HISTOIRE !
Le Nouvel Ordre Mondial est l’héritier naturel du IIIe Reich
Les Davos, Soros et craignos nient toute filiation.
De même que le Bilderberg et la Trilatérale.
Leurs attachées de presse sourient quand on évoque le roman de Frederick Forsyth « Le dossier Odessa » publié en 1972, et le film éponyme deux ans plus tard.
Elles sont trop jeunes et trop bien élevées pour s’intéresser à ce qui s’est réellement passé dans les trois décennies suivant la défaite des Boches.
Pour les jeunes cadres financiers aux dents acérées, ce sont des élucubrations de complotistes se nourrissant d’un roman uchronique.
Pourtant, l’OSS ancêtre de la CIA s’est intéressé de près à ce réseau d’exfiltration de criminels nazis, de même que le Mossad.
Les uns et les autres y trouvaient des infos utiles.
Et on sait que Forsyth mêlait habilement faits avérés et fiction, y incorporant des personnages réels, nazis en cavale et chasseurs de nazis.
Une mafia de fugitifs a développé le projet fou de retour des nazis à travers un IVe Reich dominant le monde, en l’adaptant à l’évolution des sociétés occidentales.
Les dirigeants du national-socialisme encore vivants connaissaient les emplacements des caches d’or et des œuvres d’art, en Allemagne.
Mais aussi dans des pays sûrs comme l’Argentine, le Brésil, la Bolivie, l’Uruguay, où des butins du pillage de l’Europe par les hitlériens avaient été acheminés à la fin de la guerre, dans des secteurs où proliférait une importante colonie allemande.
Dont 90 % ne cachaient pas leur allégeance au führer.
Des vieux nazis intransigeants, aujourd’hui morts, rêvaient de restaurer un pouvoir géostratégique.
Leurs descendants, formés dans les meilleures business schools, ont transféré cette soif de puissance dans le domaine économique.
D’abord loin de l’Europe.
Puis, par des échanges commerciaux, en Germanie.
Permettant de s’infiltrer dans l’UE avant d’en prendre le commandement.
Soixante ans auront suffi, aidés par la naïveté des Français qui croyaient à la réconciliation avec les Huns.
Il y a sur YouTube pas mal de vidéos présentant des preuves pertinentes de l’éclosion de cette engeance en Amérique latine.
Dans un premier temps, ils ont constitué une économie prospère dans des endroits isolés pour passer inaperçus.
Haciendas à culture et élevage intensifs, mines, petites usines, ateliers…
Suivis de l’ouverture de cabinets financiers internationaux, en relation avec le Panama et les banques suisses où les nazis avaient déposé des sommes considérables.
Mais opérant aussi avec les États voyous pétroliers, financiers du terrorisme islamique.
Deux principales recettes de leur discrète réussite jusqu’à ce qu’ils puissent apparaître au grand jour :
D’une part, des dictateurs latinos qui les protégeaient, bénéficiant de leur générosité et de leur expertise pour organiser leur armée et étouffer dans l’œuf toute contestation.
Ils leur ont accordé des papiers officiels avec une nouvelle identité et nationalité.
Et d’autre part la Suisse et le Vatican qui les ont longtemps fait profiter de leur opacité financière.
Il fallut attendre 1996 pour qu’une commission d’enquête dirigée par Paul Volcker, ancien président de la FED, voit le jour.
Et ce n’est qu’en 2021 que le Crédit Suisse a ouvert ses archives.
D’autres banques ont été plus compréhensives pour échapper aux procès, mais elles avaient eu le temps de déménager l’essentiel des rapines des Boches.
En toute hypothèse, un demi-siècle de secrets et de tergiversations était suffisant pour blanchir les fonds criminels en les réinvestissant à Wall Street et à la City de Londres.
Aujourd’hui à Singapour, Tokyo, Dubaï ou Shanghai.
Les ruines du IIIe Reich fumaient encore que, sous de fausses identités ou en utilisant des prête-noms, des hitlériens redéployaient leur fortune.
Seul les plus arrogants a été rattrapés par la justice, ou les opérations vengeance du Mossad.
Les autres, hispanisés, protégés par des milices privées sur leurs domaines dont ils sortaient peu, ont pu tranquillement tisser une toile d’araignée.
Aidés par des capitalistes motivés par des bénéfices pas toujours légaux.
Ainsi naquit le Nouvel Ordre Mondial.
Point de départ officiel, le plan Marshall en 1948
Même s’il y a eu une continuité des échanges entre les Yankees et les nazis dès la fin des hostilités, les initiatives privées manquaient d’envergure.
