REVUE DE PRESSE !
Le vide, en attendant le trop plein.
Et un retour surprise ?
Synthèse nationale
En mai 2020, le physicien et philosophe Etienne Klein, invité de la Grande Librairie, sur la 5, donnait cette définition du vide :
« N’étant pas le néant, (il) contient déjà quelque chose. (…)
C’est ce qui reste quand on a tout enlevé, sauf le vide ».
Au fil des cinquante dernières années, on nous a enlevé une grande partie de notre souveraineté, de notre indépendance, de notre industrie, de notre système de santé, de notre sécurité, de notre unité, notre identité, notre fierté…
Il nous reste le serial talker Emmanuel Macron (qui nous a "cramés" et dont le « seul talent », dixit Gilbert Collard, « est d’occuper le vide par du vide »), 3.300 milliards d’euros de dette, un champ de ruines économiques et politiques et un trop plein d’ambitions pour 2027.
« Le vide, c’est ce qui reste quand on a tout enlevé, sauf le vide » !
Décidément, les deux années qui, en principe, nous séparent de la fin du mandat de l’actuel président et de l’élection de son successeur vont nous sembler bien longues…
D’autant que, désormais, il va nous falloir vivre avec l’angoisse d’un possible retour de "Jupiter" en 2032 !
Le « petit malin » (dixit Trump), à l’occasion du meeting organisé hier à Paris pour les dix ans des Jeunes avec Macron (devenus les Jeunes en marche), ne nous a-t-il pas adressé un message clair à travers sa harangue à ses partisans ?
Il aura « besoin d’eux pour dans deux ans, pour dans cinq ans, pour dans dix ans »…
"Jupiter" serait-il en passe de devenir notre "sparadrap du capitaine Haddock" ?
Au secours, il s'apprête à sortir par la porte, pour revenir par la fenêtre !
ET AUSSI
La France, championne du monde de l'exposition aux risques liés aux émeutes
Synthèse nationale
Interrogé par Les Échos il y a trois jours, Thierry Léger, le directeur général de SCOR (Société commerciale de réassurance, l’un des leaders mondiaux du secteur) a lâché une petite bombe en déclarant, à propos des émeutes récurrentes :
« La France est (…) le premier pays dans le monde en termes d'exposition en raison de la fréquence et de la sinistralité pour les assureurs. (…)
Il y a toujours eu des émeutes en France, où plus de 40 000 voitures sont brûlées chaque année (…).
Mais aujourd'hui, il faut trouver une solution, nouer un dialogue sur le sujet avec toutes les parties prenantes impliquées, dont les pouvoirs publics ».
40 000 véhicules brûlés chaque année, plus de 200 millions d’euros de dégâts pour les émeutes de 2005, cinq fois plus (1 milliard) pour celles de 2023, des dizaines, voire des centaines de millions pour les violences qui ont suivi la victoire du PSG, des attaques aux personnes et aux biens, des pillages ou home jacking qui se succèdent…
Effectivement, « il faut trouver une solution ».
Mais pour ce faire, il conviendrait d'abord de désigner et nommer clairement la source du problème. « Dire ce que l’on voit et surtout, voir ce que l’on voit », selon la formule de Charles Péguy…
Et agir, plutôt que de parler !
16:26 Publié dans Editoriaux |
http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2025/07/06/
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