TRIBUNE LIBRE !
Pour Mélenchon, la supériorité de la science islamique serait écrasante
Tant qu’à changer la population, autant jeter aussi sa civilisation.
En exhumant le vieux paradigme des miracles scientifiques du coran.
Une somme d’élucubrations pour la maternelle à Tombouctou qu’on peut résumer ainsi : « Tout savoir scientifique, y compris les plus récentes découvertes, est contenu dans les textes islamiques ».
Le chamelier pédophile de La Mecque a inventé la locomotive, l’automobile, l’avion, la fusée, l’énergie nucléaire, internet et même le voyage intergalactique.
C’est dans les divagations dictées à ses adeptes, transcrites sur des omoplates de gazelles, pour le côté poétique.
Mais seuls les savants de la religion comme le merluchon sont à même de déchiffrer.
Mélenchon le converti prêche la supériorité de sa nouvelle religion auprès de grands intellectuels comme Delogu, Soudais et Panot, prêts à gober toutes ses billevesées, du moment que ça permet d’encenser leurs nouveaux maîtres.
Ceux-ci sont présentés comme les héritiers d’une prestigieuse civilisation arabo-musulmane qui a créé des avions avant les frères Wright.
Ces maudits Koufars ont dépossédé de son invention Abbas ibn Firnas un Andalou qui a volé en l’an 852 selon le décompte des Roumis.
Avec une djellaba transformée en wingsuit ? Mieux que ça !
L’historien algérien Mohammed al-Maqqari affirme que Ibn Firnas, avec deux ailes attachés dans le dos, s’envola et couvrit une distance considérable.
Mais il se cassa la gueule à l’atterrissage parce qu’il avait oublié que les oiseaux se posent sur la queue.
Il aurait dû les imiter.
Les aviateurs appellent ça l’arrondi.
« L’atterro, le nez en l’air et la queue basse » rabâchait-on naguère dans les écoles de pilotage.
Ibn Firnas aurait aussi « inventé » avec 2500 ans de retard une « horloge à eau », la clepsydre des Gréco-Romains, dont le principe remonte au règne du pharaon Amenophis III.
De même, le cristal de quartz poli pour servir de loupe qu’on trouve dans des anciens tombeaux égyptiens.
Et la sphère armillaire, première représentation 3D de la terre et de l’univers apparent, connue de Ptolémée.
Plus fort que Galilée, Newton, Marconi, Fermi, Tesla et Einstein réunis, Ibn Firnas aurait imaginé les verres correcteurs, le microscope, le télescope, le périscope et l’endoscope ainsi qu’un ordinateur mécanique simulant les mouvements des étoiles et des planètes. Dont on ne trouve aucune trace concrète.
Pas même un simple plan.
À la différence de la machine d’anticythère, datée de l’an 200 avant notre ère, vouée aux calculs astronomiques.
Des idées dans l’air, mais rien de concret
D’un côté des artefacts retrouvés. De l’autre des projets fumeux.
Les inventions islamiques sont très poétiques.
Mais aussi crédibles que le tapis volant d’Aladin et les voyages autour du monde de Sinbad.
Dont certains contes semblent inspirés de l’Odyssée d’Homère, composée 1500 ans auparavant, complétée par des emprunts au Ramayana.
Une incursion aux marches de la Chine où ils ont été refoulés, et le pillage de l’Inde du Nord sinisée, leur ont donné accès au papier, à la monnaie scripturale, la poudre à canon, la boussole, la porcelaine, l’alambic ainsi qu’au boulier pour compter.
Mais tout cela avait été découvert des siècles avant les cavaliers d’Allah, qui en devinrent les colporteurs.
On comprend qu’ils aient épaté l’Europe médiévale avec ces innovations dont ils prétendaient être à l’origine.
Mais on supporte moins la jobardise des intellectuels de gauche du XXe et XXIe siècle qui ont sanctifié l’Andalousie.
Autant pour ses avancées scientifiques fictives que pour sa prétendue tolérance… À condition de se résoudre à la dhimmitude.
Ou de tenir tête aux envahisseurs pour leur imposer des rapports de forces équilibrés, jusqu’à la fin de la Reconquista.
Une des impostures les plus courantes dans le monde arabo-musulman est de présenter Ibn Khaldoun (1332-1406) compilateur appliqué des concepts philosophiques ante-islamiques, grecs et indiens, comme le précurseur de Machiavel, David Hume, Hegel, Karl Marx.
Rien que ça.
En y ajoutant Ricardo et Adam Smith, les théoriciens du capitalisme.
