lundi 13 octobre 2025

QUAND L' UNION EUROPÉENNE LÉGITIME ET CAUTIONNE LES CRIMES DE TERRORISTES ???

 

L’Immunité européenne pour les personnes soupçonnées de terrorisme d’extrême gauche ?

« Le terrorisme, l’usage calculé de la violence afin de créer un climat général de peur au sein d’une population et ainsi atteindre un objectif politique particulier. »

Ilaria Salis, eurodéputée italienne pour l’Alliance verte et de gauche, a remporté son mandat alors qu’elle se trouvait dans une prison hongroise. 

Elle avait été inculpée de plusieurs chefs de tentative de coups et blessures ayant entraîné des lésions mettant la vie en danger, commis « dans le cadre d’une organisation criminelle ».

En février 2023, on soupçonne qu’Ilaria Salis, accompagnée de 14 autres co-conspirateurs membres du groupe Hammerbande, une bande « antifasciste » violente utilisant des armes contondantes et des agents chimiques pour attaquer ceux qu’elle considère comme des ennemis politiques, se serait rendue à Budapest de manière préméditée afin de susciter la peur par des méthodes violentes à l’encontre de personnes venues commémorer des soldats ayant participé à la défense de la Hongrie pendant la Seconde Guerre mondiale.

La majorité des terroristes antifascistes ayant mené ces attaques à Budapest il y a deux ans étaient allemands (mais on comptait également des Italiens, un Albanais et un Syrien). 

Tous auraient appartenu au groupe terroriste Hammerbande (« Bande du Marteau »), fondé à Leipzig en 2015, dont les méthodes étaient brutales même selon les standards communistes.

 

Voici quelques exemples de leurs actions terroristes, d’après le portail autrichien Heimatkurier :

  • Le 4 juillet 2016, un organisateur local du mouvement PEGIDA à Leipzig a été battu à coups de marteau devant son domicile.

  • Le 30 octobre 2018, un militant de l’organisation Junge Nationalisten à Wurzen a été si violemment agressé que sa colonne vertébrale a été brisée à plusieurs endroits, sa rotule fracturée et qu’il a subi 14 autres blessures.

  • Le 7 janvier 2019, Frank Magnitz, dirigeant régional de l’AfD à Brême et député au Bundestag, a été attaqué dans le centre-ville de Brême par des membres d’Antifa qui l’ont frappé délibérément à la tête avec des matraques.

  • Le 18 janvier 2019, une vingtaine de personnes ont été prises en embuscade dans une gare à Dessau-Rosslau alors qu’elles se rendaient à un événement commémorant les bombardements britanniques et américains de février 1945, au cours desquels environ 200 000 civils ont été brûlés vifs par des bombes au phosphore.

  • Le 15 février 2020, trois hommes et un garçon de 15 ans ont été attaqués à la gare de Wurzen après un événement commémorant les victimes du bombardement de Dresde.

  • Le 11 juillet 2020, des membres d’Antifa se faisant passer pour des livreurs de colis ont battu à mort un homme de droite à Dresde à coups de marteau.

  • Le 11 mars 2021, des terroristes déguisés en policiers ont piégé le président de Junge Nationalisten, Paul Rzehaczek, père de trois enfants : ils lui ont brisé les chevilles à coups de marteau et l’ont aspergé de gaz lacrymogène et de chlore.

  • Le 28 mai 2021, un supporter de football de droite a subi le même sort à Erfurt, ainsi que sa femme enceinte.

  • Le 12 janvier 2023, deux membres du petit parti de droite Neue Stärke ont été attaqués à la hache à Erfurt, l’un d’eux souffrant d’une fracture grave du crâne.

  • Les terroristes ont également saccagé les domiciles de plusieurs personnes de droite en leur absence, les rendant inhabitables.

 

Mais comment ont-ils pu agir avec une telle efficacité ?

Extrait d’un article d’Ágoston Balázs :« La question se pose de savoir comment les terroristes connaissaient les adresses de leurs victimes. 

Eh bien, les criminels étaient intégrés dans l’appareil d’État allemand. 

Par exemple, un employé de la mairie de Leipzig, Henry Aulich, disposait de nombreuses données personnelles dans le cadre de ses fonctions juridiques, et en tant que membre de la bande terroriste, il en a abusé. 

Aulich était aussi en contact avec Juliane Nagel, députée communiste du Land de Saxe. 

De plus, Nancy Faeser, ministre SPD de l’Intérieur dans le précédent gouvernement allemand, affichait ouvertement sa sympathie pour Antifa, ce qui fait d’elle une complice morale. »

Ilaria Salis a été libérée en mai dernier contre une caution de 16 millions de forints (environ 40 000 €), placée sous contrôle judiciaire, puis les mesures coercitives ont été levées après son élection.

 Elle et la presse de gauche ont dénoncé les conditions de détention en Hongrie et l’ont présentée comme une victime, niant les preuves. 

Elle a déclaré :
« Je sais que je suis du bon côté de l’histoire et je ne veux pas être condamnée pour mes opinions politiques. »

Ce n’est pas quelqu’un qui cherche le dialogue. 

Sa position est claire : elle n’est pas une actrice démocratique. 

Elle ne devrait pas bénéficier de l’immunité et devrait répondre de ses actes devant la justice hongroise. 

L’Union européenne a légitimé et cautionné ses crimes présumés en lui accordant cette immunité. 

Nous ne pouvons accepter cela !

 

Par  Martin Kuziel

Martin Kuziel est responsable des relations internationales pour le parti tchèque Svobodni, allié du SPD et de l’ANO, et membre de l’ONG Vox Europa (organisation patriotique européenne, qui est à la fois un média, un groupe de réflexion, et un réseau).

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
[cc] Article relu et corrigé par ChatGPT. 

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