine dissimulée des Palestiniens sur le Net !).
Et ce n’est que justice ! Bon nombre de citoyens français se sont sans doute repus de l’interpellation moqueuse, en disant long sur ce que le précieux président américain, quels que soient par ailleurs ses défauts, pense du morpion se prétendant président de la France.
Honnêtement, j’ai bien rigolé de cette boutade pince sans rir», peinant à cacher à qui sait lire entre les lignes le véritable mépris que l’aigle Trump voue au ver de terre Macron… mais cela ne m’empêche pas d’apprécier tout autant, la dent dure d’Arnaud Florac sur Bd Voltaire.
Franchement, cet homme indigne ne nous aura rien épargné.
Se glisser sur la photo finish en Égypte en trottinant derrière Trump comme un chihuahua sous Guronsan® ; espérer avoir l’honneur d’une petite conférence de presse, au bout de la table ; échanger avec le maître de la moitié du monde une avilissante poignée de main ; prendre un air et une voix graves, aussi faux l’un que l’autre, devant des caméras complaisantes ; préparer, à son retour, quelques photos people en essayant de ne pas se faire gifler par son épouse au moment de l’ouverture des portes du Falcon…
Tout cela est aussi tristement connu que parfaitement méprisable.
Et c’est sans compter le fait que le président de la République est, comme son nom l’indique, président d’une République, en l’occurrence la nôtre, et certainement pas un gentilhomme solitaire et désœuvré dont l’élégante itinérance le mènerait de salles d’embarquement en cocktails du bout du monde, de crises géopolitiques en bains de foule solaires.
N’est pas Malko Linge, le héros de SAS, qui veut.
Le monde entier, connait l’actuelle situation de la France où, sous la direction de Macron, elle est la risée de tous, via la dégradante comédie qui s’est jouée ces dernières semaines, pour aboutir à un gouvernement Lecornu II, déjà si peu viable avant même d’avoir commencé à bosser ; chacun a donc pu s’étonner qu’un président, dont la présence n’était absolument pas indispensable en Egypte, ai pu abandonner le pays dont il est le responsable en chef… en pleine période de crise aiguë, et sans budget voté pour l’année prochaine.
Il n’y a bien que Macron et ses bras cassés pour ne pas voir l’incongruité de ce voyage… et pas seulement pour son coût… quand une des choses que l’on pourra à coup sûr retrouver dans ce budget fantôme sera sans doute un nouveau tour de passe-passe pour déguiser un nouvel impôt, une nouvelle taxe… et ce à cause des retraités qui, après avoir trimé durant un minimum de 40/42 ans, se voient accusés de déstabiliser l’équilibre financier de la France.
La seule chose dont je sois sûre, c’est que la base d’un budget équilibré, efficace, et surtout équitable, existe déjà ; ce sont les nombreuses et importantes économies qu’il est possible de réaliser immédiatement ! Le reste n’est que mauvaise comédie pour gagner du temps.
Cela a été annoncé, détaillé, expliqué en long et en large, par Eric Zemmour et Sarah Knafo, depuis des semaines, pendant que Bayrou se triturait les méninges pour encore nous imposer les mêmes formules consistant à toujours chercher dans la poche des citoyens.
Cela lui a coûté sa place ; mais pas sûr que Lecornu en ait tiré les leçons, quand on voit à quel jeu stupide et avilissant il s’est prêté pour complaire à l’ennemi n°1 de la France et des Français !
Nous sommes sur un terrain miné… et l’innocent en chef continue de jouer avec les allumettes !
Par Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression
P.S. il y a également une solution très intéressante qui vient d’être soumise au Premier ministre bis, par une lettre ouverte, reprise sur le site POLEMIA :
Source : https://ripostelaique.com/macron-humilie-par-trump
Proche-Orient : la méthode Trump ridiculise l’approche Macron
Un cessez-le-feu obtenu, des otages libérés, un plan de paix en préparation : Donald Trump, honni par les élites européennes, vient de démontrer qu’en politique internationale, la brutalité et la clarté valent mieux que les discours creux du « en même temps » macronien.