On inventa donc un plan d’aide et surtout de contrôle par les USA des États européens qui se relevaient péniblement du carnage.
D’abord pour livrer des camions et des tracteurs, et faire face aux pénuries alimentaires.
Ensuite, pour relancer l’industrie lourde.
Les mieux servis seront la sidérurgie et les charbonnages.
Dont les Boches vont être les premiers bénéficiaires.
Les bombardiers alliés n’avaient fait qu’effleurer la Ruhr, pour préserver son potentiel.
Parallèlement, les Ricains poussent à la création de la CECA en 1951 pour « empêcher une nouvelle guerre entre la France et l’Allemagne » (sic).
Mais dès leur poids économique restauré, les Boches en prennent les commandes.
Puis avec le coup de pouce de l’Amérique qui recyclait des généraux SS dans l’OTAN, le collabo Robert Schuman et l’officier nazi Walter Hallstein préparaient l’élargissement de la communauté charbon acier pour en faire une entité nouvelle.
La CEE ancêtre de l’UE, et sa monstrueuse commission.
Où les Boches vont faire la loi presque sans discontinuer.
Jusqu’à l’odieuse Pustula, führerin de la gross Europa, qui nie être la descendante du général SS Karl Albrecht.
Et tandis que l’Europe se transforme en eurocrature, le Bilderberg prépare la gouvernance mondiale
En 1954, aux Pays Bas, apparaît un club de nanabs mêlant politique, affaires, banques et médias.
Prenant des décisions conniventes dans le plus grand secret, ils s’arrogent la mission de guider les humains vers la prospérité et le bonheur.
Malgré eux. Et tant pis pour la casse.
Pendant le week-end de leur conférence annuelle, on séquestre dans un hôtel de luxe, coupés du monde extérieur, des invités triés sur le volet, parmi lesquels les Boches sont surreprésentés.
D’anciens nazis et leurs descendants qui ont profité des capitaux volés pendant la guerre pour construire des fortunes enjambant les frontières.
Pas de secrétaire, pas de notes écrites, pas de dictaphones ni de téléphones.
On les scanne pour s’assurer qu’ils respectent les consignes.
Il ne faut laisser traîner aucune preuve.
Omerta comme dans les réunions de la mafia.
Bien entendu, seuls d’affreux complotistes prêtent de mauvaises intentions à ces bienfaiteurs de l’humanité.
Puis le forum de Davos ajoute une mégastructure de lobbying
Créé en 1971, il réunit des patrons de multinationales, des banquiers haut de gamme, des milliardaires et des responsables politiques.
Parmi les participants, on trouve la Commission de l’UE et des philanthropes comme Bill Gates, Soros, Schwab, Clinton, Erdogan, Blair…
Et de leur vivant, Kissinger et Arafat.
Les ¾ des participants arrivent en jets privés.
Tout en fustigeant les gueux qui roulent en diesel.
Bien qu’ils se disent apolitiques et désintéressés, leur objectif affiché est de faire pression sur les États souverains et les organisations internationales pour favoriser les entreprises où ils sont actionnaires, dans les secteurs qu’ils jugent prometteurs.
L’écologie et le réchauffisme en font partie.
Ils ont par ailleurs le statut d’observateurs à l’ONU.
La encore, une ribambelle de descendants de nazis notoires tiennent leur pouvoir de l’argent sale de leurs géniteurs.
Enfin la Trilatérale pose les bases d’une oligarchie à l’échelle mondiale
Cette autre mafia fondée en 1973 entre milliardaires, banksters, dictateurs et patrons de multinationales ne cache pas ses objectifs de mise sous leur tutelle de toute la planète.
Aussi opaque que les deux autres, mais moins hypocrite.
Le bonheur de l’humanité ne leur sert pas de paravent.
Ils sont là pour faire du pognon.
Promouvant l’hégémonie d’une économie multinationale à participations croisées avec les banques et les États, l’exploitation mondiale du travail, l’hégémonie militaire de l’OTAN, la gestion exclusive des énergies et des matières premières, le contrôle alimentaire de la planète, le planning démographique mondial et l’encadrement sanitaire des peuples.
De gré ou de force.
Évidemment, les Russes et les Chinois ne sont pas d’accord.
À la lecture des projets de ces trois mafias qui ont reçu un commencement d’exécution, encensés par des médias serviles, on comprend mieux les tenants et les aboutissants de la guerre d’Ukraine, le déroulé des crapuleries liées au covid, les submersions migratoires organisées par ces canailles et leurs interventions pour manipuler le résultat des élections, là où les peuples asservis se rebiffent.
Par Christian Navis
Source : https://climatorealist.blogspot.com/
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