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Le 30 janvier à Paris :
Françaises sont en danger !
Françaises sont en danger !
Françaises sont en danger !
parce que les Françaises sont en danger !

Aujourd'hui, une Française sur quatre a peur de sortir seule de chez elle et 31 % des femmes renoncent à sortir pour des raisons d'insécurité (étude « Vécu et ressenti en matière de sécurité » du ministère de l'Intérieur, publiée en décembre 2024).
En 2012, déjà, on estimait que plus d'une femme sur cinq avait été victime d'une agression.
Insécurité en hausse, immigration, vagues wokistes, montée de l'islam, précarité croissante et impasse des politiques : ces maux qui gangrènent la société entière frappent plus particulièrement les femmes.
Appauvries, privées de leur choix de donner naissance au nombre d’enfants qu’elles souhaitent, non prises en compte dans le débat des retraites, fragilisées par l’absence de politique de sécurité et le laxisme de la Justice, le manque de places en prison ou les frontières passoires, elles n'ont jamais été à ce point la cible de trois principales menaces clairement identifiées.
Le grand appauvrissement
Les femmes sont les plus exposées à la précarité, particulièrement les plus âgées (elles représentent 56,5 % des adultes rencontrées par le Secours catholique en 2024, une hausse de 5 points en 30 ans, et sont à 82 % à la tête de l'immense majorité des foyers monoparentaux). Une femme retraitée sur deux habitant seule vit sous le seuil de pauvreté .
Elles demeurent malgré tout l'angle mort des politiques publiques.
Laissées-pour-compte de la réforme des retraites alors qu'elles en sont la pierre d'achoppement - sans elles, pas de futurs cotisants -, les chiffres sont sans appel : « Près de quatre femmes sur dix perçoivent moins de 1.000 euros de pension de retraite, contre seulement deux hommes sur dix.
Elles sont également près de la moitié à bénéficier d’un dispositif de minimum de pension », selon l'INSEE.
Leur grand appauvrissement a un effet direct sur la chute catastrophique de la démographie française, car si l'envie des couples est d'avoir en moyenne 2,3 enfants par femme, la réalité est aujourd'hui de 1,6 enfant par femme.
Pourtant, selon l'UDAF (bilan démographique du 11 janvier 2024), 49 % des parents désirent une famille plus nombreuse (majoritairement deux enfants, et trois enfants et plus pour plus d'un tiers), mais 57 % d'entre eux y renoncent faute de moyens, estimant que le contexte actuel en France est défavorable pour avoir des enfants.
Si l'argument économique arrive en tête, le matraquage idéologique, la montée de l'individualisme et l'anxiété écologique sans cesse attisée concourent aussi grandement à priver les femmes de leur bonheur de maternité.
Le grand ensauvagement
Le sentiment d'insécurité des femmes qui ne cesse de progresser (environ huit femmes sur dix déclarent éprouver souvent ou parfois des craintes pour leur sécurité dans certains lieux publics) correspond à une amère réalité : en dix ans, le nombre de victimes de violences sexuelles dans les transports a augmenté de 86 %.
En Île-de-France, 56 % des voyageuses disent ne pas se sentir en sécurité et près de la moitié des agressions se produisent sur le réseau ferré francilien.
Parmi les agresseurs recensés dans les transports en Île-de-France, 63 % sont étrangers.
Des chiffres à rapprocher des politiques d'immigration incontrôlée.
Avec l'arrivée massive de populations étrangères, de nouvelles menaces sont importées : dans nos banlieues, à l'aube de cette année 2026, elles seraient 125.000 femmes à être excisées, 200.000 mariées de force, tandis que plus de 180.000 personnes seraient en situation de polygamie sur notre sol.
Le grand effacement
Jamais le corps des femmes n'a été à ce point instrumentalisé, utilisé et marchandé (GPA), leur identité déniée, violée, bafouée et singée.
Avec la question de la légalisation de la gestation pour autrui régulièrement revendiquée, les mutilations génitales pour changer de sexe de plus en plus pratiquées sur les corps de très jeunes filles qui n'assument plus leur féminité ou la banalisation du phénomène des drag-queens fétichisées et adulées, c'est toute l'image de la femme qui est attaquée.
Parce qu'il faut bien suppléer à l'incurie des officines féministes autoproclamées, inféodées à la gauche, censées les défendre mais qui détournent les yeux quand elles ne sont pas complices, Boulevard Voltaire a décidé de s'emparer du sujet.
Pour rendre hommage à ces Françaises en danger, les écouter, débattre et apporter des solutions, Boulevard Voltaire organise un grand événement inédit le 30 janvier 2026 à Paris.
Une date non choisie au hasard : c'est le 31 janvier 2013 que la loi autorisait officiellement les femmes françaises à porter un pantalon.
Pourtant, en 2026, ce n'est pas le droit au pantalon qui est fragilisé mais bien celui du port de la jupe pour ces femmes qui n'osent plus se promener dans certains quartiers.
Le 30 janvier à partir de 19 heures, des responsables politiques, des grands témoins, des invités chocs et des experts prendront la parole lors de tables rondes, vidéos thématiques inédites et passages sur le gril.
Parce qu'il y a URGENCE, les Françaises sont en danger !
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