LU , VU ET ENTENDU !
Une majorité de Français en a ras le bol de tous ces écolos hystériques !
La Tondelière, la mongolienne et la Nouvian pas très claire…
Déjà qu’elles ne sont pas gâtées par la nature…
Mais quand elles se mettent en rogne pour asséner leurs lubies, ces sorcières font peur !
L’écologie n’est pas une science expérimentale. C’est une croyance.
Or quand, dans tous les domaines, on exige transparence et rigueur, l’écologie s’en dispense.
La surmédiatisation des peurs associée à une inculture crasse tant dans les domaines des sciences exactes que de l’histoire événementielle, déclenche des émotions orientées, reposant sur des peurs irraisonnées pour le futur.
Sans rien démontrer.
Il suffit d’affirmer et d’avoir les bons relais de propagande.
Les vaticinations des militants obscurcissent les discours officiels, détournent les prébendes, favorisent les carrières des plus nuls et ruinent la réputation des opposants sérieux, dans un discours politicien où les déclarations de foi supplantent l’expertise, l’analyse et le savoir.
Malgré le matraquage incessant des mensonges écolos, le grand public commence à prendre conscience d’une dérive liberticide couvrant des arnaques.
Trop de normes inutiles et onéreuses pour se mettre à niveau, sanctionnées par un arbitraire kafkaïen qui occupe des fonctionnaires qui n’ont rien de mieux à faire que pourrir la vie de leurs contemporains.
Trop de fausses bonnes solutions comme les bagnoles électriques dont les inconvénients l’emportent sur les avantages.
Des machines fragiles, capricieuses, dont la maintenance coûte un bras.
Et à présent, même les donneurs de leçons de Green Piss critiquent la pollution des batteries de traction !
Quand aux éoliennes, leurs aimants nécessitent d’énormes quantités de cobalt, environ 30% du poids de moteurs de plusieurs tonnes.
Un composant dangereux pour la santé, auquel s’ajoute le néodyme.
Deux matériaux qui, à l’usure, se dispersent en micro particules, causant des pathologies respiratoires et cardiaques graves ainsi que des cancers et des cécités définitives.
On peut ajouter aux effets nocifs sur la santé, les infra-sons qui provoquent toutes sortes de troubles légers mais persistants, tels qu’acouphènes, pertes de sommeil, céphalées, angoisses, nervosisme chronique.
Sans oublier les dommages occasionnés au monde animal .
Les éoliennes tuent des centaines de milliers d’oiseaux.
Et celles en mer tuent des milliers de mammifères marins.
Les vibrations de ces moulinettes perturbent leur système d’écholocalisation ainsi que leurs moyens de communication, provoquant de dramatiques échouages.
Tout ça n’est rien, comparé au discrédit du nucléaire, qui a détruit un des fondements des sociétés industrielles, quand on les a reconstruites après la guerre de 40
Sous la pression de discours militants qui troquent les bulletins de vote aux élections contre les mesures qu’ils préconisent, une filière stratégique majeure a été sacrifiée.
L’électricité pas chère, disponible à tout moment, sur des réseaux avec un taux de fiabilité de 99% appartient au passé.
Il suffisait d’assimiler l’atome civil à la menace nucléaire pour que des démagogues répondent aux exigences des ignares.
Cela s’est traduit par un abandon industriel désastreux, une perte de compétences pointues, et un retour massif aux énergies fossiles, charbon, lignite, fioul, en opposition aux objectifs affichés de dépollution de l’air, de l’eau et des sols, ainsi que de contrôle des gaz à effet de serre.
Des politiciens couards, craignant de perdre leur auge à soupe grasse, se sont alignés sur une idéologie fumeuse sans autre validation scientifique que celle portée par des militants
Il n’y a pas que le nucléaire et les hydrocarbures qui sont dans le collimateur des khmers verts.
L’industrie chimique dans son ensemble, le textile, le bâtiment, les moyens de transport, l’agriculture, rien n’échappe à ces nuisibles.
Provoquant des désinvestissements et la faillite ou la délocalisation des entreprises, l’abandon des grands projets d’infrastructures (trains, aéroports) et la perte de souveraineté énergétique au profit de pays étrangers.