Aujourd’hui, un milliard de delogus croient à ces sornettes, renforçant les ressentiments d’injustice et le potentiel de haine qu’ils nourrissent à notre encontre.
Puisque, selon leur logique, nos ancêtres leur auraient tout volé.
Pourtant, on leur a laissé le meilleur : le géocentrisme, la terre plate, l’antériorité de la terre sur les étoiles, l’équipollence volumique de la lune et du soleil, le créationnisme, la production du sperme dans la colonne vertébrale et la fonction de réflexion dévolue au cœur.
Simples échantillons sur la liste immense de leurs théories farfelues.
Mais ce qui pose le plus de problèmes aux savants de la religion est la sphéricité de la terre.
Si c’est vrai, lorsqu’on fait face à la Mecque, on lui tourne aussi le dos, ce qui est un blasphème.
Et les amplitudes diurnes et nocturnes dans les hautes latitudes empêchent les croyants de prier à la bonne heure.
Que faire ? Le divin chamelier n’a pas donné la réponse.
Les « savants » arabo-musulmans représentatifs de la civilisation andalouse qui fascine tant les dhimmis collabos n’avaient rien inventé.
Pas même le couscous qui est berbère, antérieur à l’ère chrétienne !
Dans le meilleur des cas, les savants de la foi avaient déniché par hasard, colporté et essayé de comprendre les bases de la science des anciens.
Égyptiens, Grecs, Sanskrits, Perses, Chinois.
Mais ils s’avérèrent incapables de la faire évoluer.
Avec une exception notable, Omar Khayyam (1048-1131).
Mais ce génie des maths et de l’astronomie était Perse.
Et c’était un esprit libre, prenant des libertés avec la religion.
Extraits : « Lorsqu’une belle jeune fille m’apporte une coupe de vin, je ne pense guère à mon salut (…). Autrefois, quand je fréquentais les mosquées, je n’y prononçais aucune prière (…). Je vais toujours m’asseoir dans les mosquées, où l’ombre et la fraîcheur sont propices au sommeil. »
Une arête dans le gosier des ayatollahs.
Parmi leurs nombreux emprunts, précédant de 1500 ans et plus la mythique Andalousie, on peut ajouter le jeu d’échecs perse, l’astronomie sumérienne, le système décimal avec le zéro et l’algèbre des Sanskrits.
Utilisant les chiffres indiens appelés à tort arabes.
Mais aussi les algorithmes à variables aléatoires des Indo-Aryens, primo occupants du Penjab.
La médecine arabe utilisait les thérapies expérimentales et la vaccination décrites dans l’Ayurveda.
Le Perse Avicenne et le Cordouan Averroès furent des copistes appliqués.
Quant aux grands navigateurs… Les Andalous disposaient de boutres indiens, capables de descendre avec les alizés de l’Atlantique et de serrer le vent au retour.
Ils auraient pu découvrir les Amériques avant les Vikings et Colomb.
Mais ils croyaient qu’au bout de la terre plate, la mer s’arrêtait brusquement, et qu’ils allaient tomber dans le vide de l’enfer.
Des mahométans évolués contestent au péril de leur vie cette croyance absurde selon laquelle le pédoprophète aurait tout inventé, ce qui en fait des apostats aux yeux des plus rigoristes.
La campagne de Bonaparte en Égypte en 1798 a fait prendre conscience aux mahométans de la supériorité technique de l’Occident chrétien.
Causant un séisme culturel dont on subit encore les répliques.
D’un côté des modernistes invectivés et persécutés.
De l’autre, des salafistes et des wahhabites qui prétendent revenir au passé pour y retrouver une mythique pureté inspirante.
Le grand voyageur philosophe Jamal Eddine al-Afghâni (1839-1897) a déploré le retard intellectuel du monde islamique, qu’il décrivait comme « obscurci par de profondes ténèbres ».
Aujourd’hui, ses propos lui vaudraient une fatwa assassine : « En cas de conflit entre la raison et la tradition, la primauté devrait toujours revenir à la raison ».
Optimiste, il espérait un renouveau de la pensée coranique.
À Ernest Renan qui affirmait que l’islam était la cause première de la régression des peuples orientaux, parce que l’esprit scientifique et l’islam étaient incompatibles…
Afghânî qui était à Paris à ce moment-là, lui avait répondu « S’il est vrai que la religion musulmane est un obstacle au développement des sciences, qui peut affirmer que cet obstacle ne disparaîtra pas un jour ? ».
On attend la suite…
Par Christian Navis
Source : https://climatorealist.blogspot.com/
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