mercredi 8 octobre 2025

DÉLINQUANCE EN BRETAGNE ! LE VIVRE ENSEMBLE A DU PLOMB DANS L' AILE ......

 REVUE DE PRESSE !

« Vivre ensemble » à Brest – Une collégienne passée à tabac par une quinzaine de racailles

Brest, lundi 6 octobre, en fin de journée. 

 Rue Hoche, non loin de la place de Strasbourg et du collège Anna-Marly, une adolescente de 14 ans a été violemment agressée par un groupe d’une quinzaine de racailles, tous scolarisés dans différents établissements brestois.
 

L’attaque, survenue peu avant 18h15, a été filmée par les agresseurs eux-mêmes, un fait qui choque autant par sa brutalité que par sa mise en scène.

La jeune fille se trouvait avec une amie lorsque quatre collégiennes l’ont prise à partie. 

Rapidement, une dizaine de garçons ont rejoint le groupe. 

Les coups ont alors plu — poings, pieds, gifles — jusqu’à ce que des passants interviennent pour disperser les assaillants.


Selon une source proche du dossier, la scène relève d’une « rare sauvagerie », avec une victime rouée de coups au sol, sans possibilité de se défendre.

Visiblement sonnée, la tête ensanglantée, l’adolescente a réussi à alerter la police elle-même avant d’être transportée à l’hôpital. 

Les secours lui ont prescrit 15 jours d’incapacité totale de travail (ITT) pour de multiples contusions, hématomes et griffures.

 Son amie, légèrement blessée en tentant de s’interposer, n’a pas nécessité d’hospitalisation.

D’après les premiers éléments de l’enquête, cette explosion de violence aurait pour origine un différend entre collégiennes, un conflit mineur qui aurait dégénéré.

 Le parquet de Brest, par la voix du procureur Stéphane Kellenberger, confirme que les faits sont qualifiés de “violences volontaires en réunion”.

Les enquêteurs de la brigade des mineurs ont été saisis dès mardi 7 octobre. 

La jeune victime a pu déposer plainte, livrant aux policiers des éléments d’identification précis sur ses agresseurs. 

Plusieurs d’entre eux seraient déjà formellement reconnus sur les vidéos récupérées.

Les vidéos, prises avec des téléphones portables, circuleraient dans certains cercles d’élèves et pourraient servir de preuve directe

Aucune interpellation n’avait encore été officialisée mercredi matin, mais les enquêteurs assurent que les identifications sont bien avancées.

Cette affaire – une de plus – n’est pas une simple rixe de collégiens : c’est le symptôme d’un effondrement moral et éducatif. 

Depuis des années, les responsables politiques, par lâcheté ou idéologie, laissent s’installer un climat de violence où l’autorité n’existe plus et où tout se vaut.

 Pendant ce temps, des familles démissionnaires abandonnent leurs enfants à des écrans qui distillent en continu la brutalité, la vulgarité et la loi du plus fort.

 Le monde barbare qui vient est le fruit de cette double faillite : celle d’une société qui excuse tout, et celle d’une jeunesse livrée à elle-même, biberonnée au “wesh”, aux rappeurs et à la culture du clash.

 Quand on renonce à transmettre, on fabrique des monstres — et le pire, c’est qu’ils ne viennent plus des marges, mais du cœur même de nos écoles.

 
 
 
 
 
Le tribunal correctionnel de Saint-Brieuc a rendu son jugement lundi 6 octobre dans une affaire qui avait marqué l’été briochin.

Saint-Brieuc – Trois hommes condamnés après une série d’agressions nocturnes



 Trois hommes, âgés de 19 à 26 ans, issus de la communauté des gens du voyage, ont été reconnus coupables de violences en réunion et de dégradations volontaires commises à Saint-Brieuc et à Trégueux les 9 et 19 août derniers.

Des nuits d’alcool et d’errance qui ont tourné à la brutalité gratuite.

L’expression est de la procureure de la République : des violences « gratuites, à la Orange mécanique », infligées à des passants choisis au hasard. Le 9 août, peu avant l’aube, deux jeunes hommes sont agressés dans le quartier des Villages, sans provocation. L’un d’eux ressortira de l’attaque avec quatre dents cassées et sept jours d’ITT. Quelques heures plus tard, vers 10 h, un autre homme est passé à tabac devant un bar de Trégueux.