Trump impose, Macron tergiverse
La comparaison est cruelle pour Emmanuel Macron. Tandis que le président américain a menacé le Hamas de destruction et pressé ses alliés israéliens d’accepter ses conditions, le locataire de l’Élysée s’est une fois de plus enlisé dans les palabres multilatérales, croyant que des conférences à l’ONU suffiraient à museler le terrorisme islamiste. Résultat : Trump arrache un accord, Macron récolte l’indifférence.
Nommer l’ennemi, ou le confondre
Donald Trump, fidèle à son style, a nommé l’ennemi : l’islamisme, qu’il soit incarné par le Hamas ou par le Hezbollah. Macron, lui, n’a cessé de brouiller les lignes, parlant d’équilibre, de reconnaissance d’un État palestinien « sans conditions », et d’une force d’interposition onusienne dont chacun sait qu’elle ne dissuadera jamais un groupe terroriste. En clair : Trump tape du poing, Macron multiplie les incantations.
La méthode du rapport de force
Ce que les commentateurs de salon appellent « outrance » n’est rien d’autre que la mise en pratique d’une évidence diplomatique : on ne négocie pas avec ceux qui prennent des civils en otage, on les contraint.
Là où la France a voulu cajoler l’Arabie saoudite pour ménager un équilibre artificiel, les Américains ont pris acte du rôle déterminant du Qatar et de la Turquie, principaux leviers sur le Hamas.
Résultat : une pression maximale, et un succès tangible.
Macron marginalisé
À Jérusalem comme à Washington, personne ne s’y trompe : la reconnaissance sans condition d’un État palestinien par la France a été perçue comme une trahison par Israël.
Et l’Élysée a beau se persuader que l’initiative franco-saoudienne a préparé le terrain, la vérité est que Paris a été marginalisé dans ce dossier.
Les accords d’Abraham, pierre angulaire de la normalisation régionale, portent la marque de Trump, pas celle de Macron.
Un Nobel pour Trump ?
Reste la question : Donald Trump réussira-t-il à transformer l’essai en installant une paix durable ? S’il parvient à étendre les accords d’Abraham à l’Arabie saoudite, l’ancien président pourra effectivement prétendre à ce prix Nobel de la paix que ses adversaires lui refusent avec rage.
Mais déjà, il a prouvé que l’efficacité prime sur les belles paroles.
Et demain, l’Ukraine ?
La comparaison devient plus complexe sur le dossier ukrainien, où Macron, paradoxalement, semble plus clairvoyant que son rival américain.
Mais au Proche-Orient, les faits sont têtus : Trump a gagné.
Et Macron, encore une fois, a raté le train de l’Histoire.
Source : https://lalettrepatriote.com/proche-orient
Macron et la paix «made in Trump»
L'analyse géopolitique du Think Tank "Le Millénaire"
Faiseur de paix au Proche-Orient, Donald Trump relègue Emmanuel Macron au rôle ingrat de VRP de sa «Pax Americana». Analyse.
Emmanuel Macron était hier en Égypte pour « soutenir la mise en œuvre » d’un accord qu’il n’a ni conçu ni négocié.
C’est bien le plan de Donald Trump — partiellement accepté par Israël et le Hamas — qui a désormais été entériné à Charm el-Cheikh.
Or, en février, le président français dénonçait avec vigueur les premières esquisses de la « Riviera du Moyen-Orient » de Trump. Voici donc un nouveau retournement symbolique pour une diplomatie française adepte du « coup d’éclat », qui prétendait « mettre la pression » mais se retrouve à valider un ordre négocié ailleurs…
Emmanuel Macron adopte une nouvelle posture : celle du soutien à Trump
La France est arrivée à Charm el-Cheikh très affaiblie.
Paris est enlisé dans une crise gouvernementale, avec un président au capital politique faible tant sur le plan intérieur qu’à l’international.
Emmanuel Macron est désormais le président le plus impopulaire de la Ve République, égalant le record de François Hollande avec 14 % d’opinions favorables.
Cela n’interdit pas la diplomatie présidentielle, mais cela donne à la politique étrangère des allures de refuge plutôt
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