lundi 1 décembre 2025

À CAUSE DE L' ARCOM , LA FRANCE EST DEVENUE UN PAYS DE DÉLATION !

 


 

À cause de l’Arcom et des lois Pleven-Gayssot, la France est devenue un pays de délation !

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On ne compte plus, sur les réseaux sociaux, les messages de députés, souvent de gauche, qui se vantent d’avoir fait un signalement à l’Arcom ou au procureur de la République.

Bien évidemment, comme la plupart des plaintes visent des dirigeants du Rassemblement national ou de Reconquête, sans oublier, bien sûr, les médias dissidents comme CNews et Frontières – et trop souvent Riposte Laïque et d’autres sites – à force de se faire dénoncer et insulter, les élus patriotes, à leur tour, font des signalements à l’Arcom (souvent classés sans suite) et déposent plainte contre ceux qui les insultent (souvent en vain).

Ajoutons à cela les délateurs professionnels, payés pour moucharder, que sont les associations dites antiracistes et les associations de type LGBT qui, pour se remplir les poches et faire taire leurs adversaires politiques, multiplient les plaintes afin de ruiner leurs adversaires politiques.

Le résultat de tout cela est catastrophique pour la France, pays réputé au monde pour être celui – il y a longtemps – qui défendait la liberté. 

Avec d’un côté l’Arcom, flic de l’audiovisuel, qui a chargé toutes les associations collabos de signaler ce qui leur paraît condamnable sur les réseaux sociaux, sur les sites et dans les médias alternatifs, et de l’autre la volonté de Macron de noter les bons sites et les mauvais sites, avant de fermer les dissidents, nous arrivons à toute allure vers la mise en place d’un ministère de la Vérité de type 1984.

Hier, quand la liberté était reine en France, on pointait du doigt la délation et les mouchards. 

Aujourd’hui, le régime de Macron encourage les signalements et finance les délateurs, majoritairement de gauche.

On ne retrouvera la liberté d’expression, en France, qu’en se débarrassant de Macron, en dissolvant l’Arcom, en abrogeant les lois Pleven-Gayssot-Taubira et en introduisant dans la Constitution française l’article 1 de la Constitution américaine, qui garantit la liberté d’expression.

 

 

ET AUSSI

 

Impopularité record et bilan apocalyptique poussent Macron vers une dérive totalitaire

 

La liberté de la presse et le pluralisme qui sont les piliers de la démocratie, sont les cibles à abattre pour notre narcissique Président, qui ne supporte pas la contradiction.

 Ceux qui ne pensent pas comme lui doivent être bâillonnés, car il n’y a qu’une seule vérité : la sienne. 

Bref, dénoncer le naufrage de ses deux quinquennats, preuves à l’appui, est une infamie, voire une menace pour la République.

 

Le pire menteur qu’on ait jamais porté à l’Élysée, qui dit tout et son contraire depuis huit ans, celui qui distille les pires fake news dans le pays, exige que l’on accepte ses mensonges comme parole d’Évangile.

Macron ne subventionne pas la presse pour défendre le pluralisme mais pour diffuser la seule parole bien-pensante, la sienne. 

Les médias dissidents doivent être muselés au nom de la vérité élyséenne.

Il entend donc créer des outils spécifiques pour contrôler l’information, afin de la purger des rumeurs et manipulations qui nuisent à sa politique. 

Plongeant dans les bas fonds dans  les sondages, de plus en plus irrité, il voit dorénavant un populiste ou un complotiste derrière chaque arbre.

Sa bête noire, la chaîne CNews, qui ne cesse de gagner en audience en diffusant une information de vérité qui ne soit ni de gauche ni soumise à la nuisible pensée unique, ce contre modèle d’impartialité qui fait tant de ravages dans le pays.

 

Premier outil : la labélisation de l’information

Il s’agit de trier entre les gentils médias et les méchants. 

Une structure soi-disant indépendante serait chargée de distribuer les bons points et de traquer les émetteurs de fake news. 

Tout cela nous rappelle les commissaires politiques de l’URSS.

 

Deuxième outil : un référé anti-fake news sous 48 heures

La justice serait saisie en urgence pour écarter immédiatement une information jugée fausse, sans aucun débat sur le fond. 

C’est la consécration de l’arbitraire sous couvert de défendre la neutralité et l’impartialité qu’on attend des médias.

Après les citoyens, totalement muselés par des lois liberticides iniques, qui les privent de toute liberté d’expression, c’est au tour des médias de goûter aux limites de la liberté de la presse.

Ce que veut Macron, qui n’a cessé de nous mentir sur bien des sujets majeurs et notamment sur une menace russe imminente, c’est instaurer un contrôle total de la presse pour mieux diffuser la bonne parole élyséenne sans aucune contradiction.

Il a tout raté, ils s’est trompé sur tout, et c’est ce qui explique sa dérive totalitaire.

(inspiré du JDD)

 

Par Jacques Guillemain

 

 Source :   https://ripostelaique.com/

 


 

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