Dix jours plus tard, dans le centre-ville de Saint-Brieuc, les mêmes individus s’en prennent à un groupe de personnes, tout en saccageant une borne électrique et la terrasse d’un restaurant. Selon les éléments de l’enquête, les trois agresseurs circulaient dans une Opel Corsa grise, identifiée sur des vidéos filmées par un riverain. Ils cherchaient, selon leurs propres termes, des « pak-pak », un sobriquet visant des personnes originaires du sous-continent indien.

Les trois prévenus – deux cousins et un ami – ont été jugés en comparution immédiate. L’audience, marquée par de nombreux éclats de voix, a été ponctuée de confusions et d’interruptions.  Leur défense a dénoncé une procédure brouillonne

Après un long délibéré, le tribunal a suivi en partie les réquisitions du parquet, qui demandait jusqu’à trois ans d’emprisonnement.

  • Kilian. LB, 25 ans, déjà condamné par le passé, écope de 30 mois de prison, dont 8 mois avec sursis probatoire, assorti du maintien en détention. Son précédent sursis pour vol avec violences est révoqué.
  • Un jeune de 26 ans, jusque-là peu connu de la justice, est condamné à 400 heures de travail d’intérêt général.
  • Le plus jeune, âgé de 19 ans, reçoit 18 mois de prison avec sursis simple.

Un dossier symptomatique d’une violence gratuite qui frappe désormais jusque dans les rues de villes moyennes comme Saint-Brieuc — loin, pourtant, des grandes métropoles souvent associées à l’insécurité urbaine.

Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.

 

ET AUSSI

Nantes. Un adolescent poignardé dans le bus pour son téléphone

Une nouvelle agression d’une rare violence a choqué les passagers d’un bus nantais, lundi 6 octobre vers 12h30.

 À bord d’un véhicule de la ligne 5 (Busway), circulant sur l’île de Nantes, un adolescent de 16 ans a été attaqué par plusieurs individus qui tentaient de lui voler son téléphone portable.

Une attaque en plein jour, sous les yeux des passagers

Selon les premiers éléments de l’enquête, les agresseurs sont montés dans le bus boulevard de la Prairie-au-Duc. Ils se sont dirigés vers le fond du véhicule, où se trouvait le jeune homme.

 Face à sa résistance, l’un d’eux a sorti un couteau et l’a poignardé à plusieurs reprises, au niveau de l’avant-bras, de la cuisse et du bas du dos. 

La scène n’a duré que quelques secondes, mais sa brutalité a sidéré les passagers présents.

 Le chauffeur, en état de choc, a immédiatement déclenché l’alerte, immobilisant le bus et prévenant les secours.

L’adolescent, grièvement blessé mais hors de danger, a été transporté d’urgence au CHU de Nantes. 

Son pronostic vital n’est pas engagé, et il devrait se remettre sans séquelles graves. 

Le bus a été placé sous scellés pendant deux heures, le temps pour la police judiciaire d’effectuer les relevés de traces biologiques et de récupérer les images de vidéosurveillance. 

Ces enregistrements, désormais entre les mains des enquêteurs, doivent permettre d’identifier les auteurs, toujours en fuite au 8 octobre.

Les faits se multiplient ces derniers mois dans les bus et tramways de la métropole. 

Chauffeurs menacés, bagarres, vols, agressions gratuites : la situation alimente un sentiment d’insécurité désormais largement partagé par les usagers. 

Sur les réseaux sociaux, l’émotion a rapidement pris le relais, avec des appels à renforcer la présence policière et à sanctionner plus fermement les auteurs de violences. 

 

Plusieurs élus, notamment du Rassemblement national, ont dénoncé une ville « livrée à la délinquance », où « plus personne n’est en sécurité, même à midi, dans un bus ».

A noter toutefois que la République française dissuade largement les citoyens d’intervenir, puisque la notion de légitime défense est toujours strictement encadrée, et que mettre hors d’état de nuire l’agresseur revient à devoir se retrouver ensuite devant les tribunaux.

 Dans les pays où le port d’armes est autorisé, et la légitime défense privilégiée par rapport aux « droits de l’agresseur «, ce dernier aurait été, sans aucun doute, neutralisé physiquement avant même l’arrivée des forces de l’ordre.

Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.

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