mercredi 9 juillet 2025

FRANCE / ANGLETERRE : MACRON FUIT LA COLÈRE POPULAIRE QUI GRONDE EN FRANCE !

 


 

 
 
Emmanuel Macron s’est envolé, encore une fois, pour l’étranger. 
 
Cette fois, direction Londres, avec l’ambition affichée de « réchauffer les relations franco-britanniques ». 
 
Mais qui est encore dupe ? 
 
Derrière les sourires figés et les poignées de main molles, c’est un théâtre d’ombres qui se joue. 
 
Car Macron, comme à son habitude, fuit. 
 
Il fuit la colère populaire qui gronde en France. 
 
Il fuit la réalité.
 
 Il va chercher à l’étranger un semblant de légitimité, une stature de chef d’État qu’il a perdue chez lui. Mais quel est donc ce Royaume-Uni qu’il vient courtiser ? 
 
Une Grande-Bretagne désormais entre les mains de Keir Starmer, un socialiste cosmétique, un technocrate sans vision, sans verbe, sans colonne vertébrale. 
 
Autrement dit, le double parfait de Macron.
 
 Même obsession pour l’Ukraine, même laxisme sur l’immigration, même déconnexion totale avec les peuples qu’ils prétendent représenter. 
 
 Et pour couronner ce tableau de décadence, c’est Charles III, le roi sans règne, qui reçoit notre président.
 
 Charles, incarnation parfaite de ce progressisme mou qui mine nos civilisations européennes. 
 
Un roi woke, écolo-bobo, qui fait plus de conférences sur le climat que d’efforts pour défendre l’héritage de son pays.
 
 Alors oui, cette rencontre a un sens.
 
 Celui de la décadence européenne.
 
 Deux dirigeants impopulaires, coupés de leurs peuples, qui s’auto-congratulent dans les salons dorés pendant que leurs nations se désagrègent.
 
 L’un et l’autre s’acharnent à ouvrir toujours plus les frontières, à sacrifier la souveraineté nationale, à dilapider l’héritage des siècles.
 
 Il est temps que Français et Britanniques se réveillent.
 
 Il est plus que temps que ces apparatchiks mondialistes, aussi lisses qu’inefficaces, soient balayés par la volonté populaire. 
 
 
 Par Thomas Joly - 
 
Président du Parti de la France
 
 


 
ET AUSSI

Le vide, en attendant le trop plein. 

Et un retour surprise ?

Futur Premier ministre : Emmanuel Macron fait blêmir son camp

Synthèse nationale

En mai 2020, le physicien et philosophe Etienne Klein, invité de la Grande Librairie, sur la 5, donnait cette définition du vide : « N’étant pas le néant, (il) contient déjà quelque chose. (…) C’est ce qui reste quand on a tout enlevé, sauf le vide ».

Au fil des cinquante dernières années, on nous a enlevé une grande partie de notre souveraineté, de notre indépendance, de notre industrie, de notre système de santé, de notre sécurité, de notre unité, notre identité, notre fierté… 

Il nous reste le serial talker Emmanuel Macron (qui nous a "cramés" et dont le « seul talent », dixit Gilbert Collard, « est d’occuper le vide par du vide »), 3.300 milliards d’euros de dette, un champ de ruines économiques et politiques et un trop plein d’ambitions pour 2027.

 « Le vide, c’est ce qui reste quand on a tout enlevé, sauf le vide » !

Décidément, les deux années qui, en principe, nous séparent de la fin du mandat de l’actuel président et de l’élection de son successeur vont nous sembler bien longues… 

D’autant que, désormais, il va nous falloir vivre avec l’angoisse d’un possible retour de "Jupiter" en 2032 !

Le « petit malin » (dixit Trump), à l’occasion du meeting organisé hier à Paris pour les dix ans des Jeunes avec Macron (devenus les Jeunes en marche), ne nous a-t-il pas adressé un message clair à travers sa harangue à ses partisans ? 

Il aura « besoin d’eux pour dans deux ans, pour dans cinq ans, pour dans dix ans »… 

"Jupiter" serait-il en passe de devenir notre "sparadrap du capitaine Haddock" ? 

 

Au secours, il s'apprête à sortir par la porte, pour revenir par la fenêtre !

10:50 Publié dans Editoriaux |   http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2025/07/06/



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