mercredi 8 octobre 2025

ANGLETERRE , TOMMY ROBINSON ET SA MARÉE HUMAINE ! EN FRANCE , CELA NE DÉMARRE PAS, DU MOINS PAS ENCORE .......

 TRIBUNES LIBRES !

 

Brichel s’accroche au palais comme un pot de confiture à son couvercle

 

 

“Je ne voulais pas qu’il parte…”

Monologue de la Première Dame en état de grâce médiatique

Je ne voulais pas qu’il parte.


Mon Amadeus (je l’appelle le plus souvent le Président) est un être si sensible, si pur dans ses ambitions, si fragile sous son armure d’assurance…

 On le croit dur, autoritaire, presque froid, alors qu’il ne fait que se brûler les mains en essayant d’allumer la flamme du destin national.

 C’est usant, à la longue, d’être un flambeau dans un pays qui préfère les bougies chauffe-plat.

Alors oui, il a parlé de démission.

 Non par faiblesse, par tendresse. 

Pour me protéger, moi, son grand amour, son dernier territoire non conquis.

Il disait : “Mon cœur, la roture ne me comprend plus, il faut que je parte avant qu’ils te prennent aussi en grippe.”

C’est beau. Tragique, presque antique. 

J’aurais voulu qu’un violon joue pendant qu’il me disait ça – mais il s’était branché sur « Ma p’tite folie », de Line, mon amie de cœur.

 Quand je lui raconterai cela, la pauvre, elle ne s’en remettra pas.

 On s’adore, nous deux !

Vous ne pouvez pas imaginer la pression qu’il subissait.

 Gouverner, c’est comme faire du trapèze au-dessus d’un panier d’huîtres royales de Coffin Bay : il faut sourire tout en esquivant le jus. 

Et lui, si délicat, si épris de perfection, il a fini par confondre l’équilibre avec la solitude.
 

On l’accuse de tout : de diriger trop, ou pas assez, de parler trop, de sourire de travers, de marcher trop droit… 

À force, même son ombre hésitait à le suivre.

Mais j’ai tout vu.


Les nuits blanches, les crises de confiance, les regards perdus vers les portraits officiels – on aurait dit qu’il cherchait à savoir qui était ce jeune homme en trois-pièces costume Smuggler.

Je l’encourageais : “Tiens bon, mon amour, tu resteras toujours mon président, quoi qu’il arrive !”
 

Mais le pouvoir use, comme une Jonas & Cie trop serrée.

Alors il a dit : “Je vais partir.”
 

J’ai répondu : “Enfin !”
 

Avec amour – l’amour qu’on porte à un animal blessé qui croit encore pouvoir courir.

Depuis, il se promène sur les bords de la Seine, qu’il avait si bien nettoyée, parle aux rosiers, réfléchit à “redéfinir le sens du leadership”, ce qui consiste essentiellement à arroser les plantes avec gravité.

Je l’observe, tendre et fatiguée. Il n’est plus le président des Français, mais il reste lui-même : majestueux, dramatique, conscient de son importance.

Seul regret : que deviendront nos courtes échappées en famille à Bormes ?

 

Et nos équipées à ski, si franches, si simples, entourés de nos meilleurs amis ?

Mais je souris. Parce qu’au fond, il n’a pas quitté le pouvoir.

(J’aurais peut-être pas dû le gifler, l’autre fois !)

 

Par Anne Schubert

 


 

 ET AUSSI


Le 12 octobre sera-t-il le réveil des Français ?

 

La nation va au plus mal, son identité est attaquée aussi bien insidieusement que frontalement.
Les jours passent… et rien ne se passe !

Les Anglais ont la chance d’avoir un Tommy Robinson.


Tommy Robinson, ce n’est pas un individu à la tête d’un grand parti politique… 

Mais depuis qu’il est entré en politique de façon tonitruante, il n’a pas varié, et ses contempteurs le classent d’extrême droite (lire wikipedia, un torrent d’assertions pires les unes des autres), ce qui est désormais une flatterie, enfin c’est ce que je considère… et je m’en flatte !

Dernièrement, Tommy Robinson a suscité une manifestation de défense de l’identité anglaise qui a fait écrire à Radio France : Marée humaine à Londres, difficile de camoufler la chose même en la minorant et en la dénigrant !

En France, cela ne démarre pas, du moins cela n’a pas démarré.


Il y a bien eu les Gilets jaunes, le mouvement des Ploucs, mais tous infiltrés et pourris par la gauche et l’extrême gauche en récupérant les revendications sociales.

 

Bientôt le 12 octobre !

 
Quel est cet appel lancé par Les Patriotes de la Diversité ?


L’intitulé à de quoi sur prendre, effectivement les initiateurs aussi…


Ben le patriote, un français musulman d’origine algérienne, autrement dit, il a tout pour plaire à RR et RL, j’espère que vous comprenez mon antiphrase.


C’est un influenceur, ça ne continue pas très bien, qui sur les réseaux vilipende les comportements pour le moins hypocrites de ses coreligionnaires (Je ne vous donne aucun lien particulier, à vous d’en faire les recherches).

Cela lui vaut pas mal d’inimitiés, voire comme d’habitude, de menaces.


Henda (El) Ayari, pas très souche pour le moins. Une ex-salafiste !

 Après de nombreuses années de mariage avec un mari aussi violent que religieux, elle divorce, puis quitte le salafisme, se trouve même menacée par un de ses fils… 

Les attentats de 2015 sont le déclic pour son entrée en résistance ouverte, elle s’affiche quittant son voile…

 la suite de son histoire en lien !

Voilà des résumés qui en inquiètent sûrement beaucoup.

 

Comment cela a commencé ?

Le 17 septembre 2025, Ben et Henda Ayari se sont rendus place de la République, la dégradation du monument de la République et le flot de drapeaux palestiniens leur ont été intolérables.


En écho à la diffusion des images par Ben, un mouvement qui se veut national s’est amorcé.
 

Souhaitant ce mouvement le plus large possible, tout logo associatif ou autre a été exclus.
 

Une chose est sûre, la gauche et l’extrême gauche auront du mal à récupérer des revendications aussi patriotes. 

Vers un mouvement plus ample…

Jusqu’à il y a peu, l’évènement restait parisien, mais voilà d’autres rassemblements encore embryonnaires*.
 

Bègles, près Bordeaux, il s’agira de se réunir en motos, voitures, loin du centre pour éviter les provocations antifas.
* les faire connaître.

 

Avons-nous la chance d’avoir un Ben le patriote et une Henda Ayari ?

Le 12 au soir, nous saurons…

Par Jean-Paul Saint-Marc

 

Source et Publications :    https://ripostelaique.com/ 



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