D’aucuns ont parlé d’une guerre économique qui profite surtout à la Chine, mais aussi à l’Inde, car ces nouvelles puissances s’exonèrent des normes et des contraintes qui paralysent notre économie, entravent la recherche et restreignent les choix des consommateurs.
Avec un handicap doctrinaire majeur qui projette la honte, le rejet et l’ostracisme, sur ceux qui font tourner l’économie réelle.
Héritage rouge indélébile chez les débiles verts.
Les politicards et leurs administrations adoptent les lubies de ces imprécateurs et se soumettent à leur vocabulaire et à leur grille de lecture.
Toute réserve est perçue comme un déni des vérités révélées.
Toute approche scientifique sérieuse est assimilée à une complicité avec les pollueurs et les responsables du prétendu réchauffement anthropique.
Tout débat contradictoire devient blasphématoire dans le temple de la religion écolo qui ne tolère aucune contradiction, pas même la plus mince nuance.
Des solutions existent pour filtrer les pollutions et réduire les atteintes à l’environnement, mais c’était plus rentable au plan politique de diffuser de l’émotion amplifiée par des médias gauchisants.
La plupart des donneurs de leçons, la quasi-totalité des imprécateurs, n’ont aucun bagage scientifique. I
ls ont presque tous fait Sciences Peaux de zob et une école de journalisme.
La voie de garage des rejetons sous-doués issus de familles aisées.
Le dépotoir des cancres friqués.
Arrogants, sûrs d’eux et méprisants envers ceux qui n’appartiennent pas à leur caste.
On ne s’en est pas assez méfiés.
Et la gauche caviar a disposé d’une caisse de résonance à nulle autre pareille.
Avec des clones qui adoptent le même parler ampoulé, la même idéologie psittacique, et les mêmes attitudes de damoiseaux guindés et de pouffiasses hystériques.
Qui ont mis dans leur poche les tribunaux et les officines de basse police politique, et demandent comme la Nouvian l’exclusion des scientifiques qui réfutent leurs élucubrations.
Pour les escrolos et leurs porte paroles médiatiques, le respect de la nature, la protection de l’environnement et la lutte contre la pollution sont secondaires.
L’important pour eux est de convoyer des clandestins, défendre des délinquants, encourager des squatters, saboter les exploitations agricoles et financer des mosquées.
Une dose d’antisémitisme et de russophobie
renforce leur malignité…
Ils remplissent leur gamelle dans des associations de malfaiteurs subventionnées, squattent des postes politiques juteux ou des emplois de complaisance où leurs comparses les ont embauchés pour pourrir la vie des citoyens ordinaires.
Michel Onfray évoque la pensée magique à propos des écolos
C’est un point de vue qu’on peut partager.
La dictature écologiste pâtit d’un anthropocentrisme obsessionnel.
L’humain serait responsable de toutes les variations de l’environnement et du climat.
Pourtant, les cycles naturels n’ont pas attendu l’apparition de l’homme pour se répéter.
Mais allez donc dire cela à des ignorants formatés par des fanatiques.
Convaincus que des incantations et des sabotages suffisent à régler les problèmes.
Jamais rien de constructif.
Les verdâtres prétendent agir pour le bien de la planète au nom d’une science à laquelle ils n’entendent que des slogans simplistes.
Pour la plupart erronés.
Déjà, l’écologie si elle respectait les protocoles scientifiques de base, serait une méta-science, le domaine d’experts méticuleux et non l’apanage de gourous inspirés.
Une véritable écologie dynamique croiserait des connaissances approfondies dans plusieurs domaines tels que l’astronomie, l’océanographie, l’hydrologie, la géologie, la glaciologie, la physique de l’atmosphère, la chimie organique et minérale, la biologie, la botanique, la paléontologie, la maîtrise des statistiques et des algorithmes de projection, ainsi que l’histoire des climats.
Et elle accepterait des démonstrations remettant en cause ses théories.
Une transdisciplinarité qui restera à jamais inaccessible à des Greta et des tondelières, hautement représentatives de la médiocrité d’une idéologie qui permet à des crétins d’accaparer des lambeaux de pouvoir.
En attendant le califat.
Par Christian Navis
Source : https://climatorealist.blogspot.com/
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